Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Souvenirs souvenirs [Florence Delajoue]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Charlene/Vilma

Souvenirs souvenirs [Florence Delajoue]

jeudi 20 septembre 2012, 14:32:33

Faire les courses... d'héabitude, ce n'était pas quelque chose d'agréable :  suivre l&a liste, prendre les produits, remplir le chariot et payer....ren d » bien passionnant !  Le shopping par contre , ça, c'était intéressant !  Passer dans les rayons, vadrouiller à la recherche de ce qui attire l'oeil, quel que soit le vêtement, depuis la robe de soirée aux bottines en passant par les jeans pour rejoindre les hauts sexys ! Charlène était du genre à regarder tout !

Sans être une passion, Vilma aimait bien les sorties shopping entre sœur, voir, plus largement, entre amies, c'était toujours le bo moyen de rire et de se dérendre, mais bon, n'exagérons rien, elle n'y passerait pas des heures. Loin de là !  Et puis bon, quand elle sortait avec Charlène, il y avait toujours le problème de s'occuper de Emma, aussi, si elles étaient toutes les deux en train de faire du shopping, le landeau ou la poussette n'était jamais ben loin. Le landeau en l'espèce !

Charlène était là, deux bottes différentes, une sur chaque pied, celle de droite, en imitation de cuir très lustré remontait presque jusqu'au genou avec un laçage noir ressortant sur le cuir marron et finissait par un bouton doré. Pour l'autre, la botte était plus une bottine avec un talon de cinq bons centimètres, mais large, pas aiguille, une meilleure stabilité ! Elle était là et s'admirait. Ou du moins, admirait ses gambettes.

De son côté, Vilma avait déjà fait son choix, une paire d'escarpins très simples et très jolis en même temps, elle imprimait de la main un mouvement d'avant en arrière sur le landeau dans lequel la petite Emma dormait paisiblement, totoche en bouche. C'était un beau landeau, sombre, bleu marine avec structure métallique apparente, et dont l'espace rangement était rempli du strict nécessaire pour la changer si elle en a besoin, et elle en aurait sans dooute besoin une fois qu'elle serait réveillée, ah et elle aurait aussi besoin de se nourrir à ce moment là ! Et ça, c'était le rôle de Charlène. Ayant arrêté son choix sur l'allaitement au sein, elle devait donc la nourrir elle même !

Mis là n'était pas la priorité, la petite dormait et Charlène avait un dilemme cornélien la botte de droite ou la botte de gauche ? C'était d'un compliquer de choisir quoi acheter, elle aurait bien pris les deux, sa carte ayant largement de quoi chauffer pour deux paires de bottes, mais elle préférait limiter ses dépenses, par sécurité, elle avait encore une robe de soirée à s'offrir pour un petit gala auquel le producteur de son prochain film l'avait invtée ! Oh elle savait très bien qu'il espérauit plusnqu'un merci, mais il devrait s'en contenter, elle n'était pas ce genre de femme après tout ! Elle soupira et se tourna vers sa sœur jumelle.

« Alors ? Tu préfères laquelle ? »

Vilma se contenta de hausser les épaules, façon de lui montrer qu'elle se déintéressait de cela au plus haut point et ça se comprenait, en effet, cela faisait bientôt une demi-heure que sa sœur était là à réfléchir sur la paire de bottes.

« Allez, oublies ça et viens Charlèe sinon tu n'auras pas le temps de te trouver une robe le centre commercial est ouvert epndat encore une heure, une heure et demie, et en plus, logiquement, Emma va bientôt se réveiller Et il faudra faire une pause le temps de la nourrir, la changer et larecoucher, tu le sais ! Alors viens on s'en va de cette boutique ! »

Charlène jeta un œil desespéré aux bottes et finalement, pressée par le temps, elle choisit deuxième paire, celle sans lacets. Avant de se diriger vers la caisse. Chose étrange, dès que vous avez un landeau en main, on vous cède la place relativement facilmeent, surtout avec ces japonais, boien plus polis que les européens en règle générale. Elle paya les achats, offrit à sa sœur sa nouvelle paire d'escarpin et se retrouva dans le hall du centre commercial.

Les deux jeunes femmes regardèrent autour d'elle à la recherche de la boutique idéale pour acheter la robe quand quelque chose les prit de cours...une silhouette dont elles avaient du mal à se rappeler mais qui leur était paticulièrement familière. Ce fut Charlène qui la remarqua le premier, tambourinant alors du coude dans les côtes de sa sœur pour qu'elle la voit elle aussi. C'était sans doute une erreur, ça remontait à sept ans grosso merdo, mais bon, ele était restée la même ou alors elle avait un clone. Mais elle n'arrivait pas facilement à mettre un nom...rhaaaa...ça alllait lui revenir !

Poussant le landeau, Vilma prit les devants pour se porter à la rencontre de la jeune femme qui lui semblait familière. La jeune femme au cheveux longs qui lui tombaient au milieu du dos et vêtue d'un haut rose laissant apercevoir son nombril et d'un jean bleu délavé se frayait un chemin dans la foule présente, telle une nouvelle moise qui fendait les eaux, sauf que là où Moise avait utilisé un bon et grand coup de bâton, elle, elle usait de coups de coudes dans les côtes et dans l'estomac, c'était autrement plus efficace !

Charlène la suivit de lin, préférant fuir la foule, qui sait, si quelqu'un reconnaissait l'actrice qu'elle avait été, on allait lui mener la vie dure, notamment à cause des paparazzis, et elle préférait éviter surtout qu'elle ne pouvait pas courir se cacher pour la simple et bonne raison qu'entre ses talons et sa robe noire, courir était délicat, elle se serait retrouvée au sol avec un faramineux mal de chevilles ! Alors Vilma se chargea de tout.

« Euh excusez moi...pupu...euh Florence ? C'est toi ? Vilma, l'échange avec Munich au lycée ? Oh je savais que c'était toi ! »

Elle n'avait pas attendu la réponse pour lui sauter au cou, lâchant temporairement le landeau alorq u'elle embrassait sur les deux joues la belle blonde. Ce comportement était limite, il fallait le reconnaître. Mais elle était tellement sur d'elle ! Comment ne pasen être sur ? C'était forcément elle !

« Je ne savais pas que tu étais au Japon ! »

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Souvenirs souvenirs [Florence Delajoue]

Réponse 1 vendredi 05 octobre 2012, 08:50:16

Celui là ? Non ! Celui là peut être ? A moins que ce soit celui-ci ? Non surement pas ! Et pourquoi pas ? Non non et non il ne faut pas ! Je reposais encore une fois un maillot et soupira. Comment avais je pu me laisser entraîner là dedans ? Je ne vois qu'une seule explication c'est qu'ils ont préparé leur coup et que j'ai été le pigeon de cette histoire … Toujours en soupirant je regardant un autre maillot de bain et le repousse sans même chercher ma taille. Et si ça venait à se savoir au lycée ? Qu'est ce que les gens diraient ? Que je suis la professeur perverse qui pose en maillot de bain pour ses élèves ? Je soupirais une fois de plus et fermais les yeux un instant.

Tout avait commencé il y a une semaine. Les cours ont commencé depuis 3 mois, les élèves ne s'intéressent pas beaucoup au dessin je dois l'admettre, mais j'ai réuni chaque élève avec une fibre artistique et l'envie d'apprendre dans un club d'art qui a lieu tous les jours après les cours. En tout ça ne représente même pas 10 élèves, il n'y a que 4 filles et 3 garçons mais ils sont tous passionnés et volontaire. A l'approche des premiers contrôles important je leur ai proposé de supprimer le club la durée des révisions afin qu'ils se concentrent mais ils ont catégoriquement refusé. Quand j'ai entendu parler des tous premiers résultats dans la salle des professeurs et que j'ai entendu le nom d'un de mes élèves j'ai su qu'on courrait droit à l'échec et je me devais de réagir, alors j'ai décidé de leur en parler.

J'ai annoncé que le club d'art devenait un groupe de travail pour la réussite des examens et que j'allais les aider à réviser. Bien entendu ils ont fortement râler mais je suis restée ferme et je leur ai simplement laisser le choix, réviser ou partir et revenir après les contrôles, ils sont tous restés. Pour autant ce n'était pas du tout gagner, mes élèves n'étaient pas mauvais mais les études ne les intéressaient pas du tout, ils rechignaient beaucoup à la tache et les révisions n'avançaient pas forcément, certain jours j'avais même l'impression que nous reculions quand à notre travail. Un jour une élève finit par me dire que c'était trop dur car il n'y avait pas de récompense à la clef. J'essayais de lui expliquer qu'ils préparaient tous leur futur et que c'était important mais visiblement je ne les touchais pas. Un autre me dit que c'était trop loin, que c'était dur à l'imaginer, qu'il faudrait une récompense plus proche, c'est là que je fus piégée. Je fis la bêtise de leur demander quelle récompense pourrait les motiver. Un silence s'installa et je vis leurs yeux à tous briller, je sus qu'ils avaient déjà la réponse et je sentis un frisson remonter tout le long de mon dos. Ce fut une autre fille qui me dit :

« Vous poseriez pour nous Sensei », je restais un moment surprise mais hochais la tête en répondant.

« Bien entendu si cela peut vous aider à travailler, mais seulement après les contrôles et si tout le monde réussi », je pensais qu'ils allaient pousser des exclamations de joie mais un garçon enchaîna.

« Dans la tenue que l'on veut ? », j'en restais la bouche ouverte sous le choc de ce qu'ils me demandaient.

« Non non il ne faut pas exagérer, je pose pour vous c'est déjà bien », je vis la mine déçue qu'ils eurent tous alors et je sentis mon cœur se serrer mais je devais les empêcher de faire des bêtises.

« Dans ce cas ça n'a pas d'intérêt, si c'est pour que vous portiez la même tenue que d'habitude c'est comme si on vous dessinait maintenant », je fus surprise de la logique de cet argument ou de le trouver logique.

« Bon bon d'accord j'accepte, dans la tenue que vous voulez », cette fois cri de joie et chahut de la classe ce qui me réchauffa le cœur et me flatta, « mais attention il ne faudra le dire à personne et je ne pose pas nue », ils ont beaux être malin je pensais pouvoir facilement m'en sortir en les prenant de vitesse. Je vis bien qu'ils l'avaient espérés mais ce fut une autre réponse qui me surpris.

« Bien entendu Sensei mais nous choisissons alors en maillot de bain et nous vous donnerons l'adresse pour en acheter un », en maillot ? Après tout pourquoi pas c'est mieux qu'en sous vêtements et j'ai un maillot une pièce pour la natation qui est très sage.

« J'accepte, j'ai déjà un maillot ne vous inquiétez pas, pas besoin d'en acheter un »

« C'est à prendre ou à laisser Sensei, un nouveau maillot dans la boutique qu'on a choisi pour vous », je crois que c'est l'espoir que je lisais dans le regard de chacun d'entre eux qui m'a poussé à accepter en pensant que ça ne pouvait pas être bien méchant.

Seulement voilà ils ont tous travaillé ensuite d'arrache pied, je continuais à les aider, à faire des recherches avec eux mais je voyais bien qu'ils travaillaient maintenant après nos séances de révisions et même pendant les pauses déjeuners. Je commençais à m'inquiéter qu'ils réussissent en l’espérant en même temps, j'aimais bien ces jeunes et je voulais les voir réussir et assurer leurs avenirs. Quand les résultats arrivèrent je fus très heureuse de tous les féliciter et c'est avec une joie encore plus grande pour eux qu'ils me remirent l'adresse de la boutique. Me voilà dons ici, à chercher un maillot, dans ce qui est la boutique la plus sexy de la galerie commerciale. Ici l'on vend des dessous chics, transparents, affriolant, des robes légères, courtes, voir très courtes avec des décolleté avantageux ou outrancier suivant les points de vue, des robes de soirées au dos nu dont le découpage doit laisser parfois voir plus que le dos.

Moi je regarde des maillots depuis le début de l'après midi, l'heure de la fermeture approche et je n'en ai encore essayé aucun … Il faut dire que chaque maillot à quelque chose de sexy, limite indécent et que j'ai du mal à m'imaginer porter cela devant mes élèves. Que ce soit la copie du maillot de Borat, deux lanières partant de l'entre jambe, masquant à peine le sexe pour venir passer sur les seins, ne masquant sûrement pas beaucoup plus que mes tétons en passant par le bikini ultra mini, formait de trois petits triangles, une pour chaque sein mais pas assez grand pour le couvrir en entier et un pour le sexe mais qui va demander une épilation du maillot jusqu'au maillot une pièce très échancré sur le coté laissant voir les cotés de ma poitrine et qui de dos est un string ficelle remontant si haut que mes fesses sont entièrement nues, je n'arrive pas à trouver mon bonheur.

« Euh excusez moi...pupu...euh Florence ? C'est toi ? Vilma, l'échange avec Munich au lycée ? Oh je savais que c'était toi ! »

Lorsque je me retournais je me retrouvais nez à nez avec un fantôme de mon passé, comment était ce possible dans un autre pays ? Mais aucun doute possible, je n'avais oublié personne de cette époque de ma vie, encore moins Vilma qui avait vécu chez moi trois mois le temps d'un échange avec ma grande sœur et qui avait pris plaisir à m'appeler Pupuce une fois qu'elle eut découvert notre secret à Mélanie et moi. Elle me fis la bise avant que je ne puisse répondre, j'appréciais sa douceur et le plaisir qu'elle avait à me retrouver, on avait échangée des e mails jusqu'à ce que moi et Mélanie soyons découverte et j'avais alors perdu violemment le contact aussi avec elle, mes parents allant jusqu'à supprimer ma messagerie et tout mon carnet d'adresse.

« Je ne savais pas que tu étais au Japon ! »

« Je … Vilma ? Ça alors ! », j'aperçus sa sœur juste derrière elle avec un landau, « Charlène ? Ça me fait plaisir de vous revoir toutes les deux. », dis je sincèrement en souriant, « Laquelle est maman ? », demandais je curieuse avant de répondre, « Je suis ici depuis 4 mois, j'enseigne les arts au lycée de la ville », je captais le regard sur ce que je tenais en main, deux maillots de bain, je rougis instantanément, « Je prépare un cours sur un modèle humain et les élèves de mon club m'ont indiqué cette boutique pour acheter un maillot, j'allais faire un essayage »

Me revint en mémoire cette séance de shopping avec les deux sœurs, elles adoraient faire du shopping. Elles nous ont surprise avec Mélanie alors qu'elle me faisait essayer des jupes dans une boutique déserte … mais j'essayais les jupes entièrement nue dans le rayon. Je pensais au hasard encore aujourd'hui ne me doutant pas que Mélanie les avaient attiré volontairement sans leur dire bien entendu ce qu'elle trouverai en plus du shopping. Nous avons quitté cette boutique toutes les 4 et nue sous mon grand trench-coat marron je les ai suivi dans un café, Mélanie leur a tout raconté sur notre relation et leur à proposer de participer à l'après midi shopping si elles gardaient le secret. Pendant tout un après midi les trois filles ont joué à la poupée avec moi, me faisant déshabiller en plein rayon pour enfiler et parfois m'enfiler elle même différentes tenues. Pas une fois nous n'avons utilisé les cabines d'essayages si bien que je me sentis obligée d'ajouter.

« Dans une cabine bien sur », je rougis et enchaînais, « et vous que faites vous au Japon ? J'ai vu que tu es devenue une actrice célèbre, tu tournes un film dans le coin ? »

Charlene/Vilma

Re : Souvenirs souvenirs [Florence Delajoue]

Réponse 2 jeudi 11 octobre 2012, 12:51:52

Alors c’était bien elle ! Oui, c’était Pupuce… euh Florence !  Sans Mélanie Vilma trouvait que le charme de ce nom ne convenait plus ! Ou du moins cela gâchait le plaisir ! Elle trouvait que c’était étrange de voir l’une sans l’autre alors elle se mit à regarder à droite et à gauche comme à la recherche de quelqu’un, elle cherchait Mélanie du regard. Où était-elle ? D’habitude quand on voyait l’une, l’autre n’était jamais bien loin ! C’était un peu comme avec elle et Charlène au fond… mais la relation était tout autre ! Ouais, Charlène et Vilma ne couchaient pas ensemble ! Elles dormaient ensemble parfois, blotties l’une contre l’autre, mais ça n’allait jamais plus loin ! Oui, les soirs d’orage, le lit était plein, entre Emma et les deux filles…  enfin, peu importait dans le fond si elles le faisaient ou pas, ce n’était pas le sujet…

Rapidement, Charlène parvint à rejoindre sœur au prix de mains efforts pour fendre la foule avec le landau. Elle fit la bise à Florence avant de sourire jusqu’aux oreilles, une telle chance !  C’était rare de revoir une amie perdue de vue comme elle ! Même si elle appréciait beaucoup cette jeune femme, elle avait été plus proche de Mélanie et avait été tenue au courant d’à peu près toutes les séances de jeu de celle-ci avec Pupuce…

Mais la plus mémorable restait quand même cette fameuse fois où elles avaient tout découvert ! Non en fait, avec du recul, elles avaient fini par se dire que Mélanie leur avait livré tout cela sur un plateau d’argent !  Oui, elle avait tout fait pour que l’on surprenne Pupuce en position gênante ! Elles s’en souvenaient toutes deux très bien, d’avoir débarqué dans le rayon où se trouvait pupuce (en même temps dur de la manquer vu sa taille…) et avait surpris cet essayage sans cabine !  Elles avaient été surprises, ça on pouvait le dire ! Mais au final, elles n’avaient pas été choquées, surtout amusées ; et enchantées à l’idée de participer, bien évidemment.

L’après-midi avait été mémorable, c’était leur meilleur souvenir de France ! C’était passé très vitre, à elles trois elles lui avaient fait tout essayer ! Oui, si elles avaient acheté chaque chose testée, elles en auraient eu pour une vraie fortune ! Mais heureusement, ce n’était pas le cas !  Et elle se souvenait des regardes des personnes qui étaient passés par là, à la fois ébahis et intéressés… mais interdiction d’approcher où de toucher…c’était la période kick-boxing de Vilma…

A la question de maternité, Charlène leva légèrement la main, c’était elle l’heureuse maman ! Elle approcha aussitôt le landau pour que Florence puisse voir Emma qui dormait calmement pour le moment. Mis malgré la fierté de Charlène, l’ombre passa dans ses yeux quand elle pensa au père de l’enfant… elle chassa cette pensée tant bien que mal pour sourire à nouveau entendant ce qu’elle disait, ainsi, elle travaillait depuis quelques mois comme prof ici ! Elle en avait du courage…

Elle leur expliqua la raison de sa présence ici….pour des élèves…. Certes…. Elle était encore plus perverse qu’autrefois ou quoi ? Vilma sourit avant d’adresser un clin d’œil à sa sœur, les mots séances d’essayage ravivèrent leur souvenir… et elles savaient toutes les trois duquel elles parlaient ! Mais quand elle rajouta en rougissant qu’elle le faisait dans les cabines… là par contre l’(usine à méninge tourna à plein régime…enfin, surtout chez Vilma, bien plus vive d’esprit que sa sœur… cela voulait-il dire que Mélanie n’était plus là ? Etrange ! Elle avait du mal à imaginer l’une sans l’autre ! Elle posa alors la question.

« Ah ? Tu n’es pas avec Mélanie ? Dommage…elle est où ? »

Mais si Vilma pensait à Mélanie, Charlène s’était arrêtée sur le maillot de bain…mais c’était quoi cette horreur !  Elle n’allait tout de même pas mettre ça ! Beuark, terrible faute de goût, elle le fit d’ailleurs remarquer.

« J’espère que tu ne comptes pas acheter ça ! Ma pauvre je crois que tu vas avoir besoin d’aide pour trouver quelque chose de correct – et de décent –parce que ça…. »

« Moi j’aime bien… »

Pur esprit de contradiction des jumelles. Charlène retint la remarque acerbe qu’elle allait lui lancer pour se contenter de dire :

« Allez, zhou, j’ai rendez-vous dans trois heures sur le lieu de tournage et Emma n’a pas encore pris son repas !  On va tourner une scène sur le toit du lycée…. Dépêchons ! »

Elle poussa la jolie blonde dans la boutique… mais le contenu l’effara ! Niveau décence, il n’y avait pour ainsi dire pas grand-chose ! Voir rien du tout… pourquoi allait-elle dans cette boutique pour choisir parmi un choix des plus restreint… Vilma siffla, en montrant petit ensemble tellement court que sa sœur se détourna et cacha même les yeux de la petite qui dormait…

« En même temps c’est une boutique de lingerie sexy, pas un couvent… »

Vilma marquait un point là… mais ce n’était pas bien suffisant….. alors, une tenue pour la jeune femme…. Elle savait à peu près dans ses souvenirs ce que ça donnait avant, mais maintenant…. Bon, quels étaient les modèles qui la cachait le mieux ? A choisir entre intimité et poitrine, le choix était vite fait ! Elle regarda… et trouva quelque chose…. Une sorte de bikini pour le bas mais au final, elle le reposa, le modèle n’avait pour haut que le chapeau…

« Dis moi, c’est pour quelle occasion que tu dois choisir un maillot sexy ? Nouveau jeu de Mélanie ? Ou ptetre un copain ? Parce que sans savoir on peut pas t’aider à trouver le bon modèle ! »
« Modifié: mardi 13 novembre 2012, 00:58:40 par Charlene/Vilma »


Répondre
Tags :