Bac à sable > One Shot

Il était une fois....[Libre]

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Usolia Naviento:
[Ceci est un teste pour un possible personnage futur. Je veux voir si cette perso me donne assez d'idée
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- " Et la princesse ouvrit les yeux. Devant elle se trouvait un homme, si grand et si charmant... AH! NON, NON, et NON! "

Folle de rage, Shiru arracha la feuille son cahier, la déchirant, avant de lancer les petits confettis au dessus de sa tête.

- " C'est moche, c'est horrible, c'est insipide! "

Elle se rassit, frustrer. Voila quelques jours qu'elle avait quitter Inferis, dans l'unique but de se reposer et d'essayer d'écrire un peu, une jolie histoire.

Shiru était une Naviento. La branche de sa famille était une branche asser distincte. Scribes des autres branches, ils écrivaient toutes l'histoire de la famille Naviento dans d'énorme livre. Les secrets qu'ils cachaient étaient impressionnant, innombrable. Shiru était la dernière descendante de sa famille. Il était donc de son devoir d'écrire tout se qui se passait a Inferis, et tout spécialement dans la vie d'Ishtar, ainsi que tout les autres membres, très nombreux, de sa famille.

Malgré tout, elle était parti, pour quelque jours, dans l'espoir d'arriver a écrire, une jolie histoire, au lieu de commenter se qui se passait en réalité, mais rien a faire. Elle n'arrivait qu'a décrire la réalité, elle ne pouvait rien créer de fictif.

Soupirant, elle prit son calepin, puis un énorme livre, marchant jusqu'à un petit chalet qu'elle avait louer. La petite maison en rondin était au bord d'une jolie foret, avec vue sur la plaine. Ici, pour l'instant du moins, elle avait la paix. Parfois, elle voyait quelques personnes passer sur une petite route plus loin, mais personne n'était encore venu la dérangé.

Rentrant dans son chalet, elle alluma un feu, puis commença à cuisiné, la tête ailleurs.

- " Peut-être une histoire de monstre... Non, c'est trop cliché. Ah, bon sang, rien ne me viens... À se rythme, je rentrerai sans avoir écrit la moindre ligne. "

Elle soupira bruyamment, goûtant a un épais ragoût, jetant un coup d'œil dehors. La nuit commençait a tomber. Elle repéra alors dehors une silhouette...

Sandji:
http://nsa27.casimages.com/img/2011/07/10/110710104534188317.png


--- Code: ---Protocol. AA-00.

XX??

Response: UY00.

Détection des formes de vie. Scan...

577 résultats.

Recherche : classe A.

1 résultat.

Pistage...
--- Fin du code ---

Le visage à la peau en plastique leva le nez, ses grand yeux toujours ouvert, ne clignant jamais. Décortiquant la moindre chose passant dans son champ de vision, la créature humanoïde identifia la maison comme étant habitée. A force, découvrir les cachettes des hommes n'était devenu plus qu'un automatisme: il suffisait d'entrer dans une maison...

Depuis la fenêtre, on apercevait deux faibles lueurs dans la nuit, correspondant à ses yeux. L'humanoïde s'avança, à pas lourd, comme si on avait attaché des poids à ses jambes. Avançant lentement mais avec résolution, il atteignit la porte au bout de quelques minutes. Il s'arrêta devant l'obstacle, comme si il venait d'être surpris par un évènement soudain, regardant l'objet de bas en haut.

A la lumière du bâtiment, on voyait qu'à peine une partie du corps était "complété": le reste n'était qu'un amas de métal et de câbles enchevêtrés, lui donnant une apparence de monstre mort-vivant, surtout à cause de ses mains prolongées par des griffes de couleur rouge foncée, et ses vêtement déchirés par les voyages, jamais changés, mais aussi son "coeur", une sorte de sphère bleue dans laquelle semblait se déchaîner une tornade électrique, tournoyant et s'agitant silencieusement, comme une catastrophe naturelle enfermée dans cette boule de verre...

Par des étapes calculées, la machine ferma le poing, leva le bras et provoqua un son caractéristique contre la porte, ayant appris ça en observant les autres.

Usolia Naviento:
Elle venait tout juste d'ajouter quelques épices a son ragoût qu'elle entendit un bruit. Quelqu'un cognait à la porte de la petite maison. Délaissant sa cuisine, elle alla ouvrir, assez curieuse. Elle s’arrêta, observant Mecha sandji, se demandant qui il était et ce qu'il lui voulait. Elle repéra tout de suite les griffes a ses mains, et donc le danger qu'il pouvait représenter pour elle. Elle posa ses mains sur ses hanches, ne montrant pas de peur.

- " Écoute mon grand... Si tu es venu ici dans le but de me violer, de me manger, ou je ne sais pas pour qu'elle autre raison, tu ne frappes pas à la bonne porte. Je ne suis vraiment pas d'humeur. Si c'est pour autre chose, tu peux entrer. Il va surement pleuvoir cette nuit et tu risques de rouiller. "

Il faut savoir qu'elle vient d'Inferis, et elle a connu tout au cours de sa vie des personnes bien plus étranges et effrayantes que le robot. Il en fallait plus pour la surprendre.

Se tournant, elle laissa la porte ouverte. Pourtant, elle restait sur ses gardes. Elle avait justement un pistolet pour se défendre en cas d'attaque. Mais bon, elle ne lui voulait aucun mal, et il y avait bien assez de place ici pour 2 personnes. Elle retourna a sa marmite. Tout était sobre, mais confortable, avec le nécessaire pour vivre. Elle n'avait amener avec elle qu'à manger, des vêtements, et de quoi écrire. Pas vraiment besoin d'autres choses ici...

- " Si tu veux quelque chose, sert toi, ne soit pas gêner. "

Sandji:
La machine regarda la jeune fille de ses grand yeux incrédules, comme frappé d'une éternelle stupeur. En copiant le faciès de son interlocutrice, il arriva plus ou moins à une face neutre, les sourcils légèrement froncés. Il se pencha à 90°, et s'avança à l'intérieur de la maison, analysant en une fraction de seconde tout les composants des murs, des meubles, du sol et de la décoration.

Il se tourna vers le ragoût alors, s'en approchant doucement et se penchant légèrement au dessus. N'ayant jamais aperçu ça auparavant, il se mit à l'analyser, énumérant à haute voix, sans empreinte humaine dans son ton, monotone:

"... Mixture d'élément organiques. Fort taux nutritionnel. ... "

Il se releva, tournant son buste vers son hôte sans même bouger les jambes, un humain ne pourrait jamais accomplir telle contorsion sans se briser la colonne vertébrale. Il pencha légèrement la tête, dans un signe de reconnaissance.

" L'unité vous remercie d'avoir pu analyser et l'héberger dans votre demeure. "

Il se mit alors à scanner la jeune fille, debout et sans bouger, analysant jusqu'au pigment de couleur de ses cheveux, et stockant tout cela dans son cerveau empli de disques durs, lui collant une série de chiffres en guise de nom, temporairement.

" L'unité S4N-DJ1 aimerait entendre votre nom, afin de donner une identification claire aux analyses de SUJET-8654235474. "

Il se tourna vers le carnet d'écrit... Sans rien demander, il s'en empara et se mit à lire les pages à une vitesse ahurissante. Une fois terminé il rendit les feuilles à sa propriétaire.

" L'unité S4N-DJ1 oserait vous conseiller une page de maturité dans l'élaboration des histoires. Il est toujours souhaitable d'aborder les défauts dans une histoire qui doit se finir <<Bien>>. "

Il s'assit à nouveau, posant sagement ses mains sur ses genoux mécaniques, fixant sans relâche la jeune fille. Au plus il l'observerait, au mieux il parviendrait à se fondre dans la masse.

Usolia Naviento:
Elle trouvait cette machine très intéressante. Elle l'observa faire, alors qu'il entrait. Elle referma la porte, quand soudain, il lui parla. Elle se retourna.

- " Se n'est rien. Sa fait plaisir. Je n'ai pas eu de visite ici. J'espère que tu aimes mon ragoût. "

Elle se rapprocha, le regardant, très curieuse. Elle aimait bien les machines. Elle l'entendit alors lui demander son nom.

- " Je m'appelles Shiru Naviento, 3iem du nom. "

Elle manqua s’étouffer par contre quand il prit son cahier. Elle attendit, très nerveuse, qu'il relâche.

- " Oui bon, elle est bonne a jeter de toute façon. "

Elle rangea le cahier, rapidement. Elle l'observa, très curieuse, avant d'ouvrir l'épais grimoire. Elle commença à griffonner le robot, l'observant en même temps, d'une main experte.

- " Dit moi, qui es-tu, et que viens-tu faire ici? "

Elle voulait écrire sur lui. Bien sur, elle écrivait sur tout. Elle savait tout décrire, mais pas créer. Alors, autant décrire. Et pour le moment, la seule chose qu'elle pouvait décrire, c'est le robot! "

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