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Quand la voleuse se fait violer

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Nami-swan:

Voila maintenant cinq ans, cinq longues années que la belle rouquine croupissait pour avoir mangé trop gros poisson et s'en etre explosé le ventre. C'était assez triste pour la voleuse, en effet, Nami avait amassé un butin colossal, mais la police avait saisie la totalité de ses biens et donc, tout était a refaire, c'était grisant pour la jeune femme qui avait réussi a se tailler une belle réputation a l'interieur de Nexus en vantant ses capacité de voleuse et ses exploits.

Mais il y eut le coup de trop qui a valu cinq ans de prison, fort heureusement, grace a son bon comportement, Nami avait eut droit a une remise de peine, sa peine était passé progréssivement de 210 ans a seulement 6. Comme quoi, quand on veut on peut, mais c'est surtout son gant d'impact qui avait aidé, quatre condamné a mort qui voulaient prendre un dernier plaisir avant de couter tres cher a la prison en exécution et a la justice en procés et autres appels avaient été trouvé mort, un fragment du crane arraché par un force inconnu, pourtant, tout les détenu portent un anneau pour sceler les pouvoirs quelque soit leur origine. C'est donc ainsi, en rendant un bon service car non seulement les condamné voulaient prendre leur pied, mais surtout se tirer en douce pour recommencer leurs actes immoraux. Enfin, c'est ce que les gardiens ont comprit, chaque alourdissement de peine des hommes qu'un pur reflexe a tué lui valurent une réduction, si bien que la belle au tatouage voyait la fin de son calvere sombre.
Mais la personne qui avait obtenu une autre remise de peine  pour un an, et donc occasionellement la sortir de la définitivement, était d'une autre envergure que les condamné, lui devait bien valoir dans les deux ou trois mille ans d'incarseration. Seul probleme, c'est que ses crimes sont toléré dans les états concerné, meme si ce n'est pas le cas a Tekhos. Enfin, un certain Don avait fait penché la balance de la justice dans les faveurs gracieuses et cette jeune femme au regard englué par l'ombre et la crasse allait bientot se tirer de ce trou a rat, pour sans doute ne trouver rien d'autre qu'une autre cage, moins spatieuse et sans doute déja occupé.

Bon, il fou quoi l'avocat? Je veux sortir moi, j'ai des affaires a récuperer.

Par affaire, c'était surtout les affaires volé et qui étaient maintenant la propriété de Nami, on ne sue pas sang et eau pour se retrouver avec seulement ses yeux pour pleuré et le cul rouge d'une severe remontrance. Pas Nami, pas la princesse des voleurs.

Don:
Princesse des voleurs. Le titre était briqué par beaucoup de personnes, Perona tout d'abord, Aika après mais avec plus de modestie, surement ne se serait t'elle jamais appellée ainsi d'elle même, se contentant de sourire et de tirer la langue d'un air espiègle. C'était tout comme dans le manga, le grand méchant Don Krieg se proclamait l'homme le plus fort au monde alors qu'il n'avait pas réussi a survivre a Grand Line. En bref, on trouvait un nouveau roi des voleurs tous les jours. Le plus important c'était de le rester. Don était très légal, il n'avait rien fait de mal mis a part son travail de marchand d'esclave. Evidement peu de nobles qu'il fournissait étaient friands de savoir où il trouvait autant d'esclaves, tant qu'il en vendait personne ne posait de questions, personne ne se demandait pourquoi de plus en plus de son argent passait a racheter les maisons du bas quartiers pour cribler les pauvres de dettes et ainsi obtenir leurs filles ou leurs femmes en guises de compensation personne ne se posait de question, parce que Don savait depuis longtemps que quelques pieces bien placées pouvaient lier une langue. Et qu'il n'était pas avare quand celà servait ses propres bénéfices. Que la situation reste et demeure sous contrôle a jamais. Tel était son créneau, assez complexe a atteindre il est vrai, mais on a rien sans rien non?

Bien avant d'avoir découvert Nico Robin dans cette prison et en avoir été satisfait Don était parti voir les prisoniers, il avait entendu parler de Nami et avait eveillé sa curiosité. La cellule de celle ci était constituée d'une porte en metal avec un mirador dans le mur, il pouvait sans problème ouvrir le mirador sans qu'elle s'apperçoive qu'il la regardait...Un joli petit lot cette fille là...Et d'après les récits qu'on faisait d'elle elle avait repeint sa cellule avec la cervelle de criminels alors que ses pouvoirs ne fonctionnaient pas?Don remarqua une chose flagrante :Nami ne portait aucunement un unforme de bagnard, et a sa main directrice se trouvait un gant étrange, inesthétique et déparaillé qui devait être la cause de tous les problèmes assurement. Don se mit a reflechir alors qu'il entammait des procédures pour réduire les peines de Nami et la faire sortir. Il avait du soudoyer quelques juges, tuer ceux qui ne voulaient pas coopérer tout en faisant croire a un accident, mais au final ça en valait la peine. Il avait entre ses mains un papier de remise de peine indiquant que pour cette année de remise de peine, Nami lui appartenait selon la loi jusqu'a la fin de celle ci. En un an il avait de quoi s'amuser et la revendre pour ne plus être concerné. C'était donc parfait. Tout ce qui restait c'était faire sauter ce maudit gant...Elle ne semblait pas s'en séparer qui plus est.

Mais Don eut une idée du tonnerre.

Il alla donc a la cellule et l'ouvrit. Devant Nami se tenait un homme vétu de riches atours, d'une grande taille et de grande corpulence, avec des muscles saillant. Don toussa et se donna un air intellectuel, après tout si il était bien sappé c'était pour ça

"Mademoiselle vous êtes libre, suivez moi s'il vous plait nous allons restituer vos possessions."

Fit Don avec beaucoup de professionalisme. Marchand droit devant Nami ils s'arrêterent devant une salle avec deux flancs. Dans laquelle chaque prisonnier passait quand il entrait ou il sortait de prison, une salle de fouille. Don rappella la procédure a la voleuse, se tournant par fausse pudeur

"Entrez dans le cabinet de droite et refermez la porte, deshabillez vous et mettez vos vetements dans la corbeille, vous passerez par le système magique de repérage et je jouerais le rôle du gardien passant vos vetements de l'autre coté du mur. Après quoi ils vous seront restitués."

Nami avait du passer par là pour entrer en prison, c'était au cas ou pour fouiller tous les prisonniers. Elle connaissait donc la procédure. Si d'aventure Nami ne remettait pas le gant il insisterait, bloquant la procédure. Dans le cas ou elle le remettrait, Don remplacerait celui ci par une replique qu'il avait fait faire a Nexus par rapport aux nombreuses observations de l'armes qu'il avait pu faire a travers le mirador.

Une fois qu'ils passèrent le scanner (Un vulgaire détecteur de mensonge coté humain) Don cacha le gant dans un pan de son manteau et mit l'autre gant a la place, exactement de la manière dont Namy l'avait posé avant de le lui tendre par la trape en dessous de la porte pour qu'elle se rhabille et le suive a l'exterieur

Nami-swan:

Le temps se faisait long, autant les années précédentes l'ont emmerdé comme un rat mort dans sa paillasse, imaginez, la pire période de l'adolescence: l'acnée! Bon, Nami est une éroine de Manga, nous passerons donc sous le coup de la censure les mauvais traitements de la nature pendant sa sombre jeunesse carcérale. Enfin, le titre de princesse voleuse n'était pas vraiment approprié, reine des cruches peut etre. Ne pas voir que l'homme riche qui se présentait face a elle n'était pas plus un pigeon qu'elle était un homme. Pourtant les yeux de la belle prirent une tournure semblable a...$_$ ca. Cet homme était massif, probablement un sportif, un grand guerrier qui avait eut des proprieté terrienne pour son grand service et son aide héroique, enfin qu'importe, le tas de muscle devant lui était riche, ca se voyait parfaitement, Don avait comprit des les premieres secondes que la belle était vénale et pas qu'un peu, les bagues, les chaines, les habits de haute manufacture... Rien que ce que portait le vendeur d'esclave valait la moitié de ce qu'elle avait amassé dans sa carriere. Mais le seul soucis réside dans le fait que la jeune femme était sienne pendant toute la duré de sa "conditionelle". Bien que sa remise de peine eut été de plus de deux siecles, Nami n'en pouvait plus de ces barreaux et aspirait simplement a sortir au plus vite, sans se douter une seconde que la sortie était dans l'autre sens.
Comme beaucoup, la couleur rouge qui montait vers le banc de méduse était plus attirante que le bleu sombre qui visait le fond du canyon. Comme toute personne ne pensant pas plus loin que dans les apparences, la jeune femme au gant salvateur se leva dignement en saluant son maitre et futur premier amant avec une certaine grace.

Je vous remercie de faire si vite Maitre, votre travail et votre zele exemplaire m'emplissent de joie.

A ne pas confondre, Nami appelait Don par sa fonction juridique, non sa fonction fonciere et réelle. Comme l'agneau se précipitant dans la crevasse parce que l'herbe sans plus belle de l'autre coté de cette derniere, la jeune femme emboita le pas de cet homme bien fait dont la chevelure noué donnait un aspect de guerrier d'un autre temps mais d'un charisme halucinant. Il en manquait peut pour qu'elle tombe amoureuse. En meme temps, un homme riche, capable de la proteger, avec une réputation militaire, manquait plus que ce grand sauveur soit intelligent et c'était bon! En plus, il était séduisant.
Une fois arrivé a la cabine, Nami arreta de revasser sur la maniere de draguer son sauveur pour se faire un max de pognon et avoir un peu de fun dans l'histoire pour se mettre dans la cabine. Tout retirer, ils sont mignon, mais ce gant noir est collé a son bras comme si c'était sa peau, il cicatrise meme! C'est une sorte d'implant par bien des aspects. Mais comment dire, on ne lui a pas laissé le choix pour son gant d'impact, depuis toujours elle l'a, mais il ne sert pas tout le temps. Les coquilles ont besoin d'un grand nombre de choc pour pouvoir etre pleinement oppérationelle, mais son triple homicide involontaire lui a cramé toute énergie.

Je... Je ne peux pas retirer mon gant gauche Maitre, c'est une des choses dont vous avez été prevenu je pense, mais tenez, voici le droit, il lui ressemble assez en texture, dommage qu'il ne soit pas exactement de la meme couleur.

C'est vrai que ca ne faisait pas super d'avoir un seul gant, mais un noir profond et un grisonant, mais le gant était le premier objet d'une longue série. Le bracelet de cheville, scelant l'énergie magique pour éviter les débordements des minotaure et autres créatures a pouvoir supra devastateur, ensuite vint sa petite jupe marron a plissure, puis son haut blanc de type débardeur, largement décoleté. Ensuite le soutiens gorge noir, le string de la meme couleur, les balerines blanches et enfin les bas. Tres sexy la Nami, mais gené de retirer son porte jarretelle, mais c'est la procédure apres tout.
Une fois nue, la belle passa le détecteur et attendit ses affaires qui arriverent rapidement dans sa cabine, lui permettant de se rhabiller tranquillement avant de ressortir pour cette foutue fouille au corps, D'ailleurs la rousse protesta vivement:

Pourquoi vous me touchez? J'ai passé le detecteur, vous avez peur que je vous pique une savonette ??

C'est vrai, quel était le but de la fouille de sortie? apres tout, on est dangereux en entrant, au bout de cinq ans on est plus une menace, surtout qu'en cinq ans, la belle apres quelques centimetres et des tours de poitrine, si on lui fournissait des sous vetements gratuitement et assez aguichant pour avoir un peu d'action, action qui n'est jamais arrivé au grand damne des gardes qui se faisaient un peu chier sans filles a mater se faisant prendre de tout les coté dans la cour d'exercice... Dommage, son premier viol ne serra probablement pas commis dans cet prison, mais surtout le violeur n'aura rien a voir avec cette derniere.

Ou allons nous maitre.... Maitre?

Ce ton purement intérogateur demandait le nom de cet avocat, apres tout, cet homme l'avait sortit de prison, mais tout de lui était ignoré de la jeune femme, a part ses caractéristiques physique, et encore il n'avait rien montré qu'une imposante masse, qui dit que c'est pas que de la gonflette?

Don:
Mmh...Maître. Il entendait le terme souvent, mais généralement dans la bouche d'esclaves plus soumises et déjà domptées. Il savait très bien que Nami s'adressait a lui en temps que maître pour référer a sa sois disante profession d'avocat. Mais qu'importe. Pour le moment il allait jouer le jeu, il aimait beaucoup entendre Nami l'appeller ainsi, alors qu'elle ne se doutait pas que sa voix prendrais dans quelques minutes un ton bien plus suppliant que ça. Nami était bien faite et apparement personne ne l'avait tripotée depuis qu'elle était entrée dans cette prison. Du gachis. Si il l'avait su il l'aurait faite sortir a 16 ans. Alors qu'elle était encore fraiche, plus ils attendaient pour la formation et plus le sujet était revêche...Oh bien sur, il n'y avait pas d'âge pour Don. Mais il préférait se simplifier la vie plutôt que de s'occuper a domestiquer des femmes libérées dans leurs meurs comme dans leur têtes...Vu la tenue que portait Nami en entrant de prison et qui était assez aguicheuse, elle était déjà dans un état de "liberté" avancé au moment de sa capture...Et rien n'avait été fait...

Bien sur, il ne regrettait pas que la jeune femme ne se soit pas faite violer, au contraire, la banalité de l'histoire l'aurait alors poussé a se désinteresser de la situation, et même si Nami avait été très belle, il l'aurait donné a ses esclaves pour s'amuser avant de la revendre après qu'elle soit domestiquée. Don se tourna vers Nami. Il avait un an pour la transformer en soubrette docile et obéissante prête a servir aux bons plaisirs de Mr Le Vicompte et de tous ses invités sur un claquement de doigt et ce dans le sens même dans lequel Don le pense, oh oui. Ces nobles étaient bien plus vicieux qu'on ne pouvait le penser au premier abord, et les domestiques et esclaves étaient les premières a trinquer. Un an donc?Il avait largement assez. Il donnait une semaine a Nami. C'était la limite que peu avaient réussi a franchir en gardant leur volonté intacte. Certains étaient sur le point de s'écrouler psychologiquement, d'autres s'étaient totalement soumis, et enfin ceux qui dépassaient la semaines étaient "intenables" et enchainés, mis a dispositions des prisonniers pour obtenir des enfants plus facilement et traitée comme des trous jusqu'a leur mort. Au moins avec la vie d'esclave il y avait aussi des préliminaires, une vie, et des choses a faire. Et non pas se faire remplir du matin au soir sans jamais aucun répit.

C'était donc vers un avenir bien cruel que se dirigeait Nami. Elle ne se doutait pour l'instant pas de la part d'ombre qui recouvrait cet avenir et ne se sentait que trop heureuse de quitter cette prison. Et Don ne pouvait que s'en féliciter. Après tout il avait fait une bonne action. Il l'avait sorti de son ennui. a partir de maintenant elle ne s'ennuierais plus. Plus jamais. Il garda un certain silence laconique jusqu'a la sortie de Nami. Voulant passer pour professionel mais également pour réflechir a un plan...Il essayait de mettre ça au point quand ils arrivèrent a la zone de fouille. Bien, tout d'abord se débarasser du gant. Ensuite on verrait. Alors qu'il se préparait déjà a faire l'échange le gant ne vint pas. Il le réclama mais elle lui annoncé qu'il était greffé sur elle. Don marqua un temps...Est ce qu'elle se foutait de lui?Collé?Il ne répondit rien et se contenta d'acquiescer et de répondre avec stoicisme.

"Je vois."

Oui il voyait, il voyait bien qu'il était dans la merde. Il prit les vetements et les fit passer de l'autre coté du scanner...Il allait devoir repenser a son plan, ou sinon il était mal...Bah il allait surement trouver quelque chose...La voilà qui ressortit d'ailleurs...Il avait pu observer ses vetements lors de la fouille et il avait hate de les voir sur elle...Pour les lui enlever. Don se contenta de saluer Nami a sa sortie et lui demanda avec politesse et courtoisie en tendant la main

"Pourrais je voir le gant s'il vous plait?Je suis intrigué par son aspect et si a l'avenir je dois être interrogé dessus j'aimerais savoir a quoi m'en tenir."

Il prit son gant (et donc le bras avec) dans sa main et le tourna et retourna, tout en posant des questions.

"Comment se fait t'il que ce gant soit collé a vous ainsi?Est ce qu'il vous confère des pouvoirs?Un privilège?Avez vous de l'affinité avec cet équipement ou bien est ce un fardeau pour vous?Vous a t'il été installé lors de votre séjour?Connaissez vous les raisons pour lesquelles il est ainsi scéllé?Qu'avez v..."

Il lança quelques questions, assez pour tenir une bonne minute et puis il fit signe a Nami de continuer sa route et de le suivre. Usant ainsi de son pouvoir il avait une heure pour soumettre Nami a sa volonté. Quand il eut fini il l'entraina un peu plus loin dans la prison, Nami n'ayant jamais vu ce genre d'endroit il était normal qu'elle ne sache pas ou était la sortie. Après tout elle était enfermée dans cette piece depuis bientôt 5 ans. Finalement Don répondit alors qu'ils s'arrêtaient devant une porte.

"J'ai fait effectivement mon travail avec zèle et déférence, travaillant jour et nuit pour votre libération. Il m'est néanmoins amusant de constater qu'une femme de votre acabit ne se soit jamais douté de rien."

Don se tourna vers Nami et enleva ses lunettes pour les caser dans une poche avant d'entreprendre un tour du propriétaire, se contentant simplement de tourner autour de Nami innocement comme si il évoquait une théorie

"Avouons le :Nous ne nous connaissons pas. C'est la première fois que nous nous voyons. Vous avez été condamné pour vol, vous savez donc mieux que quiconque que dans la vie, rien n'est gratuit."

Don poussa, gentiment, Nami a entrer dans la piece devant lui tandis qu'il continuait son speach...La piece était sombre, elle possédait de larges rideaux bleux tirés a travers lesquels on ne voyait rien et au milieu se tenait quelque chose de difficilement visible. Don a présent dans les ténèbres, lui montra le contrat et craqua une allumette pour qu'elle puisse le lire.

"J'ai obtenu votre liberté pour un an. Pendant cet année vous êtes ma possession personnelle. Je ne suis pas avocat. Je suis Don, marchand d'esclave. Et un an est largement assez pour te transformer en adorable petite soubrette prête a tout pour satisfaire son maître..."

Il la saisit par la hanche et l'attira violement vers lui

"Tu es a moi, et je vais parfaire ton éducation ici et maintenant."

Fit il avant de l'embrasser.

Nami-swan:

Loin de se douter que son sauveur était en fait venu ici dans le seul but de l'entrainer d'une cage a une autre, Nami resta zen et ne monta pas sa garde contre cet imposant jeune homme. Don semblait tout a fait intrigué par ce gant, sans doute que sa manoeuvre pour désactiver les coquillages, mais ce n'était pas la peine. le gant faisait parti de son corps, les dials étaient des organismes a part, donc son pouvoir ne les désactiveraient pas. De toute maniere, son récent coup d'éclat avait vidé les petit coquillages de toute leur force accumulé depuis des années. Donc, meme sans cette précaution le gant ne serait pas une menace. Cependant, il était un devoir pour Nami de répondre a ces intérogations.

Ce gant? je le possede depuis toujours, il a été comme colé a ma peau, si je suis blessé au bras il cicatrise avec le gant, ce qui est assez étrange je dois l'avouer. On ne peut me le retirer et lorsque je m'en sert trop souvent, comme avec les trois évadé, il se décharge et le temps de recharge dépend des impacts qu'il recoit. C'est un objet étrange, mais assez pratique je dois avouer.

C'était un résumé de ce que son arme était pour elle, c'était un outil autant qu'une arme, lui permettant d'ouvrir n'importe quel coffre en faisant exploser la cerrure avec seulement un doigt... et encore bien d'autre utilisations que la jeune femme trouvait a cet objet des plus pratique pour son metier de voleuse.
Etant donné que le seul chemin que nami connaissait dans cette prison depuis 5 ans était le chemin qui menait au refectoire puis a la cour d'exercice avant de passer le cinquieme district et retourner droit a sa cellule. Elle ne se doutait donc pas une seule seconde que le géant qui marchait legerement devant elle était en train de la mener dans une des pieces les plus sombre et les plus profonde de la prison pour femme. Cette piece avait été renommé le purgatoire, cet endroit servait aux nobles et aux gens ayant les moyens, quoi que les gardes ne se genaient pas, de prendre du plaisir avec des prisonieres encore plus basse que les esclaves. Lié, aveugle et a moitié drogué, ces femmes étaient des trou en libre service. Ce passage permetait une remise de peine quand on était conscentante, mais comme la plupart étaient condamné pour deux ou trois siecle minimum, cette remise de peine de 1 a 2 mois était pas vraiment alléchante.
C'est donc dans cette piece où sont tapis dans l'ombre des armoires comportant divers objets de SM, des cordes, des lanieres de cuirs, des rouleaux de scotch bien collant et autre matériel de bondage que notre pauvre innocente était poussé.
Don avait sans doute étudié les moeurs de la prison, a moins qu'il ait trouvé une vierge dans cette prison désirant aller au purgatoire pour faire couler son sang et réduire de 10 années sa peine. Qui sait? Mais le pseudo avocat n'avait meme pas mis la puce a l'oreille de son esclave anuelle en lui disant que tout avait un prix, c'était un fait avéré, la preuve, sa jeunesse avait été fauché pour payer sa dette. La porte se ferma et le masque tomba, ce n'était pas un avocat mais un vendeur de chair, et cette idiote était maintenant sienne pendant une année entiere! Une année de soumission totale et obligatoire si elle ne veut pas retourner moisir dans ce trou. c'était cher payer quand meme mais bon, avait elle vraiment le choix?
Resigné a perdre ce qu'elle avait sauvé par le sang meme pas une semaine plus tot, la jeune femme se laissa attraper par son boureau et le regarda, terrorisé par cette masse qui était maintenant sur son corps et qui allait lui arracher son bien le plus précieux: celui qui fait d'elle une femme mariable.
L'explication était claire, la poigne assuré, la terreur la tétanisait alors qu'il prenait ses levres avant de l'embrasser sans permission. Quand Nami réussit a se tirer de cette affaire, elle se reculant autant qu'elle put en essayant de se dégager mollement de cette poigne feroce.

Non, je ne veux pas... Vous me faites mal...[/b]

Mais son esprit était inhérant a cette peur et a cette douleur, fonctionnant a plein régime pour tenter de se sauver des griffes de ce monstre, mais il avait tout prévu, plus une seule porte ne s'ouvrirait maintenant qu'il tenait cet acte de propriété. C'était cuit pour la belle et il ne restait qu'une chose a faire pour la belle rousse: se faire éduquer.

Je... soyez doux je vous en prie, je n'ai jamais fait ca, j'ai peur... Je ferais ce que vous voulez pour ne pas retourner en cellule, mais je vous en supplie, ne me faites pas mal...

Sachant que le viol était innévitable, Nami tentait de faire appel a ce que Don ignorait: sa pitié, mais qui sait, ca ne lui coutait que son orgueil de demander, de toute façon son destin était scélé alors autant que ca soit le moins douloureusement possible

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