Bac à sable > One Shot

Chasse à l'homme.

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Quid:
L'homme s'avança un peu plus vers la militaire, la laissant parler tranquillement, avant de finalement lui expliquer :

Ecoutes, p'tit cul, j'crois que t'as pas bien compris. Quand je dis "Chargé de la sécurité" c'est pas que je suis un putain de troufion, c'est juste que je vais chercher les mecs qui déjouent la sécurité. Morts ou vifs, comme qui dirait.

Le chasseur de prime la devança alors, une moto l'attendait à quelques pas de là. Il allait la laisser comme une conne et se tailler tranquillou pour mettre la main sur le pactole.

Pour ce qui est de s'envoyer en l'air, j'te rassure, j'ai bien le matos nécessaire dans toutes les circonstances, mais là j'ai pas l'temps de t'envoyer au 7ème ciel, cap'taine, j'ai des sous à me faire.

En passant à côté d'elle, le chasseur de prime lui posa nonchalamment la main aux fesses, geste qui ne lui déplaisait pas mais qui, si l'on ajoute le traceur qu'il vient d'y coller, joint l'utile à l'agréable.
Une fois à moto, il prend malgré tout le temps de stocker les informations qu'il a reçu, les trier, des choses nécessaires pour ne pas être emmerdé plus tard, mais qui prennent du temps.
N'empêche qu'il manquait une chose à ce casque. Un putain de rayon X.

B. Tyamathe:
Pas un troufion, hein? N'importe quel troufion était plus gradé qu'un homme surveillant de prison. Tant pis pour lui, il prendrait une bonne chaste en rentrant à Tekhos, s'il avait encore métier, se serait déjà de la chance.
Quel imbécile. Me mettre un émetteur sur le cul... Mais il a vu qu'il n'y avait presque pas de tissu à cet endroit? Il me la foutu directement sur la peau ce con! Au moins, j'en suis débarrassée.
Partit dans une direction aléatoire et à moto. Il aurait mieux fait de rester à surveiller des cages celui-là.

Bon, pas le choix. On m'avait donné un carnet d'adresses avec les connaissances du fugitif. A tous les coups, il serait passer voir l'un d'entre eux. Il ne restait qu'à faire le tour et discutailler. Quel merde, je vous jure! Dire que je pensais passer mes vacances au proche-orient, voilà qu'on nous annonce qu'Oussama a été tué, donc réduction d'effectif, qui commence toujours par mettre les mercenaires sur le carreau.

Arrivée à la quatrième adresse, personne ne vient ouvrir. A cette heure, pas normal. Ni une, ni deux, je défonce la porte, et trouve un cadavre égorgé. Fouillant la maison, je remarque qu'il s'est visiblement armé, même si je ne peux dire avec quoi. Il a dut passer il n'y a pas longtemps, donc il est encore dans les parages.

Chier! Maintenant qu'il a pris ce qu'il lui fallait, impossible de prédire ce que ferait un fou comme lui.

Naisho Yujima:
Keiji était en route vers un autre ami, son ''comrade'' , le père de Sacha, l'ami russe à Naisho. Un homme d'une bonne soixantaine d'année, qui à participer à de nobmreuse guerre et qui en à garder des blessures...et des armes lui aussi, plus de l'alcool, évidemment. Keiji cogna à la porte et quand l'homme l'ouvrit, il fut surprit par un violent coup de coup de poing au visage. Il s'affala au sol, se met assis et regarde son assaillant.


Keiji... ces toi?! Comrade, pourquoi tu fais sa?On se connait depuis des années!

Keiji l'agrippa par le col et le regarda dans les yeux.


COMRADE?!!! Tu te dis mon COMRADE alors que tu m'as abandonée? Tes mon ami seulement quand ça peu t'avantager!

Mais de quoi tu parles, ça fais quatre ans que je n'ai plus de nouvelle de toi! Ton fils à dit au mien que tu était partie en voyage sans jamais revenir!

Ne me fais pas à croire que tu ne sais pas la vérité, comrade! Ne me fais pas à croire que tu ignores la situation, comrade!Tu mas trahit!

Avec sa main gauche, Keiji plaque l'homme au sol et avec la droite, sors son pistolet et tire dans la tête de son ''comrade''. Il le regarde une dernière fois et lui crache dessus. Il monte au grenier, et trouve ce qu'il cherchait:grenade, vodka et beaucoup, beaucoup de cocktail molotov!Il trouve le sac à dos de militaire de sa dernière victime, y dépose tout ce qu'il viens de prendre, excepter quelques cocktail qu'il lance une fois sortie de la maison pour la faire bruler.

Quid:
La porte se referma doucement derrière la militaire.
Avant qu'elle n'ai pu se retourner, un coup de taser vint lui envoyer une charge toujours aussi agréable dans le dos, l'immobilisant pour un petit moment. Un petit moment, oui, si l'on fait abstraction du coup de crosse dans la nuque qui ce coup-ci l'enverrait dans les vapes pour un bon moment.
Profitant de ce moment, le chasseur de prime commença une fouille, passant bien sûr par les endroits stratégiques, qui sait quels secrets cachait sa poitrine ? Rien ? Les fesses non plus ? Dommage. Non, c'était bien le carnet qui l'intéressait.

A cheval sur l'inconsciente, le Gardien s'empara du petit carnet où étaient notées les adresses, avant de par la suite prendre un petit couteau et s'amuser un peu.
Le bruit de la moto réveillera peut-être la demoiselle qui constatera que le tireur d'élite s'est amusé à découper le bas de son uniforme, la dénudant à moitié, tandis qu'entre ses fesses se trouvait maintenant un petit bout de papier avec marqué dessus "Je repasserais plus tard ! :-)".
Non mais et puis quoi encore ? Le prendre pour un simple gardien de prison, fallait pas exagérer, et encore, il aurait pu en profiter encore plus !

Sur la route, sa moto filant à vive allure, le scanner du Gardien s'activa, scannant les éventuels contacts stratégiques. L'un d'eux était armé et ses armes n'y étaient plus, néanmoins c'était de la camelote.
L'un des contacts était un dur, un vrai, et c'était notamment un proche du fugitif. Il repasserait se faire la troufionne plus tard, en attendant, il fonçait à vive allure vers le domicile du traficant d'armes.

Naisho Yujima:
Keiji pris les clés de sa victime et alla dans le garage. Il savait exactement quoi prendre, le véhicule blinder que son ''comrade''avait eu avec un petit ''échange non écrit dans les chartes'' et partit avec chez un homme donc personne ne connaissait le lien entre lui et sa future victime. En effet, les deux ont été dans la même compétition sportive, mais sa finit là, des lanceurs de marteaux de deux pays différents (l'autre est coréain) et en plus, qui ont compétitioner à des époques différentes. Qu'el est donc le lien entre Keiji et cet homme? La personne est le père de l'employer qui est malheureusement décedé de là faute à Keiji. Il avait souvent entendu parler de lui et il sait qu'il garde ces marteaux de compétition chez lui. Keiji arrive chez l'homme,qui sortit de chez lui en voyant une voiture blindée. Les deux hommes avancère un vers l'autre, sûrement pour une confrontation épique!...Ahhh...non, Keiji à sortit le pistolet à tirer à trois reprise sur l'homme. Il entre dans la maison et après un moment de fouille, trouve les marteaux. Il en prend trois, les embarques dans le véhicule et part. Il à maintenant toute les armes qu'il voulait, maintenant, en route chez Mashario!

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