Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

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Marie Raven

Créature

Marie était depuis quelques jours dans sa nouvelle demeure, ici, à Seikusu. Une maison un peu trop grande pour elle seule. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'elle n'appartient pas vraiment à Marie, c'est plus un logement de fonction que lui à fait construire le Professeur X. Si le leader des X-men lui a conseillé d'aller là bas, ce n'est pas sans raison. La ville regorge de faits surnaturel dont Charles Xavier pense être d'origine mutante. Malicia à accepté, en échange de son autonomie, d'aider à trouver les mutants qui pourraient avoir besoin d'aide et de les orienter vers l'institut si les concernés désiraient trouver un refuge pour apprendre à maîtriser leurs pouvoirs. La demeure dispose donc d'installations ultra modernes et de divers gadgets.

Ses amis étaient vénus pour l'aider à arranger la nouvelle maison. Il faut bien l'avouer avec tout leur pouvoirs réunis, la chose devenait simple au possible et d'une rapidité inégalable. Pour les remercier, Marie avait fait une pendaison de crémaillère hors norme. Musique à fond de train, boules à facettes à gogo et chant désordonnés avaient réussi à faire de l'endroit une véritable boite de nuit. Aucun son ne put cependant sortir hors des limites des murs du bâtiment. Il est pratique d'avoir des gens capable de calfeutrer un endroit pour que nul bruits  ou lumière ne sorte de lui. Ils s'étaient tous bien amusés lors de cette fiesta qui servait également d'au revoir aux amis de Malicia.

La fête terminée, tout le monde s'en fut, laissant Marie seule pour réparer les dégâts. Faire le ménage faisait partit de la vie banale à laquelle aspirait la mutante. C'était pas le plus jovial ceci dit. De plus Marie avait une fâcheuse tendance à remettre au lendemain ce genre de choses ennuyeuses. Mais en ce qui concerne cette soirée, Marie doit faire un effort pour rendre vivable son nouvel endroit de vie...mais demain matin. La jeune femme se réveilla assez tôt pour faire le rangement qu'elle s'était promit de faire. Mine de rien, cela lui prit toute la matinée et une bonne partie de l'après midi. Heureusement, elle ne passait pas tout ses jours de congé comme ça : Nettoyer, Balayer, Astiquer...

Dès lors que la maisonnette fut propre, il ne restait plus qu'à remplir le frigo qui était si vide qu'il donnait l'impression d'être triste. Elle dut se résoudre à sortir malgré le froid qui régnait à l'extérieur. Elle pensa en premier lieu à aller prendre une douche, minimum vital après avoir croulé sous la poussière. Ce fut expéditif, elle prendra soin d'attendre que la vapeur d'eau ai le temps de remplir la pièce pour faire un arrêt sur image. Elle enfila une combinaison totalement noire, dans un cuir  moulant à la perfection son corps. Une combinaison qui lui permettrait de résister au froid et surtout qui lui servait lorsqu'elle utilisait sa moto. Une moto spécialement conçu pour elle et dont le jeune femme aimait se servir en toutes occasions plutôt que d'utiliser son pouvoir de vol. Dire que cela était pour être plus discrète pourrait faire sourire quand on voit le bolide. Des engins comme ça, nul doute que Seikusu ne devait pas encore en avoir vu. Cependant, ça reste plus...normal. Malicia enfila enfin son casque et appuyant sur la commande d'ouverture de la porte du garage, elle démarra en trombe pour se diriger vers le centre commercial.

Elle adorait la sensation de vitesse que lui procurait sa moto, une impression de danger aussi, l'adrénaline qui monte et qui se déverse dans les veines. Un interlude bien sympathique mais qui fut  au goût de Marie un peu court. Arrivée devant le supermarché, elle gara sa  moto sur le trottoir, là où l'on devait mettre les deux roues. Elle ne prit pas la peine d'attacher son bolide, elle souhaitait bien du courage à celui qui tenterait de lui voler et encore plus à celui qui ferrait un tour avec. La bête était livrée avec un système sophistiqué d'anti-vol et un démarrage par reconnaissance vocal. La mutante défit son casque qu'elle garda en main et elle se dirigea vers l'entrée du magasin. Une fois à l'intérieur, elle constata la différence de température entre le froid extérieur et la chaleur intérieur. Elle abaissa la fermeture éclair de sa combinaison jusqu'à ce que la décence lui dise d'arrêter, c'est à dire, à la naissance de son décolleté. Elle posa son casque à la consigne pour ne pas être encombrée, prit un panier et s'aventura dans les rayons.

Comme madame tout le monde, elle s'était faite une liste de ce dont elle avait besoin. Il y avait bien entendu les choses de première nécessité comme de l'eau ou de l'huile, mais aussi pas mal de choses dont elle n'avait pas besoin, notamment des confiseries et des gâteaux ! Et puis après tout, c'était pas comme si elle avait un souci de poids, souci qu'elle n'aura probablement jamais grâce à sa génétique si spécifique. C'est donc avec entrain qu'elle commença à remplir un lourds panier qui fut bientôt plein à craquer, sans que la jeune femme ne peine à le porter. Il ne lui resta rapidement qu'une dernière chose à prendre. Une dernière chose complètement futile mais qu'elle adorait. Dans le rayon où devait se trouver l'objet de toute ses convoitises, elle put constater que le produit était en plein milieu et surtout, qu'il n'y avait qu'un seul paquet. Ouf ! Elle s'avança rapidement vers celui ci, ce paquet de Kinder Bueno (Et wai !)qui l'aguichait de loin. D'ailleurs, elle ne voyait plus que cette friandise le reste devenant un flou artistique pour ses yeux.

Elle y était, touchant au but. Il n'y avait plus qu'un seul paquet, et il était à elle ! Elle attrapa l'extrémité et son bras se replia pour mettre son trésor en lieu sûr, dans son panier...




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Je me sentais comme Indiana Jones face au Saint Graal, les gars.
Le Saint Kinder me tendait les bras, délaissé dans son rayonnage. Il semblait en danger et mon instinct de héros costumé me criait qu'il fallait le sauver de cette solitude dévorant afin de l'amener chez moi, parce qu'il était le dernier de sa famille et parce que j'adorais plus que tout manger un foutu Kinder Bueno en regardant un bon gros blockbuster à l'américaince et que je m'étais prévu une soirée par-faite, à tchater sur le net avec quelques filles devant un bon gros film bourré de testostérone, la bouche pleine de Kinder.

En bon célibataire endurci, j'avais dû remplir les placards que j'avais consciencement vidé au cours des semaines passées. Mes pleins étaient conséquents et j'étais peu souvent chez moi (super-héroïsme oblige) mais comme tout, ça finissait par diminuer. Je n'aimais pas faire les courses, mais je n'arrivais pas à me faire livrer par internet. Le japonais écrit, j'avais encore pas mal de difficultés... Et puis, ça me faisait sortir un peu, ce qui me permettait de voir quelques filles et de scruter la une des journeaux à la rechercher d'articles parlant de moi. Bon, d'accooooooooord : c'était très prétentieux. Mais agréable pour l'égo ! Je m'étais donc rendu en vélo jusqu'au supermarché le plus proche de mon quartier, admirant au passage une superbe cylindrée me passer devant. Et vu les courbes moulées dans la combinaison de cuir juchée dessus, la pilote valait bien le coup d'oeil aussi. Plus que sa machine, d'ailleurs !
Hop, j'avais attaché mon deux-roues tout à côté de la moto que j'avais admiré un moment avec un petit sifflement admiratif, me disant que j'allais faire exprès de croiser sa conductrice dans les rayons. Mes hormones ne pouvaient pas laisser ce que je soupsonnais d'être un canon, tout de même ! Armé de mon panier, de mes grosses lunettes et de mon tee-shirt "Empire du Nichon" porté en sus de mon éternel jean délavé et de mes Converses d'un autre âge, je m'étais élancé dans les rayons et avait entamé la torture qu'était un passage complet au supermarché.
Et alors que ça touchait à sa fin, je réalisais que j'avais zappé l'essentiel : mes Kinder Bueno ! Filant à travers les rayons, je braquais mes yeux dessus avant de lui fondre sur la tronche comme un aigle en chasse. Rivé sur ma proie, dernier de sa portée, je ne voyais plus que ça et refermait mes doigts dessus au moment où d'autres m'imitaient, si bien que le Kinder se retrouva tiré dans deux directions différentes.
Donc, c'était la guerre.


Mes yeux bleus se posèrent dans les siens après avoir remonté son bras. Ce regard dur et impitoyable que je servais aux malfrats qui me tombaient sous la main, annonce d'arrivage de grandes tartines dans la gueule. Fi qu'elle soit super bonne et roulée comme dans mes fantasmes pervers, elle voulait me taper mon Kinder et me priver de mon plaisir du soir. Et personne ne s'opposait à Sentinel Prime !

- Je l'ai vu le premier.

Bam, tout y était ! La voix sèche, le roulement de muscles, le regard de bad boy. J'aurais eu un colt à la ceinture, j'y aurais porté la main dans une provocation en duel sur la rue principale de la ville. Manquait plus qu'un air d'harmonica, tiens.
Nana ou pas, je ne lâcherais rien et d'ailleurs, je tenais toujours le Kinder, de mon côté.


- Prenez un aut' paquet.

Marie Raven

Créature

Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 2 dimanche 27 mai 2012, 18:09:14

Sa main toucha le Saint Graal et se vit happée dans une toute autre direction que son panier. Qu’est-ce que ce foutu paquet était en train de faire ? Fuir ? Non impossible, y’avait forcement une autre raison et cette autre raison se trouvait au bout des Kinder. Les yeux de Malicia remontèrent le long du bras pour ensuite se poser sur ce qui était  un visage d’homme. Et quel homme ! Elle nota tout de suite la carrure d’athlète…un sportif sans aucun doute. Par contre…c’était quoi ce T-shirt, hum ? Elle aurait pu continuer de mater ouvertement mais elle avait d’autre chat à fouetter. Et puis attend un peu, il n’allait pas lui piquer le dernier quand même ? Mais si ! Il tirait vers lui le bougre…pire, il lui énonçait clairement, sans honte ni vergogne que le chocolat était pour lui. Macho va ! Et puis vas-y que je te mens en disant qu’un autre l’attendait sagement sur l’étal.

- J’crois pas non ! C’est le mien…je l’ai saisi avant vous !

Et pour couper court à toute argumentation, Malicia tira d’un coup sec sur la pauvre confiserie qui n’avait rien demandé. Elle usa de façon fourbe d’une pointe de force mettant ainsi toutes les chances de son côté pour récupérer son bien. C’est ce qui aurait dû se passer, n’importe quel type un tant soit peu normal aurait lâché la chose sous cette impulsion. Sauf que là, ça ne se passa pas du tout comme ça. Le paquet craqua et la mutante se retrouva bon gré  mal gré avec une moitié de Buenos dans la main. Il ne fut pas difficile de comprendre que l’autre bout était dans les mains du super héros. Voilà, il était fichu, comme ça personne ne pourrait en avoir…ils avaient fait comme dans la pub, un partage mais un mauvais partage. Excédée, la jeune femme se vengea sur son opposant.

- Non mais vous avez vu ce que vous avez fait ? Vous pouvez être fier…

Mauvaise foi incarnée ! Elle le savait parfaitement  mais elle n’a pas l’habitude de reconnaître ses erreurs. Elle soupira s’attendant  à un reproche du vis-à-vis qui ne devait pas non plus être ravi. Ce fut un  « hum hum » bien toussé qui se fit entendre. Malicia tourna lentement la tête vers l’origine de ce bruit, prête à fustiger cet emmerdeur qui venait déranger un échange passionnant. Ses yeux se posèrent sur un japonais d’une trentaine d’année à la coiffure parfaite. Elle devina en voyant qu’il portait un uniforme qu’il faisait partie des employés. L’homme n’était lui non plus pas très heureux de ce qui était en train de se passer. Le Kinder Bueno arraché représentait une perte pour le magasin. C’était minime, bien sûr, mais lorsqu’on considère que plusieurs personnes cassent ou volent le chiffre d’affaire ne s’en allège que d’avantage.

L’homme se mit alors à vociférer à l’encontre des deux jeunes gens. Pour éviter les ennuis, Malicia décida de littéralement s’enfuir. Elle posa son morceau de paquet dans les mains de son ex ennemi et le pointa du doigt.

- C’est de sa faute !

Elle n’attendit pas plus longtemps et fila en caisse en prenant soin de prendre  au passage des M&Ms qui remplaceraient très bien le Saint Graal. Peu important ce qu’il se passait pour monsieur pays de nibards. Elle fila vive comme l’éclair jusqu'à une caisse et déposa son fatras sur le tapis roulant. Un jeune lui fourra ses courses dans des sacs, elle paya et zou direction la maison. Elle arriva devant sa moto sur laquelle des ados étaient penchés et se rendit compte qu’elle avait oublié son casque  à la consigne. Phoque ! Elle devait retourner à l’intérieur du magasin avec l’incertitude d’en ressortir si nibardman la choppait au passage. C’est donc avec une discrétion digne d’un agent secret qu’elle retourna vers la consigne…en priant.




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Gauche, droite, gauche, droite... Ce n'était pas le rythme de ses gros nichons emprisonnés dans sa combinaison de motarde que je suivais, mais le balancement incertain du Kinder Bueno entre nous deux. Elle ne semblait pas plus disposée à abandonner la friandise que je ne l'étais et je n'en étais que plus agacé. Franchement, des guerres avaient été déclenchées pour moins que ça ! Le premier conflit mondial ? Ce n'était pas l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand qui l'avait lancée, c'était en fait une vengeance d'un type sur un autre après s'être fait tiré ses Kinder Surprise. Les mecs avaient juste réglé ça un peu brutalement et c'était bien ce qui pendait au nez de la bimbo toute moulée dans du cuir, qui prétendait en plus avoir été la première sur le coup.
Et histoire d'avoir le dernier mot, mââââdèèèèème se permit de tirer sur le paquet pour le remporter, sans compter sur ma propre force. Chose curieuse, le paquet se retrouva séparé en deux morceaux presque égaux alors qu'il aurait dû me revenir entièrement, mais je n'eu pas le temps de me pencher sur la question que déjà le Lorenzo Lamas poumoné m'accablait de reproches d'un ton agacé.


- Non mais vous avez vu ce que vous avez fait ? Vous pouvez être fier…
- De.. De quoi ? Et bah putain, vous êtes aussi gonflée que vos pare-chocs, vous !

J'étais près à sortir mon fusil à vannes chargé de toute ma mauvaise foi histoire de lui déverser toutes mes munitions pour faire passer ma mauvaise humeur, mais ma langue n'eut pas le temps de recommencer à s'activer que j'étais coupé par un râclement de gorge presque poli mais franchement autoritaire. Faisant pivoter ma tête, je me retrouvais face à une sorte de Jason Statham nippon qui semblait visiblement peu enclin à la discussion sur le thermonucléaire. La seule chose qui ponctua son grognement, ce fût la salive que j'avalais.

- J'vais vous briser. Tout les deux.
- C’est de sa faute !

Ce Fût ce que s'exclama ma rivale avant de me laisser sa partie du forfait dans les mains et de filer et courant à moitié, remuant son délicieux popotion dans la course. J'aurais bien continué à mater sans gêne, mais un nouveau grognement me rappela à l'ordre, au même titre que l'énorme paluche qui m'attrapa la nuque. Mes yeux revinrent donc au vigile et mon sourire de gamin prit sur le fait s'étendit un peu.

- J'vais te briser. Tout seul.
- Non mais... j'y suis pour rien, hein... On peut p'têt discuter ? Jolie cravate...

Bon, la tentative de séduction avait dû échouer puisque je me retrouvais poussé vers l'acceuil du magasin, à côté duquel se trouvaient la consigne et les locaux de la sécurité. Ce con me broyait toujours la nuque de ses doigts et vu la manière qu'il avait de me coller l'air de rien, je devais être à son goût. Si je ne faisais rien, cette histoire allait finir par se régler comme dans les douches de la prison et mon prénom se muerait probablement en un truc féminin susurré à l'oreille pendant que je me ferais forcer le fondement entre deux poubelles. En gros, je l'avais dans le cul.
Enfin, ça n'allait pas tarder.


- J'vous préviens, je refuse de ramasser la savonette, et...

Elle était là ! Bimbo-Garce était revenue sur les lieux de son forfait et se dirigeait vers la consigne pour très sûrement récupérer un objet qu'elle y avait déposé. Possiblement son casque de moto, mais ça ne m'interessait pas. Ce que je voyais, c'était la solution pour éviter de faire de mon cul un parc à thème. Voilà que je commençais à m'agiter pour me débattre de la main de fer qui me retenait toujours. Je n'allais quand même pas lui casser les doigts !

- Elle était de mèche avec moi ! Rien à fout' , je balance ! Et ouaiiiiiiiiiiis !  Elle devait distraire la sécurité pour me permettre de taper dans les rayonnages ! HEYYYYY ! COPIIIIIIIIIIIIIIIINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEUH !

Avec le boucan que je foutais en la désignant à grand renfort de gestes de bras expansifs, impossible qu'elle passe plus longtemps inaperçue. Paf ! Voilà que deux autres molosses sortaient du local sécurité en la regardant, probablement alertés par mon gardien qui avait joué du talkie-walkie pendant que je m'égosillais. Bon, ça allait chauffer pour elle, du coup... Merde, je ne pouvais pas la laisser se faire tripoter pour mes conneries et allait donc devoir la tirer de là. Décidé à faucher compagnie à mon amant à venir, je lui calais mon coude dans l'estomac en mimant un énième geste grandiloquent. Ca n'aurait pas marché pour le type lambda, mais j'avais mis assez de force pour plier n'importe qui et parviens donc à filer pendant qu'il se retrouvait sur les genoux, fonçant en direction de la motarde pour l'attraper par le bras afin de l'entraîner avec moi à travers le magasin.
Et voilà que nous étions à filer entre les rayons en évitant les vigiles et employés décidés à nous barrer le chemin, faisant de notre parcours une sorte de Pac-man grandeur nature. Enfin se présenta à nous l'issue de secours que j'enfonçais sans mal d'un coup d'épaule pour nous faire débarquer dans la rue qui bordait l'arrière du magasin. Derrière nous, les vigiles hurlaient et nous sommaient de nous arrêter et nous n'en fîmes bien sûr rien, cavalant comme des dératés.

Afin de mettre de la distance entre eux et nous, je bifurquais brutalement dans une ruelle et me fîs surprendre à être entraîné dans le virage, cassant une barrière de bois pour me retrouver, ma motarde toujours à la main, sur un chantier de construction. Manque de bol, nous avions atterit dans une grande et indélicate...
Mare de boue.

Marie Raven

Créature

Bonjour la discrétion. C’était raté, vraiment raté. Et quoi encore ?! C’est l’autre qui l’appelle comme ça en disant qu’il se connaissait ? Ce n’est pas crédible, aucune chance, franchement qui pourrait s’imaginer qu’elle, une délicieuse jeune femme aux airs nobles et racés pouvait être de mèche avec ce type testéroné ? Apparemment, les vigiles. Leurs mains virent se poser sur son épaule pressant sur celles-ci afin de faire comprendre  à la jeune femme que toutes tentatives de fuites étaient inutiles face à eux. Des gorilles, des vrais. Elle fusilla du regard Nibard Man, à défaut d’être Slibard Man et d’assumer seul comme un homme. Il se tortillait comme une anguille pour échapper à son oppresseur. Si la situation n’était pas en train de dégénérer à son désavantage, elle aurait probablement rit de le voir comme ça. Mais là, elle était juste furibonde, prête à mordre, ou à simplement proposer un remboursement du pauv’ Kinder. C’était plus simple comme ça. Elle n’avait pas envie de passer  vingt ans dans ce fatras pas possible, surtout pour si peu.

- Nan mais attendez les gars ! On va quand même pas se chiffonner pour un Kin…


…der Bueno. Mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. Elle se fit embarquer, tirer par le bras par macho man en personne. Là, elle ne comprenait plus rien. C’était quoi l’intérêt de le foutre dans la merde si c’est pour l’en sortir deux minutes plus tard. Il avait un problème ce type, un sérieux problème. Enfin bref, c’était fait et Marie avait voulu se dégager de sa pogne mais que nenni, il était trop fort. Attend une seconde ? Trop fort pour elle ? Ha ! Elle voudrait bien voir ça ! Nan…c’est la surprise c’est tout…Elle y réfléchira plus tard, quand elle lui mettra une branlé ! Là tout de suite, son cerveau, et le reste de son anatomie, sont happés dans une course dans le labyrinthe du Minautore. Elle n’avait pas de mal à suivre les longues enjambées de son prédécesseur. Il courrait vite cependant, suffisamment pour mettre de la distance entre eux et les vigiles qui bien sûr n’avait pas tardé à les courser. Ah ça oui, de véritables cabris en pleine cavalcade.

Marie suivait plutôt docilement, ne regardant pas devant, faisant une étrange confiance à l’homme qu’elle tenait par la main pour conduire…on dit que les hommes conduisent mieux que les femmes. La preuve flagrante de ce dicton pointa le bout de son nez. Enfin non, en fait, c’est son nez à elle qui se prit la preuve. Après  un virage fracassant, elle se retrouva pieds dans un truc gluant, poisseux et odorant. De la magnifique boue ! Cette journée merveilleuse ne pouvait se finir que dans cette apothéose ! Entrainée par son élan et celui de son faux sauveur, Marie trébucha lamentablement pour aller s’étaler la tête la première dans ladite boue. Evidemment, avec sa chance, son complice d’un jour resta droit et fier. Et bien non, pour la peine, elle tira sur son bras en gardant bien sa main encrée dans la sienne. Et bim ! Viens voir maman ! Y’a pas de raison.

Bon, ce n’était pas l’idée du siècle, elle devait se l’avouer. Couverte de boue du côté face et de la tête  aux pieds, rien de plus dur que de se remettre debout, et encore plus de se remettre  à courir correctement. Si elle avait été seule, c’était plié, un tour de passe-passe, une voltige  ou deux et zou, plus personne.

- Quel merdier ! Quelle idée de passer par là…faudrait voir à *gloups*

Gloups ? Comment ça Gloups ?  Ah oui, parce que pendant que monsieur et madame se croient en thalasso, les vigiles les ont rejoint et n’ont rien trouvé de mieux à faire que de sauter sur le dos de la pauvre Marie qui s’est étalée une nouvelle fois dans la terre mouillée. Enfin, elle, elle ne sent qu’une paire de jambes autour de sa taille pour la maintenir au sol. Donc, ça veut dire que les deux autres sont ailleurs…sur Monsieur T-shirt mouillé peut-être ? Son vigile est sympa, dans un registre d’égalité de répartition de la boue sur la demoiselle, il la retourne du côté pile pour voir sa face. Voilà, comme ça elle est bien recouverte et n’attrapera pas froid.

- Allé, c’est fini, on remballe et on va s’expliquer dans le magasin…en fait non, on va d’abord déballer !

Sur le moment, Marie ne comprit pas l’ordre des propos, il l’a prenait pour un carton ? Déformation professionnel à coup sûr, le surmenage…ou alors le fait qu’il soit en train de lui descendre la fermeture de sa combi pouvait être considéré comme élément de réponse. Faut pas rêver non plus, elle ne va pas se laisser dessaper par ce type…déjà qu’il a  atteint sa ceinture et qu’elle dévoile sans complexe son soutien-gorge en dentelle blanche…Quel dommage que son coéquipier ne puisse pas voir le spectacle…Bah oui, souviens toi, toi t’as le nez…Dans ! La ! Boue !

L’homme commence à tirer sur le soutif, cherchant visiblement à l’enlever, Malicia se résout donc à lui passer l’envie et lui carre son genou dans les roubignolles. Il vacille, se plaint, mais résiste, à croire qu’il a l’habitude. Du coup, elle décide de frapper un peu plus fort, l’envoyant valser  un peu plus lion…le soutif à la main…




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La voleuse de Kinder avait volé dans la boue, entraînée par l'élan que je lui avais involontairement donné. Moi, j'avais réagis assez vite et mes pouvoirs à fleur de peau comme à leur habitude m'avaient permis de "freiner" assez sèchement pour que je reste solidement sur mes deux jambes, devant malgré tout sacrifier mes vieilles Converses noire que j'adorais et qui pataugaient maintenant dans des litres de terre mouillée. Et il y avait une belle quantité ! Je ne m'étais pas trompé : c'était vraiment là une mare de boue dont je ne doutais pas que le centre aurait pût m'engloutir jusqu'à mi-cuisses. Nous étions sur un chantier désaffecté, à l'écart des rues les plus passantes. Sur ma gauche se dressaient les restes du gros oeuvre d'un immeuble qui aurait dû plafonner à une dizaine d'étages et qui constituait une excellente cachette pour des rendez-vous crapuleux en tout genre. Enfin, c'était un détail dont je me fichais pour l'heure, trop content d'avoir échappé aux ablutions boueuses, à la différence de ma compagne de cavale qui me tenait toujours la main. Je lui offre d'ailleurs un large sourire satisfait.

- Ça, c'est pour avoir cassé le dernier Kinder buenoOOOOOOOOOOOOH !

Quelle poigne ! Elle n'avait eu qu'à tirer un peu pour que je me retrouve à valdinguer à mon tour dans la gadoue, face la première. Je m'écrasais non loin d'elle dans un superbe "SPLOTCH" et me retrouvais couvert de boue, mes lunettes factices perdues corps et bien tandis que je tentais de me relever. Pas facile, sans appui ! Alors que j'étais en passe d'y parvenir enfin, une énorme paluche se posa sur ma tête et me fît repartir pour une apnée involontaire et prolongée. Trop surpris, je ne pû répondre ni me défendre et me retrouvais contraint de découvrir le goût dégueulasse de la mélasse qui entrait généreusement dans ma bouche ouverte. Qui pouvait bien... Ohputain ! Les vigiles, ces enfoirés de vigiles ! Ils n'avaient pas abandonné la course et venaient de nous tomber dessus sans crier gare ! Et voilà que je sens le poids d'un de ces cons s'abattre sur mon dos pour me clouer au sol tandis qu'il m'attrape les cheveux pour que je relève la tête. Le temps de respirer une grande goulée que déjà je retourne au bouillon, l'entendant se marrer tandis que je crois que ma partenaire du jour se débat de son côté.

- On va se marrer, les comiques. Enfin, toi moins. Ta nana, mon pote et moi, par contre... Ca va être la fête pour son petit cul, ça lui apprendra à faire la maligne !

Et le voilà qu'il recommence à rire pendant que ma tête fait des allers-retours entre l'air et le sol. Donc, tout dans cette ville doit finir dans une connotation sexuelle ? C'est moche, surtout que je n'en profite jamais. Et surtout, la bimbo se retrouve en bien mauvaise posture à cause de moi et je ne peux pas laisser passer ça. Quoique... Une fille capable de me tirer alors que mes pouvoirs sont actifs devrait -je pense- leur donner du fil à retordre. Mais qu'elle soit Miss Hulk ou pas, hors de question de la laisser seule entre ces sales pattes, pas vrai ?
J'en suis à chercher un moyen de me dégager sans me griller que je me retrouve forcé d'avaler de la boue lors d'une nouvelle inspiration. Mais au moment où le type aurait dû me rabattre face contre terre, je sens son poids me quitter et je l'entends vociférer.


- Qu'est-ce que t'as fait à mon pote, salope ?

Ce qu'elle lui a fait, je n'en sais rien mais je la remercie de me donner un moyen d'enfin me relever, ce que je fais sans attendre. Juste le temps de chasser un peu de boue de mon visage avant de poser ma main sur l'épaule du vigile, qui tente bien de se dégager avant que mon poing file vers sa joue. Manque de bol pour moi, la mixture me couvrant rend mon appui mon net et le molosse en profite pour esquiver facilement, me laissant bêtement partir comme un con, les mains en avant pour éviter la chute.
Mais ce que j'empoigne, ce sont deux belles surfaces rebondies et fermes. Ses seins mis à nu ? MORTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEL ! Me voilà à tripoter pour m'assurer que ce n'est pas un rêve, veillant malgré moi à bien faire jouer la chair sous mes doigts. Les idées perverses me filent dans la tête, à propos d'elle, de son corps, de sa tenue de motarde que je trouve foutrement excitante et... De tout ce que j'aimerais lui faire.
Jusqu'à ce que je sente que quelque chose cloche. Mes forces, mes super-forces... on dirait qu'elles me quittent à mesure que je joue à la surface de ces superbes seins . Je titube, je vacille. Dans un effort de volonté, je parviens à la lâcher et à la regarder, interloqué.


- M-merde... te...t'es qui ?

Et pourquoi j'ai senti comme quelque chose dans ma tête, pourquoi les caractéristiques de mes pouvoirs me sont venues à l'esprit à ce moment là ? Tout y est passé, à commencer par ma double identité. C'est peut-être la boue que j'ai ingurgitée ? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir plus qu'un poing se cale dans mon estomac et me fait pousser une exclamation de surprise, me pliant en deux.
Les vigiles sont revenus à la charge et semble bien décidés à remporter la partie, ainsi que le trophée : le superbe petit cul de l'inconnue.

Quant à moi, me voilà sur le banc de touche, mais pas encore à l'infirmerie puisque par réflexe, je me dresse devant la bimbo avec l'attention de la protéger.

Marie Raven

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Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 6 vendredi 22 juin 2012, 20:09:28

Marie n’avait pas vraiment pris soin de regarder son complice pour voir s’il était en mauvaise posture ou non. C’est pas qu’elle en avait rien à faire, c’est juste qu’elle se sentait affreusement diminuée, tout ça parce qu’un morceau de tissus en dentelle blanche lui manquait. De façon un peu désespérée, elle tirait sur la fermeture éclair pour remonter sa combinaison là où elle serait plus décente à regarder. Elle constata rapidement que tout le système était englué à cause de cette foutue boue. De rage, elle tira plus fort et ne fit rien d’autre qu’arracher le tout. Là, elle aurait pu pleurer.

Toutefois, elle fut sorti de son petit monde par la voix mélodieuse d’un des vigiles contrarié par le fait d’avoir son pote voler comme un ballon pour atterrir contre un mur. Marie fronça les sourcils, c’était elle la salope là ? Elle le vit fondre sur elle, prêt à lui casser les dents pour finir par la briser tout court.

- Je vais te péter espèce de petite putain…

Ah ! Elle est montée en grade, là au moins, elle peut réclamer un salaire ! Elle chercha à se relever, oubliant son souci, et pataugea quelques secondes…heureusement, son vigile n’était pas non plus en position de force, il avait du mal à s’approcher sans glisser. Elle y était presque, oui elle touchait au but ! Débout ! Elle était débout ! C’est là qu’elle le voit, le chevalier en armure…en carapace de boue surtout. Il lui fonce véritablement dessus, même pas le temps d’esquiver qu’elle sent deux mains se coller sur sa poitrine. A terre…elle est à terre, dedans même…Et puis un doute l’assaille…et si ce type était l’un des vigiles, c’est vrai quoi, avec toute cette mélasse, comment démêler le vrai du faux.

Elle ne peut pas utiliser ses pouvoirs, pas comme ça, pas ici. En fait si, y’a  un pouvoir qu’elle peut utiliser en s’assurant une discrétion parfaite. Elle va griller les neurones du type qui ne se gêne pas pour la peloter. Attend  un peu mon neveu, tu vas ne avoir pour ton argent là ! Au départ, Malicia voulait activer son vol de pouvoir juste  une demi-seconde, ce qui aurait aussitôt rendu comateux un humain. Mais devinez quoi ? C’est toujours la même chose, ça se passe jamais comme on le voudrait ! Dès que son pouvoir s’active, elle se fige. Elle sent en elle une grosse augmentation de ses pouvoirs, elle ne contrôle rien du tout et ça coule en elle comme de l’eau. Et puis ce sont les flashs, les images, les pensées…en quelques secondes, tout  un pan de la vie de Mister Bueno lui monter une vérité, une vérité qu’il n’avait peut-être pas envie de lui faire connaitre. Il est bien trop puissant et elle risque elle-même l’overdose. Elle ne sait pas d’où, elle ne sait pas comment, mais lui a réussi à retirer ses mains.

Elle sait qui il est et lui se pose visiblement la question sur son identité. Elle ne répondra pas, pas tout de suite, encore moins devant eux. Elle le laisse jouer le bouclier humain, ça lui donne le temps pour se relever correctement et resserrer sa ceinture pour être certaine que son pantalon ne va pas foutre le camp. Ok, ils sont deux et eux aussi. De ce point de vue là, c’est équitable. Sauf que non, c’est Mister AND Miss Hulk qui se trouvent devant Bisounoursland…Malicia va s’occuper du plus freluquet, faudrait pas mettre la virilité de Monsieur j’aime triturer les nibards de Marie en doute. En parlant de ça, faut pas croire qu’elle a rien vu de ses pensées lubrique hein ! Non, non, c’est très clair dans son esprit, elle pourrait presque dire qu’elle a vécu la scène comme si elle y était…Ses joues empourprées pourraient en témoigner si présentement elles n’étaient pas marron moche.

Bref ! Fallait se débarrasser des gêneurs, en douceur. Ou presque. Pas vraiment content les deux loubards grognaient comme des petit Yorkshires. Ils trépignaient. L’avantage, c’est que ça rendrait les choses plus simples. Marie laissa faire Kyle, puisque tel était son nom, et s’occupa de son adversaire. Celui-ci lui fonça, tout est relatif, droit devant lui, sur la  pauvre Marie qui n’eut aucun effort à fournir si ce n’est un léger pivotement de 90°, un petit croche-pied pour aider à la chute et au moment où la nuque est à découvert…y’a plus qu’à frapper. L’homme s’effondre sur sa masse et va faire glouglou…Marie s’abaisse à sa hauteur et frôle du bout de son doigt le front du vigile. Ses pouvoirs toujours actifs, une demi seconde suffit à lui faire faire un somme d’une petite douzaine d’heures avec en prime un effacement de sa mémoire. Pendant que Kyle doit se débarrasser de son type, Marie va faire la même chose à celui qui a son soutif en main, soutif qu’elle récupère, non mais ! Elle attend le plouf gracieux du dernier vigile pour lui faire subir le même sort.

Au moins, ils sont tranquilles avec ça. Mais que Monsieur Sentinel Prime ne pense pas s’en sortir comme ça…elle profite du fait qu’il ne sache pas encore ce qu’elle est pour sournoisement le plaquer au sol, son dos allant fleurter avec ce qui aurait du être la terre ferme. Et avant qu’il ne réalise comment  il est arrivé là, elle vient s’asseoir sur lui à califourchon. Elle est pas belle la vie ? Une vue superbe sur un décolleté tout aussi superbe…non ? Elle se penche, se penche encore …et encore…ses lèvres viennent frôler les siennes…et finalement dévient de leurs courses pour se poster à côté d’une oreille.

- Alors Monsieur Macross…ça vous dirait qu’on s’envole tous les deux pour faire…plus ample connaissance…


La dame se redresse lentement, sachant pertinemment que son esprit ne doit pas être clair et ce, pour plusieurs raisons…mais elle compte bien sur ses charmes pour l’aider à réfléchir dans le bon sens, son sens à elle.

- Ah oui…et…tu pourrais me filer ton T-Shirt ?


Pas besoin de lui dire pourquoi, il a les yeux rivé dessus !




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Kyle Macross

Valinichonneur

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Je ne sais pas ce qui m'a sonné comme ça quand je l'ai touché, mais dans un recoin de mon esprit dédié à jouer le héros, Sentinel Prime me hurle que ça ne sent pas bon et qu'il faut que je règle rapidement cette histoire. Merde ! Je sens que mes pouvoirs déraillent un peu et qu'il me manque de l'énergie, alors que j'étais à bloc l'instant d'avant. Le souci, ce n'est pas tant que mes réserves aient prit un coup : mon corps produit mon pouvoir en continu et je récupérerais bien vite ma mise. Non, ce qui est inquiétant, c'est de savoir ce qu'est devenue la quantité perdue. C'est trop dangereux pour se trouver n'importe où mais pour l'heure, j'ai d'autres soucis.
Miss superbes nichons (je crois que les siens sont absolument parfaits et je m'y connais) s'est mise en tête d'affronter mano à mano le vigile le plus sec de toute la bande et me laisse donc les deux derniers molosses en guise de partenaires de jeu. Elle est gonflée, celle là ! Je vais me faire casser la gueule parce qu'elle ma foutu dans la merde et la boue ? Ben pas cette fois, non mais OH ! Je suis de mauvais poil pour ce qui s'est passé avec mes pouvoirs, je suis salement excité d'avoir tripoté la belle voleuse et j'ai toujours quelques idées en tête la concernant. Bon, ça va sûrement encore finir tout seul à la maison et à la main devant un film de cul,c'est vrai. Mais du coup, ça me frustre sacrément et m'agace au possible. BLAM ! Le premier de mes assaillants se voit accorder l'honneur de faire connaissance avec le plat de ma main droite qui le stoppe dans sa course et lui fait décoller les pieds du sol avant que je ne détende le bras, l'envoyant bouler à l'autre bout du chantier dans un vol plané s'achevant heureusement dans une autre mare de boue.


- HOOOOOOOOOOOMERUUUUUUUUUUN !

La foule en délire salue le côté technique, les belles spectatrices en mini-jupes viennent remuer du popotin en me montrant leurs nichons et le seconde vigile court et plonge pour me saisir au jambes. Manque de bol, je n'ai quà sauter pour qu'il se ramasse à terre et que je puisse le saisir par la ceinture aussi facilement que si il était un sac de patates. Sa destination à lui ? Les toilettes en plastique tout à côté dans lequel il se retrouve projeté. Son poids fait tomber la cabine et se refermer la porte, comme dans un dessin animé. Et voilà ? C'est qui l'plus fort ? Kyyyyyyyyyyle MACROOOOOOOOOSS ! J'en étais tellement parti dans mon délire que j'en aurais levé les bras au ciel en signe de victoire que je ne réalise pas qu'on me tombe dessus et que moi, je tombe dos dans la boue dans un splatch pâteux. Je n'ai pas le temps de prostester que je sens un poids peser contre mon bassin.
Et quand je lève le regard, j'ai plus envie de protester mais plutôt d'aller allumer un cierge à l'église en remerciement de cette vision de paradis qui me tire instinctivement une érection qu'elle doit pouvoir sentir malgré le jean et la boue, surtout quand elle se penche vers moi et que j'ai l'impression que ma queue va exploser à force de se tendre. Mon membre serait à géométrie variable, la belle serait assise sur un truc de la taille d'une cuisse de boeuf.
C'est gagné, elle me kiffe, elle vient me rouler une pelle pour me remercier de l'avoir sauvée et me proposer de lui faire un enfant ou deux, elle va... HEIN ? Me parler ?
SALOPE !
J'aurais bien sorti une connerie, mais ce qui fait vibrer mes tympans au sortir de ses jolies lèvres me cloue le bec. Elle connait mon nom et fait un sous-entendu que je sens adressé sciemment à Sentinel Prime.

Réfléchir ? Pas facile. Je sens mon esprit encore embrumé et surtout concentré sur les insolentes rondeurs qui se relèvent d'au-dessus de moi. Elle sait ? C'est en rapport à ce qui s'est passé tout à l'heure quand je l'ai touchée ? Pas possible... Si ? Je n'en sais rien. Mais je l'ai touchée. Et ça, c'était drôlement bien.


- Et comment se nomme la voleuse de Bueno ? J'aime être à égalité avec mes partenaires, surtout les plus jolies et qu'elles me proposent de...hm...m'envoyer en l'air.

Je peux bien tenter un peu de drague, non ? Bon, et bien voilà. Je me lance, me disant que j'en saurais plus de cette façon. Et puis... On ne sait jamais, pas vrai ? Personnellement, mes instincts primaires sont en éveil et durs comme du bois sous elle, entre ses cuisses. Je ne suis qu'un homme après tout et de surcroît particulièrement faible.
Mes mains passent sur ses hanches et je n'en peux plus de dévorer cette poitrine ronde et généreuse qui semble faite pour que je m'en occupe, qui semble demander les attentions de ma bouche, de mes mains et peut-être bien du reste. GRAAAAAW ! Par politesse, je cherche parfois son regard quand je lui parle.


- Tu veux mon tee-shirt ? D'accord. En dédommagement pour ce qui va arriver. En guise d'excuses.

Contre son dos, une de mes mains se faufile et remonte le long de sa colonne pour la faire se pencher sur moi, ce qui permet à mes doigts libres de se refermer fermement sur le premier globe qui s'avère à ma portée, l'enserrant dans une poigne virile trahissant l'envie qui m'agite. La chair joue sous mes doigts et le fait qu'elle soit rendue glissante par la boue n'est qu'une excuse toute trouvée pour justifier que je m'y reprenne à deux ou trois fois pour malaxer la totalité de cette insolente rondeur. Finalement, son sein est emprisonné par le bas dans ma main en coupe et tandis que la baisse de son buste me le permet, je viens apposer mes lèvres sur les siennes pour lui voler un baiser au goût de boue et de stupre.
Je m'expose sûrement à un retour de bâton violent, mais tant pis. Ce que je lui inflige à ce moment, je le fais en y mettant du coeur et d'ailleurs, mes reins s'activent lentement sous elle, remuant le cylindre emprisonné par mon pantalon, le faisant rouler contre ce qui fait d'elle une femme.

Marie Raven

Créature

Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 8 dimanche 24 juin 2012, 22:32:11

Elle se rend compte qu’il n’est vraiment pas indifférent à ses charmes, tant mieux, c’est fait pour. Elle s’en amuse un peu en se déhanchant un peu, comme si elle cherchait une position plus confortable sans jamais la trouver…c’est bête non ? Il veut son nom…oui effectivement, elle a le sien et maintenant que Morphée s’occupe des trois loubards, elle peut délier une partie de sa langue. Elle ne va pas lui raconter tout là, ce n’est pas vraiment un lieu propice aux confidences, et Dieu sait que leurs confidences sont un peu au-dessus de  la moyenne. C’est tout de même autre chose de révéler être un super héros ou un mutant que de dire qu’on a sournoisement terminé la tarte aux myrtilles…quoi que, ça dépend pour qui.

- Marie, Marie Raven…


Ce n’est pas encore le pied d’égalité mais il fera avec pour le moment. Bon, il accepte de lui filer son T-shirt, c’est cool, ça va lui éviter un attentat à la pudeur. Et…Ohoh ! Voilà qu’il s’excuse enfin pour cette fichue histoire de Kinder. Merde alors, quand elle y pense, se retrouver dans un tel état pour un machin au chocolat…si au moins ils étaient dans une piscine faite dudit chocolat, mais non, gadoue et autres cochoncetés. Elle attend une demi-seconde, il va surement lui dire plus explicitement. Ou pas. A la place, sa main parcours son échine pour finir sa course sous sa poitrine. Elle n’est même pas étonnée, surtout quand elle repense à l’inscription sur le T-shirt…et dire qu’elle va le porter…pas tout de suite, si elle en croit son instinct. Elle va lui dire deux mots, d’ailleurs, sa bouche s’ouvre dans ce but. Et c’est un soupir qui en sort, comme une délivrance.

Ok. Ce n’était pas vraiment ce qu’elle avait prévu, mais on voudrait bien vous y voir, vous, après des années d’abstinence…sa poitrine appréciait plus que de raison d’être caressé de la sorte. Ce qu’elle ressentait était un étrange plaisir totalement. Les spasmes qui perturbaient son bas-ventre n'avaient rien de très pieux et la main qui flattait maintenant ses rotondités, en une caresse de plus en plus appuyée, achevait de la troubler. Les visions qu’elle a pu avoir lors de ses échanges de mémoire lui reviennent et c’est peut-être poussée par celles-ci qu’elle accepte sans broncher son baiser. C’est un baiser étrange au gout dénotant avec la douceur du geste. Elle se laisse guider et finit par participer. Ses mains viennent se poser de chaque côté de ses joues et elle plonge littéralement dans la volupté du moment. Ce n’est pas la première fois qu’elle embrasse mais c’est la première fois que ça ne lui fait pas mal. C’est même pire que ça : elle adore ! Tout son corps se mets vibrer à l’unisson et devient plus chaud, sensible…Marie semble avoir déjà décollé. Elle cajole la barre qui s’engouffre entre ses cuisses…et même ses mains viennent à quitter son visage pour glisser le long de son torse, s’arrêtant in extrémis à la ceinture…

Et ce, jusqu’à ce que la magie soit rompu. Rompu par l’un des vigiles endormis et trop près d’eux qui se retourne et ronfle presque. On dirait un cochon dans sa porcherie. Elle se fige alors. Sa mine est désolée pour Sentinel mais elle se rend compte qu’elle n’imaginait pas sa première fois comme ça…dans un chantier boueux, à la vue de tous - bien que l’endroit soi désert - et surtout, surtout, à côté de trois types qui se feraient  une joie de  pouvoir participer. Jamais elle ne s'était imaginée en pareille situation ! Elle relève son buste avec lenteur, ses mains s’agrippant au T-shirt, le triturant maladroitement. Son regard n’est plus que fuite, elle a l’impression que croiser ses yeux pourrait la crucifier. Elle n’ose pas aller plus loin, avant d’au moins lui expliquer…

- Je…je suis désolée. Ce n’est pas exactement…enfin tu vois...je ne suis certainement pas expérimenté comme toi…je…enfin c’est le néant de ce coté là…


Elle est loin la Malicia si forte et sûre d’elle…la honte la submerge et elle se sent affreusement nulle, pour pas dire conne. Au fond, elle a peur de le vexer, de lui donner l’impression d’être allé trop loin. Non. Elle est allée trop loin. Et elle ressent encore la tension qu’il exerce sur elle, tant soit sur son physique que sur son esprit.

- Peut-être…enfin, si tu veux, si ce n’est pas trop tard…peut-être que ça te plairait de venir chez moi.

Elle s’attend à une bonne remontrance surtout. Elle se relève plus franchement, sur ses deux pieds. Elle lui tend la main pour l’aider  tout de même à faire de même. Et puis, elle lui fait tenir sa promesse et ses mains viennent se saisir du bas du T-shirt et elle le fait remonter pour lui ôter. C’est quand il en arrive à l’encolure qu’elle profite du moment où il lui cache la vue pour venir lui coller ses lèvres sur les siennes, tout comme sa poitrine qui vient s’aplatir sur son torse. Est-ce qu’il sent la chaleur de celle-ci ? Et la chaleur de ses lèvres ?

- J’espère que tu ne crois pas que je n’ai pas envie de toi Kyle Macross…bien au contraire.

En réalité, elle souhaite juste que la mèche ne s’éteigne pas le temps du trajet entre le chantier et chez elle. Le T-shirt quitte enfin son proprio pour venir recouvrir le corps de la mutante. Il est sale et franchement anti sexy mais au moins, elle est couverte. Et elle fait volteface et commence à partir, dans la direction d’où ils sont venus.

- Si tu veux bien, tu peux aller directement chez moi, je vais régler notre…note au magasin. J’habite au 21 de la rue Katsura dans le quartier Ouest…tu trouveras n’est-ce pas ? Une maison assez moderne…

Sentinel doit bien connaître la ville s’il veut pouvoir intervenir partout ; donc ça ne devrait pas être  un souci. Mais le tout, c’est qu’il ait envie d’y aller après ce qu’elle vient de lui faire subir. Elle pendant le temps qu’il va mettre pour trouver, elle va récupérer sa moto. Elle se met à survoler le terrain d’à peu près cinq centimètres, comme une lévitation. Et puis elle disparaît, le laissant seul et torse nu. Elle retourne bon gré mal gré dans l’épicerie. Là-bas, elle retourne à l’accueil, là où est son casque. Tout le monde la regarde, elle, la folle du marais ! Elle parle avec la jeune femme qui a appelé le directeur. Tout va très vite, pas plus de 5 minutes. Marie utilise la carte de la tentative de viol, elle ose et menace. Elle se dit prête à oublier s’ils font de même, que ce soit pour elle ou pour son copain. Un Kinder Bueno ne fait pas le poids face à une accusation telle que la sienne. Le directeur cède. Elle détourne les talons et enfile son casque. De sa voix, elle déverrouille les systèmes de protection et enfourche son bolide. Grâce au bouton rouge, il ne lui faut pas plus de trois minutes pour rentrer dans son garage. Et Marie court vers la porte d’entrée pour aller ouvrir. Y-a-t-il quelqu’un derrière, ou devra t’elle renvoyer le T-shirt par la poste ?

La porte s'ouvre.




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Je n'enregistre pas tout de suite son nom, car mon esprit est occupé par tout autre chose, un fait qui me surprend plutôt agréablement : la belle inconnue ne me repousse pas après mon baiser, pas plus qu'elle ne me gifle pour cette main qui pétrit la chair de son sein ferme et rond pour profiter sans vergogne de tout son imposant volume. Elle me laisse oeuvrer à la surface de son corps, me laisse devenir maître de cette rondeur mammaire aux courbes appétissantes et partage bien volontiers l'étreinte que mes lèvres lui imposent. Ses doigts sur mon visage trahissent son envie et ma langue passant entre les ourlets de sa bouche pour venir la sienne lui signifie en quelques mouvement contre sa jumelle que maintenant, j'ai envie de bien plus. Chauffé à blanc par cette créature sculptural, je me sens prêt à lui faire l'amour ici, dans cette mare de boue. La perspective me semble terriblement excitante et je n'en gagne que quelques degrés supplémentaire en y pensait, mes reins s'activant sous elle dans une langoureuse ondulation qui remue ma barre difficilement contenue par mon jean contre le creux de ses jambes. C'est un appel auquel elle répond puisque ses doigts abandonnent mes traits pour s'interesser de plus près à la boucle de ma ceinture dont j'attends qu'elle cède à ses assauts, mais... non.

Quelques mêtres à côté de nous, un des malabars s'active et gigote en remuant la boue, faisant stopper son geste à celle dont le prénom est Marie. Merde ! Je dois avouer que parti dans l'action comme je l'étais, je ne pensais plus aux molosses éparpillés aux alentours de notre bain de thalasso. Bon, je lui dirais bien de s'en foutre, qu'ils sont assomés pour un moment et que le cas échéant on les renverra compter les moutons. Mais ma désirable voleuse est troublée, gênée. Elle relève le buste pour me surplomber à nouveau et j'abandonne sous la contrainte son sein et sa bouche pour la regarder, me disant qu'il serait vraiment trop injuste d'en finir comme ça. Elle n'a donc fait que m'allumer ? C'est injuste, putain ! C'est cruel ! Quand ses doigts se crispent sur le tissu de mon tee-shirt alourdi par la terre mouillée, je comprends que la situation lui déplait, qu'elle la couvre de honte. Vraiment, elle n'a pas l'air bien ni à l'aise et ses mots m'expliquent pourquoi. Cette bombe est.... vierge ? Non... C'est seulement possible qu'un homme n'ai jamais mis la main sur ce corps taillé au laser de précision ? Elle doit se jouer de moi, ce n'est pas possible autrement ! Pourtant, j'ai envie de la croire. Allez savoir pourquoi, je sens que c'est vrai.


- Y'a pas... tu sais... on ira doucement... c'est pas.... t'en fais pas...

Je n'aurais jamais crû devoir rassurer une femme avant l'amour, pas plus que je n'aurais crû être le premier de quiconque. Les quelques filles que j'ai connues jusque là étaient expérimentée et m'avaient rendue la tâche plus facile. Il me "suffisait" d'assurer et tout allait correctement, mais là... A force de lire des magazines féminins, j'avais érigé la capture de l'hymen en moment ultra-romantique qu'il ne fallait pas foirer. Parce que la nana allait s'en souvenir toute sa vie, que c'était aussi intense de douloureux. Je me suis toujours demandé si tout ça était vrai, pour tout dire. Et au moment où j'en arrive à penser que ce n'est pas aujourd'hui que je le saurais, elle me fait une proposition que personne ne pourrait décemment refuser à moins d'être bon pour la cellule capitonnée.

- Me plaire ? ....Pour sûr, j'attends que ça... Marie...

Un sourire doux mais plein d'arrières-pensées, voilà ce que je lui offre avant qu'elle ne se relève et m'aide à la faire, me laissant me remettre sur mes deux jambes avant qu'elle ne s'empare du bas de mon tee-shirt pour me l'enlever. Je ne l'aide pas, parce que je veux retarder les séparations, mais je lève les bras et finit par acceuillir ses lèvres sur les miennes quand je suis privé de vision. Ca, ses seins lourds écrasés contre moi... Je vais devenir dingue, je vais faire une bêtise et la prendre là, tout de suite.

- Tu vas avoir tout le loisir de me le prouver, que tu as envie de moi... Parce que moi...

Je mordille sa lèvre en guise de conclusion, la laissant deviner l'ampleur des flammes qui me dévorent le bas-ventre et l'esprit. Je me fais violence pour ne pas lui sauter dessus et en serrant les poings pour résister à la pression sanguine qui afflue vers mon membre je la regarde se couvrir et tourner les talons afin de prendre le chemin du retour, sa voix dans l'air me délivrant son adresse. Je vois parfaitement où c'est, je connais la ville comme ma poche. Ca ne sera pas un souci que de la retrouver et elle peut compter sur ma présence. Ce n'est pas la porte à côté quand on est à pieds mais pour le coup, cette considération est sans importance.

- A tout de suite.

La voir flotter au-dessus du sol ne m'étonne même pas. Je pense trop aux minutes qui vont séparer les deux actes de notre rencontre, à ce qui va suivre une fois que nous serons chez elle. Et quand elle disparait, je décolle comme une bombe vers le ciel en faisant jaillir la boue, hurlant un "WOUHOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !" qui doit résonner dans une bonne partie du quartier. Je ne serais pas surpris que Marie l'ait entendu depuis le magasin et je n'en ai cure, multipliant les loopings au-dessus de Seïkusu avant de filer vers son appartement que je trouve effectivement sans mal, me posant sur le pas de la porte au moment où j'entends le vombrissement du puissant moteur de son bolide. Bien, juste un peu d'attente, un tout petit moment.

La porte s'ouvre.

J'attrape Marie pour le poignet afin de l'attirer à moi, mes doigts filant vers ses reins pour la coller contre moi, au plus près. Sa poitrine retrouve à nouveau mes muscles, ses lèvres se perdent sous les attentions des miennes et si ma poigne se referme un peu plus sérieusement sur elle, ce n'est pas anodin puisque nous voilà transportés au-dessus du sol, toujours soumis aux envies de l'autre. Lutteuse effrénée, ma langue vient au contact de la sienne pour un combat brûlant et passionné. Ma main descendue sur sa fesse pour l'enserrer contre mes doigts la maintient alors que nous nous mettons à voleter dans son entrée, la porte se refermant derrière nous pour nous laisser à nos ébats. C'est drôle, de se livrer comme ça. Les pouvoirs ne comptent plus, les identités non plus. Nous sommes deux corps voulant se fondre l'un dans l'autre, voulant s'unir dans d'enfiévrés ébats. Je n'ai jamais eu aussi envie de quelqu'un.

- Tu as trente secondes pour me dire que tu veux éviter de mettre de la boue partout chez toi. Après ce délai, je ne réponds plus de rien, t'es prévenue.

Je lui souris avant de reprendre ses lèvres, un peu plus tendrement. Je ne dois pas oublier qu'elle est vierge et que pour elle, c'est une étape à passer. Je ne suis pas une brute, après tout. Je veux qu'elle jouisse pleinement et littéralement de tout ce que je suis à-même de lui offrir. Alors, qu'elle mène le jeu. Je la suivrais quoi qu'elle décide.

De toutes façons, ça sera sans conséquences.

Marie Raven

Créature

Cela  lui avait semblé difficile d’ouvrir cette porte, comme si ce qui se cachait derrière allait changer sa vie. Et s’il n’y avait simplement rien ? Quand elle fut happée par une main et des doigts impérieux, son cœur s’accéléra de plus belle. L’enivrante présence de son corps lui était rendu et celle de ses lèvres. Elle répond à ce baiser toujours empli du gout et de l’odeur du chantier. Son corps devient plus lourd sur celui de Sentinel, elle palpe de tout son être le désir qu’il distille sur elle. Elle a l’impression d’être aimanté à lui, que leurs deux corps sont faits pour se fondre l’un dans l’autre. Et elle quitte le sol, s’envolant littéralement au-dessus du sol. La voix du héros la faire retomber un peu sur terre. La boue…ce  pourquoi elle a fait arrêter leurs ébats peu avant. Et aussi à cause de cette virginité qui ne devrait plus exister.

Elle le connaît un peu, elle sait que c’est un type bien et qu’avec lui elle est en sécurité, qu’il va prendre soin d’elle et de son corps. C’est une confiance  unique qui l’unit à lui. La demoiselle s’inquiète pourtant, non pas à cause de sa virginité mais à cause du fait qu’elle a violé son intimité. Elle est entrée avec effraction dans son cerveau et a pu connaître une petite partie de sa vie sans le vouloir. Et justement, lorsque le temps de confessions va être venu, comment va t’il réagir ? Elle frémit à cette idée. Revenant à la réalité, elle reprit le contrôle de la situation.

- Salle de bain, fond du couloir à gauche…


Elle dirige le vol, et compte bien sur son copilote pour l’aider à ne pas les faire s’écraser contre un mur. Elle est dos au couloir les yeux clos et elle joue de sa langue avec celle du beau héros. Pourtant le voyage se passe sans encombre et l’atterrissage se fait tout en douceur. A leur approche, la porte coulisse automatiquement donnant la vue sur une salle de bain tout confort. Douche multi jet et surtout un mini jacuzzi que Marie adore utiliser. Elle repousse alors doucement son compagnon avec un sourire qui en dit long sur ses pensées les plus intimes. Elle recule sans cesser de le regarder. Et puis elle s’arrête, à quelques centimètres de la porte vitrée de la douche. Sans se retourner, elle attrape la poignée et la pousse pour entrainer la porte. De son autre main, elle cherche le robinet d’eau à tâtons et très vite le trouve et le tourne. L’eau se met alors à ruisseler derrière elle. Très vite, elle trouve une température qui lui parait juste. Ni trop froide, ni trop chaude.

Elle délaisse la douche pour avancer à pas chaloupé vers lui. Elle avance vers lui, plus féline que chienne, lentement malgré son désir d’arriver vite à portée de ses mains, redressant sa tête, balançant sa croupe de droite à gauche à chaque pas, souple, reins cambrées, ronronnant intérieurement, le défiant d’un regard amusé, complice et brûlant. Tout en marchant, elle enlève son haut, ou plutôt celui de Kyle. Elle revient vers lui encore plus lentement, roulant expressément des hanches, laissant sa vue sur son ostensible poitrine qui bougent au rythme de ses pas. Enfin devant lui, elle ne bouge plus. Elle passe une main tiède et humide sur sa joue, glissa pour saisir sa nuque et approcher son visage du sien. Ce n’était pas un baiser mais un papillon léger qui effleura ses lèvres. Elle attrapa son visage entre ses mains et le baiser devint plus langoureux, plus tendre aussi. Son corps bouillant vint au contact de cet homme, ébullitions nées de tant d’absences. Dix minutes d’absence. Ou peut-être vingt-cinq ans d’absence.

- Je vais calmer ton désir, oui. Mais il te faudra être patient. Et doux.

Ses mains glissèrent. Elles dévalèrent du bout de leurs doigts, la peau de son torse, encore maculé par endroit de leurs délits passés. Elle y chercha chaque muscle, les caressant pour apprivoiser leurs contours. Il était dévoilé à elle dans une virilité presque arrogante de puissance. Elle sentait son désir pulser contre son ventre. Parfois, taquines, ses mains venaient frôler sa ceinture, sans s’y arrêter. Et d’un coup, l’une des mains se déroba, elle disparut un peu plus bas, s’attaquant à la ceinture qu’elle avait abandonné  à contre cœur. D’un geste presque assuré, elle déboucla en un clin d’œil le bout de cuir. Elle tira d’un coup sec dessus, coup à la mesure de son ardente et frénétique envie. Elle la jeta à l’autre bout de la salle de bain. Elle aurait voulu arracher le pantalon et le jeter aussi loin que la ceinture mais elle se contenta de le déboutonner et de descendre la braguette, aussi lentement qu’elle avait pu être rapide avec la ceinture. Son autre main vint palper, à travers le boxer, la hampe toujours tendue. Elle caresse la bosse qui déforme le sous-vêtement. Elle abaisse les deux tissus dans un seul mouvement, libérant de son carcan le sexe qu’elle saisit dans un va et vient…timide…

-Oh pardon ! J'avais promis de te calmer, pas de t’attiser ! Je suis si...maladroite...

Et puis, elle s’éloigne, une nouvelle fois, cette fois ci, elle lui tourne le dos, lui dévoilant la cambrure de ses reins et les rondeurs de ses fesses. Elle avance sans se presser, défaisant à son tour la ceinture retenant son pantalon. Il glisse sur ses cuisses puis ses mollets, et d’un mouvement de jambes, elle l’envoi valser outre-tombe. Ses bottes partent suivre le même chemin. Elle entre sous la douche, toujours vêtue de sa petite culote qui était en couple avec son défunt soutiens gorge. L’eau vient cascader sur sa peau et elle relève la tête pour que la boue qui ornait son visage disparaisse dans un sanglot continu. Elle fait signe à Kyle de la rejoindre, elle souhaite ardemment lui faire gouter de nouveau à ses lèvres qui n’auront plus le gout de terre mais bien de sa pulpe à elle.




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Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 11 mardi 10 juillet 2012, 14:08:31

Les Super ne font rien comme tout le monde. Alors qu'elle m'invite à rejoindre la salle de bains dont elle m'indique la direction d'une voix sensuelle, nous nous mettons à voler d'un commun accord muet et nous filons doucement à travers le couloir de son appartement alors que nos corps restent l'un contre l'autre. Une main glissée sur sa nuque et l'autre dans le creux incendiaire de ses reins d'où mes doigts débordent pour virevolter sur la naissance d'une de ses fesses, je l'embrasse langoureusement. Ma langue lutte délicatement contre la sienne, la repoussant pour mieux revenir à son contact afin de l'enlacer, de la caresser. Parfois, nous reprenons rapidement notre souffle et je me contente de profiter de la douceur de l'ourlet désignant sa bouche avant de forcer délicatement ce dernier du bout de ma goûteuse avide de retrouver sa nouvelle concubine, dans la chaleur de nos palais devenant salle de bal.
Trop occupé à notre baiser, je réagis pas à la porte qui s'ouvre d'elle-même et je nous laisse atterrir dans la salle de bains. Et alors que je me voyais bien continuer notre baiser et lui donner une suite plus fiévreuse contre le premier mur venu, voire même en suspension dans les airs, voilà ma partenaire qui s'écarte de moi tout en me repoussant doucement dans un sourire qui fait rugir de frustration mon désir que j'imagine comme un fauve en cage. Quand elle libérera la bête...

Nos yeux ne se quittent pas bien que Marie se mette à reculer pour ouvrir la porte dissimulant la douche qu'elle en vient à actionner sans cesser me de torturer de ses oeillades et de ses mouvements teintés d'érotisme, de sauvagerie encore contenue. Elle fait couler l'eau et ajuste sa température avant de lentement me revenir d'une démarche qui attise tout les feux qui brûlent en moi depuis notre bain de boue. J'ai vu son corps, j'imagine parfaitement le balancement fiévreux de sa belle chute de reins qui propulse ces jambes élancées et charnues afin qu'elle vienne me retrouver. Mais elle me fait languir, cette adorable garce ! La voilà qui abandonne mon tee-shirt pour me dévoiler l'amplitude charnelle de ces seins que j'aime déjà follement et qui remuent légèrement au rythme de ses pas. La voilà en face de moi, sa main sur ma joue puis sur mon cou. J'attends un baiser et je grogne de mécontentement lorsqu'elle ne fait qu'effleurer mes lèvres pourtant disposées à faire l'amour à sa bouche. Je suis prêt à pester, oh que oui... Mais elle ne m'en laisse pas l'occassion, revenant m'embrasser avec une ferveur que je ne peux que partager, mes mains se posant sur sa taille pour la conquérir avant de filer vers le territoire plus avancé de ses fesses, qui deviennent terrain de jeux pour mes doigts qui s'y apposent fermement.


- Ai-je l'air brutal ?

Elle joue. Avec mes nerfs, avec mon appétit, avec l'envie dévorante d'elle qui fait affluer le sang vers mon bas-ventre qui proteste d'être encore emprisonné dans mon boxer. Je sens les doigts de ma compagne qui soulignent les dessins de mes muscles tendus, je les sens effleurer ma ceinture sans daigner s'y arrêter avant qu'elle ne se décide enfin à m'en délester. Mentalement, je suis la progression de ses doigts qui se jouent de mon pantalon pendant que les miens réhaussent ses fesses pour mieux les faire jouer, mieux faire rouler leur volume rond entre mes mains qui s'impatientent de lui asséner davantage de caresses. L'attente est intolérable, mais sa rencontre avec les formes durcies de mon membre valait bien la patience que j'ai consacré au temps qu'elle s'est donné pour me découvrir. Je soupire de plaisir et cesse de m'acharner contre sa langue pour lui mordre tendrement la lèvre inférieure et la tirer un peu à moi pour manifester le contentement du va et vient encore maladroit qu'elle m'inflige. Elle m'a dénudé et à présent me flatte, me rend viril entre ses doigts mal assurés qui néanmoins dressent ma verge de tout son long.

- C'est...dommage... Je vais être obligé de te faire payer ta maladresse...

Je ne peux pas mettre ma menace à excécution tout de suite, non. Elle se détourne de moi pour se rendre vers la cabine de douche tout en s'effeuillant, me laissant apprécier les lignes racées et gourmandes de son côté pile qui n'en rend que plus dense mon vit qui la réclame avec insistance, me faisant mal tant il bande fort.
Son signal et une libération et je la rejoins en quelques pas aussi lent que les siens, lui laissant le soin de contempler cette musculature qui roule sous le grain de ma peau, lui laissant le loisir de voir ma hampe pointer vers le ciel et balancer à chaque mouvement imprimé par ma marche à mes cuisses et mon bassin.

Alors que je retrouve sa proximité sous le jet de la douche, je me penche pour l'embrasser. Pourtant, ce n'est pas mes lèvres qu'elle retrouve, mais le contact d'une de mes doigts que j'ai dressé entre nos bouches. Amusé, je lui lance un regard enflammé avant de doucement lui faire tourner la tête. Mes lèvres se déposent sur son cou, y descendent lentement pour s'arrêter à sa clavicule que j'assassine de baisers légers qui cavalent sur sa gorge, puis se perdent à la naissance de ses seins lourds et généreux. Je ne m'en occupe pas encore, non... Je préfère laisser mes embrassades papillonnantes contourner leur volume pour ne se déposer que sur ces contours fiers et ferment afin qu'ils empruntent le chemin de son ventre, s'arrêtant un moment sur son nombril.
Mon corps a suivi la descente et à présent, c'est à genoux que je me trouve, les mains sur les cuisses de ma belle voleuse, mes doigts aggrippant l'élastique de sa lingerie que j'entraîne vers le bas pour la délester, pour découvrir ce fruit qu'elle me cachait encore. Face à moi se dévoile son abricot dont je fais connaissance du bout des lèvres, envoyant la culotte dans le coin le plus proche.

Voilà... Mes lèvres s'attardent un peu plus sur les siennes. Je découvre effectivement le goût de sa pulpe, mais pas celui de sa bouche. Lentement, mes ourlets s'attardent sur les replis intimes de ma partenaire de vol, les embrassant comme si je retrouvais sa bouche. Lentement, j'assène un premier coup du bout de la langue, qui remonte le long du dessin de la séparation des pétales de sa fleur avant de s'attarder sur son bourgeon. L'opération se réitère sur le même rythme une fois puis une autre, avant que je ne me décide à laisser ma langue agacer son bouton, lui appuyant dessus tout en le faisant jouer, décrivant de légers cercles. Je ne vais pas la délaisser trop, non... Déjà, un de mes doigts est venu rejoindre la représentation, la première phalange ouvrant lors de son passage la fente délicate de Marie sans encore s'y attarder vraiment.

Sur scène, les rôles s'inversent après quelques temps. Mon pouce devient partenaire de sa clochette et ma langue ouvre ses lèvres pour s'y faufiler enfin, me dévoilant le goût de son plaisir que je déguste en petites intrusions lentes. Hmm... C'est un peu comme une bouche, non ? Un peu. Alors c'est pour partir à la recherche d'une éventuelle langue que la mienne finit par s'infiltrer dans cet antre humide et brûlant, et c'est pour mimer un de ces baisers goulu qu'elle se mets à remuer sur un rythme lent et marqué....

Marie Raven

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Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 12 mardi 17 juillet 2012, 17:59:05

Il joue. Il se joue d’elle comme elle a joué avec lui. Il avance, il parade, tel un Paon voulant séduire sa femelle. Il est prédateur, un Lion face à cette chatte qu’elle devient. Elle sourit en le voyant la conquérir, ses yeux n’osant quitter les siens. Elle n’avait pas imaginé qu’un jour une telle scène se déroulerait sous ses yeux et qu’elle en serait le second rôle. Elle qui avait fait une croix sur l’amour charnel, qui pensait que ce ne serait à jamais perdu pour elle. Il ne doit pas savoir qu’il est en train de lui faire  un cadeau. Il ne comprendra pas tout de suite que sa première fois à un goût de liberté avec une intonation en plus des autres femmes.

A présent, il est tout près d’elle, elle peut presque sentir son souffle venir cogner contre le sien avant de s’échapper entre les vapeurs de l’eau qui coulent toujours. Elle dévoile leurs corps dans leurs plus simple appareil, elle les révèle l’un à l’autre. Il s’approche d’elle, il tend son visage vers elle, si proche, près à l’embrasser. Mais il n’en est rien. Dans un jeu presque sadique, il lui interdit le velours de ses lèvres et laisse son doigt faire  un barrage impérieux entre eux. Dans un excès de gourmandise, ses lippes se referment sur le doigt et sa langue vient s’enrouler autour de lui. Sa bouche devient conquérante et aspire ce qui aurait dû être une langue dans sa cavité buccale. Elle le suçote, le cajole et lui montre ce qu’elle compte bien lui faire la prochaine fois qu’il passera avec ses lèvres près des sienne. Sa main se pose  un instant sur sa verge turgescente et dans un geste moins fébrile, elle amorce un va et vient. Elle fixe son regarde au sien, comme pour l’interroger. Soudain, il lui fait tourner la tête et ses lèvres s’attaque à son cou. Elle n’arrive pas à retenir son doigt entre ses lèvres qui s’entrouvrent sur un soupir. Elle ferme un instant les yeux profitant de ses baisers qui coulent sur sa peau. Elle le sent partir loin d’elle, la forçant à lâcher sa hampe à contre cœur.

Quand il passa au niveau de sa poitrine, sa respiration se raréfia et ses tétons prirent une forme d’étendard, fièrement dressés et près à être conquis. Sa poitrine gagnant dans une nouvelle respiration, un volume inimaginable. Elle aurait voulu que ce soit le cas, qu’il morde, qu’il lèche, qu’il goute, qu’il les titille pour les faire s’ériger plus encore. Seulement, une fois de plus, il passa à côté. Elle ne cacha pas son trouble, toujours interrogatrice. Un gémissement de frustration fit écho à la pluie artificielle qui ruisselait sur son corps devenant un véritable brasier ne demandant qu’à être consumé. Elle ne put s’empêcher de tendre un peu plus cette poitrine pour tenter de profiter de cette bouche qui fit fi de sa voluptueuse et silencieuse requête. Il continua sa descente et accorda un bref  instant à son nombril. Ses jambes étaient de moins en moins assurées, son souffle se faisait court, son sexe était en train de fondre, les crispations de plus en plus évidentes de son bas-ventre laissant couler de petites perles de plaisir dans sa culotte. Son corps tout entier devenait réceptacle de sa luxure et de son envie, presque pressante de lui. Ses mains se font de plus en plus fermes sur son fessier, presque autoritaires, emprisonnait sa taille et son bassin. Il défait le dernier rempart de tissus qui cachait sa féminité. Le sous-vêtement descend le long de ses fesses, puis de ses cuisses et il lui suffit de lever un peu les jambes pour que l’écrin de tissus file dans un coin de la pièce. Quand elle le voit s’approcher de sa fleur encore intacte, elle a une terrible envie qui lui traverse l’esprit. Elle sent le rouge lui monter aux joues et aux tempes et ce n’est pas la chaleur de l’eau qui en est responsable. Elle a envie de se faire pénétrer, que sa langue la fouille, partout. Sa main gauche commence à descendre très lentement pour se poser sur sa chevelure, ses doigts s’enfilant dans ses cheveux jusqu’à atteindre le cuir chevelu pour le caresser avec une certaine tendresse.

Sa bouche la colla contre le mur. Sa langue, enfin sa langue rejoignit la pulpe de ses lèvres, ses lèvres humides se mêlaient aux siennes. Sa main droite vint se poser sur son sein qu’elle vint torturer entre ses doigts, faisant rouler ses pointes douloureusement sensibles. Ses jambes ne la portaient plus, tremblantes. Ses muscles ne  lui obéissaient plus, elle était incapable de prendre une initiative, seulement de s'abandonner à ses caresses, à sa fougue. Elle gémit sous l’effet des coups de langues savamment déposés sur son intimité frémissante. Et tout à coup, son doigt fouilla son sexe trempé. Un gémissement plus fort s’éleva quand elle se sentit pénétrée ainsi, sans violence. Mais immédiatement, son doigt reflua, cherchant et trouvant le point juste, son clitoris déjà gonflé, son pouce s’attarda sur le Mont de Vénus, puis elle fut pénétrée à nouveau. Sa langue avait franchi la barrière de sa corolle et devenait d’invasif coup de langue dans son antre humide et chaude. Déjà, elle n’en pouvait plus. Et même si sa langue n'avait pas fouillé sa bouche, elle n’aurait rien pu dire, juste gémir. Elle sentait le plaisir monter très vite, ses forces décroître, heureusement qu'elle s’appuyait avec force contre le mur de la douche.

Ses halètements se faisaient de plus en plus saccadés. Ses jambes la lâchaient de plus en plus sa bouche s’ouvrait pour lâcher des gémissements qu’elle ne contrôlait pas. Elle sentait cette langue la torturer et la délivrer à la fois. Elle trouvait l’accès à ce qu’elle avait cru inaccessible aux plaisirs à deux, l’accès à cette rose trempée. Les secondes étaient trop courtes, interminables à la fois, elle sentait l'explosion venir, jaillir du plus profond de son ventre, de ses entrailles, de son sexe. Sa main se crispa sur ses cheveux, ses dents se serrèrent les unes contre les autres. Et puis…elle a crié. Elle a crié un orgasme, trop bref, trop violent et trop inattendu à cet instant. Une véritable décharge électrique secoua tout son corps l’embarquant dans un autre univers. Ses reins furent pris de spasmes incontrôlés. Elle dut se reposer sur son dos pour ne pas s’effondrer au sol. Son sexe pulsait encore laissant couler le jus sucré salé de son plaisir. Reprenant ses esprits, elle se rendit compte de son état. Ses mains vinrent cacher son visage rouge de honte de n’avoir su contenir son plaisir.

- Pardon, je…c’est…


Rien de plus à dire, elle en était incapable. Sa réflexion lui faisait défaut. Le souffle court, elle retrouvait doucement la chaleur caractéristique dans son bas ventre. Encore affamée de cette envie de lui qui la rongeait encore plus maintenant qu’il avait ouvert les vannes de sa volupté. Mais elle était perdue, ne sachant plus trop ce qu’elle devait entreprendre ou si elle devait se laisser totalement faire. C’est à peine si elle remarqua les larmes qui coulaient le long de ses joues bien cachées par les coulées de la douche et ses mains encore vaguement devant son visage toujours sous le coup de son émoi...Marie reprend toi !




DC d’Alice Korvander.

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Re : Quand les collants restent au placard ! [PV Sentinel Prime]

Réponse 13 lundi 18 février 2013, 23:47:38

Quelques notes...

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Pour ce que j'en savais, le secret résidait dans l'écoute. Lorsque vous étiez là, à dévorer le fruit sucré de votre partenaire dans le but de faire monter sa pression artérielle autant que la votre et de l'amener juste devant ce précipice nommé Jouissance, il fallait tendre l'oreille entre deux coups de langue appliqués auxquels se substituaient parfois vos doigts qui se devaient de jouer d'abord une partition mesurée. Quand une femme apprécie vraiment ce traitement doucereux, son souffle en est le meilleur témoin : il s'accélère où se fait plus lourd, traîne parfois selon la demoiselle flattée par vos attentions. Ses mains restent un bon indicateur, si elles se posent sur votre tête pour la caresser où en tirer les cheveux. Pour vous griffer parfois aussi.
En étant attentif à tous ces petits signes, vous étiez normalement à même d'apprendre à jouer avec les sens de votre compagne afin de faire monter et durer un plaisir qui ne saurait qu'exploser si vous étiez réellement habile.
N'ayant jamais eu jusque là de partenaire régulière, j'avais eu le temps de peaufiner ma technique digito-linguale dont je n'étais pas peu fier. Chaque femme étant différente, les façons de les combler en étaient multiples.

Avec Marie, ça n'avait pas été compliqué. Cette sublime tigresse avait démarré au quart de tour et m'avait laissé tout le champ libre,  cherchant peut-être à explorer des voies qui lui avaient été jusque là inconnues. J'avais pris mon temps afin de lui faire goûter à ce que j'estimais être mon talent - bien que je n'étais jamais prétentieux quant à mes capacités amoureuses, j'étais  assez sûr de moi en ce qui concernait cette activité- et la belle avait su apprécier le délice à sa juste valeur. Son corps sculptural s'était tendu, s'était cambré. Son nectar avait coulé à flots sur ma langue  et je m'en étais régalé alors que ma propre excitation était montée d'un sacré cran quand j'avais constaté la sienne par le truchement de ses halètements lourds et érotiques qui avaient précédé un cri libérateur et orgasmique. Mon visage collé à son bas-ventre, j'en perçu aisément les spasmes et ne pus m'empêcher de sourire doucement, plutôt fier de l'effet que j'avais produis sur ma partenaire. Mes mains étaient venues saisir ses hanches pour ne pas qu'elle s'effondre en défaillant et mon regard s'était levé vers elle afin de la contempler, m'arrêtant bien volontiers sur les tressautements de sa lourde poitrine. C'était un spectacle particulier, qui fut tâché par des... excuses ? Elle s'excusait de jouir, vraiment ? Allons... Ce n'était pas sérieux, mais je réalisais que c'était peut-être à moi de la prendre par la main, de la guider sur le chemin de l'amour à deux. J'allais devoir la tranquilliser pour lui faire apprécier l'instant et cela, je ne pouvais pas le faire à genoux.

Après avoir déposé un ultime baiser sur les lèvres délicates de sa fleur intime comme si j'avais parcouru sa bouche pour un tendre mais chaste baiser, je remontais vers son visage, faisant traîner de légères embrassades le long de son corps, sur la courbure généreuse de ses seins. Finalement debout face à elle, j'écartais les mains qui cachaient son si joli visage et lui offrais le sourire le plus complice et rassurant dont j'étais capable de me parer. Quand je lui glissais quelques mots, ce fut d'une voix douce accompagnée d'une caresse sur une de ses joues, du bout des doigts. Pour capter son attention, la détourner de sa gêne. Mon front rencontra le sien et nos yeux réussirent à plonger ensemble dans le même regard.


- Tant que nous serons ensemble, Marie, tout ira bien. C'est promis.

Le baiser fut long, d'abord timidement échangé plus rapidement plus fiévreux. Mes lèvres cherchaient les siennes, la pulpe de nos bouches se rencontrant pour se presser l'une contre l'autre avant que ma langue, légère et habile, ne vienne lui proposer de me laisser le passage pour partir à la rencontre de sa jolie rosée. Elles firent connaissance sans heurts ni empressement, la pointe de la mienne flattant le corps de la sienne avant de se caler contrre sa surface pour les laisser s'aimer, je crois. C'était un baiser réellement tendre et passionné, peut-être l'un des plus beaux que je ne partegerai jamais de ma vie. J'aurai voulu que cet instant dure toujours : ma main libre avait rejoint la sienne et nos doigts s'étaient entremêlés, nos corps s'étaient collés l'un à l'autre et le temps avait semblé suspendre son vol alors que l'eau chaude nous drapait tout deux.

Je n'aurais su dire comment, nous nous retrouvâmes sur le sol de la douche lorsque je rouvris les yeux. A genoux, Marie tout contre moi, elle n'avait plus rien à faire pour nous unir. Sous elle, contre elle, ma virilité battait fort. Il aurait suffit d'un rien pour que le pas soit passé, mais je me refusais à lui voler ce choix. Alors mes bras l'entourèrent avant que mes mains ne saisissent sa chute de reins, prête à accompagner son mouvement. Là, l'un contre l'autre, il ne fallait plus qu'un souffle pour que nous fassions enfin l'amour.


- Tout ira bien, lui susurrai-je dans un sourire tendre.


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