Ce que Mélinda pouvait lire dans le regard de Sakura la fit sourire. Le désir... Brûlant, fiévreux, sincère et honnête. Elle semblait bien aimer la cyprine, et voir les jambes écartées de Mélinda semblait l’attirer. Sa culotte était mouillée, humide, laissant de grosses tâches apparaître. Oui, la Maîtresse était excitée, et Sakura vint glisser sa tête entre ses jambes. Un spectacle amusant, qui fit naturellement sourire la vampire. Elle vit la queue de la Taigâ se redresser, virevoltant de droite à gauche, tandis qu’elle posait ses petites mains chaudes sur les cuisses de Mélinda, s’y appuyant pour sortir sa délicate langue, et la promener sur le tissu.
« Haann... »
C’était bon, ces petits frottements. Ça l’excitait, tout en provoquant des espèces de chatouillements qui traversaient son être. La langue remuait le long du tissu, avide, rapide, inquisitrice, curieuse. Sakura s’imbibait de la mouille qui dépassait, et Mélinda était convaincue que, si elle était une neko, elle aurait ronronné avec fureur. Redressée, Mélinda l’observait, amusée, se sentant légère et étrangement euphorique en voyant cette Taigâ partir à l’assaut de sa fleur, la butiner avec sa langue, la boire et s’en imprégner. Elle avait l’air d’apprécier ça, et c’était bon à voir. Délicieux, même.
Sakura partait lentement, mais sûrement, à l’assaut de son intimité. Elle utilisa ses dents et son nez pour écarter le tissu, et Mélinda, de son côté, tendait une main pour lui caresser avec tendresse ses cheveux. Ses doigts frottaient ses oreilles, se glissant entre les deux triangles poilus pour gratter son cuir chevelu. Les Terranides, généralement, raffolaient de ce contact, et elle pensait que ce ne serait pas bien différent pour la belle Taigâ. Sakura lécha ensuite la peau de Mélinda, ne l’embrassant pas vraiment, se contentant plutôt de lécher. Elle sentait les dépôts de salive, les glissements rapides et humides de cet organe sur son corps. La Taigâ se fit encore plus aventureuse, comme si la cyprine de sa Maîtresse avait un quelconque effet aphrodisiaque, et s’aventura enfin à la source même.
Sa langue s’enfonça dans le corps de la vampire, qui en ressentit un frisson, et serra les poings, raffermissant ainsi très légèrement sa prise sur la belle chevelure de l’heureuse Taigâ. Cette dernière n’arrivait plus à se retenir, et prenait la fente de sa Maîtresse comme une espèce de bouteille, léchant et aspirant la cyprine, tout en se tortillant lentement sur le lit. Elle se régalait, la brave, sans s’arrêter, et finit, au bout de plusieurs minutes, par relever la tête. Même le bout de son nez était affecté de quelques taches blanches. A la voir ainsi, radieuse, les yeux dans les étoiles, Mélinda sentit une onde de plaisir et de satisfaction personnelle la traverser. Outre le fait qu’elle allait probablement lui rapporter un paquet d’argent, la vampire était tout simplement émue et heureuse de rendre l’une de ses esclaves si contente, si rassérénée. Mélinda n’était pas un monstre, après tout. Voir ses protégées heureuse était le meilleur des plaisirs qu’on pouvait lui faire.
« Haaa... Maîtresse... Votre c-cyprine est... Haaa... d-délicieuse... » lâcha Sakura.
Mélinda se surprit à légèrement glousser, avant de lui caresser du bout du doigt l’une de ses délicieuses joues.
« Je n’en doute pas, ma petite beauté... » lui répondit-elle rapidement.
La Taigâ mouillait. Mélinda pouvait le sentir, et cette image l’amusait encore plus, même si elle ne pouvait pas se débarrasser de son impression que quelque chose clochait. Les viols et les sévices ne semblaient plus la traumatiser tant que ça. Mentalement, oui, mais pas physiquement. Comme si son corps en avait été guéri, mais que son esprit en conservait encore les cicatrices. Mélinda caressa alors les deux joues de Sakura, frottant avec ses pouces ses lèvres, jouant tout simplement avec sa Taigâ, jusqu’à ce qu’elle lui pose une question :
« Est-ce... Est-ce que je... Haaaan.... Haaaaan... Fait t-tout bien.... Haaaan... Haaaan... c-comme il faut ? »
Devant cette question, Mélinda fit la moue, et attrapa Sakura par les aisselles, la soulevant aisément pour la coller contre son corps, le visage humide de Sakura finissant près du sien. La vampire, sans rien dire, posa une main sur la nuque de Sakura, et frotta avec son nez celui de la délicate Terranide, jouant avec la mouille qui était déposée dessus. Son autre main vint se glisser le long du dos de Sakura, longeant son corps fin et délicat, sensible et chaud, pour serrer l’une de ses délicieuses fesses. Elle se cramponna dessus, et embrassa alors le bout du nez de Sakura, avant d’aller empoigner la base de sa queue.
« Utilise ta queue, maintenant, Sakura... Tu te débrouilles très bien, alors, montre à ta Maîtresse comment tu utilises tes propriétés. Glisse ta queue dans mon intimité, imprègne-là de ma mouille, et nous la suçoterons ensemble. »
Elle avait donné ses ordres sur un ton bas, doux, et sensuel.