Prénom :
Iseldra.
Surnom :
Geïsha, Lady Amalia, Reine Obscure…
Age :
Trop âgée pour le dire.
Sexe :
Féminin.
Race :
Déesse.
Orientation sexuelle:
Bisexuelle et expérimentée.
HISTOIRE :
Introduction :Il y fort, fort longtemps, quand la terre n’était encore qu’une enfant, les hommes qui vivaient à l’époque se mirent à croire. Ils croyaient en des divinités qui n’existaient pas, fruit de leurs imaginations. Ils croyaient en des êtres démoniaques qui n’existaient pas, fruit de cette même imagination. Seulement, à force de prier, à force de louer ces Dieux et ces Démons, ils ont fini par leur faire prendre vie. Chacun de ces êtres avaient une fonction particulière, l’un s’occupait du vent, l’autre de faire pousser les arbres ou encore un autre d’insuffler la vie. Et plus un de ces être était loué, plus son pouvoir s’accroissait. A cette même époque, les premiers sorciers et chamans ont vu le jour. Les humains se sédentarisaient et créaient de véritables cultes représentés par des élus au sein des villages.
Jeunesse :Je suis née à cette époque, dans un de ces villages. J’étais la dernière-née dans une famille déjà que trop nombreuse où sept autres enfants devaient se partager l’amour de nos parents. Mes parents se rendirent vite compte que cette toute nouvelle bouche à nourrir était la bouche de trop. C’est donc le cœur remplie de chagrin qu’ils décidèrent de m’abandonner Iseldra. Du moins, pas vraiment abandonner, mais confier à leur chaman l’éducation de cette jeune enfant que j’étais et ainsi permettre à cet homme sans femme d’avoir un héritier ou, en l’occurrence, une héritière. Je pus néanmoins garder un contact avec ma famille.
Très jeune, je fus initiée aux rites et aux traditions de mon village. Je pus grandir dans cette atmosphère particulière, nimbée de magie. Toute jeune fille, je me montrais très douée et très réceptive à mon apprentissage. Mon père d’adoption ne montrait pourtant pas sa fierté et préférait sans cesse me faire travailler pour que je m’améliore. Je ne voyais pas les choses ainsi. Bien que douée, je me contentais du strict minimum. Faire semblant de méditer et faire une bonne sieste à la place, tel était mon crédo de vie.
Un jour, à l’orée de ma quatorzième année, pour me punir et pour m’ouvrir les yeux sur mon avenir, le chaman décida qu’il était temps pour moi de faire mon voyage initiatique. Il m’envoya donc seule, dans une grotte lointaine, tapissée de jaspe rouge, où je dû faire appel aux Dieux afin que l’un d’entre eux me révèle mon futur. Pour se faire, je dû faire le sacrifice d’un animal et verser son sang sur un petit autel en pierres noires. Ce fut après des heures de prière et d’incantation qu’un Dieu daigna répondre à mon invocation. Il révéla être celui qui dirigeait la nuit. Nartu, le maître des songes. Il m’annonça que la prochaine fois que je rêverai, je verrais ma destinée. Dormir, c’était bien là quelque chose que je savais parfaitement faire. Le sommeil ne fut pas long à venir et mes yeux se fermèrent pour laisser les songes envahir mon être.
Ce que je vis dans ceux-ci me glaça les sangs et c’est dans un sursaut épouvanté que je rouvris les yeux. La mort était censé m’entourer, me poursuivre tout au long de mon cheminement de vie. Sans attendre, je repris le chemin me ramenant chez moi, souhaitant ardemment que rien de ce que j’avais vu ne soit vérité. Mais mes craintes se virent bientôt être confirmées par les fumées qui s’échappaient de l’intérieur du village. Courant jusqu’à en perdre haleine je retrouvais l’entièreté du village en feu. Pendant la nuit, des hommes du village ennemi et voisin avaient encerclés mon village et avaient ainsi enfermé derrière une barrière de flamme les villageois. Les flammes s’étaient rapidement propagées et nul n’avait survécut. Hurlant de rage et de chagrin, j’ai attiré l’attention sur moi. Sans attendre les guerriers m’attrapèrent facilement malgré mes tentatives désespérées d’utiliser mes pouvoirs contre eux. C’est là que je me rendis compte que si j’avais écouté mon chaman et Maître, peut-être que je ne serais pas parti, peut-être que j’aurai pu sauver mon village en usant mieux de ma magie, peut-être que…
Je fus conduite en tant que trophée dans le village des guerriers. Là-bas, le chef décida de mon sort. Je pensais mourir attachée à un poteau, dévorée par les lions, mais le chef, qui s’avérait être aussi le chaman de ce village décida que je deviendrais l’épouse de son apprenti. Soumise à la tradition de victime de conflit et comprenant vite que mon intérêt était plutôt de ne pas faire de vagues, je me laissais docilement faire. Le soir même je me retrouvais dans la couche de mon nouvel époux. A ma grande surprise, le jeune homme, à peine plus âgé que moi, ne me toucha pas. Il m’expliqua que je le dégoutais et qu’il ne comprenait pas pourquoi son Maître l’avait obligé à m’épouser. Cela me convenait car ne l’aimant pas non plus, j’y trouvais mon compte.
Changement :Nous nous ignorions royalement et au fil des jours je découvrais un homme nerveux et violent aimant passer ses expériences ratées et ses remontrances, dont son Maître l’affublait, sur ma peau tendre. Mon époux n’était pas fait pour devenir chaman et ne savait jamais comment réaliser de simples formules. Un soir où il fut particulièrement fâché, je réussi à le faire parler pour qu’il m’explique ce qu’il ne réussissait pas. Lorsque je le lui montrais de mes mains, il fut abasourdit. Personne ne se doutait que j’étais capable de faire quelques tours et encore moins mon époux. Il me demanda de l’aider et surtout, de ne rien révéler aux autres de mes pouvoirs. Ensemble, nous avons donc manipulé le chef. De loin, j’arrivais, tout en restant cachée, à faire les formules demandées par le chaman. Ce dernier fut surpris de la progression de son élève mais n’en fut que plus ravi. Dans cet arrangement, je pouvais reprendre mon apprentissage par procuration. Et, non seulement mon époux ne progressait pas, mais moi je devenais de plus en plus puissante. Sans rien dire, je continuais seule d’expérimenter mes pouvoirs, découvrant de nouvelles choses.
Mon époux lui, devenait plus gentil avec moi et, au final, nous avons fini par nous apprécier et nous aimer. J’oubliais même les coups de bâton et les hurlements, pardonnant ces incartades. Et puis, arriva le jour où le chef mourut. Normalement, mon époux devait lui succéder mais pour ce faire, il devait prouver sa puissance aux membres de son village. Comme à l’accoutumé, je me suis cachée et j’ai exécuté une fabuleuse formule en faisant croire que mon mari en était l’auteur. Il fut effectivement désigné chef, responsable de la sécurité du village, capable de le défendre en cas d’attaque. Un mensonge éhonté. Mais il y avait un autre mensonge et j’allais l’apprendre à mes dépens. Le soir de son intronisation, mon époux voulu faire une sorte de petite fête, juste entre nous. Ce soir-là, ma vie changea.
Alors que je préparai le repas, il vint derrière moi m’embrasser tendrement dans le cou. Et d’un coup, une douleur atroce me transperça la poitrine. Mon mari venait littéralement de me percer le cœur avec un couteau de chasse. J’ai hurlé aussi fort que ce que mes cordes vocales étaient capable d’accomplir. Je n’ai pas compris tout de suite pourquoi un homme qui disait m’aimer faisait ça. La vérité me fut dite dans un éclat de rire, jamais ses sentiments à mon égard n’avaient changé. Il me détestait toujours autant et s’était juste servit de moi. Maintenant qu’il était devenu chef, il n’avait plus besoin de moi. En l’écoutant, je senti mon âme être arrachée de mon corps, s’envoler loin de moi. Suivant sa sœur, mon esprit voulu s’envoler lui aussi pour laisser mon corps froid et inerte. J’ai refusé. J’ai hurlé une fois de plus attirant les villageois jusque chez nous. Ils virent tous le couteau planté dans ma chair. Ils virent tous ce couteau sortir de ma plaie et cette dernière se refermer. Ils virent tous que malgré l’absence d’un cœur qui bat, j’étais capable de vivre. J’étais morte et en vie à la fois. La première morte-vivante qui avait été créée sur Terre. La supercherie que nous avions montée sur les pouvoirs de mon époux tomba. Effrayés, les villageois prièrent pour que je les épargne et mon époux pria plus fort que les autres…en vain pour lui. J’avais été trahi par l’homme que j’aimais et j’avais toujours en mémoire ce qu’ils avaient fait à mon ancien village. Dans une sorte d’explosion de fumée grisâtre, tous ceux qui étaient présent moururent pour renaitre sous la forme de goules.
Je devins leur déesse, ils me prièrent, ils me louèrent…et comme par magie, à force de sacrifices à mon égard, à force d’offrandes à un autel érigé en mon honneur, je devins cette déesse. La déesse des morts-vivants. Un véritable culte de ma personne s’étendit rapidement. Ma puissance ne cessait de s’accroitre et ceux qui tentaient de s’opposer à moi finissaient en goules écervelées. J’ai créée de nombreuses créatures : les spectres, les golems de chair, les vampires…toutes ces créatures qui n’appartiennent ni à la nuit, ni au jour. J’ai un contrôle parfait d’elles mais mon seul objectif est de voir un jour mes chers enfants devenir grands et régner sur cette Terre. J’ai failli y arriver mais, si mon culte avait pu atteindre son un quasi paroxysme, il a fini par décliner, détrôné par le culte d’autres Dieux. Cependant, j’ai toujours survécu, toujours été présente dans l’ombre et ma puissance ne décroit plus. Les mythes et légendes qui parlent de moi ou de mes protégés sont légions. Et j’ai bien l’intention de reprendre mon ascension…tout en m’amusant un peu.
Aujourd’hui :J’ai découvert il y a peu une émanation magique importante, une nouvelle Terre en parallèle de la notre : Terra. Là-bas j’ai rencontré de multiples créatures. J’ai décidé d’installer un fief, des terres obscures d’où l’on ne revient plus comme l’on était. Un château aux confins de ce territoire où vous pourrez, si vous y arrivez, me voir sous ma forme d’autrefois. Les êtres de la nuit et mes fidèles y sont les bienvenues, les autres aussi mais différemment. Bien que pour moi un non-mort sera toujours supérieur, je n’ai rien contre les humains ni les autres créatures, ils sont autant de potentiels futurs convertis. Autant dire que pour venir, il vous faudra une bonne dose de courage, ou de folie. Vous devrez tout d’abord traverser des forets ressemblant à une armée spectrale aux couleurs éthérées avant de tomber sur des marais peuplés de créatures probablement effrayante pour beaucoup. Si vous arrivez jusque-là, dites-vous que le plus dur reste à faire. Il vous faudra gravir de nombreuses montagnes aux flancs escarpés et glissants…ou alors vous passerez par l’unique chemin qui mène sans encombre au château. Il suffit juste de connaître son existence…
Je n’abandonne pas pour autant la Terre où je me suis créée un avatar. A Seikusu, je suis connue sous le nom de Geisha. Je suis une prostituée et je me plais à faire les quatre volontés de mes clients. Officiellement, je ne suis qu’une prostituée parmi d’autres, soumise comme les autres à sa Maquerelle. Officieusement, l’établissement m’appartient. C’est un lieu assez chic où seuls ceux qui peuvent s’offrir un certain luxe peuvent entrer.
Sur Terra, en plein Nexus, j’ai un tout autre avatar. Je deviens une jeune fille d’une vingtaine d’années, riche héritière d’une famille de Noble : Lady Amalia Winchest. Mes parents me couvrent de cadeaux et font mes quatre volontés et je n’hésite surtout pas à en profiter. Bien évidemment, ces parents-là ne sont que deux serviteurs qui jouent un rôle. Je m’amuse beaucoup.
Je n’oublie pas pourtant qu’elle est mon véritable but, mais j’ai tout mon temps, après tout, ne suis-je pas immortelle ?
PHYSIQUE et MENTAL :
Il faut savoir que, par rapport à mes pouvoirs de Déité, je peux me changer en ce que je veux. Cependant, j’ai quatre formes humanoïdes que j’utilise plus souvent que les autres.
La première est celle d’origine, celle que j’avais lorsque j’étais humaine. C’est généralement ainsi que je me montre à ceux qui savent vraiment qui je suis. Un physique pour le moins banal en vérité. Je suis brune et mes cheveux sont suffisamment longs pour atteindre le creux de mes reins. Ils sont doux et fins, virevoltant librement car jamais attachés. Mon visage est ovale et régulier, d’un grain de peau parfait où sont sertis deux magnifiques iris de couleurs grises presque blanches. Ma bouche est charnue mais de couleur pâle tout juste un ton au-dessus de la couleur de ma peau qui elle tire un peu sur le miel. J’ai souvent une expression dure, peu avenante, une sorte de beauté glaciale.
D’une taille et d’une stature assez moyenne, je suis harmonieuse. J’ai des courbes assez féminines. Une poitrine visible sous le tissus de mes vêtements dont on peut deviner la texture, la courbe et la souplesse rien qu’au mouvement que lui imprime ma respiration. La rondeur de ma croupe, la courbe de ma hanche et le profil de ma cuisse qui se découvrent dans leurs cambrures naturelles. Des jambes effilées et élancées me donnant une démarche féline et chaloupé.
Je porte des vêtements de confections fort simple, presque trop simple au vu de ma condition de Déesse mais je me souviens d’où je viens et j’aspire à garder un peu de cet ancien temps. En contrepartie, j’aime à porter de multiples bijoux fantaisistes qui teintes à chacun de mes pas.
Question caractère, je suis plutôt ambivalente. Comme l’être que je suis devenue, je suis entre la nuit et le jour. J’aime jouer double jeu, paraître celle que je ne suis pas. Etre tout sucre, tout miel pour, en fin de compte, vouloir vous planter une dague dans le dos, ou inversement. N’allez pas croire que sous prétexte que je suis une mort vivante je ne suis pas une rigolote ou que je ne puisse pas me montrer aimable. Je peux tout être en réalité. Ni vraiment gentille, ni vraiment méchante. Je ne suis pas à une saute d’humeur près, jouant souvent avec les ombres et le mystère. J’aime être entourée et adulée autant que seule et détestée.
Je suis par contre bien souvent franche lorsque la situation si prête. Comprendre que je dis haut et fort ce que personne n’osera dire. Pas question de me laisser marcher sur les pieds. Je n’ai pas peur de grand-chose si ce n’est de la trahison. C’est chez moi une faute impardonnable qui vaudra milles souffrances à celui qui osera m’être infidèle. Attention, cela ne veut pas dire que je sois contre l’infidélité dans un couple, dont je me moque éperdument, je parle d’une trahison plus profonde, plus douloureuse…vous comprenez ? L’amour je n’y crois que très peu, c’est bon pour les autres, plus pour moi, au mieux je peux donner de l’affection à ceux que je considère comme mes enfants ou mes amis.
(Vous aussi vous vous demandez COMMENT ce chien fait-il pour rester entre sa poitrine ? Ou plus simplement vous aimeriez être à sa place ? xD Perso j'aime l'image de la jeune femme donc j'ai pris quand même.)
J’ai une alternative à ma forme originelle, cette forme est celle que j’utilise lorsque je me montre à l’un de mes fidèles qui ne doit pas voir ma véritable apparence. C’est un peu plus théâtrale et avec de l’esbroufe. Ce qui change c’est surtout l’aspect grimé de sang un peu partout sur le corps et surtout sur mes lèvres. Généralement un crane d’animal aux yeux flamboyant qui fait office de casque pour cacher mon visage et j’ai des vêtements plus dans les tons rouge et noir, assez décousu.
Quant à ma personnalité, elle ne diffère que très peu de l’originelle si ce n’est que je me fais un peu plus effrayante et mystérieuse.
Sous cette forme, je ne suis qu’une humaine parmi d’autres, du moins en apparence. Lorsque je revêts cette identité, je deviens une femme de joie, aussi gracieuse qu’une fleur délicate et aussi souple qu’un roseau. Ma chevelure s’éclairci pour devenir châtain avec des mèches couleur miel. Mon visage prend des allures d’asiatique et mes yeux se colorent de brun aux reflets doré. Ma peau devient plus blanche, aussi douce que le satin et parfumée d’onguents entêtants. Un maquillage mettant en valeur mes yeux et ma bouche. Pour vêtement un kimono qui se désolidarise lorsque la ceinture tombe...
Je deviens soumise, douce et très calme. Jamais un mot plus haut que l’autre. Mon plaisir passe par celui de mes clients et je leurs offrent mon corps et ma voix chantante. Je suis prête à véritablement offrir tout mon être mais qui sait si en échange, certain n’auront pas de quoi donner quelque chose en retour.
A Nexus je deviens une petite Noble, une délicieuse jeune femme aux cheveux d’un blond très clair, toujours coiffés d’un chapeau élégant. Des yeux d’un bleu aussi clair et lumineux que l’eau d’une source de montagne orne mon visage généralement accompagné par un sourire mutin. Je conserve mes jolies courbes avec une peau laiteuse et soyeuse. Toujours vêtue de robes extrêmement coûteuses qui mettent en valeur ma poitrine que je n’hésite pas à laissé dégagée à la vue de tous.
Sous cette forme, je suis une peste, le genre de jeune fille pourrie gâtée par ses parents et par la nature. Le moindre de mes désirs se doit d’être exécuté sur le champ si l’on ne souhaite pas me voir exécuter une colère digne d’un ouragan. Je suis un brin égocentrique et surtout un peu sadique envers mes esclaves, voir même envers d’autres Noble que j’aime écraser par ma puissance…
POUVOIR et ATTRIBUTION :
- Je suis une Déesse et de ce fait j’ai accès à une palette de pouvoirs assez conséquente pour ne pas dire illimitée.
- Ma fonction principale concerne les non-morts ou autrement dit les morts-vivants…tous ceux passé de vie à trépas sans pour autant quitter le monde des vivants. Je peux transformer n’importe qui en mort vivant, au choix selon mon humeur entre la goule décérébrée ou un vampire charismatique…
- Les Nécromanciens sont aussi sous ma juridiction et sans qu’ils le sachent pour la plupart. Je les protège et les guide en toute discrétion, les laissant faire de nouvelles découvertes…
HRP :
Je ne sais pas si je peux créer une Déesse de cette façon mais il me semble qu'on peut faire tout et n'importe quoi. :p
Pour les fautes, je corrigerai si j'en vois, je ne suis pas forcement une Déesse de ce coté là. ^^'
Pour ce qui est du lignage caractère et physique, j'ai pris en compte celui de la forme originelle, les autres ne sont que des rajouts de modifications.
