{ Sous-sol de Seikusu : Métro } PV Kara

16 heures

Samāburīzu avait finit ses cours, ce qui était une bonne et une mauvaise chose, la bonne, elle allait pouvoir s'amuser à faire d'innombrable boutiques, la mauvaise c'est qu'elle allait aussi avoir plus de temps pour faire ses devoirs, chose que les élèves n'aiment pour ainsi dire que rarement.

Pour rejoindre le centre commerciale qu'elle voulait visiter, il y avait plusieurs choix, le premier était de prendre le bus, mais il fallait attendre une demi-heures et compter vingt minutes de trajets, le second est de prendre le métro, certes le billet est plus cher, mais au final, elle y gagnait en temps.

Samāburīzu prit donc le chemin vers le métro et se mit à regarder les lignes, histoire de ne pas se tromper comme la dernière fois, elle fit aussi attention au prix du billet, elle ne pouvait se permettre de trop dépenser l'argent de poche que ses parents lui passait chaque début de mois.

La demoiselle du batailler pour se trouver au guichet et prendre un ticket, elle dû faire la même chose pour se trouver proche du quai, sans se faire pousser, il n'était pas rare qu'au Japon une personne se fasse pousser sur la voie, mais paradoxalement le nombre de mort suite à cet évènement est très faible.

Quel ne fut pas son soulagement en entrant dans l'un des wagons, le plus marrant c'est qu'il était vide, mais la jeune fille savait que le nombre de personne allait être croissant et qu'elle devra se lever à un moment pour céder sa place à une personne âgé, l'obligeant à être debout et se faire chahuter par les autres passagers qui ne trouvaient guère gênant de bousculer les autres.

Samāburīzu avait, comme toute lycéenne, entendu parler de viol dans le métro, mais cela n'arrivait que rarement et puis elle n'avait rien d'extraordinaire comparé à d'autre.

Pour l'heure elle était assise sur un bans dans sa tenue de lycéenne, mais très vite du monde afflue l'obligeant à se lever et se mettre près de la porte de sortie, ce fut limite si elle n'était pas écrasé contre le vitre, tenant dans ses mains son sac de cours.

Un mois. Cela faisait un mois que Kara avait quitté Terra après y avoir séjourné plusieurs semaines. En définitive, Don avait échoué. Non seulement, la jeune polymorphe s’était débarrassée de sa marque mais en plus, elle avait réussi à poser des bases solides en tant qu’esclavagiste. Consciente malgré tout de ses limites, Kara s’était attachée les services d’une magicienne dont elle avait fait son jouet personnel. Ce qui lui permettait de bloquer les capacités de ses victimes.

Pour l’heure, elle avait décidé de chasser sur la Terre. Certains de ses nouveaux clients étaient prêts à payer le prix fort pour une telle marchandise. Déambulant dans la ville, la jeune femme finit par descendre dans le métro et monta dans la première rame qui se présenta. Il y a avait déjà pas mal de monde dans le compartiment, si bien qu’elle alla directement s’installer dans le fond. Le poste idéal pour observer. Habillé comme à son habitude d’une robe courte de couleur mauve, la jeune femme possédait maintenant plusieurs liens de cuir qu’elle gardait précieusement sur elle, enroulés autour de ses poignets.

Une gamine finit par attirer son attention. Pas à cause d’une beauté exceptionnelle mais parce qu’elle semblait insignifiante. Elle paraissait jeune, très jeune même. A peine formée. Vêtue de son uniforme scolaire, c’était la proie parfaite. La demoiselle finit par se retrouver dans le fond du wagon, une personne seulement la séparant de Kara. La polymorphe détailla avec soin le corps frêle qu’elle convoitait. Vierge, très certainement. Profitant d’un cahot du métro, Kara se retrouva juste derrière sa proie. Inutile de perdre du temps ! Ses mains trouvèrent rapidement le chemin pour aller sur les fesses de sa victime. La jeune femme les malaxa ouvertement, sans se soucier des réactions de la demoiselle concernée. De toute façon, que cette dernière le veuille ou non, la collégienne finirait parfaire ce qui lui serait ordonné.

La jeune humaine se fit légèrement bousculée de temps à autres, par des passagers qui quittèrent les la wagon pour en rejoindre un autre, certain n'hésitèrent pas à la plaquer contre la vitre, la jeune demoiselle n'eut d'autre choix que se taire, elle ne savait pas qui la poussait et pouvait aussi bien tomber sur des élèves de sa classes que des gens moins recommandable, de plus c'était malpoli de dévisager les gens, même pas le biai d'une vitre.

Samāburīzu sentit sa nuque frémir et d'un geste conditionné, elle se massa la zone qui frémissait, elle savait que quelqu'un la regardait, elle avait toujours ce tic même quand les personnes ne lui voulaient pas de mal, une personne sur le côté la bouscula et elle se reprit très vite, c'est alors qu'une main se mit à frôler sa jupe et masser ses fesses, elle devint vite pâle, mais préféra ne pas se mettre à crier tout de suite, c'était sans doute un geste qui n'était pas voulu, mais très vite cette idée partie en fumé, quand le massage continua, le corps de l'humaine se mit à trembler de peur et elle se mit à murmurer avec sa voix craintive.

- Si vous arrêtez tout de suite, je ne crierais pas.

La demoiselle n'aimait pas mette les autres dans l'embarras, mais Kara ne pouvait pas se douter que continuer à tenter un dressage de cette manière allait attirer le poings de l'humaine qui ne voyait aucune autre alternative à sa situation, il était hors de question que l'on ne la traite de fille facile et ne voulait surtout pas subir de viol alors qu'elle est encore vierge.

Délicieuse enfant ! Kara pouvait sentir le corps de la collégienne trembler sous ses caresses. Ses mains dessinaient le contour de la culotte portée par sa victime.

- Si vous arrêtez tout de suite, je ne crierais pas.

Ben voyons ! Comme si cela allait faire s’arrêter la jeune polymorphe. Détachant l’un des liens de cuir de son poignet droit, Kara l’enroula prestement autour du cou de Samāburīzu et le serra, étranglant légèrement la collégienne. Avant de la plaquer violemment contre la vitre du wagon. Puis, se penchant, elle murmura à l’oreille de la demoiselle, d’une voix sourde.

- Non seulement je vais continuer mais en plus… tu vas te taire et te laisser faire !

Sa main libre se posa de nouveau sur la croupe de sa victime et en reprit possession, ses doigts s’enfonçant dans la chair tendre. Sentir sa proie complètement à sa merci excitait Kara. Elle comptait bien jouer avec le plus longtemps possible. Certes, Samāburīzu pouvait tenter de se défendre mais elle se rendrait rapidement compte qu’en faisant cela, elle courait droit à l’étranglement. La rame était à présent bondée. Ce qui facilitait la tâche de Kara. Délaissant les fesses de la malheureuse, elle descendit lentement la culotte, mettant l’intimité de l’adolescente à nu. Resserrant quelque peu le lien autour du cou, la polymorphe passa ensuite ses doigts sur la vulve imberbe.

- Tente quoi que ce soit et je te tue. Obéis-moi et tu auras la vie sauve.

Rien de très compliqué en somme. Même une enfant de son âge pouvait comprendre où se trouvait son intérêt. Le choix était simple : vivre ou mourir. Kara s’occupa ensuite du collier improvisé, le fermant par un nœud dont elle avait le secret. Il ne lui était désormais plus indispensable de le tenir pour maintenir la sensation d’étranglement. Elle força ensuite Samāburīzu à lui faire face.

- Enlève ta culotte maintenant sinon…

Kara fixait la jeune fille d’un air mauvais. Il valait mieux pour cette dernière qu’elle obéisse. Et pour se donner du temps, la polymorphe tira sur le signal d’alarme sans que personne ne la voit. Avec un peu de chance, on les évacuerait par les tunnels et là, il lui serait aisé de s’éclipser avec sa victime pour en profiter au maximum.