Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Refectoire

un petit jeu ? Qui sait...[Pv Ayame]

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Gabriel Valmy:
« Et voici ce qui conclue mon intervention...je vous remercie de la pêtite portion de votre inattention que vous m'avez offerts....c'était charmant de votre part.... »

Intérieurement, là, Gabriel se disait qu'hormis quelques beautés, cette classe était remplie de merdeux. Il éteignit le vidéoprojecteur et attendit que tout le monde soit sorti de la salle pour faire de même admirant au passage la belle série de paires de miches qui sortaient... allêchants...dommage que ce soit un peu compliqué...ça aurait du l'être jusqu'à ce que le professeur lui dise que si il le désirait, il pourrait mander au self de l'établissement, ce quia rrangeait bien notre cher gabriel, se placer au milieu de toutes  ces belles paires de gambettes qui ne connaissaient sans doute encore rien à l'amour, rien au plaisir,  si seulement il pouvait avoir gagné sa journée avec un bon coup...mais pour le moment rien. Et dire que c'était une vengeance de la part de la commissaire cette intervention...

Il se dirigea alors vers le self pour manger, se mêlant  aux étudiants, jouant des coudes comme tout le monde, sauf que lui, on s'écartait et ça marchait. Le self était bondé quand il parvint dans le réfectoire, il y avait une table de libre, une seule malheureuse table, encore vide, ou du moins non, il y avait juste trois petites places, une pour lui, une pour son compagnon de toujours, monsieur berreta neuf millimètres, et une autre pour son égo.... cette table était au fond de la salle, face à la sortie, il s'y installa, prenant la place du milieu, celle qui emmerdait le plus souvent les gens, tranquillement, avant de manger ce qui était dégoutant, très clairement...

Si seulement quelque chose pouvait se passer, quelque chose qui mettrait du beaume au cœur de sa journée, uelque chose d'amusant, d'excitant, ou du genre à vous dire ue cette journée s'était bien passée, mais là, rien....rien de transcendant, même pas un courant d'air à faire voleter une jupette...

Puis là, ce fut le ponpon, un espèce de geek qui vnt squatter la place de droite, il se décala machinalement d'un rang, alors que le geek, bien gras, était en train de commencer à l'entretenir de la dernière mise à jour d'il ne savait plus trop quel jeu.

Et pendant ce temps, le self ne désemplissait pas...

Ayame Tachibana:
Quand Ayame entra dans le self surchargé, l'odeur de nourriture emplissa ses poumons: elle voulait trouver une place et vite. Elle sentait le regard des gens, en particulier des élèves masculins regarder avec plaisir son corps au formes rebondies. Sous son uniforme de lycéenne, sous sa courte jupe plisée, elle se sentait comme humilliée, mais elle avait besoin de quelque chose. Au fond d' elle elle le savait.
Mais soudain, Ayame croisa de Regard de Mr Valmy, qui venait de parler de la sécurité dans d'autres classes. Elle ne pouvait s'empechait de rougir, de baisser les yeux... Il ne trouvait lui aussi pas de places. Elle vit soudain un petit garçon grassouillet, au physique de geek, qui... qui se leva, et laissa à présent deux places de libres.  Elle s'asseya, mais laisa échapper un petit cri étouffé: Un courant éléctrique intense circula dans son corps: Elle vit la pointe de ses seins durcir et elle sentit sa culotte mouiller et s'enduire de liquide séminal. Sa vulve, son vagin s'ouvrait peu à peu, pour former un orifice, tout comme son anus. Ayame Haletait, puis elle vit Gabriel s'assoir a coté d'elle...

Gabriel Valmy:
Gabriel avait envoyé une très légère dose de courant, à peine plus qu'une chatouille vers la jeune fmme qui venait de s'asseoir à ses côtés. Le petit cri étouffé et les halètements firent se retourner Gabriel vers elle de manière franche. Elle était dans un sacré état juste après cela, il ne fallait décidément pas grand chose à la midinette. Il avait trouvé son divertissement de  la jouréne, la chose qui faisait qu'il apprécierait cette journée.

Doucement, il posa sa main sur son épaule avant de donner un nouveau petit choc électrique, il avait bien l'intention de la faire saliver, et jouir, juste avec ses courants, et au pire, il lui restait toujours le reste (son propre corps et toutes ses extrémités.

« Vous allez bien mademoiselle ? »

Ce faisant, il envoyait un nouveau petit choc, toujours légrement plsu fort que le précédent, il voulait entendre un vrai petit cri...

Ayame Tachibana:
En entendant ce que lui disait Gabriel, Ayame s'appretait à répondre mais une secousse plus violente parcoura son corps.

"oui je vais... ahh"

une légère sueur recouvrait sa peau. Sa chemise blanche collait sa poitrine en sueur et Ayame ne portait pas de soutien-gorge on pouvait voirt ses seins bouger a chaque mouvement .Elle cria et par reflexe, la jeune se plaqua une main contre sa bouche.
Ayame pensa, affollée:

"Que m'arrive t-il ? je ne voudrais pas qu'on me voit comme cela !"

Ayame voulait toujours faire bonne impression. Elle ne voulait pas qu'on pense que c'était une perverse ou quoi que ce soit. Mais parfois, elle était obligée de vivre sa vie sexuelle. Alors elle se livrait à des hommes qui avait eux aussi besoin d'elle. elle se laissait piéger si facilement... Sous ses airs de jeune fille innocente, elle cachait ses envies... Et C'était une jeune fille innocente...Sous le coup de l'excitation, Elle tomba entre les jambes de Gabriel: elle sentit que quelque chose gonflait sous le pantalon de l'homme.
Mais à présent, tous le monde la regardait, elle, à moitié nue, la cullotte et le corps trempé de sueur et de liquide séminal.

Gabriel Valmy:
Il al réceptionna alors qu'elle tombait, et discrètement, il passa sa main contre sa poitrine et lui envoyant une nouvelle décharge au niveau du téton, le tissu tant rarement un bon isolant, il serait intéressant de constater comme cela devait faire son petit bout de chemin.... Puis , comme elle était sur lui, il lui pinça le téton et envoya encore une décharge.

« Vous êtes sur de bien aller, mademoiselle ? »

Il avait dit cela en la prenant par les épaules, jouant cette fois avec de miniscules arcs électriques qui venaient lui picoter la peau alors qu'il la redressait pour qu'elle se rassoit comme il fallait, trempant son siège si besoin était avec sa mouille, il lorgnait sans se cacher la poitrine au travers de tissu collant à son corps.

« Allons, calmez vous et remettez vous à manger, cela vous feras du bien. »

Il lui tapota le dos, sans l'électricuter cette fois...

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