Plaisir et nymphomane... (PV Azelius)

La fin des cours, enfin ! Je hais les journées interminables… surtout quand je ne pense qu’à une chose : une verge gonflée et durcie pour satisfaire mes pulsions. L’intermède de ce midi, avec l’un des élèves, ne m’a pas calmée. Encore un puceau, que je les hais mais bon, je n’avais que lui sous la main alors j’ai fait avec. Une fois chez moi, je prend une douche et je me change : bustier et jupe volante ultra-courte. Il faut dire que ce n’est pas avec l’uniforme du lycée que je risque de faire bander un mec, il est immonde ! Je ne m’embarrasse jamais de sous-vêtements, trop long à enlever et ce soir, je compte bien trouver un mâle pour rassasier ma petite chatte qui est déjà trempée d’ailleurs.

Dehors. L’air est frais ce soir mais j’adore ça. Un petit tour par le parc… Un peu marre d’aller me promener dans le quartier de la Toussaint. Je trouve toujours de quoi m’occuper mais envie de changement et au pire, j’irai en dernier recours. Le vent soulève ma jupe et caresse mon sexe rasé. Ce qui me fait encore plus mouiller. Des bruits attirent mon attention, je pars dans leur direction et m’enfonce dans les bois. Quelle déception, ce sont deux femmes qui passent un bon moment entre elles.

Tant pis ! Avisant un arbre, je m’assoie et appuie mon dos contre. A défaut d’une queue, je sais me servir de mes doigts. Très pratique pendant les cours mais il ne faut pas se faire prendre. Jambes écartées, je me branle avec ardeur jusqu’à la jouissance. Espérons que cela va me calmer un peu ! Le temps de reprendre mon souffle et me voilà de nouveau excitée. C’est génial d’être un ange, je suis immortelle mais pour le reste, je récupère beaucoup plus vite qu’une mortelle. Et pour l’heure, la seule chose qui puisse me calmer, c’est un mec bien monté qui me prenne convenablement et qui soit endurant. Et les deux autres qui n’arrêtent pas de gémir. Faut vraiment que je me casse d’ici sinon je vais finir par les égorger.

De retour dans les allées du bois, je me dirige vers la sortie. Je ne vais rien trouver ici ce soir donc je vais devoir aller dans le quartier le plus mal famé de la ville. Peut-être pas finalement. C’est qui ce type ? Pas mal… Si le reste est pareil, je lui saute dessus. Il ne se plaindra pas et puis dans le cas contraire, je lui ferai oublier ce qui s’est passé.

Depuis quelques temps, mes activités sur Terre se faisait de plus en plus proche. L'activité sexuelle des humains était en plein boom, presque plus personne ne dissimulait ses envies et surtout, les mœurs avaient tendance à beaucoup évoluer. Beaucoup de gens tentaient de nouvelles expériences, tabou quelques années auparavant... enfin, le sexe avait prit une part très importante dans la société et cela faisait que je devenais de plus en plus puissant et que je devais multiplier mes interventions. Bien sur, cela me permettait d'allier l'utile à l'agréable et je devais bien avouer que coucher avec les humaines avait une saveur délicieuse.
Depuis quelques années, elles avaient tendance à se lâcher plus facilement, donnant lieu à des ébats qui auraient pu choqués mais qui paraissaient de plus en plus normal maintenant. Ainsi, je les voyais utiliser des mots crus, réclamer de la violence, autoriser des pratiques telles que la sodomie, j'en passe et des meilleurs. Tout cela n'était pas pour me déplaire, j'aimais la société actuelle et je me sentais comme un poisson dans l'eau au milieu des humains de cette époque.

Ce jour là, en fin d'après midi, je fus attiré par une personne qui me semblait ... étrange ... en dehors d'une soif de sexe très prononcée, je sentais quelque chose de spéciale, j'étais à peu près sur qu'elle n'était pas humaine. J'avais donc décidé de l'observer un peu avant d'agir. Sans me matérialiser, je l'avais suivi une partie de la journée pour voir sa façon de vivre. A part le fait que ce soit une dévergondée totale, je ne voyais rien de particulier dans son comportement qui pourrait trahir sa véritable nature. Bizarre, elle vivait comme une humaine normale, à ceci prêt qu'elle ne semblait pas pouvoir contenir son appétit sexuel.

Après l'avoir observé encore un peu, pouvoir mater sans se faire voir c'est pas mal aussi, j'avais décidé de me dévoiler. Je devais admettre que la voir se doigter de la sorte m'avais pas mal donné l'eau à la bouche et, même si elle n'était pas humaine, j'avais envie de gouter à sa chair. Je m'étais donc matérialisé, dans une brume caractéristique, sur son chemin, qui menait à la sortie du parc. J'avais senti sa déception de n'avoir rien trouvé ici mais, apparemment, ma vision semblait relancer son intérêt et son appétit. Je lui adressais un sourire charmeur et j'attendais qu'elle soit suffisamment prés de moi pour prendre la parole.

- Bonsoir ... Je serais toi, je n'irais pas ou tu penses ... je peux te donner ce dont tu as besoin et même bien plus.

A la fois énigmatique et direct, j'aimais faire ce genre d'introduction. Je me doutais qu'elle serait d'abord septique et qu'elle chercherait à savoir qui je suis avant de se laisser emporter par le désir que je lui inspire. Ca se passait toujours comme ça, mais, mes pouvoirs divins finissaient toujours par convaincre les plus réticentes.
En plus de cela, je sentais que son désir remontait en flèche et je la voyais mal refuser mes avances, surtout quand elle apprendrait que je suis un dieu né du désir des hommes et dont les pouvoirs sont faits pour combler les femmes les plus exigeantes.

Jolie voix mais je ne peux m’empêcher d’éclater de rire en entendant ses paroles. Encore un qui perd son temps en discussion ! Autant l’affranchir rapidement. Quelque chose me dit que je vais passer un excellent moment en sa compagnie même si je doute qu’il parvienne à me rassasier mais bon, ce sera toujours ça de pris.

- Inutile de perdre ton temps pour me draguer toi ! Tu as ce que je veux et je sais que je ne te laisse pas indifférente alors chez toi, chez moi ou ici à la vue de tous ?

Hors de question que je le laisse filer. Pas un humain, ça j’en suis certaine mais quoi qu’il soit, je m’en moque. Juste envie qu’il me baise en fait. Comme tous les autres d’ailleurs. Je m’approche de lui, collant mon corps contre le sien. L’une de mes mains se dirige directement sur son entrejambe que je commence à caresser, histoire de le décider un peu plus vite. Ma chatte dégouline d’envie et je n’ai plus la patience d’attendre. J’ondule contre lui. Une vraie chienne en chaleur mais j’adore ça. Le contact de nos corps me confirme qu’il n’est pas humain. Plus endurant donc mais le sera-t’il assez ?

- Tu es quoi au juste ? Pas humain c’est certain et cela ne me dérange pas. Par contre, j’aime bien savoir qui me baise quand même.

Il paraît que je suis trop directe. La bonne blague ! Maintenant, il sait que je ne le suis pas non plus sinon je n’aurais pas pu le déceler chez lui. Ma main suit les contours de sa verge et mon dieu, ce type est monté comme je les aime. Finalement, j’ai bien fait de venir au parc… Histoire de le décider, je prends l’une de ses mains que je pose d’autorité sur mes fesses. Si avec ça, il ne se décide pas, je me passerai de son consentement. Mon envie de sexe est hors contrôle et dans ce cas-là, je suis prête à tout pour me calmer. Charmant cadeau du démon que j’ai aimé en fait. Il a fait surgir du plus profond de moi cette envie et comme mes supérieurs l’ont tués, il n’a pas eu le temps de m’expliquer comment la contrôler.

La jeune femme n'a pas l'air du tout farouche, au contraire, elle n'a même pas l'air de se méfier de moi une seule seconde ... je ne ressens que du désir, je n'aurais donc pas à me justifier pour baiser celle ci. D'ailleurs, à peine j'avais ouvert la bouche qu'elle me disait que c'était inutile. Elle était plutôt du genre directe et j'aimais autant, nous voulions tous les 2 la même choses alors pourquoi perdre du temps en bavardage et autre jeu de séduction !?
Elle me proposa 3 solutions, l'une d'entre elle me fit sourire...

- Eh bien, se sera soit chez toi, soit ici ...

Inutile de me justifier, elle m'avait bien fait comprendre que ça ne servait à rien que je perde mon temps à discuter. La seule chose qu'elle voulait c'était que je la baise et il faudrait que je sois endurant. Pour ça, pas de soucis puisque ma jouissance ne venait que lorsque ma partenaire le voulait. Parfois il arrivait que je ne jouisse pas à proprement parler. Certaines femmes n'aiment pas le sperme mais je me nourrissais de leur orgasme, c'était comme si je jouissais en même temps qu'elle au final. Enfin, tout ça reste technique ^^

Je n'ai même pas le temps de faire quoi que ce soit qu'elle se retrouve déjà collé à moi. Sa grosse poitrine, bien ferme, collée à mon torse, son corps ondulant contre le mien et sa main caressant déjà ma queue. Elle ne le savait pas encore mais celle ci allait prendre la taille exacte de ses désirs, souvent, c'était une agréable surprise pour ces dames ^^
Le fait qu'elle détecte que je ne sois pas humain confirmait qu'elle non plus ne l'était pas, comme je l'avais senti. A son simple contact, je pu obtenir pas mal d'informations sur elle, comme toujours. Je voyais que c'était un ange mais ... privée de ses ailes ... j'imaginais que sa soif de sexe en était peut être la cause, mais bon, a vrai dire cela ne m'intéressait pas vraiment.

- Tu seras surement ravit d'apprendre que je suis Azel, dieu du plaisir, né du désir des hommes. J'ai senti ton désir et ta frustration de ne pouvoir le combler pleinement ... voilà pourquoi je suis ici !!

Cela ne laissait pas de place au doute, j'étais là uniquement pour la baiser, comme elle le voulait, mais, contrairement à ce qu'elle pensait, j'allais la combler, je ne partirais pas avant de toute façon.
L'odeur de sa mouille venait déjà caresser mes narines... ainsi, sans même l'avoir touché elle avait déjà la chatte trempée ... cela m'excitait d'avantage, cette odeur avait le don de m'enivrer alors ça en plus de son attitude de chienne, je me disais que nos ébats seraient vraiment intense.

Pour finir de me convaincre sur ses intentions, elle amena une de mes mains sur ses fesses... je me rendis compte qu'elle n'avait pas de sous-vêtements, ce qui expliquait aussi que je puisse sentir sa mouille aussi facilement. Son autre main continuait de titiller ma queue qui avait prit une taille honorable. Apparemment elle aimait les hommes bien membrés et ça dépassait déjà de ma toge ^^
La soulevant de mes mains, faisant en sorte qu'elle entoure ma taille de ses jambes, je l'emmenais derrière un arbre, histoire de ne pas baiser au bon milieu du chemin. Cette manœuvre eut pour avantage d'avoir ma queue collée à sa chatte chaude et humide. Je m'en régalais d'avance.

La reposant au sol, j'ôtais habilement le peu de vêtement qu'elle portait, découvrant un corps parfait de jeune femme. Une poitrine ferme, une petite chatte rasée, de petites fesses bien rebondis ... je n'allais vraiment pas m'ennuyer.
Je n'avais pas encore ressentis vraiment tous ses désirs, je me permis de prendre l'initiative, étant, moi même impatient, ce qui était assez rare finalement. Ainsi, je l'avais mise dos à moi, la faisant prendre appui sur l'arbre, qu'elle puisse se cambrer et m'offrir sa croupe. Cette vision était insolente, elle était vraiment parfaite.
Ma queue étant déjà bien dure je l'approchais de sa chatte et, me tenant à ses hanches, je ne fis entrer que mon gland. Une sensation délicieuse !! Juste ça, ces quelques centimètres ... elle avait une chatte serrée mais tellement humide que ma queue allait la pénétrer sans difficulté et j'adorais ça.
avec difficulté, je m'étais contenté de ça pour commencer, je voulais jouer un ptit peu et enfin sentir ses désirs avant d'agir plus.

- C'est ça que tu veux?

Une simple question, retardant le moment fatidique. J'avais la conviction qu'elle allait m'ordonner de ne plus attendre mais je voulais quand même l'entendre de sa bouche, c'était toujours meilleure quand on poussait sa partenaire à réclamer quelque chose, ne pouvant plus attendre. La délivrance qui suivait la pénétration en était toujours meilleure ^^

Me combler complément. Il a de l’humour au moins ! Dieu du plaisir, la soirée s’annonce de mieux en mieux. Je le laisse m’emmener un peu à l’écart. Pressé le monsieur… Ses mains me déshabillent et je me retrouve bientôt nue devant lui. J’adore qu’un homme me regarde ainsi, cela m’excite. Bon d’accord, je n’ai pas vraiment besoin de ça pour l’être mais c’est toujours agréable de lire dans les yeux de son partenaire que vous lui faites envie.

Je me retrouve dos contre lui. Je sens sa queue contre mes fesses. Dieu qu’il semble bien membré. Je vais me régaler. Il me fait prendre appui contre un arbre. Penchée en avant, la croupe ouverte, je me sens encore plus chienne et mon entrejambe mouille de plus en plus. Faites qu’il me prenne et vite ! Je ne vais pas pouvoir attendre longtemps vu mon état.

Il me pénètre enfin. Pas totalement, il s’arrête à l’entrée de ma chatte. Non mais quel idiot ! Tout ça pour me demander si c’est ce que je veux. Pour toute réponse, sans lui donner le temps de réagir, je m’empale sur sa queue violemment. Je peux sentir mes parois intimes se dilater au passage de son membre. Une bonne queue, je ne demande rien de plus en fait.

- Faut que je te le dise comment que je veux juste que tu me baises. Et puis, si tu es vraiment le dieu du plaisir et bien… prouve-le moi.

Tout en parlant, je coulisse sur sa verge, l’enfonçant au plus profond de mes entrailles. Mon excitation remonte en flèche. Sous peu, je ne serai plus en état de réfléchir, soumise à mes envies sans pouvoir les contrôler. A ce moment-là, je ne serai qu’un jouet entre ses mains, jusqu’à la jouissance.

- Mmmmmm… Prends-moi comme une chienne…

Mon bassin ondule de plus en plus sur sa queue. Chaque pénétration fait dégouliner ma chatte de plus en plus. Mon envie se fait de plus en plus insistante. D’autorité, je place ses mains sur mes seins avant de me caresser la chatte. Ma température corporelle monte en flèche. Et je me fous pas mal que quelqu’un puisse nous voir. Tant que Azel me défoncera, tout ira pour le mieux.

Visiblement, elle n'était pas du tout là pour jouer, ce serait ce qu'un peu. Elle était venue pour trouver quelqu'un qui la baiserait convenablement et voilà tout. Inutile donc de la faire languir, elle voulait du sexe et tout de suite. D'ailleurs elle n'avait même pas prit le temps de répondre ... non elle était, décidément, une femme d'action et elle ne trouva rien d'autre à faire que s'empaler entièrement sur ma queue. Je sentais que je la remplissais totalement, ses parois intime enserraient ma verge, exerçant une petite pression dessus. Heureusement, elle mouillait comme une folle ce qui rendait l'insertion facile et agréable.

Elle m'avait demandé de lui prouver que j'étais le dieu du plaisir. Difficile dans ce cas précis puisqu'elle je ne ressentais pas grand chose, elle avait juste envie de ma queue pour le moment.
De mon côté, je devais bien admettre que la vue était extraordinaire. Une croupe démoniaque, de magnifiques petites fesses et puis sa chatte qui se dilatait sous mes yeux pour laisser passer ma queue. Celle ci avait prit une taille importante et voir son vagin s'ouvrir ainsi c'était très excitant. Je voyais ma hampe totalement luisante, grâce à sa mouille. Ce n'était pas humain ... baiser un ange, même déchue, avait une saveur exquise, c'était un niveau au dessus des humaines, aussi bonnes soient elle et aussi chiennes soient elle. Ce n'était pas comparable.

Alors que ma queue s'enfonce de plus en plus en elle, je sens son excitation monter en flèche, elle a terriblement chaud et cette chaleur devient communicative. Elle allait surement devenir bestiale d'ici peu, tellement elle aime se faire baiser et bien se faire remplir.
D'ailleurs, elle ne tarde pas à me demander de la baiser comme une chienne. Ce n'est pas un ange mais une salope, je suis vraiment bien tomber, moi aussi je vais me régaler.

- Mummm oui jvais défoncer ta bonne petite chatte ...

Voilà, elle faisait partie de celle avec qui je suis crue. Ça ne me déplais pas, au contraire, je trouve ça plus excitant encore.
Je sens qu'elle a envie que je la défonce, alors je me met bien sur mes appuis, m'accroche à ses hanches et commence à faire de grands va et vient en elle. Chaque aller retour fait dégouliner sa chatte et sa mouille va même se répandre sur le sol. La pénétration est délicieuse, son vagin est chaud, bien serré mais tellement humide mummmm
Elle est tellement excitée que je peux y aller fort dès le début, mes cuisses viennent claquer ses fesses à chaque fois que je m'enfonce entièrement en elle. Elle va découvrir avec délice que je peux la défonce ainsi autant qu'il sera nécessaire. Même si le plaisir que je ressens est immense, c'est elle qui contrôle ma jouissance.

Lorsque je la vois se caresser elle même, je décide de remplacer ses mains par les miennes. Plaçant les siennes sur l'arbre pour qu'elle puisse se maintenir, je vais caresser ses seins et stimuler son clito bien gonflé. Bien, sur je suis toujours en train de la baiser comme la chienne qu'elle est. Je ne fais rien d'autre pour le moment, elle n'exprime pas d'autres désirs que ceux là. J'espère tout de même que ses envies deviendront encore plus perverses, que je puisse lui montrer toute l'étendue de mes pouvoirs ...

Enfin ! Il se lâche ! Ce n’est pas trop tôt. Azel me défonce comme une chienne et c’est divin. Sa queue est énorme. Je le sens frotter contre les parois de mon vagin et pourtant elle entre sans difficultés. Trempée comme je suis de toute façon, tout entrerait. Azel m’oblige à remettre mes mains sur l’arbre et les remplace par les siennes.

- Mmmmmmm… tu vois quand tu veux, tu ne perds pas de temps en parole inutile.

J’ai beau être complètement excitée, je sens que quelque choses est différent avec lui. Aucune importance. Je me trouve au bord de la jouissance mais je sais que cet état va durer plusieurs heures. Mon amant semble endurant alors peut être aurai-je un peu de répit après lui… Lentement, je perds le peu de contrôle qu’il me reste et je déverrouille mes pensées. C’est une aptitude dont disposent tous les anges, celle de cacher leurs pensées.

Mon excitation continue de progresser. Je vais atteindre des niveaux jamais obtenus si ça continue. Et Azel qui ne faiblit pas. Sa queue ramone ma chatte avec force et sans répit. Mes pensées m’échappent. Des envies de viol, d’humiliation, d’asservissement. Jamais mes fantasmes n’ont été aussi loin. Je vais finir par le croire quand il dit qu’il est le dieu du plaisir. Je l’imagine se servant de moi jusqu’à ce que je crie grâce et qu’il ne s’arrête pas. Je me vois ouverte et réduite à l’impuissance, subissant ses assauts et ceux des hommes à qui il me donne.

Mon corps ne m’obéit plus, entité indépendant de ma volonté. Plus Azel s’enfonce en moi, plus je me cambre pour que sa queue s’enfonce encore plus. Mon vagin est dilaté à son maximum. L’impression que sa queue grandit encore m’effleure et le sol à mes pieds est trempé par ma mouille. Je veux son sexe dans ma bouche, qu’il me prenne ainsi, violemment et de force.

Mes pensées deviennent floues, je ne les perçois plus. Mon besoin de sexe a prit le contrôle de mon corps, je ne peux que le subir. Mon dieu que j’aime être ainsi.  Je gémis sans retenue sous les coups de boutoir d’Azel et on doit m’entendre de l’autre côté du parc.

- Tu es vraiment un dieu…….

Mes gémissements s’amplifient de plus en plus. Ma température corporelle aussi d’ailleurs. Il va être temps qu’il prenne des initiatives sinon je vais me consumer de l’intérieur.

Ainsi, voici dont tout ce qu'elle voulait ... une bonne grosse queue la défonçant. Elle était tellement frustrée que c'est tout ce qu'elle désirait dans un premier temps. En effet, je sentais qu'elle avait rarement ce qu'elle voulait, devant se satisfaire toute seule assez souvent ... quelle gachi qu'une créature aussi désirable ne puisse obtenir ce qu'elle veut plus souvent.
Sans me poser de question, je ne fais que la défoncer, lui envoyant ma queue tout au fond d'elle, sans retenu ni ménagement. Je la vois se cambrer, en demandant d'avantage et je ne faibli pas, au contraire, plus elle s'ouvre à moi et plus je m'y enfonce. Je ne suis même pas surpris de voir l'imposante queue, qu'elle a désirer, entrer facilement au plus profond de son vagin, ses envies sont tellement grandes que ça parait normal.

Elle me le confirmait, il était inutile de perdre du temps en bavardage et je l'avais bien compris. Je sentais qu'elle voulait juste se faire baiser avec force et c'est ce que je lui donnais, inutile de chercher plus loin, si ses envies variaient je le sentirais de toute façon.
Alors que son excitation monte d'un cran, je sens ses pensées s'ouvrirent à moi, un flot de sentiment pervers m'envahis et je peux enfin voir ce dont elle a envie... elle veut de la violence, être traité comme une chienne, être humiliée.. cela me donne quelques idées pour plus tard ^^

Avec un certain plaisir, je constate que son vagin s'élargit et que ma queue grossit pour combler se vide. Elle veut se sentir toujours rempli et, au vu de ses gémissements toujours plus fort, je ne doute pas qu'elle prenne beaucoup de plaisir. Encore une fois, elle me le confirme de vive voix, elle abdique et reconnait que je suis un dieu ^^ Je l'avais prévenu mais je n'en avais pas fini avec elle, loin de là.
J'avais bien pris en compte ses désirs d'être humiliée alors qu'un nouveau désir s'ajoute aux autres, elle a envie de gouter à ma queue. Après un bonne claque sur les fesses, je l'attrape par les cheveux et la fait s'agenouiller devant moi. Ne plus être dans sa chatte créé une étrange sensation de manque, c'est une sensation que je ressentais vraiment très rarement. Sa chatte était tellement bonne que j'en redemandais ... intérieurement, c'est moi qui espérais qu'elle serait endurante, j'avais envie de la baiser encore et encore.

- Alors petite chienne, apparemment tu la veux dans ta bouche? Alors vas y, suce la, en plus c'est toi qui lui donne cette taille tu devrais apprécier.

Vouloir une chose et l'obtenir pouvait créer un sentiment contradictoire. Je restais attentif à ses désirs et si cela ne lui convenait pas, je changerais toute de suite d'attitude. Mais si elle aimait se traitement, j'imaginais que ma deuxième queue allait très vite pousser et que son cul allait prendre aussi cher que sa chatte. Pour être honnête, j'espérais en arriver la, la défoncer des 2 côtés serait certainement divin mais ça, c'était à elle de le vouloir. En attendant, ma queue se dressait fierement devant sa bouche et je la regardais avec un sourire bien pervers ...

Azel me claque le cul avant de sortir sa queue de ma chatte. Je gémis de frustration. Pas le temps de réagir qui m’empoigne par les cheveux et me force à me mettre à genoux, son sexe à portée de ma bouche. Il est énorme. Mais plus que sa taille, ce sont ses paroles qui m’interpellent. C’est moi qui lui donne cette apparence. Un sourire s’affiche sur mon visage alors que je m’empare de sa queue et que je commence à la sucer avec ardeur. Je commence à comprendre et j’entrevois enfin un peu de répit dans mon état.

Je reperds très vite ma faculté de réflexion. Il faut dire qu’Azel ne ménage pas ma bouche. Au bord de la suffocation et pourtant je ne ralentis pas le rythme. Plus il s’enfonce en moi et plus j’ai envie qu’il aille de plus en plus loin, au risque de m’étouffer pour de bon. Mais je ne crains pas grand chose, je suis immortelle donc respirer n’est pas vital chez moi. Mes doigts sont de nouveau dans ma chatte, allant et venant au rythme des coups de boutoir d’Azel dans ma bouche déformée par la grosseur de sa queue.

Je n’ai jamais, jusqu’à aujourd’hui, perdu le contrôle de la situation, dirigeant mes amants selon mes envies du moment. Mais là, je ne peux que subir mes envies et plus le temps passe, plus elles se réveillent et prennent de la puissance. Azel n’a pas lâché mes cheveux, m’imposant son rythme sans me donner de répit. Il devient même de plus en plus violent dans ses gestes, ce qui a pour résultat de faire encore monter d’un cran mon excitation. J’ignorais que c’était possible. Ma chatte coule sans s’arrêter maintenant. Un premier orgasme s’empare de moi mais au lieu de me calmer, il sert de catalyseur à mes envies, les renforçant.

Dommage qu’il ne dispose pas de plusieurs queues… Me faire défoncer le cul et la chatte par lui en même temps doit être divin. Etrangement, cette pensée s’impose à moi, toujours teintée de violence. Une image se précise : moi à quatre pattes dans ce parc et Azel me baisant tout en m’humiliant. J’ai compris qu’il me donner ce que je veux mais pas que c’est moi qui provoque les situations. D’autres images se superposent : des images de sexe de plus en plus violentes. Pendant ce temps, j’avale de plus en plus cette queue qui change de taille selon le moment sauf que je ne m’en rends même plus compte. Je ne suis plus que désir et excitation. Et même prise ainsi, je suis certaine que mes gémissements sont entendus très loin. Je veux qu’il force mon cul, qu’il me prenne sauvagement, qu’il me fasse mal pour encore mieux sentir son sexe.

Alors que ma queue se trouve devant sa bouche, je vois qu'elle comprend qu'elle en contrôle la taille et cette information semble la ravir ^^
Elle ne perd pas de temps pour s'en emparer et commencer à me sucer. Ma verge et trop grosse pour sa bouche mais, bizarrement, sa taille ne diminue pas, au contraire, elle a tendance à augmenter régulièrement. Si bien qu'elle s'étouffe à moitié en me suçant. Je sens sa gorge se dilater à mesure que mon gland tape au fond. Malgré tout, elle ne ralenti pas se l'enfonçant jusqu'à suffocation. Tout cela m'excite au plus au point, jamais une humaine ne serait capable de tout ça, sauf cas extrêmement rare. C'était à mon tour de gémir et je me fichais pas mal qu'on nous surprenne, plus il y aurait de monde qui nous observerait et plus le désir autour de nos ébats serait conséquent.

Folle de désir, je la vois aller se doigter la chatte, celle ci ne s'arrête pas mouiller et déverser son liquide sur le sol, ça aussi ce n'est pas humain, une vrai fontaine et je dois dire que ça contribue également à mon excitation prononcée.
Au bout d'un moment, je sens qu'elle jouit et c'est comme ci je jouissais également, je le ressens au plus profond de moi mais c'est un petit orgasme... il ne comblerait pas son appétit et le mien non plus d'ailleurs. Ce n'est qu'un déclencheur qui va rendre les choses encore plus bestiale, je le sentais et j'en avais envie.

Puis vint le moment que j'attendais temps. Elle exprimait sa déception que je n'ai pas plusieurs queue. Un sourire satisfait se dessinais sur mon visage.

- Détrompe toi ... puisque tu en exprimes enfin l'envie, tu vas pouvoir te rendre compte de l'étendu de mes talents.

Aussitôt après ma 2ème queue pousse au dessus de la première. Elle sont parfaitement identiques. Je vois sur le charmant visage de mon ange qu'elle est d'abord surprise mais très vite le sentiment change et je commence à voir des images de son esprit. Elle souhaite très fort que je lui défonce le cul en même temps que sa chatte. Qu'elle se rassure j'espérais vivement qu'on en arrive là et elle n'allait pas être déçue. Je voyais également qu'elle voulait de la violence, de l'humiliation et que je la prenne à 4 pattes ici même. Tout ça était parfait, elle avait envie des mêmes choses que moi et j'allais m'employer pur qu'elle n'oublie jamais ce qui allait suivre. Elle m'avait bien précisé que les discours ne servaient à rien alors j'agis sans lui demander son agis.
Tenant toujours ses cheveux je lui fait prendre la position qu'elle a vu dans son esprit, c'est à dire à 4 pattes, la croupe bien relevée vers moi. Je me place derrière et, encore une fois, elle m'offre une vision ... démoniaque il n'y a pas d'autres mots. Son cul est parfait, petit, ferme, bien rebondit ... sa chatte est béante et dégouline de mouille elle n'attend plus que la queue qui l'a défoncée jusque là ... son anus est encore fermé mais il ne va pas le rester longtemps !!

Me mettant à genou derrière elle, je fais d'abord coulisser ma verge sur sa chatte, récoltant de sa mouille pour bien la lubrifier. Celle que j'avais au début est encore couverte de sa bave et de toute façon, vu l'état de sa chatte, elle va rentrer sans problème. Je sens son excitation monter encore d'un cran ce qui me rend impatient, j'ai tellement envie de la défoncer des 2 côtés !!
Alors que j'approche mes glands de ses orifices, je vois mes queues grandir et grossir encore un peu ... cette chienne est vraiment gourmande !! J'estime leur taille à près de 30cm pour au moins 5 de large ... elles ont rarement atteint cette taille. J'entre en contact avec ses 2 entrées ... l'une d'elle est humide et chaude, prête à me laisser passer sans mal, l'autre et beaucoup plus serrée et moins accueillante. Elle voulait avoir mal !? Je pensais qu'elle n'allait pas être déçue.

Je force un peu et je fais entrer mes 2 glands ... elle a tellement envie que je m'enfonce relativement facilement dans son cul mais ... pour le reste de ma queue c'est une autre histoire. J'agrippe bien ses hanches et je commence à pousser. Sa chatte s'ouvre comme une fleur accueillante facile ma queue du bas mais son anus est plus réticent et un sourire pervers apparait sur mon visage.

- Tu voulais avoir mal petite chienne?

Sans lui laisser le temps de répondre je force violemment et ses barrière se déchire ... mes 2 queues s'enfoncent entière des 2 côtés et un râle de plaisir s'échappe fortement de ma bouche. La sensation que j'ai ressenti aurait pu faire jouir n'importe quel humain. C'était absolument divin ... d'un côté c'était doux, chaud et humide, de l'autre serré, chaud et moelleux... ce qui m'offre le plus de sensation reste son anus qui comprime fortement ma queue, malgré tout je sens qu'elle en avais envie plus que tout puisqu'il me laisse tout de même passer entièrement. Je reste collé un moment contre elle, appréciant son intérieur avant de repartir en arrière, ressortant jusqu'au gland. Je repars mais son anus ralentit ma progression ... il se dilate mais reste encore bien serré.
Pas grave, je repars violemment en avant, faisant claquer nos cuisses les unes contres autres. Je la sens se déchirer et je gémis encore fortement. C'est tout bonnement divin et j'espère qu'elle pourra tenir longtemps le ritme que je vais bientôt lui imposer.
Sentant son cul s'ouvrir de plus en plus j'entame une série de va et vient ... je ne prend pas de pincette, je la défonce complétement, faisant des mouvements rapide et sec. Chaque fois que je m'enfonce en elle, je vais bien au fond et nos corps claque l'un contre l'autre.
Mon corps ne fait qu'obéir à ses désirs, au final, je suis presque la marionnette de son esprit, près à répondre à la moindre de ses attentes.

Au milieu d’un parc, baisée par le dieu du plaisir… Moi qui était sortie pour satisfaire une nouvelle fois mon besoin de sexe, j’étais servie. Découvrir qu’en plus, Azel pouvait en plus satisfaire la moindre de mes envies avait eu pour effet de décupler mon plaisir. Soumise à mes propres fantasmes. Voilà qui promettait une nuit très, très longue.

J’ai la surprise de voir « pousser » une seconde queue. Les pouvoirs d’Azel sont donc sans limite ? Pas vraiment le temps de me poser la question en fait que celui-ci me retourne sans douceur et vient poser chacun de ses glands à l’entrée de mon vagin et de mon cul. Je les sens grossir. Elles ne rentreront jamais, ce n’est pas possible. Sauf qu’au moment où je me dis ça, Azel me pénètre sans prévenir. Juste les glands en fait mais la douleur est immédiate. Ma chatte ne pose aucun souci mais mon cul, c’est une autre histoire. Je suis plus serrée qu’une humaine de ce côté-là. Mes entrailles semblent se déchirer et pourtant mon excitation ne cesse de croître.

- Tu voulais avoir mal petite chienne?

Pas le temps de lui répondre qu’il s’enfonce dans mes orifices d’un seul coup. Je hurle, le souffle coupé mais j’en veux encore plus. Azel me pilonne sans répit. Je peux sentir mon cul se faire à la grosseur de sa queue et son membre coulisser de plus en plus facilement. A tel point que la douleur disparaît progressivement, me frustrant. Je veux sentir mon cul forcé en permanence, ce qui a pour effet immédiat une adaptation du second membre qui grossit au fur et à mesure que je me dilate.

J’entends mon partenaire gémir par moment. Ainsi donc, lui aussi ressent le plaisir. Ce qui décuple le mien dans le même temps. J’accompagne chacune de ses pénétrations, gémissant de douleur et de plaisir. Le rythme est soutenu, trop sans doute pour une mortelle, mais parfait pour moi. Des ombres passent dans mon champ de vision. Nos cris ont attiré des rôdeurs, des voyeurs en fait qui ne se gênent pas pour nous observer, restant à distance raisonnable pour le moment. Nul doute que le double appendice d’Azel doit les refroidir quelque peu.

- Mmmmmmmmmmm… Défonce-moi…. Prend-moi comme une chienne….

Je peux sentir l’excitation provoquée par mes paroles chez nos spectateurs. Je m’en nourris, accentuant encore plus mes envies. Mon partenaire n’est pas en reste non plus, réagissant à la moindre image qui traverse mon esprit, me pilonnant avec force. Mon cul est forcé à chaque pénétration et ma chatte dégouline de plus en plus. De nouveau l’envie d’être contrainte, utilisée comme vide-couilles, humiliée, s’empare de moi. Les deux appendices grossissent d’un seul coup sous la violence de cette envie.

De mémoire, je ne me rappelais pas avoir défoncer quelqu'un à ce point, et le pire c'est qu'elle en redemandait encore. J'étais impressionné et me demandais si elle avait des limites. Je l'avais entendu hurler après avoir déchiré son cul et je ressentais sa souffrance mêlée de plaisir. Et même quand son cul s'habituait à la grosseur de ma queue, je sentais sa frustration qui la faisait encore grossir. Elle prenait du plaisir dans la douleur, incroyable et, en même temps, tellement excitant. Pouvoir défoncer quelqu'un ainsi me procurait une sensation de puissance sans précédent et j'adorais ça. De voir la taille qu'elle avait fait prendre à la queue qui lui défonçait le cul, était tout simplement monstrueuse. Je n'arrivais pas à comprendre comment tout pouvait entrer en elle, vu con petit gabarit, ca défiait l'imagination ^^ Et pourtant je sentais son désir, je sentais qu'elle en voulait encore et encore, que je continus de la pilonner comme une bête. Comme mon corps était un pantin entre les mains de son imagination, je me retrouvais là, derrière elle, a la baiser avec férocité, envoyant mes 2 queues au plus profond de son être.
Par moment, je ressortais entièrement juste pour voir la dilatation de ses orifices. Les 2 étaient totalement béant et sa chatte continuait de laisser échapper une quantité de mouille incroyable. Cette vision m'excitait au plus haut point, elle avait un corps digne d'une déesse et de voir la largeur de ses trous béants me rendait dingue. Je repartais donc aussi sec en elle, continuant mes va et vient brutaux. Je gémissais comme jamais, ressentais son plaisir au plus profond de mon être.

Alors que ses cris et mes gémissements ont attirés des curieux, je sens que cela augmente encore son désir. Ça l'excite qu'on l'observe et moi je ressens le désir de chacun... certains se branlent, d'autres se caressent, il y a même 2 femmes qui ses doigtent mutuellement en nous regardant. A ce moment là, je m'étais penché en avant, attrapant ses seins, et fit remonter son buste.

- Regarde salope ... tout le monde te regarde te faire défoncer ... tout le monde voit à quel point tu es une chienne

J'appuie ensuite entre ses omoplate pour qu'elle se repenche en avant et que son cul reparte bien arrière. Sa cambrure est parfaite et je peux aller vraiment au plus profond d'elle. Je reprends mon travaille de défonce. Alors que son désir de maltraitance et d'humiliation commençait à être comblé je sens que son désir augmente encore, a ce demander si il a des limites. Elle me demande de la baiser comme une chienne. Décidément, elle a l'air d'apprécier le traitement bien que je ne sois vraiment pas doux avec elle. Aucune humaine n'aurait pu soutenir se traitement de cette façon. Encore une fois, ses envies font grossir mes queues, on a du atteindre les 40cm par 6 ou 7, je ne sais plus mais c'était la première fois que je les voyais aussi grosse. Une nouvelle fois, je me sens à l'étroit dans ses orifices me procurant une vague de plaisir inouï. Tout comme elle, j'en redemandais et je me mis à la défoncer comme je ne l'avais jamais fais.

- Mummm je n'ai jamais baisé une chienne comme toi, tu es incroyable ...

C'était un compliment et je me disais qu'il serait peut etre bon de faire en sorte qu'elle puisse m'appeler chaque fois qu'elle est en manque. En tout cas, je comprend mieux la frustration que j'ai ressenti plus tôt, aucun homme ne serait capable de la combler de cette façon ... elle ne semblait pas avoir de limite, c'était inhumain mais bon, je ne me posais plus de question, elle voulait de la défonce, avoir mal ... soit, mon corps agissait au fil de ses envies et pour le moment il ne faisait qu'envoyer violemment mes queues dans son cul et sa chatte.

Depuis combien de temps Azel me prend-il ainsi, je l’ignore. Mon désir n’a cessé de croître au fil du temps. Ma chatte et mon cul sont en feu à force d’être ramonés sans répit. Certains des voyeurs s’enhardissent et s’approchent, restant malgré tout à bonne distance de nous. J’ai beau savoir qu’il ne fait que réagir à mes envies, je commence à soupçonner que ce cher dieu en tire un plaisir personnel.

Mes gémissements se font de plus en plus entendre. Je veux qu’il me voit chienne, prise sous ses yeux comme la catin que je suis. Cette envie traverse mon esprit de façon fugace avant de faire place à une autre : celle de sucer ses deux queues en même temps. Je me dégage de son étreinte, l’air s’engouffrant dans mes trous béants. Aucun souci, il ne leur faudra que quelques minutes pour se refermer. Je me mets à genoux devant lui avant d’engloutir, non sans mal, ses deux membres luisant de ma mouille. Mes lèvres coulissent difficilement dessus mais cela ne réfrène en aucun cas mes ardeurs.

Je pose sa main sur mes cheveux d’autorité. Il réagit peut-être selon mes envies mais je suis certaine qu’il garde une partie de libre arbitre. Enfin, je l’espère. Moment de lucidité trop court. Je suis brûlante, consumée de l’intérieur par mon plaisir et celui de nos spectateurs. Je veux qu’Azel jouisse dans ma bouche. Ce qui ne tarde pas à arriver. J’avale le maximum, le reste coulant sur mon corps, me souillant une première fois. Ma jouissance suit la sienne sans traîner, renforçant une nouvelle fois mes envies. Je lève mon regard vers le dieu.

- Tu peux vraiment exhausser la moindre de mes envies ?

Ma respiration est rapide. Je peine à me calmer. Je veux qu’il me livre, ici et maintenant, à nos voyeurs. Qu’il m’oblige à les satisfaire quitte à me brutaliser pour que je lui obéisse. Submergée par mes émotions, je regrette quelque peu qu’il n’agisse que selon mes envies. Les siennes, si il en a, doivent être jouissives au plus haut niveau.