Ce soir là, Anne-Marie aurait du aller chez sa mère, pour on ne sait quelle raison, qu’elle supposa une gueulante sur ses dépenses hebdomadaire, ou tout simplement un nouveau cours particulier. Cependant, la jeun Der Adels n’avait aucunement envie de s’y rendre, son envie du jeu après une bonne journée de cours avait prit le dessus cette fois. Mais, bien entendu sa mère avait prévu le coup, et lui avait envoyé un chauffeur, qui la fit monter dans la voiture un peu de forces, sous les protestations prononcées à demi-mots de la jeune femme.
S’est à un feu rouge, qu’elle saisit l’occasion de s’enfuir en ouvrant sa portière que l’homme avait commit l’erreur de ne pas verrouillée. Elle s’était donc élancée dans les petites rues, disparaissant vite à la vue de l’homme, qui, manque de pot pour lui, ne put quitter la voiture, se trouvant au milieu de la circulation. Ainsi, Anne-Marie retrouva sa liberté, et se mit en quête d’une salle de jeu, où elle pourrait étalait son art, et remplir un peu ses poches en même temps. Le seul inconvénient réel était qu’elle se trouvait dans le quartier de la Toussaint, un endroit peu fréquentable, mais, dont au moins, elle était sûre de pouvoir remplir son portefeuille à condition qu’elle n’énerve pas l’adversaire.
Elle finit par trouver un bar où se trouvait une table de billard et y entra, commandant à boire avant de se diriger rapidement vers son objectif, et commencer à défier les joueurs. Et comme d’habitude, se fut victoire sur victoire. Ce qui ne sembla pas bien vu visiblement, car de moins en moins d’adversaires se présentèrent, et les regards qu’on lui lançait étaient évocateur. Jusqu’au moment où une jeune femme, des plus jolie se rapprocha d’elle, s’asseyant sur la table avec défi vint lui jeter une liasse de billet. Ainsi, elle avait une nouvelle adversaire, mais ce qu’elle ignorait s’est que le jeu n’allait pas se faire sur une partie de billard, comme elle le lui murmura à l’oreille.
Enfin, à ce moment là, Anne- Marie comprit seulement qu’elle devait être la propriétaire des lieux et que les victoires incessantes de la jeune femme lui déplaisaient, car s’était autant d’argent qui n’entrait pas dans ses poches. Et le murmure eu tout l’air d’une menace, que la Der Adels prit volontairement avec le sourire en lui répondant.
- Ah vous avez appelé mon chauffeur pour me ramener chez moi ! C’est gentil, mais, il ne fallait pas vous donnez cette peine.
Bien sur, elle savait que ce n’était pas le cas, puisque comment la patronne aurait pu savoir qui elle était, et comment appeler sa famille pour qu’on lui envoie un chauffeur. Ainsi, la jeune femme aux cheveux mauves ne prendrait la remarque, comme elle était, à savoir une moquerie de la part de son interlocutrice. D’ailleurs, elle ne lui répondit pas et se tourna vers la salle en faisant une annonce qui surprit Anne-Marie.
La défier ? Non, mais s’était plutôt l’inverse, et vu l’approche des deux vigiles, la jeune femme n’eut pas le loisir de refuser. Et s’était quoi cette histoire d’arène ? Rien qui ne lui inspire confiance en tout cas. Certes elle aurait préféré défier la jeune femme sur son propre terrain, et elle comprenait que se battre sur le sien pouvait sembler logique, mais, elle pressentait que cela allait être loin d’être un duel équitable, voir respectant certaines meurs
Cependant, Anne-Marie n’avait effectivement pas le choix, et suivit, un peu forcée quand même, sans doute par l’impatience des gardes du corps de son adversaire qui semblaient se réjouir, de rejoindre une pièce où on lui demanda de se changer. Elle se demanda alors quelle tenue elle allait devoir porter, et pensa de plus en plus que cette arène était pour des combats, dans le pur sens du terme, et elle craignait l’idée de plus en plus, car niveau capacités pour se battre, Anne-Marie était loin d’être la plus douée de la famille. Mais, elle n’était pas non plus quelqu’un qui se laisserait vaincre facilement, tant que le duel était équitable, et malgré qu’elle n’apprécie guère ce genre de procédé que cela soit pour des paris ou régler des comptes.