Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Chantage particulièrement bestial [ Nikolaus ]

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Yumena A.

Humain(e)

Chantage particulièrement bestial [ Nikolaus ]

dimanche 30 décembre 2012, 12:36:54

C'est très tôt ce matin que je me réveillais, malgré que nous soyons en week-end.

Je me levais de mon lit pour rejoindre le salon en silence. Juste une lumière y était allumée; je pus reconnaître mon beau père qui buvait tranquillement son café tout en lisant le journal. J'eus un sourire, il n'y avait que lui pour se réveiller aussi tôt que moi. Il avait beau avoir pris la place de mon père auprès de ma mère, je ne lui en voulais pas, bien que mon père me manquait. Non, mon beau-père était quelqu'un de bien, avec qui je m'entendais. Ma mère avait souvent craint que je ne puisse me faire à l'idée que j'avais un "nouveau père", comme ce qui se passe dans beaucoup de familles lorsqu'elles volaient en éclats à cause d'un divorce. Moi, j'avais relativisé en me disant que mon père était heureux, et que ma mère aussi, une fois l'amour retrouvé. Et je pouvais chaque vacances assez longues retrouver mon père en Italie. Et puis, j'avais rencontré Louise, et ça n'aurait pas été possible sans que nous rentrions au Japon. Certes, si je ne l'avais pas rencontré je n'aurais jamais souffert d'un tel amour impossible, mais aimer comme je l'aimais, c'était beau. Et je préférais souffrir d'amour que ne jamais le connaître, cet amour...

Je m'installais donc à côté de mon beau-père, qui avait déjà prévu une tasse à café pour moi. Je le remerciai d'un sourire; tous les deux étions, chose amusante, pareils le matin. Pas un mot tant que le café n'est pas avalé. Ceci fait, je retournais dans ma chambre pour enfiler une jupe et une chemise. Rapide brossage de dents, et je revenais dans le salon sur la pointe des pieds, lorsque je passais devant les portes des chambres des parents et de Louise, ma mère et elle dormant encore. Une fois dans le salon, je fouillai dans un tiroir et en sortis une laisse. Mon braque, Prato, comprit immédiatement et vint comme un fou à ma rencontre. Je clipsais laisse à son collier et laissa échapper un chuchotement à l'égard de mon beau-père. "Je vais me balader. A toute."
Et je sortis de l'immeuble.

Presque tous les week-ends, j'effectuais ce petit rituel. Notre chien avait besoin d'être sorti régulièrement quand même, bien que l'appartement soit grand. J'aimais bien partir très tôt me balader au parc, lorsqu'il n'y avait personne. Théoriquement. Je n'aimais pas être dérangée le matin.. Enfin, nous n'aimions pas être dérangés le matin. Car souvent, lors de ces balades où il n'y avait personne, Prato avait tendance à vouloir jouer.. et non comme tous les autres chiens normaux jouaient avec leurs maîtres. Nos jeux étaient bien plus amusants, je pense. Et bien plus agréables. C'est donc dans un endroit reculé du parc, proche de l'entrée du sous bois, où personne ne nous dérangerait à cette heure-ci, que je voulus me poser un peu, et m'assis au sol, m'adossant contre un arbre. Jambes écartées et repliées. Mon chien se mit entre elles, face à moi, venant me lécher le visage. Beaucoup de personnes ne supportaient pas que leur chien leur lèche le visage, j'avais du mal à comprendre pourquoi refusaient-ils cette démonstration d'affection. Je riais tout en lui caressant la tête. Il vint me lécher le cou, et je ne fis que rire encore plus. Une idée me passa par là tête, et je me penchais un peu sur le côté pour regarder au niveau du sexe de l'animal. Je souris; c'est bien ce que je me disais. Le pénis de mon cher compagnon animal était sorti de sa cachette. Je me penchais légèrement en avant, ma main caressant son corps jusqu'à ce qu'elle atteigne le membre gonflé d'envie de l'animal.

- De toute façon, il n'y a jamais personne à cette heure-ci...

Et je retroussais un peu ma jupe, découvrant l'intégralité de mes cuisses, que j'écartais un peu plus, mon intimité déjà à nu, livrée à l'animal. Quand je sortais promener aussi tôt mon chien, je ne voyais pas l'intérêt de porter une culotte. De toute façon, qui irait regarder sous ma jupe, à part mon braque ?

Je poussais un profond soupir lorsqu'il commença à me lécher les lèvres intimes, avidement.


Nikolaus

E.S.P.er

Re : Chantage particulièrement bestial [ Nikolaus ]

Réponse 1 dimanche 30 décembre 2012, 16:18:44

Il était tôt ce matin alors que le jeune homme vadrouillait dans le parc... pourquoi ? Tout simplement parce qu'il en avait envie, il n'y avait pas besoin de plus de raisons que celle là, si ? Très-s bien, parce que monnaie s'était barré et qu'il le recherchait activement ! Quoi était monnaie ,hum ? Une saleté d'écureuil qu'il appréciait énormément... et il était persuadé qu'il serait dans ce parc, c'était là qu'il l'avait trouvé blessé il y avait de cela deux ans...

Le bvois du parc était silencieux le matin, en même temps, l'aube n'avait montré le bout de son nez qu'il y avait très peu de temps, donc normal... il trouvait un certain charme à) cette quiétude et avait pris l'intégralité de son matériel, à cette heure, dans ce silence, il pourrait filmer les écureuils et autres animaux forestiers, ainsi que son matériel de prise de son.... oui, autant bien faire les choses !  Zet c'est entre autre comme ça qu'il reconnaitrait Monnaie !

Il allait allumer sa caméra quand un frisson de plaisir passa le long de son échine, pas son plaisir, mais celui d'un animal très expansif sur ses besoins apparemment.... curieux, il s'immisça davantage dans sa tête et reçut pléthore d'images étranges.... des images qui, si il n'avait pas été aussi proche des animaux, il en aurait été écoeuré à en vomir, mais il trouvait juste cela... avilissant, dégradant...

Il rejoignit la scène, décidé à donner une bonne leçon à celle qui faisait quelque chose d'aussi contre-nature... ah, elle aimait les bêtes... elle allait comprendre vraiment ce que cela signifiait... et il allait lui passer l'envie d'en vouloir plus... il alluma la caméra et zooma sur la jeune femme se faisant lécher l'intimité par le chien...caressant l'organe reproducteur de celui ci...

Un écureuil passant par là, il le sollicita. Ce n'était pas monnaie, mais il ferait l'affaire... il lui donna un ordre simple :  voler les boutons de chemisier de la jeune femme... il semblait ravi de s'exécuter, surtout que dans le soleil du matin, ils semblaient briller. Il se laissa tomber sur elle, et en quelques coups de dents précis il eut tôt fait de les arracher et s'enfuit avec dans la forêt...

Ordre suivant mais cette fois ci, donné au chien :  lui mordiller la poitrine, elle voulait un véritable amant et sous les yeux de la caméra, elle allait s'abaisser à considérer son chien comme tel..

Il filmait en zoomant, particulièrement amusé de tout ce à quoi il pensait....

Yumena A.

Humain(e)

Re : Chantage particulièrement bestial [ Nikolaus ]

Réponse 2 dimanche 30 décembre 2012, 18:34:40

Je me courbais à chaque fois un peu plus sous les coups de langues réguliers du chien, qui lapait la cyprine qui s'écoulait. Mon entrejambe s'offrait à chaque fois un peu plus à mon amant de fourrure. Oh Dame Nature a si bien fait les choses ! Une longue langue rose, et tout près une truffe sombre qui donne quelques coups insistants de temps à autres sur ce petit bout de chair que l'on appelait clitoris. Quel plaisir... Pourquoi s'embêter à séduire un humain, lorsqu'un animal vous donne du plaisir autant qu'il satisfait ses propres pulsion sexuelles ? Prato en avait besoin, et moi aussi. Je ne provoquais jamais le chien, au final c'était lui le roi, qui décidait de lorsqu'il voulait s'amuser. Comme ce matin. Je me doutais bien qu'il chercherait à se soulager en plein air, sortir l'excitait toujours. Au final, de nous deux, je ne savais plus exactement qui était le maître, lorsque nous étions dans ce genre de situation.. Je soupirai, ayant un peu plus chaud à chaque fois que la langue parcourait toute mon intimité, de bas en haut. Quel délice ! Prato aussi avait droit à son plaisir. Aussi, ma main caressait le sexe de l'animal, qui y était visiblement sensible, se gonflant. J'avais la chance d'avoir un chien de grande taille, et son pénis s'y accordait.

Alors que je fermais les yeux, tête levée au ciel, appréciant chaque coup de langue, je poussai un petit cri de surprise. Je sentis un soudain petit poids retomber sur mes seins qui pointaient de plaisir. Je n'eus pas le temps de bouger que je vis la créature s'enfuir. Une petite créature poilue.. un écureuil ? Je ris, un écureuil venait de me tomber sur la poitrine ! je baissais la tête sur celle-ci, et écarquillais les yeux devant ma chemise qui était déboutonnée. Comment ce ?.. Mais je n'eus pas le temps de protester ou même de me demander comment un tel évènement était possible, comment un simple écureuil aurait pu décider de briser les boutons de ma chemise. Sans doute ses griffes avaient-elles accidentellement coupé les liens. Enfin, je ne pus y réfléchir, car dans la seconde qui suivait, Prato se rua sur moi, et je basculai au sol sous son poids, allongée sur le dos.
Je vis sa mâchoire s'entrouvrir pour saisir mon sein gauche et le mordiller, et malgré mon soutien-gorge, je ne pus retenir un gémissement. Il m'avait déjà léché les seins, mais jamais il n'avait décidé de les mordiller ainsi.

Je mis quelque secondes à m'habituer à la sensation, et, ne tenant plus, j'ouvris mon soutien-gorge qui se dégrafait devant, entre mes deux collines de chair blanche. La seule barrière de tissu s'ouvrant, mes seins jusque là retenus et serrés, se relâchèrent à découvert, leur poids les forçant à s'affaisser quelque peu sur mon buste, malgré qu'ils pointaient à leur maximum. Tenue au sol, je me cambrais, et gémissais à chaque fois que le chien saisissait ma poitrine avec une force bien contrôlée entre ses dents, au niveau de mon téton dressé, pas trop fort pour éviter le mal, et juste assez pour me donner du plaisir. Oh mon dieu ! c'était si bon ! Je sentais mon intimité trempée. Le liquide de plaisir s'écoulait, glissant le long de ma vulve et de ma raie, pour se déposer sur l'herbe fraîche.

Mes mains ne pouvant plus atteindre le sexe de mon chien, je me contentais de les poser de chaque côté de mes seins, les poussant au devant, pour que le braque les saisisse mieux. Mes doigts se crispaient parfois, malaxant ma poitrine pour plus de plaisir.

Et je pensais à ces femmes qui se dégoutent des chiens s'accouplant..
Si ces dames savaient qu'ils étaient si bons amants !


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