Apaiser la soif d'une Déesse [Myra]

« Où est-elle ?! Où est ma pute ? »

Tranchante, la question avait résonné dans tout le temple, exprimant la colère de l’Ombre. Où était-elle ? Où était-elle ?! Sha s’était réveillée dans son énorme lit, un lit en forme de demi-cercle, suffisamment grand pour contenir cinq ou six personnes, mais n’avait pas senti la présence de sa courtisane personnelle. Sa belle et délicieuse Myra, la sorcière rose envoûtante. Or, en ce jour, Sha avait ses humeurs. Les deux femmes avec qui elle avait dormi cette nuit n’avaient pas pu assouvir la soif de sexe de la Déesse. La Déesse avait après tout un corps d’humaine, et ce corps avait parfois des chaleurs... Comme en ce moment.

Myra n’était toutefois pas là, et elle seule avait les moyens de vraiment la satisfaire. Sha restait dans son lit, et avait ordonné aux gardes de retrouver Myra, utilisant sa magie pour la repérer. Toutes ses sorcières étaient après tout liées à l’esprit de la Déesse, ce qui permit de la repérer dans la principale ville de son fief, dans la maison d’une sorcière. Inutile de se méprendre sur ce que Myra faisait dans une telle chambre. Elle ordonna à deux des soldates d’élite de sa Garde divine d’aller immédiatement la rechercher. Les deux femmes obtempèrent sans discuter. Comme toutes les femmes de la Garde, elles avaient voué leur vie à Sha.

*Oser forniquer pendant que je suis en transe... Tu me paieras ça, Myra !*

S’aidant de leurs chevaux, les deux soldates rejoignirent rapidement le village en question, et s’arrêtèrent devant la maison de la sorcière, ouvrant la porte d’entrée après avoir brièvement tambouriné dessus. Sha leur avait ordonné de lui amener Myra sans plus attendre, et sans traîner. Les civilités pouvaient donc attendre. Dans le salon de la maison, un homme était en train de nettoyer, et prit peur en voyant les femmes de la Garde divine. Elles n’hésitaient pas à frapper les hommes qui leur manquaient de respect, et il indiqua donc rapidement que sa femme se trouvait à l’étage. On pouvait de toute façon entendre ses hurlements de plaisir.

« Haaaa ! Ohhhh, aaaahhhhh, encore, ouuiiiiii, ENCORE ! »

L’homme expliqua, les joues rouges, que ce spectacle durait depuis une heure. Les femmes montèrent l’escalier en bois, trouvèrent la chambre, et ouvrirent la porte. La chambre de la sorcière était ravagée. Un oreiller gisait par terre, un fauteuil avait été renversé, et la moitié de la couverture était par terre, avec des gobelets en or qui gisaient par terre. La sorcière était au milieu du lit, sa tête basculant à moitié dans le vide, alors que Myra se tenait sur elle, semblant la perforer au milieu d’édredons et d’oreillers. Son dos avait été griffé, répandant des traînées écarlates, et une forte odeur de sexe et de sueur vint agresser les narines des deux soldates.

« Sa Déesse souhaite instamment recevoir sa... Sa ‘‘pute personnelle’’, pour reprendre ses propres termes. »

Les soldates parlaient d’une voix dure, comme si ce spectacle les laissait indifférentes. Elles hésitaient à intervenir, sachant que Myra n’aimait généralement pas qu’on la dérange. Néanmoins, la Déesse avait été claire sur ce point, alors, à choisir entre la colère d’une « pute » et celle d’une Déesse, le choix des femmes était vite fait.

Myra avait un emploi du temps très chargé, en effet la vie d'une prostitué est vraiment bien remplie, surtout une pute du niveau de Myra avec sa réputation il faut dire aussi que seule les personnes à la situation aisé pouvaient demander ses services... La jeune femme était donc dejà au travail depuis quelques heures, la moitié de ses rendez-vous étaient fais. Et à vrai dire elle était encore en plein travail, en ces lieux afin de satisfaire les besoins plus que gourmand d'une femme au foyer. C'est alors qu'elle fut interrompu en pleine acte par deux gardes du culte de sa Déesse tant aimé, pire encore, au même moment elle eu un orgasme, et le fait d'être vu par d'autres personnes ne la gênait en rien, non, sa l'excitait ce côté d'exhibition. Alors comme sa, sa Sha d'amour voulait enfin la voir ? Il faut croire que l'ombre n'avait pas trouvé d'amante aussi doué que Myra, d'ailleurs il ne devait sûrement pas exister une personne aussi doué qu'elle, et ce dans  le monde entier. Myra usa donc de sa magie rose pour relâcher ses spores, afin de rendre les gardes plus douce avec elle, elles pouvaient sentir une odeur de rose, signe qu'elles étaient dejà sous son charme. Elle dit alors:

"Je met mon chandail et je suis à elle !"

La jeune prostitué se retira du corps de la jeune femme tremblant encore de son dernière orgasme, la pute et la femme était humide de sueur, une odeur plutôt excitante ! Myra vint alors chercher son chandail dans le tas de coussins pour l'enfiler rapidement, son petit chandail noire mais aussi un peut transparent afin de laisser une vu sur sa poitrine, elle ne portait rien d'autre et sa ne changerait pas ! Elle se mit alors en route vers le palais de sa Déesse, en compagnie des deux gardes sous son contrôle ou du moins juste assez pour qu'elles ne tentent rien contre elle. Myra était dejà arrivé au palais de sa belle allant directement à sa chambre, elle la vit alors dans son lit, la pute avançait d'un démarche très sensuel pour arriver au lit, venant prendre l'ombre dans ses bras, lui donnant quelques coups de langue sur la joue, pour venir entourer sa taille de ses jambes:

"Tu as demandé ta pute ?"

Les joues rougissantes des gardes les trahirent. Elles faisaient partie de l’élite de la Garde de Sha, justement parce qu’elles étaient aptes à rester professionnelles et de marbre. Mais rester de marbre face à Myra, c’était... C’était tout simplement impossible, et cela même pour des gardes d’élite. Pourtant, elles tâchèrent de conserver leur distance avec Myra, tout en sachant que, si jamais cette dernière tenterait de les faire succomber, elles ne pourraient éternellement résister. En dernier recours, elles s’abriteraient derrière la menace d’user de la force sur elle, mais, pour Myra, ce serait plutôt comme un encouragement à persister qu’un frein à ses ambitions. On la laissa donc « s’habiller ». Laissant une sorcière complètement épuisée, Myra enfila un léger chandail noir. Avec la sueur qui suintait sur son corps, ce dernier ne tarda pas à épouser ses formes, et à ne rien cacher. On voyait clairement la forme de ses seins, et ce fut ainsi qu’elle sortit, sans se donner la peine de se vêtir plus amplement. Fort heureusement, la région présentait un climat assez tempéré.

Tout en sortant, les gardes, restant derrière Myra, observèrent son joli fessier rebondi. Son tatouage en forme de papillon épousait à merveille le sommet de son agréable postérieur, et elles suivirent silencieusement la femme. Dans la rue, Myra s’attira naturellement des commentaires. Ils n’étaient nullement désobligeants, plutôt rieurs et songeurs. Myra était connue dans ce comté, vu qu’elle avait bien du coucher avec la moitié des sorcières. Les enfants la regardaient silencieusement, curieux, les mères en jalousant cette paire de hanches, et les vieilles mères qui époussetaient le palier de leurs portes en grognant devant l’écoulement du temps. Myra était un peu l’attraction locale, et même les patibulaires Orcs, quand ils venaient en ville pour faire des patrouilles, et devaient se retenir de ne pas casser quelque chose, déglutissaient devant cette beauté.

Myra retourna dans le temple, et les deux gardes la suivirent jusque devant les quartiers privés de leur Déesse. Sauf autorisation de sa part, celles-ci n’avaient nullement le droit d’entrer, et c’était, à bien y réfléchir, tant mieux pour elles. Cette promenade dans le village avait mis leurs nerfs à rude épreuve. Sha, quant à elle, avait senti sa petite Myra venir, et elle ne fut pas déçue. Son corps était encore marqué par sa nuit de plaisirs. Elle était rouge, avec une peau qui semblait presque huilée, et une odeur qui était un subtil mélange de cyprine, de sexe, et de sueur. Pourtant, même malgré cela, Myra conservait une certaine allure digne. Ses cheveux étaient bien coiffés, et son regard ne témoignait d’aucune fatigue.

*Elle est admirable... Une digne pratiquante de la magie des passions, la magie rose.*

La magie rose, la magie du désir, était une magie assez peu reconnue. Les académiciens la plaçaient généralement comme une sous-branche de la magie rouge, mais, s’il n’y avait que des pratiquantes comme Myra, personne n’aurait l’audace d’appeler ça une « sous-branche ». Myra alla sur le grand lit. Nue, Sha était allongée au milieu, offrant la vue superbe de son corps, et sentit son désir naître. Myra lui donna un coup de langues sur la joue, et se glissa contre elle, enroulant ses jambes autour de sa taille. Myra se présenta, et Sha eut un léger sourire.

Corps collé au sien, elle tendit un doigt pour caresser les lèvres de Myra, et répondit rapidement, leurs seins se caressant :

« Hum... Cette nuit, je suis revenue d’un long voyage pour découvrir que mon lit était froid, et pour réaliser que, pendant que je dormais seule ou presque dans mon grand lit, avec de jeunes servantes trop timides et trop respectueuses de ma divine personne pour réussir à me satisfaire pleinement, toi, tu étais en train de t’amuser comme une folle avec une sorcière. »

Sha faisait la jalouse, jouant à ce jeu auquel Myra aimait bien se présenter. Elle enfonça son doigt dans la bouche de Myra, le remuant d’avant en arrière, l’enfonçant profondément, tandis que son autre main allait caresser l’une des seins de sa sorcière. Elle pinça son téton, avant de glisser ses doigts sous cette délicieuse masse de chair. Ses doigts s’enfoncèrent légèrement dans cette chair tendre et humide, couverte de salive et de sueur.

« Je t’ai entendu, ma petite cochonne... Je t’ai entendu hennir de plaisir tandis que cette femme te procurait un plaisir vif. Je te voyais jouir comme une folle, je la voyais mordre dans tes délicieux seins tandis que tu la recouvrais de ta semence blanche. J’ai ressenti... Une frustration divine, ma petite pute, alors, pour ça, laisse-moi te dire que... »

Sha retira alors son doigt, et poussa Myra, l’envoyant tomber sur le sol, devant elle. Sha la retourna, et fit sortir son membre. Un pénis jaillit d’entre ses cuisses, et elle força Myra à se mettre à quatre pattes. Ses fesses étaient déjà bien dilatées, et elle s’enfonça donc dans son cul sans attendre plus longtemps, avant de donner une magistrale gifle sur son postérieur :

« Je ne vais pas te ménager, ma salope ! »

Myra se laissa aller par sa Déesse, venant accueillir son énorme verge dans son anus très tendre, Sha pouvait sentir une douce fraîcheur lui caresser la verge, en effet, son anus jutait dejà depuis un moment, de plus dilaté comme il l'était... Elle gémit avec force, de sentir son petit fessier ainsi traité, c'était sa plus grande fierté, d'avoir un corps parfait... Mais elle ne pouvait pas en vouloir à Sha qui tenait tellement à calmer son envie de sexe avec elle. La pute se laissa aller à cette prise, reculant rapidement pour frapper son fessier contre le bassin de sa Déesse, rapidement une sorte de jus anal coula de son anus, éclaboussant les deux femmes à chaque coups. Elle avança à quatre pattes, voulant jouer, faisant ressortir le membre de l'ombre, avançant encore, subtile, lentement, d'une sensualité sans égal, ses fesses bougeant très lentement devant sa belle. Myra se retourna masturbant la verge de Sha avec ses deux pieds, très lentement, afin de rendre l'ombre totalement folle. Elle s'empala rapidement mais brièvement venant lever son bassin après cette pénétration:

"Il ne faut pas que me convoiter ! Il faut agir ma Sha !"


Myra se redressa entama une petite danse sensuelle devant sa Déesse. La pute voulait atiser l'appétit de sa belle, venant se pencher en avant tout en remuant ses fesses juste sous son nez. La pute colla son fessier contre le visage de sa Déesse, afin de lui faire sentir de plus prêt à quel point son corps était brûlant d'envie pour elle.

Myra était indéniablement une belle petite salope. Sha ne pouvait que l’avouer. Toute autre analyse serait erronée. Sha n’arrivait même pas à la sodomiser, c’était Myra qui se faisait sodomiser ! On ne pouvait qu’admirer la résistance de cette femme. Certes, elle était praticienne de la magie rose, mais l’Ombre était bien placée pour savoir que la magie ne faisait pas tout, a fortiori avec la magie rose. C’était l’une des magies les plus physiques, car elle était très liée aux plaisirs physiques. Myra avait fait l’amour toute la nuit, et, la connaissant, elle n’avait pas du faire l’amour de manière très douce. Non, ça avait plutôt du être long, intense, et particulièrement ardent. La connaissant... Sha eut un léger sourire en la voyant agir, remuant son corps le long de la belle queue de la Déesse. Elle aurait pu faire grossir son membre, l’allonger, mais ça aurait été inutile. De cette manière, Myra se déhanchait près d’elle, et elle n’en demandait pas plus.

Cette dernière se mit à lui faire une petite danse sensuelle, très proche du corps. Ne réalisait-elle donc pas déjà à quel point sa Déesse était déjà excitée ? C’était tout à fait le style de Myra de continuer à la narguer, à la provoquer, afin que l’Ombre soit encore plus violente et passionnelle dans ses actions. Elle avait toujours ainsi comme ça, en la narguant et en la titillant, en étant volontairement très obscène et vulgaire. Elle avait toujours été comme ça. Dans un sens, il était sans doute préférable qu’elle ne se rappelle plus de ses anciennes existences, et des choses qu’elle avait pu faire... C’était sans doute préférable. Sha eut un léger sourire en entendant Myra la narguer. Oui, elle pouvait le faire... Sha le lui autoriserait.

« Oh, mais ne t’en fais pas pour ça, je compte bien agir... »

L’Ombre tendit une main et attrapa les fesses de Myra, les pressant tendrement avec ses ongles griffues. Elle raclait cette belle peau propre et douce, et approcha ses lèvres, glissant sa langue dans son fondement, léchant cette raie humide. Elle pressait ses fesses, et poussa alors Myra, l’envoyant s’étaler au milieu de son gros lit, où Sha alla ensuite la rejoindre. Le sexe de la Déesse pointait fièrement, tige de chair gonflée qui la faisait souffrir. Elle s’avançait sur le lit, et se rapprochait de Myra, allongée sur ce dernier.

« ...Mais je veux voir si tu n’es pas trop épuisée avant ça. Tu as baisé comme une folle toute la nuit, après tout, et mes gardes ont du t’extirper du corps de cette sorcière que tu continuais à prendre... Montre-moi que tu es encore énergique... »

Sha la défiait également. Elle savait parfaitement que Myra pouvait encore faire l’amour. Elle était particulièrement infatigable au lit, et était l’une des sorcières les plus compétentes dans le domaine de la magie rose que l’Ombre connaissait... Ce qui n’était pas peu dire. Elle enchaîna donc, sa queue se redressant lentement.

« Utilise tes seins pour m’exciter, Myra... Et ta bouche pour me sucer... Sois digne de la petite pute que tu es à mes yeux, et je m’occuperai de ton corps comme il le mérite... »