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Une fête qui dérape [PV]

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Kuro Hime

Une fête qui dérape [PV]

vendredi 28 octobre 2011, 21:23:50

Une soirée. Cela faisait longtemps qu'elle n'en avait pas fait. Il fallait aussi dire que le passage d'une déesse chez elle l'avait calmée... pendant un temps, au moins. Mais maintenant, elle était à nouveau sereine sur tous ses actes. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Elle avait le pouvoir, elle était riche, elle était la princesse de ces lieux, Kuro Hime. Magnifique non ? Ce nom lui allait à merveille. Et maintenant que son sadisme naturel pouvait reprendre le dessus sans être menacé par une foutue déesse... C'était le paradis. Et pour fêter son retour à la liberté, elle avait organisé une grande fête. Majestueuse, c'était le mot. Les invitations de la princesse avaient été envoyées au plus de personne possible. Riches, bien sûr. Kuro Hime ne les connaissait pas tous, même si elle avait déjà eu l'occasion d'en rencontrer la plupart lors de divers évènements, mais elle s'en foutait. Ce soir, c'était son soir. Elle allait à nouveau briller.

La jeune démone -au sens figuré seulement- n'avait pas changé ses habitudes. Toute de noire vêtue, sa longue robe épousait ses formes alors que son corset enserrait ses hanches et rehaussait sa poitrine. Plus haut, sa peau d'albâtre était révélé par le décolleté offert, alors que les chaines en or blanc brillaient sous les flammes des lampes. Son collier de tissu portait toujours cette même tête de mort, signe de son pouvoir de vie... et de mort, sur tout ce qui entrait dans sa maison. Généralement elle ne l'usait que sur des esclaves, et c'est pourquoi la crainte n'était pas vraiment présente chez les riches, et pourtant... La coiffe noire sur ses cheveux peroxydés était en parfait accord avec la robe. Décidément, la princesse noire portait bien son nom.

Et la fait avait déjà commencée. Les invités ne cessaient d'arriver, et l'immense maison, manoir ou château selon le point de vue de la maîtresse de ces lieux pouvait facilement accueillir tout le monde. Lieu de débauche dans les moindres recoins. Lieu pour se montrer. Et celle qui brillait au milieu de tout cela, c'était la princesse. Posant ses mains sur des esclaves par pur plaisir, ceux-ci se mettaient directement à crier, leurs hurlements de souffrance couvrant un instant le capharnaüm qui régnait avant de s'éteindre. Ou bien dans des sanglots secoués, ou bien à jamais. Elle en avait déjà tué trois esclaves, des betes ignorantes jamais contents. Voilà ce qu'ils étaient. Mais elle se lassait des esclaves.

Surtout qu'une chose avait attiré son attention. Apparemment, c'était une invité, mes les habits que cette dernière portait étaient quelque peu singulier dans cette fête-là. L'invité en question était habillée comme une esclave, et faisait clairement tâche sur le tableau. On voulait gâcher sa fête en se dénotant ? Très bien, l'imprudente allait regretter son acte, Kuro Hime en était sûre. Une fois le nom de cette intruse, l'ordre donné pour le savoir avait rapidement été exécuté, elle s'avança vers cette femme, conquérante. Elle était sur son terrain, après tout, et maintenant allait commencer son jeu favori. La torture, encore et encore, mais d'abord, les formules de politesses... Joie. Et sa voix, plutôt grave, résonna assez fortement pour que, malgré le bruit environnant, la duchesse l'entende.

-Duchesse Fifine, je suis ravie que vous ayez pu venir à ma fête. Cependant, il y a quelques points que vous n'avez peut-être pas compris. Votre habit est inacceptable. Je vous demanderais de quitter la fête maintenant... Ou bien...

Elle fit un pas de plus pour se retrouver presque collée à la duchesse, un seul millimètre les séparant, et la princesse lui posa sa main sur son bras.

-Ou bien vous allez souffrir pour moi.


Dit-elle en souriant, alors qu'elle déclenchait en même temps son pouvoir, lui envoyant des salves de douleur. Derrière, et sur les cotés de Kuro Hime, se trouvait trois de ses gardes personnels. Jonas, celui qui pouvait distinguer la vérité du mensonge, et deux autres, un qui avait le pouvoir de soigner toutes les maladies et poisons qui existaient et qui se trouvaient dans un corps, et le troisième qui pouvait simplement envoyer quelqu'un voler d'une pichenette. Plus clairement son pouvoir était de mettre en lévitation quelqu'un, ensuite, l'envoyer balader était un jeu d'enfant.

Vero Behemot

Re : Une fête qui dérape [PV]

Réponse 1 vendredi 28 octobre 2011, 22:25:51

J'allais prendre un instant de détente, quand un de mes esclaves vint à me demander un moment d'attention envers lui. Par simple envie ou parce que j'étaie tout simplement sa maîtresse, je vint à lui laisser une minute et pas plus pour me dire ce qu'il voulait. Légèrement craintif il me tendit une lettre.

La fragrance qui s'y échappait me faisais clairement signe que ce n'était pas encore une lettre d'un des nombreux prétendants voulant me conquérir. Aussi je pris un coupe-papier pour ouvrir la lettre, l'esclave ne bougeant pas car il risquait très gros dans cette affaire.

- hum ... une invitation à une réception ... que c'est charmant, il y a la forme et de bons arguments.

Je me tourne vers le terranide et sans l'avertir lui plante le coupe-papier dans le bras droit.

- Estime toi heureux que cette lettre m'est mise de très bonne humeur, sinon tu pouvais dire adieu à ta misérable vie. Allez file ... et tâche d'effacer ton sang.

Le terranide se mit à filer rapidement, je pouvais sentir l'odeur de la peur, c'était si amusant de traumatiser ce petit être, le fait qu'il soit muet étant une bénédiction pour moi, je n'avais pas à l'entendre me brailler dans les oreilles.

Mon bain se passa sans le moindre soucis, le fait que mon ex-duc est construit sa villa sur une source chaude était une merveilleuse idée. Avec patience je me mis à décortiquer l'écriture, il paraissait que l'on pouvait savoir l'humeur de la personne qui écrit par la forme de ses lettres, mais pour moi ce n'est pas utile.

Comme la fête était prévue pour ce soir, c'est vrais que sur Terra ils n'ont pas un système postal très bien organisé et que les envoient sont toujours à la dernière minutes, mais bon, j'ai encore beaucoup de temps avant l'heure.

Je vins à demander Albert, un humain qui avait une vie miteuse et qui a présent me sert de cocher, ce n'est pas une vie facile pour lui j'en convient, mais il n'a pas à s'inquiéter d'avoir un bon repas le soir et le matin. Il allait donc me préparer un carrosse avec le blason du défunt duc.

Pendant ce temps deux servantes vinrent à m'apporter ma tenue. Bien des nobles considérait qu'une femme issue de la noblesse doit se couvrir le corps de tissu, à croire que plus on ressemble à un papier cadeau plus on est belle. Ma tenue est légère, dévoilait mon corps et ses charmes, tout en gardant tout de même une allure de reine orientale. Pour me donner un statut de duchesse, je ne mis qu'une boucle d'oreille en or avec en son centre un rubis. Quelques babioles en or, mais rien sur mes doigts, c'est si chiant de retirer des anneaux qui vous serrent les doigts et je préfère marquer de mes ongles la peau plutôt qu'avec un objet.

Une fois jugée prête, je fis appeler Albert qui m'emmena alors vers la demeure de cette Kuro hime. La première chose à dire c'était que sa baraque ce voit de loin, visiblement elle sait recevoir cette petite princesse noire. Pourquoi dire petite ? Parce que face à moi elle n'est rien de plus qu'un cafard et que j'avais de quoi lui apprendre les bonne manière

Vint le premier obstacle, les gardes, je tendis mon billet et ils me souhaitèrent une bonne soirée, tsss ... de simple cabots qui aboient et se retirent la queue entre les jambes quand on montre patte blanche. C'est alors qu'une idée saugrenu trotta dans ma tête. Je dis à Albert de s'arrêter, il restait du chemin jusqu'à la demeure de Kuro Hime, mais cela était pour un but bien précis.

Sachant qu'il ne fallait pas discuter mes ordres, Albert repartit vers ma demeure, me laissant faire le reste du chemin à pieds. 'était si bon de sentir ses muscles travailler sous l'effort, accompagnée d'une douce brise hivernale, il ne manquait plus que le hurlement des loups et j'y prendrais un certain pied.

Je vins enfin au pied de la demeure de Kuro hime, sous l'effort mon corps c'était recouvert d'une très fine pellicule de sueur, faisant resplendir ma peau basanée, bien sûr je vins à user de mes pouvoir pour que les roses de ce magnifique jardin m'imprègne de leurs odeurs, ainsi j'avais une peau attirante et une odeur florale, de quoi m'amuser pour refuser aimablement les nombreuse avances qui allaient inévitablement arriver. L'anonymat n'existe pas longtemps chez les duchesses célibataires.

A peine eus-je prit place dans la grande salle que déjà des hommes et, plus surprenant, des vinrent à me faire la cours, sans doute pour avoir une récompense plus charnelle en échange de leurs avances, mais avec une grande subtilités et finesse je me fis refuser à toute les mains.

-Duchesse Fifine, je suis ravie que vous ayez pu venir à ma fête. Cependant, il y a quelques points que vous n'avez peut-être pas compris. Votre habit est inacceptable. Je vous demanderais de quitter la fête maintenant... Ou bien...

Je me tourne vers l'imprudente qui venais de me faire une douce menace déguisée, la faisant face, mon regard bleu marine défiant celui de cette femme en noire. Kuro Hime sans en douter. C'est alors qu'elle vint à me toucher, cette humaine comptait ...

-Ou bien vous allez souffrir pour moi.

D'un coups une douleur vint me tirailler le ventre, on pouvais voir ma surprise par un léger sursaut, mais aucun cris n'étaient sortie de ma bouche, seulement une expiration bien plus rapide que les autres. Elle avait du cran cette gamine, vint alors les trois gorilles à côtés, n'étant pas une adepte de l'omniscience, je ne pouvais que me douter qu'ils avaient aussi leurs pouvoirs à eux.

Ce n'était pas une petite douleur qui allait me faire agenouiller à ses pieds, dire que d'un coups je pouvais l'empaler par des piques de carbone, son sol étant très riche de cette matière. Je dis d'une voix calme.

- Excusez donc ma tenue, il semble que le cadeau d'un puissant seigneur d'un contrée lointaine n'ai pas trouvé goût à vos yeux, votre délicate attention me touche profondément.

Ben quoi ? J'ai pas le droit de jouer dans la subtilité pour lui faire comprendre qu'elle n'a aucun goût ? En tout cas cette sale petite garce va savoir que ma vengeance sera très longue et douloureuse.

- Vous devez être Kuro Hime, enchantez de vous connaitre, cela dit la présence trop proche de vos hommes me dérange, il serait malencontreux que j'use de ceci pour les éloigner de moi. J'ai une légère allergie aux mâles, voyez-vous, cela me rendant très vite irritable.

Je montre sur ma hanche gauche ma dague, celui qui avait voulut me l'enlever c'était retrouver par terre, il serait dommage de devoir la salir et je ne pouvais que espérer, pour son propre bien, qu'elle comprenne que même si elle était maître ici, elle n'avait pas intérêt à me chercher.

Kuro Hime

Re : Une fête qui dérape [PV]

Réponse 2 vendredi 28 octobre 2011, 23:29:41

Etrange. Enfin, étrange. Elle avait déjà rencontré des fortes têtes, mais sous la surprise du premier coup, aussi faible soit-il, ils avaient eu l’amabilité de pousser au moins un cri. Mais elle, rien. Rien de rien ! Pas un mot. C'était franchement frustrant de voir une telle réaction. Il n'y avait eu que la respiration qui s'était accélérée. Pfeuh. Dans le genre qui vous tape sur les nerfs, cette duchesse en quelques minutes avait fait fort.

- Excusez donc ma tenue, il semble que le cadeau d'un puissant seigneur d'un contrée lointaine n'ai pas trouvé goût à vos yeux, votre délicate attention me touche profondément.

Oh, elle se moquait d'elle ? Et bien soit, qu'elle joue avec le feu. Elle aura compris rapidement qu'il ne fallait mieux pas embêter la princesse alors qu'elle faisait la fête. Surtout la fête de sa libération. Elle avait toujours la main mise sur les entrées et les sorties des villes, ce qui lui permettait finalement de tout contrôler, ou presque, et d'amasser une fortune digne de plusieurs rois. Mais voilà qu'une imbécile venait gâcher ses réjouissances ! Enfin, gâcher... Si seulement elle arrivait à la mâter, mmh... Ce serait un joli cadeau, pour un retour sur le marché de la torture. Et la voilà qu'elle continuait à parler.

- Vous devez être Kuro Hime, enchantez de vous connaitre, cela dit la présence trop proche de vos hommes me dérange, il serait malencontreux que j'use de ceci pour les éloigner de moi. J'ai une légère allergie aux mâles, voyez-vous, cela me rendant très vite irritable.

-Oh que non, duchesse. Vous n'êtes pas excusée. Que ce soit le cadeau d'un puissant seigneur est une chose. Que cela ne me plaise pas en est une autre. Et comme ma volonté est reine... C'est chose réglée. Je vais donc me répéter, en espérant que ce soit la dernière fois. J'aimerais que vous alliez vous changer sur le champ. D'ailleurs, même si l'histoire sur votre allergie est bien sûr fausse -elle en avait eu la confirmation par un signe discret de Jonas, qui restait en dehors de cela, parfaitement impassible-, vous allez m'accompagner. Cette fête est superbe. C'est normale, c'est la mienne. Mais le fait est que vous faites tâche. Si j'ai décidé que vos habits n'allaient pas, c'est... qu'ils ne vont pas, simplement. Alors, je vous prierai de ne pas commencer à contredire mes ordres.

Et d'un signe de tête, elle montra une porte qui s'ouvrit directement, et le passage entre Kuro Hime et cette porte en question fut libéré de toutes personnes.

-Venez, suivez moi.

Dit-elle simplement avant de s'engager. Le pauvre esclave qui passa devant elle pour servir des personnes fut tué sur le champ. Pas de souffrances, pas d'agonie, la mort était simplement venue le happée. En fait il y avait eu de la souffrance, mais celle-ci était venue tellement soudainement et forte que le corps du pauvre homme avait laché. Le laissant tomber à terre, le piétinant, elle sourit de joie alors qu'un de ses talons écrasa un des doigts du mort, doigt qui fit un horrible bruit magnifique sous la pression. Et sans plus s'y attarder, la jeune femme continua son chemin. Que l'autre l'ait suivie ne lui importait que peu. Et ses hommes n'étaient plus avec elle. De toutes façons, Kuro Hime pensait qu'elle pourrait se défendre aisément contre cette récalcitrante.

Et après avoir marché quelques pas dans un couloir bien éclairé, elle prit la première porte à droite pour déboucher sur une magnifique pièce. Un lit à baldaquin trônait au centre de la pièce alors que les murs étaient tapissés ... d'armoires, qui étaient elles-même remplies de vêtements, jouets, instruments de torture, et autre. Un petit paradis pour la princesse, en somme. Mais seul les vêtements l'intéressait pour l'instant. Qu'est-ce qu'elle pourrait faire enfiler à ce qu'elle considérait déjà comme sa prochaine esclave... Elle lui tournait le dos, oui. Délibérément pour lui montrer qu'Elle était la chef en ces lieux. Et qu'ainsi, rien ne pouvait lui résister.

Vero Behemot

Re : Une fête qui dérape [PV]

Réponse 3 samedi 29 octobre 2011, 00:30:21

-Oh que non, duchesse. Vous n'êtes pas excusée. Que ce soit le cadeau d'un puissant seigneur est une chose. Que cela ne me plaise pas en est une autre. Et comme ma volonté est reine... C'est chose réglée. Je vais donc me répéter, en espérant que ce soit la dernière fois. J'aimerais que vous alliez vous changer sur le champ. D'ailleurs, même si l'histoire sur votre allergie est bien sûr fausse -elle en avait eu la confirmation par un signe discret de Jonas, qui restait en dehors de cela, parfaitement impassible-, vous allez m'accompagner. Cette fête est superbe. C'est normale, c'est la mienne. Mais le fait est que vous faites tâche. Si j'ai décidé que vos habits n'allaient pas, c'est... qu'ils ne vont pas, simplement. Alors, je vous prierai de ne pas commencer à contredire mes ordres.

Ho la petite humaine veut visiblement avoir main mise sur tout ce qui l'intéresse ou dans ce cas l'ennui. J'ai pus noter que cette petite princesse avait apparemment un égo qui était digne des êtres de son espèce, les humains ont tous envie d'avoir de l'attention, cela depuis leurs plus tendres enfances. Cette humaine ne faisait pas exception à la règle. Le fais qu'elle sache que mon histoire voulais dire une chose, dans les trois il y en avait un qui savait lire dans mes phrases pour y discerner le vrai du faux. Intéressant, vraiment très intéressant, elle sait s'entourer de personne qui comble l'apparente cécité verbale procurée par son orgueil.

Elle disait que je faisais tâche, mais apparemment elle était trop bête pour se rendre compte que  mon accoutrement était fait pour me démarquer des autres femme de la noblesse. En tout cas si cela la déplaisait beaucoup de convive avaient un avis contraire à cela et me trouvait superbe. Je doute même que cette noble ai fait une seule fois attention à tout ceux qu'elle a invité, mais ça ce n'est pas mon problème, c'est le sien.

J'eus le droit à une petite démonstration de son charisme glaciale en m'intimant l'ordre de la suivre. Ses humains sont si pathétique, courbant l'échine à une telle femme, tout simplement car elle possède de l'argent et un pouvoir qui pouvait nuire à leurs vies.

C'est en pensant à cela que je vis un de ses serviteurs s'écrouler à terre, les yeux révulsés par une douleur pour le moins mortelle, il fallait être idiot pour passer devant sa maîtresse et ne pas la saluer en guise d'excuse, d'un autre côté on ne peut pas demander à des terranides de penser comme des humains.

Elle me faisait bien rire en frimant un peu. Écraser un simple doigt ? Aurait-elle un peu de respect pour les morts ? Non son regard et sa façon d'agir démontre un désintérêt total pour la vie des autres, tant qu'elle restait libre et maître de la situation, elle s'en fichait royal de tuer ceux qui l'entoure. C'était tout de même un exploit de pouvoir s'entourer de personne compétente avec un état d'esprit pareil, sans doute la peur était-elle à l'origine de ce recrutement.

D'un pas léger je suis la maîtresses de lieux, non sans marcher sur le dos du cadavre, broyant sa colonne vertébrale, je n'avais pas envie de voir son cadavre retrouver la vie et à moins d'utiliser la magie noire, une simple résurrection n'aurait servit à rien à part avoir un terranide infirme. On sentait en elle une assurance, c'est tout à fait naturel quand je ne montre pas mes pouvoirs, mais je me rappel, elle m'a touché ... Je sent qu'elle va bien rire de la suite.

Vint enfin la grande chambre luxueuse avec beaucoup de babioles, certaine m'étaient connu, d'autre non, mais sa décoration avait le mérite de montrer chez elle une manie de vouloir faire du mal, humilier et asservir les personnes. Hmm ... Je me demande si je ne vais pas la faire plaisir avant de lui donner sa leçon de la nuit, une chose était certaine, cette donzelle allait subir une telle humiliation que tout le monde se moquera de Kuro Hime dans nexus, de quoi l'empêcher de sortir de chez elle pendant un petit moment ... A moins que je la dompte un peu pour la vendre en tant qu'esclave, son physique compensait son pouvoir meurtrier et son caractère de chien.

Mais j'ai tout le temps de penser à la suite, occupons-nous de divertir un peu cette humaine.

- Je vois que vous avez des goûts  très particuliers, comme une garde-robe bien fournit. Vous voulez que je me change, malheureusement je n'ai pas d'affaire de rechange et vous emprunter une de vos tenues me gênerais vraiment.

Vous allez me demander ce que je suis en train de mijoter. A vrai dire ... rien. Je veux la faire cuire dans son bouillon de rage, la poussant à se venger sur la tenue qu'elle me passerait, sauf si elle avait décidé de me mettre toute nue, mais elle verra très vite que mon corps est aussi séduisant que les succubes.

Restait à savoir ce qu'elle allait faire. Cela promettait d'être amusant.

Kuro Hime

Re : Une fête qui dérape [PV]

Réponse 4 mercredi 02 novembre 2011, 00:50:03

-Emprunter une de mes tenues ?

Elle regarda d'un air curieux la duchesse qui l'avait suivi. Non ceci n'étaient pas ses tenues à elle. Juste des objets de collection parmi d'autre. Après tout, elle ne mettait qu'un unique type de vêtement, chose qu'elle possédait en une multitude d'exemplaires, bien sûr. Assez pour remplir plusieurs chambres comme celle-ci en fait. Mais tout était réparti dans ses divers demeures à travers la capitale. Pourquoi était-elle là, déjà ? Ah oui, une tenue. Laissant Vero' attendre tranquillement, elle farfouilla dans les divers placards. Et à force de fouiller, elle finit par tomber sur une tenue qui lui plu enfin. Le genre de tenue qui ferait baver n'importe qui, mais non pas à cause de la peau découverte, mais de la richesse de la tenue. Se retournant avec la longue robe en main, elle expliqua son geste.

-Il n'est pas question qu'une personne de votre rang soit humiliée, rassurez vous. Voyez vous, la robe que vous voyez, avec les parures d'or, les séries de colliers avec des pierres de lapis-lazuli, une pierre de la Terre, un autre monde, ou autre, pourrait facilement acheter plusieurs maisons. Ou la mienne seule. Enfin bon. Toujours est-il que ceci n'est pas un emprunt. Mais un don. Je vous donne cette robe, car vous, et vous seule, avez pu attirer mon attention. Chose remarquable, ou regrettable selon les avis. Vous ferez des envieux, durant ma fête. Vous serez ... Si je suis la reine, ou déesse de ces lieux, vous serez mon bijoux le plus précieux, si vous voyez ce que je veux dire. Non pas que vous soyez un objet ou quoi que ce soit de cet ordre bien sûr.

Sa voix puait le faux, et elle ne s'en cachait pas. Ce qu'elle avait dit, elle le pensait. Cette femme, duchesse ou non, serait à elle. Son bijou. Son objet. Et plus tard, oui, quand la fête serait finit, cet objet pourrait crier de douleur, alors qu'au simple son de ces cris, la princesse noire prendrait son plaisir. Elle en salivait presque d'avance, elle voulait voir ce fin visage tordu de douleur. Priant pour que tout s'arrête. La suppliant, à n'importe quel prix... Kuro Hime en avait tellement hâte qu'elle en piétinait un peu sur place. S'avançant, elle posa la robe avec délicatesse sur le lit, prenant soin de ne rien froisser. Et elle alla fermer à clé la porte de la chambre, pour être la seule à pouvoir habiller selon son désir son objet. Et si elle s'appropriait une duchesse, et qu'elle voulait le montrer à tous, elle préférait quand même garder au maximum le plaisir de la voir sous tous les angles. Se plaçant dans un coin de la pièce, jouant avec un esclave qui était resté là, puisque c'était sa place. D'ailleurs celui-ci ne pouvait plus bouger. Près de ses articulations avaient été placés des sortes de platre, qui empêchait tout mouvement. Le tout était relié au sol pour que l'esclave devienne une parfaite statue vivante. Et pour lui, une lente torture commençait déjà alors que la princesse dévorait des yeux la proie qu'elle avait choisi.

-Puisque vous avez invité ici, duchesse, c'est que vous êtes riches, et que vous avez des esclaves. Généralement. Alors ne soyez pas gêné, changez vous ici. De toutes façons... vous n'avez pas vraiment le choix en fait. Mais mettez ces vêtements là qui vous iront mieux que la chose que vous osiez porter auparavant.

Tout pour le plaisir des yeux... Tout pour elle. Les gémissements de douleurs qui sortaient de la bouche bâillonnée de l'esclave la faisait sourire béatement. Quelle bonne soirée finalement. Elle remerciait celui qui avait envoyé les enveloppes dans tous les coins de Nexus, et celui-ci verrait sûrement son salaire d'un coup augmenté, au moins par dix. Aller, que la fête commence...  La robe qu'elle lui avait donnée était une longue robe blanche, opaque. De fines lignes d'or pur avaient été cousus de la taille jusqu'au bas de la robe, pour que cette parti scintille à chaque pas que la porteuse ferait, ainsi, elle attirerait les regards directement. Pour le buste, de l'or blanc et de l'or... doré s'entrelaçaient dans des dessins compliqués pour repartir dans le dos dans des traits plutôt droits. L'or était une matière tellement noble.


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