Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures
Rentré houleuse [PV- - Elsa]
Oklan:
Sa yest, la rentré des classe était arrivé. Encore une années de terminale pour Oklan le Yakuza à déjà 20 ans ... Sa bande était bien plus importante que les cours stupides à ses yeux. C'est avec grand regret qu'il se rendit vers son lycée sur sa moto noire, toujours suivis, bien évidemment, par des membre de sa bande. La rentré était toujours l'occasion de montrer aux petit nouveau que c'était lui le chef. D'ailleurs s'il était toujours accepté dans cette école c'est qu'elle faisait partit de son territoire et que le proviseur lui devait beaucoup. Il arriva donc en trombe avec ses frères vers l'entré du lycée. Il y avait énormément de monde comme à chaque fois mais son regard fut atiré par d'autres individus, des Kuzan ! Sa bande rivale! mais avec quel droit elle osait se pointer sur son territoire! Oklan pila si fort que la moto de leva en l'air et retomba sur la roue arrière. Il enleva son casque et plaça ses lunettes de soleil sur ses yeux. Un léger mouvement de mains sur les cheveux et le soleil brilla sur son blouson en cuir.
"Qu'est-ce que vous branlez sur notre territoire Kuzan! vous voulez une raclée?!
- Ce n'est plus votre territoire Yakuza! nous avons étendus notre domaine jusu'à la 7éme rues et le lycée en fait partit.
-Tu espère y refourguer ta daube pourris! Et depuis quand tu étant ton territoire! hein?! Ce lieux est à nous et puisque tu ose nous défier, nous allons régler ça à l'ancienne, en déposant nos armes et combattre à main nues pour la propriété du site. Si je gagne, nous étendrons notre territoire jusqu'à la place du hall sinon, le lycée est à toi!
-Sa me vas"
Les deux bandes enlevèrent alors leurs armes qu'ils dissimulaient dans des sac ou dans les scelle des motos. Un arsenal impressionnant se balada sous les yeux de tout le monde, couteaux, pistolet, uzi, mp5, fusil à canon scié, sabres... Tout cela fut confié à un membre de chaque bande qui ne prenait pas part au combat. Inutile de préciser qu'un gigantesque cercle s'était créer autour des deux gangs.
Oklan courut alors en criant vers son rival ainsi que ses frères. Les adversaires en firent de même et la bagarre éclata. Des coups de poing, de pied, de tête... tout fusait à une vitesse fulgurante. Oklan ramassa plusieurs coups, au ventre, à la tête, aux bras, aux jambes mais cela importait peu, il en avait rendus aussi beaucoup et l'honneur primait avant tout car sans honneur il n'y a plus de respect. Les Lycéen regardaient la scène, certains choqué, d'autres filmant avec leur portable cette scène d'anthologie pour la diffuser sur internet. Parmi la foule il y avait de tout, surveillant, lycéen, professeur ect... mais nul ne savait quoi faire. Et puis, intervenir dans une bagarre de gang était chose risqué...
Elsa:
Elsa était venue le vendredi passé pour s'inscrire, avant la rentrée des classes, et tout lui avait parut calme dans ce lycée, il était désert, l'idiote s'était dit que cet endroit était calme, qu'il n'y avait que des élèves sages et qu'elle ne risquerait aucun ennuis. Cela était logique et chaque personne arrivant dans un nouvel établissement devait se persuader de la même chose, pour ne pas trop avoir la boule au ventre le jour de la rentrée. La jeune fille n'avait aucunes difficultés à se socialiser, mais elle avait trop tendance à avoir de mauvaises fréquentations, sûrement pour se sentir au même niveau que les autres, ne pas avoir à savoir beaucoup de choses pour tenir une conversation.
Alors ce matin en se réveillant, elle était de très bonne humeur pour ne pas penser à cette boule qui lui tenait le ventre, de la peur qu'elle avait de se retrouver seule et rejetée, car elle savait qu'elle serait une des seules étrangères. Et d'un autre côté elle était contente car elle allait être dans une classe où tout le monde apprécie la mythologie et elle pourrait avoir de longues et intéressantes conversations sur ce sujet. Malgré cette motivation excessive, elle n'avait réussit à avaler qu'une tasse de thé à la vanille qu'elle avait rapporté de Polynésie et elle avait passé tout son temps dans la salle de bain pour se préparer et être présentable devant ces étrangers parmi lesquels elle s’efforcerait de se faire des amis.
Son appartement fermé à clé, elle quitta l’immeuble et descendit prendre le bus qui amenait au lycée, elle l’avait repéré car il était inscrit dessus Lycée Général. Avant de venir au Japon, elle avait prit soin d’apprendre le japonais pour ne pas être complètement perdue, et elle n’avait donc aucun problème, car elle maîtrisait très bien la langue. Elsa fixa ses écouteurs dans ses oreilles et mit la musique au plus fort pour ne plus rien entendre du brouhaha incessant dans le bus. Ses yeux regardaient l’extérieur, les rues, les passants, les bâtiments, tout lui paraissait brutal, aucune douceur qu’elle se rappelait de son île, tout était béton et asphalte.
Le bus s’arrêta, devant un immense établissement, et Elsa descendit, la musique berçant toujours son esprit et masquant le moindre bruit extérieur tentant d’agresser ses doux tympans. Elle regarda autour d’elle et vit qu’il y avait un monde fou, elle marcha jusqu’aux escaliers menant au hall lorsqu’elle vit un attroupement de personnes en bas de ces derniers. Prise d’un élan d’adrénaline, elle poussa les gens pour s’avancer et voir ce qu’il se passait. Elle sentit une force dans son dos et c’est alors qu’elle constata qu’elle était au milieu d’un bagarre, bloquée par la masse de spectateurs, à quelques centimètres de deux hommes qui se massacraient.
Son cœur se mit à battre, ses mains et ses jambes tremblèrent et elle resta figée au milieu de la batailles, ses livres plaquées contre sa poitrine et ses yeux affichant un regard apeuré. Tout à coup, elle sentit un coude frapper son épaule et elle tomba au sol, sa tête heurtant le sol et elle put voir de façon peu distincte le regard des spectateurs se rivant vers elle. Personne ne l’aida à se lever, et le coup qu’elle avait prit à la tête l’empêchait de faire le moindre mouvement. Résultat du premier jour de cours dans un nouveau lycée : elle était étendue au sol, assommée, au milieu de deux hommes se battant, ou plutôt s’entretuant pour une raison qu’elle ne connaissait pas.
Oklan:
Le monde s'attroupait de plus en plus prêt des deux hommes. Ses frères Yakuza étaient déjà épuisé mais Oklan continuait à se battre contre le chef Kuzan. La survit de son territoire en dépendait. Les coup de pied et les coups de poing volaient dans tout les sens. La bagarre se mêlait de bousculade fréquente qui auraient dus les faire sortir de la foule mais à chaque fois les spectateur les relançaient dans le rond. Quelques professeur tentèrent de s'interposer mais ils furent vite pris à partit par le clan qui leur en disuada. Voilà un quart d'heure que le combat fait rage et déjà les deux hommes était en sang. Arcade, nez, lèvre, tout était dégoulinant de sang et boursoufflé. Dans la fureur du combat, Oklan sentit son coude heurter quelque chose. Sa devait être un mec de la foule, il n'avait qu'à se pousser. Finalement, les Yakuza ont eut raison de leur ennemie. Ceux là, épuisés, abandonnèrent les lieux pour éviter un massacre. Oklan tomba sur les fesses, épuisé.
"HAHA c'est ça barrez vous! Cette terre est celle des Yakuza!"
Les cris de la bande et de certain élève du lycée se firent entendre tout comme les sirène qui se rapprochaient vers le lycée. En se retournant Oklan vit une fille à terre, ses bouquin éparpillé. Son coude avait dus frapper cette jolie fille, étendue là, au sol.
" Et merde!... Hé Ho!... tu m'entends toi!... Dites au secours... de s'occuper d'elle"
Sa phrase était ponctué par une respiration difficile et une toux roque qui laissait échapper du sang. Il s'allongea sur le sol, les yeux aux ciel pour baisser son rythme cardiaque. Des pompier en uniforme arrivèrent alors vers lui. Le groupe qui s'était entouré de la fille empêchait les secouriste de la voir.
"Putain pas moi bordel!... la fille... là... dans la foule!"
Un pompier alla voir puis appela rapidement deux collègues. Un autre s'occupait d'Oklan, l'aidant à se relever. Une minute passa puis la fille fut brancardé dans le VSL. On y conduit également Oklan, en colère
"Pütain! ... on vous appelle pour... une bagarre de gang... et vous vous venez ... avec un seul véhicules!?""
Le Yakuza n'avait pas perdus son humeur légendaire. A vrais dire il n'aimait pas laisser derrière lui ses frère de bande, eux aussi touché par la bagarre, bien moins que lui certes mais, on ne laisse pas ses frère seul sur un champs de victoire. Oklan fut rassuré lorsqu'il entendit les dizaines de moto jouer de leur échappement derrière le véhicule des pompiers. A l'intérieur, Oklan était assis sur un fauteuil fixe face au brancard où était allongé Elsa. Lui, était blessé en apparence, avec bandage et écharpe sur le bras mais elle, elle semblait touché intérieurement. Elle n'ouvrait pas les yeux et en répondait pas. Oklan s'en voulait, jamais il n'aurait fait de mal à une femme qui plus est, sur son territoire. Tout ça c'était la faute de ces Kuzan et ils le paieraient. Oklan tandis le bras lentement, serrant la main de la fille dans la sienne
"Vous êtes content maintenant?! à chaque fois c'est pareil, vous et vos bande, vous foutez le bordel et on se retrouve avec des victimes sous les bras!
- Comment tu me parle toi! ... Je n'ai pas voulus ça... c'est un jeu de malchance c'est tout..."
Oklan, en colère, se sentait tout de même responsable, même s'il était trop fier pour l'avouer. Cette fille n'avait rien demandé, elle voulait juste se rendre à l'école sans encombre et au vus de son visage, Oklan compris qu'elle était nouvelle. Après cinq ans passé au lycée il connaissait toute les têtes et celle ci ne lui était pas familière. Elle était d'un bronzage naturel, pas comme toute ces gonzesse qui se font des UV, elle avait des cheveux blanc plus clair encore qu'une blonde décoloré et un visage fin, magnifique. En espérant qu'elle se réveille, Oklan se méprit à cet instant d'avoir frappé un ange...
Elsa:
Lorsque la bagarre s’était arrêté, Elsa ne su dire qui avait gagné, car il y avait du sang partout et elle était toujours incapable de se lever, la seule chose qu’elle voyait était le foule et le ciel, l’impuissance ne la rendait même pas folle, car elle se sentait comme enfoncée dans le sol, le coup à sa tête l’avait rendue quasi inconsciente, et cela la mettait dans un embarras plus que total. Pour son premier jour de classe elle n’aurait pas imaginé une meilleur entrée qu’il soit. Elle vit un visage au dessous du sien et entendit une voix haletante appeler pour du secours, ce qui lui fit comprendre que son cas devait être inquiétant.
Elle aurait voulu se relever mais ce fut un brancard qui le fit à sa place et elle se retrouva l’instant d’après à l’arrière d’une ambulance, avec à son bord une autre personne, un homme. Les yeux à demi ouvert et l’esprit encore embrumé, elle sentit une pression sur sa main, quelqu’un la serrait, ce qui la tira un peu de son état d’assommement. Elle s’efforça d’ouvrir les yeux et vit plus clairement le visage de l’inconnu qui lui tenait la main. Il avait, malgré les blessures de la bataille, un visage fin et assez agréable, ce qui ne pu l’empêcher de sourire à demi inconsciemment.
Maintenant peu plus en possession de ses moyens, elle tenta de se redresser mais des sangles la tenaient allongée. Son regard alla vers ce garçon, qui maintenant elle se demandait si il n’était pas l’auteur du coup de coude. Elle scruta ses vêtements et alors le reconnu, il l’avait fait tomber et surtout lui avait flanqué la honte de sa vie. Elle ne pouvait lui en vouloir, elle n’en voulait à personne, elle avait été idiote de s’insérer dans la foule par curiosité. Pour manifester la gêne des sangles et remua un peu, espérant que l’inconnu comprenne qu’elle étouffait et que ces idiots de pompiers auraient pu éviter ça.
Malgré son idiotie apparente, c’était la première fois qu’elle montait à bord d’une VSL et ce n’était pas confortable pour un sou. Si elle avait pu elle se serrait relevé et aurait insulté l’idiot qui lui avait cogné l’épaule et l’avait fait tomber, malheureusement, elle était une de ces filles que l’on dit fragiles et la honte l’envahissait de plus en plus à chaque seconde. Une fois de plus, elle ne pu s’empêcher de regarder cet homme, de constater qu’il avait l’air âgé, et qu’il n’avait plus vraiment l’âge d’être au lycée. Elsa aurait pu engager la conversation, poliment, mais elle ne savait que dire, elle ne parlait jamais aux hommes, et encore moins aux inconnus.
Oklan:
Oklan avait la tête baissé, couvert de honte, regardant le plancher de l'ambulance. Il pasait sa main dans les cheveux tout en se demandant comment on avait put en arriver là. Si cette fille avait des problème sérieux par la suite, il ne se le pardonnerai jamais. Soudain il sentit serrer sa main plus fort que la normale, rehaussant la tête il vit que la femme avait réouvert les yeux. Content de ce fait il lui fit un jolie sourire malgré ses blessures au visage.
"Hey sa va aller, on va s'occuper de vous à l'hopital."
Les phrases du genre "sa va?" ou "ne vous inquiétez pas", oklan trouvait sa stupide, il pensait que c'était surtout destiné à rassurer sa propre personne. Plongé dans ses magnifique yeux, il fut plein de remord d'avoir cogner une fille qui plus est si belle. Il vit la fille bomber sa poitrine pour essayer de s'extraire des liens du brancard en regardant Oklan. Il comprit de suite que la fille était compressé par les sangles et les desserra. Un pompier aussitôt intervint
"Hey quest-ce que vous faites?!
- Elle a mal sa se voit pas ! elle bouge dans tout les sens à cause de vos connerie!"
Le pompier aussitôt se dirigea vers elle et l'examina pour évaluer sa motricité et faire un diagnostic de détresse vitale. il eut fini et ne resserra pas les lien, tout laissait à penser qu'elle n'avait rien de grave en fin de compte. Oklan rongé de remord avoua en serrant de nouveau la main de la fille
"Je suis désolé de ce qui est arrivé... Je n'ai pas fait exprès jamais je n'aurai fait de mal à une fille. C'est dans la folie du combat que les coups ont fusé et je ne t'ai pas vu derrière moi."
Le Yakuza espérait que la fille accepterait ses excuses mais il savait que ce n'était aps si facile. Lui, il était habitué à prendre des coups, au geurre de gang et de territoire mais pour une fille si fragile c'était aps la même choses.
"Cette putain de rue fait trop de victime à chaque fois... C'est pour ça que je dois en avoir le contrôle, pour protéger les miens... Je ne me suis pas présenté, je suis Oklan. J'aurai aimé te rencontrer en d'autre circonstance
Il esquissa un léger sourire à la fin de sa phrase. Aussitôt les sirène se turent, ne laissant que les éclair des gyrophares contre les mur de l'hopital. La porte arrière s'ouvra et deux brancardier saisirent le lit mobile pour le faire descendre du fourgon. Ils partaient à toute allure vers l'entré, passant rapidement dans les couloirs. Oklan ne suiva aps l'infirmier qui voulait l'examiner. Il s'était déjà soigné seul chez lui pour pire que ça. Mais pour la première fois au monde une chose le poussait à rester à l'hopital, il serait là pour se rendre de la chambre de la fille lorsqu'elle irait mieux. Il appela son meilleur amis Fuji
"Yo mec, rejoins moi à l'hopital, je n'ai rien mais j'aimerai que tu fasse une course pour moi. Apporte moi un bouquet de vingt roses rouge stp et stp viens avec un frère et ma moto."
Oklan raccrocha sans attendre de confirmation, ce n'était pas la peine. Il sortit son paquet passa les porte de l'hopital. Il saisit une cigarette avec les dents et d'un mouvement habile l'alluma avec son zipo, attendant l'arrivé de Fuji avec son cadeau.
Navigation
[#] Page suivante
Utiliser la version classique