Bac à sable > One Shot

Une rencontre "sensationnelle" [PV]

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Lydia:
Telos était choqué par la réaction d'Echraya. Elle s'était montrée hautaine, cassante, voir meme un peu hargneuse. Elle n'avait pas répondu à son interrogation, et s'était montrée condescendante avec lui. Il était sacrément déçu, lui qui pensait qu'elle serait un peu plus compatissante avec quelqu'un qui vivait ce qu'elle avait surement vécu, elle aussi. Il espérait d'elle qu'elle lui apprenne à vivre avec les humains, et tout ses espoirs s’envolèrent en meme temps que ses remarques cinglantes. Selon lui, à force de côtoyer des humains, la succube avait fini par s’imprégner de leurs réactions souvent démesurées. Il est un peu niais, et également à coté de la plaque, si on peut dire.

La phase de déception passé, il se souvint des paroles insultante de la jeune femme. "T'étais pas obligé d'etre si méchante !". Il sentait l'indignation monter en lui, et couplée à sa frustration, cela commençait à le rendre furieux. Il étira l'un de ses tentacules et le dirigea vers la succube, qu'il agrippa par l'un de ses sabots, l'enroulant fermement autour de celui-ci, et le tira d'un coup sec, faisant ainsi basculer la succube en arrière, qui tomba lourdement au sol. Il cherchait à etre vexant, lui aussi, et lui dit alors sèchement "Les gens sont gentils avec toi car tu es l'esclave de leurs plaisirs, c'est tout !".

Mais cela ne parvint pas à calmer ce sentiment de frustration qui commençait à prendre le pas sur sa raison. Et Telos avait conscience de cela, bien qu'il ne s'en était jamais inquiété. Généralement, lorsque cela arrivait, il capturait une personne qui aurait la malchance de croiser son chemin et l'emmenait dans son repère souterrain, pour pouvoir passer ses nerfs dessus à loisir. Et la succube n'échapperait pas à cette règle. Son tentacule toujours enroulée autour du sabot de l'insouciante succube qui était encore allongée sur le sol, il commença à ramper en direction de la bouche d’évacuation par laquelle il était passé, la trainant sans remords sur le sol sableux qui devenait un peu boueux après passage de la créature.

Il s’immisça dans l'ouverture, en prenant soin de faire passer la succube sans la casser en deux, et l'emmena dans une pièce circulaire surmontée d'une coupole. Telos en avait l'habitude, et y était insensible, mais l'odeur qui planait ici était des plus infectes. Supportable, mais infecte. L'on pouvait remarquer par endroit des flaques d'eau croupi, dont certaine semblaient étrangement vivantes, du à l’écosystème qui s'y est développé. Une mousse verdâtre semblait former ça et là des sculptures en relief sur les parois métalliques de la pièce. Le bruit des rats galopant dans les canalisations environnantes résonnait parfois jusqu'ici, emplissant la pièce de couinement inquiétant. C'est dans ces lieux que Telos décida de jouer avec sa captive, qu'il jeta sans ménagement un peu plus loin, pas assez violemment pour la blesser, mais suffisamment quand meme pour qu'elle en souffre. Il observais la succube, tout en étant bien décidé à la laisser poireauter un peu. Il avait tout son temps, après tout.

Lucrecia:
La pauvre créature fut surprise quand il enroula un tentacule ferme autour de son sabot pour la faire trébucher, ne s'attendant absolument pas à un tel comportement de la part de ce monstre hideux. La succube rit malgré tout quand il dit qu'elle était l'esclave des plaisirs des gens. Non, certainement pas... ça ne marchait pas comme ça ! Ils étaient esclaves de leurs désirs et de leurs plaisirs et elle en profitait pour les exploiter et les manipuler. Oui, ça marchait comme ça... Elle n'eut pas le loisir de le dire car il se mit à la traîner, l'emportant avec lui, la salissant quelque peu au passage, ce qui la dégoûta. Sa queue fouettait le sol alors qu'elle s'agitait et se débattait, énervée et bien décidée à se libérer, en vain, le monstre la tenant fermement...

Elle fut donc entraînée dans son repaire. L'odeur en était infecte, voire même épouvantable, et la pauvre démone en était nauséeuse... Elle était plus habituée à des parfums délicats et agréables, voire à l'odeur du vice et de la luxure, mais là, on en était loin... C'était de loin ce qu'elle avait pu sentir de plus désagréable de toute sa vie. Enfin, l'odeur était le cadet de ses soucis car il la jeta soudainement. Elle s'étala en criant de surprise et de douleur sur le dos, sa poitrine remuant dans son bustier lors de la chute, avant de rouler un peu sur le sol. Elle se releva, à quatre pattes, en passant des doigts fins dans sa chevelure brune et ondulée pour en ôter de la saleté, avant de regarder sa main et de l'agiter avec un air dégoûté.

Enfin, elle se tourna vers le monstre et dit, furieuse :

"Tu me le paieras !"

Lydia:
La succube était visiblement irritée par la tournure des événements, et par l'insalubrité des lieux. Cela s'en ressentait dans son attitude, qui était devenue plus arrogante. Et l'irrespect avec laquelle elle rétorqua était loin de plaire à son hôte. La voix caverneuse de Telos résonna dans la pièce, elle semblait venir de toute les directions, d'une source a la fois proche et lointaine, à telle point qu'il était difficile de croire qu’elle venait de la créature qui se tenait en face de la succube, et pourtant. "Ah oui, et comment ?". La masse molle et gluante était aussi irrité qu'elle. Il s'approcha de cette démone qui avait eu le cran de lui tenir tête, émettant d'étrange bruit de sucions lorsqu'il passait sur les flaques d'eau, ses tentacules ballotant librement dans les airs.


Il lui sauta dessus, attrapant fermement ses chevilles et ses poignets, et malgré qu'elle ne se laissait pas faire, affichant un tempérament farouche, il la plaqua au sol, l’empêchant ainsi de continuer à se débattre. On aurait dit qu'il flottait au dessus d'elle, avec pour seul support au sol ses quatre tentacules. De long filets baveux s'écoulait de son corps, pendant au dessus de la captive, et recouvrant un peu son visage de ce liquide transparent et poisseux. Il vociféra alors, d'une voix impérieuse, et assourdissante, qui ne souffrirait aucune contestation. "Tu es aussi insignifiante que les bestioles qui infestent ces lieux !".


Il fit apparaitre plusieurs tentacules sur chacun des ses flancs, qu'il posa au sol pour pouvoir maintenir son équilibre, et souleva la captive aussi facilement que si c'était une simple poupée de chiffon, à plusieurs mètres au dessus du sol. Et c'était tout ce qu'elle était, aux "yeux" de Telos, une poupée de chiffon, impuissante et divertissante. "Tu ne peux rien faire, tu ne sais rien faire... ". Il la secoua négligemment, la balançant de droite à gauche, en maintenant ses quatre membres avec ses tentacules, ignorant ses réactions qui ne l'affectait de toute façon pas. Il allait lui faire comprendre qui tenait les rennes, ici. Il desserra son emprise sur les poignets de la succube, ses mains glissèrent, aidés par la substance baveuse secrétée par Telos, jusqu'à ce que plus rien ne les retiennent. Elle se renversa alors brusquement, se retrouvant ainsi la tête en bas, maintenue par les chevilles. Le choc avait sans doute du être rude, mais il s'en moquait. Elle n'était ni plus ni moins qu'un jouet... "Tu es tout juste bonne à être le pantin des désirs des humains... Et bientôt tu seras la mienne..."

Lucrecia:
La pauvre succube voyait qu'elle était le jouet de ce monstre, qui se permettait de jouer avec elle telle une poupée, l'agitant comme il voulait, la tenant pour être tantôt au-dessus d'elle, tantôt en dessous, la maintenant en l'air pour lui montrer sa domination sur elle et l'impuissance de la démone. Elle fit une moue de dégoût quand il lui dégoulina dessus, mais à ce moment, ses mains étaient prises et elle ne pouvait donc s'essuyer. Son visage était en partie recouvert de cette substance visqueuse et transparente. Elle ne répondit rien au monstre qui répandait sa bave en s'amusant à lui exprimer ce qu'il pensait d'elle. Elle n'en avait après tout rien à faire. L'opinion d'un monstre frustré... Pourquoi devrait-elle se sentir concernée ? Non, elle avait beau y réfléchir, elle ne voyait pas en quoi c'était son problème...

Et maintenant, il la soulevait et la maintenait en l'air... Bah, s'il le voulait... Si ça l'amusait, il pouvait bien le faire, après tout ! Il la secouait comme une poupée. La pauvre succube se demandait sur quel genre de monstre elle était vraiment tombée... Voilà qu'il lâchait ses mains, la renversant, tête en bas, ce qui lui fit pousser un cri aigu. Le choc fut rude, mais la démone était résistante et endurante. Son corps résistait mieux aux assauts que n'importe quelle femme mortelle, humaine ou elfe. Un corps démoniaque, ça procurait quelques avantages. Elle se frotta la tête en grognant et en profita pour s'essuyer le visage.

Enfin, comme elle regarda le monstre avec un air de défi et dit :

"Comme si jouer avec une succube et la prendre était une menace ! Tu peux jouer avec mon corps, mes formes ou ce que tu veux, si ça te chante, mais ne crois pas que je vais pleurer parce que tu me touches, mon cher moche !"

Lydia:
L’indifférence avec laquelle la succube subissait les caprices de Telos avait de quoi frustrer. Et agacer. Mais, fallait-il s'en étonner ? Les succubes avait beau être humanoïdes, elle n'en restaient pas moins des démones, n'ayant généralement pas connaissance d'une quelconque notion de sentiment. Ceci dit, celle à qui la créature avait affaire était des plus culottées. Un peu trop, d'ailleurs.. Telos fulminait. Littéralement ! Le liquide qui recouvrait son corps semblait s’évaporer à vue d'oeil, enveloppant son corps violacé d'une aura de vapeur grisâtre, lui conférant un air sinistre et assez inquiétant (ou comique, cela dépendait du point de vue). Une impression décuplée lorsqu'il se mit à vociférer, de sa voix grave et assourdissante : "Oh que si, ignoble petite créature, tu vas pleurer.. ". Telos était déterminé à châtier l'impudence de la démone, et il savait se montrer sans état d’âme, lorsqu'il s'agissait de supplice...


Il envoya l'un de ses tentacules s'enrouler autour du cou de la captive, qui était toujours face à lui la tete en bas, et il lâcha les chevilles qu'il tenait, laissant la succube se pendre, sans qu'il ne s'en émeuve. Après tout, le bien etre de la succube était bien le cadet de ses soucis. Il enroula une autre de ses tentacules autour de son torse, serrant un peu plus le bustier qui l’étreignait, la glissa à l’intérieur de celui ci, et le lui arracha d'un geste sec, avant d'en jeter les divers morceaux dans la salle. En pressant l'un des tétons, l'enfonçant dans son sein, il chuchota comme pour lui meme : "Hmmm, comme c'est appétissant.. ".


Il retira ensuite sa tentacule de là, et gifla l'insolente succube, n'ayant après tout pas vraiment besoin de raison pour se le permettre. Il enlaça son corps a nouveau, cette fois sans son bustier, et la plaqua férocement au sol, sur le dos, tout en prenant soin à ce que sa tete ne se fracasse pas par terre. Ce serait bete de tuer prématurément son nouveau jouet. Quatre tentacules vinrent saisir ses membres, qu'il commença à écarter les un des autres, lentement. Tandis que la succube se faisait doucement écarteler, deux autres tentacules partirent à l'assaut de sa poitrine, chacun s'affairant autour de l'un de ses seins, autour duquel ils s'enroulaient, les serrant fortement.

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