Une belle vue sur le parc [PV Mach Bonin]

Cela faisait une semaine qu'Aleera avait emménager a coté du parc.

Elle possédait un grand atelier d'artiste aménagé en Loft.
On ouvrait une grosse porte lourde et massive pour rentrer dans loft, dès qu'on rentrait on sentais une chaleur non pas torride mais douce et appelant au plaisir. La pièce était tempérée, ni trop chaude, ni trop froide. Ce que l'on voit en premier? Un grand lit à baldaquin noir et massif, si on ne fait pas attention, attiré par ce nid qui appelle au plaisir, on se cogne dans un grand canapé à l'ancienne couvert de velours rouge sang.
Une cuisine équipée qui à l'air d'avoir jamais servit se trouve dans un renfoncement sur la gauche, mais c'est bel et bien le lit qui attire le regard.
On ne vois pas de premier abord les deux grandes baies vitrées à coté de la porte...Pour une vampire c'est ironique! Un filtre est placé sur les vitres afin que les passant ne puissent pas voir ce qui se passe a l'intérieur, sauf si ils le veulent vraiment!

Aleera est habillé d'une petite jupe courte noire à laquelle sont accroché des chaines qui pendouillent un peu partout, donnant une cadence chaloupé à sa marche. Son petit haut, bien trop serré pour elle, laisse ressortir sa poitrine opulente qui laisse penser à une fermeté sans pareille. Les hommes qui la regarde passer dans la nuit, pense surement déjà à lui mordre les tétons. Le sachant bien Aleera marche tout en se cambrant pour faire ressortir sa poitrine, ce qui lui va parfaitement bien avec ses grand talons aiguille qui allonge ses jambes. Elle a aussi posé de travers sur la tête,  un joli chapeau noir qui lui donne un air mystérieux...

Aleera rentre de faire quelques courses décoratives, dans ses sacs en papier se trouve des chandeliers noir, des bougies rouges, quelques bâtons d'encens et divers bibelots gothique qu'elle a dégoté dans une sombre boutique du centre commercial.

Malgré qu'elle les porte à la main, ses sacs qui ont l'air lourd semblent être des ballots de coton dans ses mains.

Elle arrive devant sa porte et d'un air embarrassé se dit a elle même:

Ah bah, c'est bien ma veine...Pourquoi j'ai encore acheté autant de chose...Comment vais-je ouvrir ma porte!?

Elle espérait bien sûr qu'un des passants du parc qui se noyait dans la contemplation de sa personne vienne l'aider.

Mach passait de plus en plus par le parc depuis sa dernière rencontre avec une jolie jeune femme. Pas tant qu’il comptait en croiser une nouvelle, que peut être il aurait de quoi s’amuser avec quelques petits voyou s’en prenant à de pauvres promeneurs.  Bien sur, il portait toujours son uniforme de soldat, qu’il faisait de temps en temps laver à un pressing du coin, et son passage ne laissait pas les gens indifférents. Que cela soit crainte ou répulsion de la part des plus âgés, cela laisser place à la curiosité et l’amusement des enfants, surtout des petits garçons, auxquels il lançait un sourire amusé lorsqu’il croisait le regard de l’un d’eux.

Il atteignit alors l’autre sortit du parc, qui au final avait plutôt été calme, normal vu l’heure qu’il était. Ce n’était pas comme la circulation de la rue qu’il avait à présent devant lui  et qui bouchonnait. C’est alors qu’il vit devant lui, de l’autre côté de la rue, une jeune femme, en tenue sombre, mais visiblement assez provocante, bien qu’elle l’aurait peut être été bien plus sans son chapeau selon l’opinion de Mach. En tout cas, celle-ci semblait avoir beaucoup de sac, qui devaient tout de même être assez lourd, alors qu’elle était devant une porte, cherchant visiblement à l’ouvrir. D’ailleurs, la voix qu’il entendit, et qui venait bien entendu de la demoiselle montrait clairement ce point de vue.

L’ancien soldat profita alors du bouchon des voitures pour traverser sans se soucier du fait qu’il traversait hors des clous. Il cherchait simplement à rejoindre la demoiselle, légèrement en difficultés. Bien sur, elle aurait pu poser ses achats pour se libérer les mains et sortir sa clef, le temps d’ouvrir sa porte, et reprendre ses bagages. Mais, cela ne lui était pas venu à l’esprit, ou tout simplement que la manœuvre l’embêtait.  Arrivant alors derrière elle, Mach prit la parole.

- Auriez vous besoin d’aide pour portez vos sacs mademoiselle ?

Demanda t il d’une voix calme et serviable. Il n’attendit d’ailleurs guère la réponse, se doutant un peu que s’était ce qu’elle attendait. Il glissa alors ses mains sur celles de la jeune femme, le temps de venir remplacer celle-ci sur les hanses des sacs, et en supporter le poids pour libérer les mains de leur propriétaire, qui pourrait ainsi ouvrir la porte. Il pu sentir qu’ils étaient assez lourds, bien qu’elle semblait les porter avec aisance, mais pas suffisamment pour que l’ancien soldat lâche prise. Sa manœuvre avait en tout cas repoussé en partie sa cape, rendant son arsenal plus visible. Cela effraierait peut être la demoiselle, bien qu’il n’ait aucunes mauvaises intentions, car il n’aurait sans doute pas fait quelque chose pouvant les révéler sinon.

Il détailla alors un peu plus du regard, et confirma sa première impression, bien qu’il ne la juge à aucun moment bien sur, sauf en pensant qu’elle était très belle. En effet, en s’étant placé à ses côtés pour attendre qu’elle ouvre la porte et lui rendre ou porter son sac à l’intérieur, Mach avait pu voir le haut trop serré qui oppressait ses seins, les faisant ressortir, alors qu’ils étaient à priori déjà assez opulents pour être mit plus en valeur de cette façon.

- Vous faites toujours autant de courses quand vous sortez dans ce but ?

Demanda t il par curiosité, soupesant lentement les sacs pour ne pas non plus trop secouer ce qu’ils pouvaient contenir. De plus, s’était un bon moyen d’engager la conversation, sans vraiment aborder de sujets personnels qui pourrait déplaire à la personne qu’on vient juste de rencontrer.

Aleera après quelques instant a s'être morfondue de ne pouvoir ouvrir sa porte sentit des mains d'homme se glisser sur les siennes pour prendre ses sacs. L'homme ne la voyait pas, elle sourit, elle savait qu'elle venait d'attirer sa "proie".

"- Vous faites toujours autant de courses quand vous sortez dans ce but ?"

Avec délice, elle passa sa langue sur ses lèvres et susurra d'une voie douce:

C'est gentil de m'aider, je me retrouve dans un pétrin à chaque fois que je fais des courses. Je dépense sans compter et je me retrouve en quelques secondes avec des millions de choses à porter!

Elle sorti une lourde clé de son sac et ouvrit la grosse porte.

Venez, entrez! Je vais vous offrir un verre à boire pour avoir été aussi serviable!

Bien sûr, ce n'était pas une question. Elle se retourna face à son serviable serviteur d'un moment, lui fit un grand sourire charmeur et un petit clin d'œil coquin.

Sans hésiter elle attrapa un des sacs, se penchant pour laisser voir sa poitrine ferme, qui pouvait sans doute être douce sous les doigts...ou sous la langue. Elle savait que cela ferait effet, ça n'avait jamais raté avec les hommes...!

Elle rentra dans son loft, attendant a coté de la porte que l'homme entre pour la fermer.

Je m'appelle Aleera, et vous?

Passant par le parc, Mach ne s’attendait pas vraiment à apporter son aide comme il s’apprêta à le faire. En effet, cette fois, ce ne fut pas pour sortir une personne du danger d’une agression, mais pour porter secours à une jeune femme chargée de sacs de courses, que notre ancien soldat mit sa force à sa disposition. Ainsi arrivant derrière la jeune femme, il avait prit la parole pour éviter de la surprendre, avant de passer directement à l’acte en glissant ses mains sur celles de la demoiselle, afin de s’emparer de son « fardeau ». Se plaçant alors à ses côtés, manquant de peu la langue qu’elle passa sur ses lèvres, il vit tout de même l’expression satisfaite qu’elle affiche, alors que pour se montrer courtois, et ne pas rester silencieux surtout, le jeune homme engagea la conversation.

La réponse qu’elle formula alors fit sourire Mach, ce qui devait être le but tout de même, alors qu’elle se mit à sortir une clef assez volumineuse. En tout cas, la façon dont elle parlait de ses achats, laissait Mach se dire que la jeune femme devait avoir pas mal d’argent sur son compte en banque pour se permettre ce genre de folies.

- Bah, quand on a les moyens, autant en profiter n’est ce pas ? Et puis, trouver un chevalier servant doit être assez facile quand on a votre beauté !

Dit-il, en montrant sa bonne humeur, et un peu de flatterie n’était jamais mauvais à faire pour une femme, surtout quand celle-ci s’avérerait vraie. Et, le jeune homme pourrait d’ailleurs le confirmer, lorsque la demoiselle, ayant enfin ouvert sa porte, invita Mach à entrer pour boire un verre. Suite à cela, il avait pu voir la jeune femme se placer face à lui, tout sourire et lui faisant un clin d’œil.

- Bien sur, se sera avec plaisir !

Répondit-il en lui rendant son sourire, alors que la gente dame entrait dans sa demeure, suivit de l’ancien soldat. Celui-ci se demanda si le clin d’œil qu’elle lui avait fait ne cachait pas quelques intentions peu orthodoxes. Celles-ci étaient en tout cas loin de lui déplaire, et avait donc pénétré le loft de son hôte. Il avait d’ailleurs à peine regardé, pour ne pas se montrer non plus des plus pervers, lorsqu’Aleera, qui ne tarda pas à se présenter, lui avait récupéré un sac, se penchant suffisamment pour mettre sa poitrine en valeur.

- Appelez moi Mach, cela sera plus simple que si je vous donner mon nom complet !

Dit le jeune homme, en regardant la jeune femme, qui s’était arrêtée à côté de la porte. Puis, il tourna son attention pour regarder l’appartement de la demoiselle pour voir qu’il s’agissait d’un grand loft où le lit avait été placé de façon à clairement attirer l’attention.  Mais, l ne s’attarda pas trop sur la décoration pour le moment, reportant son attention sur la jeune femme, pour poser une question des plus normales.

- Où est ce que vous voulez que je vous pose vos courses ?

Demanda t il pour se montrer serviable jusqu’au bout, même s’il ne comptait pas non plus les déballer. En effet, ce qu’ils contenaient rester tout de même personnel, et la jeune femme ne souhaiterait sans doute pas que quelqu’un les voit, enfin pourrait ne pas le vouloir si cela devait faire partie de quelque chose qu’elle souhaitait garder secret.

Cette proie n'était pas aussi réactive qu'elle le souhaitait, il n'avait pas plongé son regard dans son décolleté aussi profondément qu'elle l'aurait voulu mais cela lui convenait, Aleera aimait les challenges. Toutefois, il avait consenti à entrer boire un verre, sortirait-il vivant...?

Oh, eh bien déposez les à l'entrée, ce ne sont que quelques objets de décorations, rien de bien secret!

Elle partit en direction de la cuisine et pensa en un éclair qu'elle n'avait rien à lui offrir à manger, un vampire, ça ne mange pas bien entendu! Étant épicurienne, et même si elle ne pouvait apprécier le goût, elle possédait un remarquable stock de vin: france, autralie, californie...et quelques bouteille d'alcool fort.

Que souhaitez vous? Vin rouge, whisky, vodka?

Elle posa son chapeau sur le comptoir qui délimitait la cuisine de façon très américaine, tout ce que l'on pouvait dire c'est que ce loft n'était pas d'inspiration japonaise...Sa chevelure d'ébène tomba en cascade soyeuse le long de son dos et sur ses épaules. Elle lui fit un grand sourire carnassier ou charmeur, qui aurait pu dire?

En attendant la réponse de Mach, elle fit un petit bon gracile sur le comptoir et y posa ses fesses.
On aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie, ses jambes croisées, son petit air mutin, on aurait pu facilement la prendre pour une de ses strip teaseuse habituées à se dandiner sur les bars et à donner du plaisir aux hommes. Visiblement, elle était à l'aise et pas du tout complexée.

Mach...Mach...Ce n'est pas commun...est-ce un surnom ou votre réel prénom? Et pourquoi tout cet arsenal à votre ceinture?

La jeune femme était belle et visiblement vive d'esprit! Comme à son habitude, elle espérait lire les pensées de Mach afin de l'attirer dans son piège telle une mante religieuse, lui donnant tout ce dont il désirait ou presque avant de saigner sa proie.

Une fois entrée dans la demeure de la jeune femme, et passé un peu de temps à la contempler, Mach avait demandé à celle-ci où elle souhaiterait qu’il dépose les paquets de cette dernière. Aleera lui répondit alors qu’il pouvait les laisser dans l’entrée, en expliquant ce que s’était. Et même si cela pouvait sembler un peu étrange de laisser cela dans un endroit où cela viendrait à gêner le passage, l’ancien soldat ne se fit pas prier pour le faire. Mais, il les posa contre le mur de façon à minimiser l’encombrement, ce qui n’était pas aisé tout de même.

Pendant ce temps, la demoiselle avait rejoint sa cuisine, laissant Mach s’avancer de lui-même dans ce lieu. La jeune femme avait prit la direction de la cuisine, et d’un pas plus lent, son regard regardant de nouveau la décoration du loft, prenait la même direction. Mais, il tourna rapidement son regard vers la jeune femme, qui avait retiré son chapeau, et laissé ses longs cheveux noirs reprendre leur position naturelle, quand celle-ci lui demanda ce qu’il voulait boire.

- Ce que vous souhaitez, je n’ai pas de préférence.

Répondit-il avant de sourire en voyant la demoiselle bondir pour s’assoir sur le comptoir, alors qu’il approchait de la table de la salle à manger, ou du moins la zone du loft pouvant servir à cela. Décidément, il se demanda si elle ne faisait pas comme s’il n’était pas là, à moins que cela ne soit pour provoquer une certaine réaction de sa part.  En tout cas, si s’était pour capturer le regard de l’homme s’était réussi.

- C’est simplement le diminutif de Macharius, plus difficilement prononçable je trouve. Et mon arsenal, bah s’est juste lié à ma profession.

Expliqua t il, sans donner toute fois plus de précision, alors qu’il finit par se retrouver devant elle, à quelques centimètres de ses jambes. Il avait aussi légèrement baissé le regard vers son armement, quand il avait répondu, passant au passage ses yeux sur les jambes fines d’Aleera.

- Votre prénom non plus n’est pas banal ? Et un si grand loft pour vous toute seule, vous ne vous y ennuyez pas ?

Son regard se tourna vers la grande pièce quand il prononça ses propos, comme s’il cherchait à les appuyer. Il se trompait même, peut être en annonçant qu’elle vivait seule dans un si grand espace.

Elle se pencha pour attraper une bouteille de vin, sans que Mach ne le voit, la bouteille monta de la cave et Aleera fit mine de l'attraper comme si elle attendait patiemment derrière le bar. Elle fit de même pour les verres.

Elle les posa sur le bar, à coté d'elle, pendant que Mach lui expliquait la signification de son surnom.

Oh, je viens d'emménager, et je n'ai pas l'habitude de passer mes nuits seule...

Elle lui fit un petit clin d'œil coquin, lui montrant que sa réflexion ne laissait pas paraitre un compagnon fixe mais plutôt que la jeune femme savait être libertine dans ses relations.
Elle se pencha, attrapa un tire-bouchon et le tendit à Mach avec la bouteille de vin français.

Macharius, pourriez-vous...?

Elle avait prononcé son nom comme dans un vieux film, cela sonnait bien entre ses lèvres allait savoir pourquoi...Peut-être parce qu'Aleera était née dans une autre époque!

Elle n'attendit pas la réponse, et se pencha vers lui, respirant son parfum d'homme viril...Elle ne parla pas, elle chuchota: un murmure, une supplication.

Voudriez-vous me tenir compagnie cette nuit?

 [désolé c'est un peu court ^^""]

Mach avait donc accepté l’invitation d’Aleera, qui semblait tout faire pour le séduire d’ailleurs. En effet, elle ne cessait de lui envoyer des clins d’œil coquin, où mettre volontairement, supposa t il, ses formes en avant. Et il était loin de rester indifférent à cette jolie femme, bien qu’il évitait de se montrer entreprenant pour le moment, cela aurait pu l’effrayer. Ainsi, il avait tourné son regard dans la pièce, indéniablement attiré ar le lit une nouvelle fois, il continua vite son tour d’horizon, alors que la demoiselle récupérait la bouteille, tout en lui répondant.

D’ailleurs, elle expliqua qu’elle venait d’emménager, et qu’elle n’avait pas l’habitude de passer ses nuits seules. Chose qui attira bien attendu l’attention du mercenaire, qui plongea de nouveau son regard dans celui de sa charmante hôte, alors qu’elle lui fit un nouveau clin d’œil.

- Ah bon, je suppose que je suis celui qui aura le privilège de vous tenir compagnie ce soir alors ?

Dit-il, en s’approchant du comptoir et d’Aleera un peu plus, un sourire lui aussi coquin aux lèvres, comme si les intentions de la jeune femme étaient des plus claires. Celle-ci l’appela alors par son prénom complet, ce qui le surprit, et se vit sur son visage, puisqu’il en avait perdu l’habitude. Depuis combien de temps ne l’avait on pas appeler de cette façon ? Il l’avait oublié.

- Que puis je pour vous ?

Répondit-il comme s’il s’attendait à une question de sa part. D’ailleurs cette dernière se redressa pour se pencher vers lui, glissant presque sa tête dans le creux de son épaule, pour lui murmurer sa requête. Tout cela pour finir ce qu’elle avait commencé un peu plus tôt, et dont le jeune homme avait d’ailleurs déjà en parti répondit.

- Et quelle genre de compagnie aimeriez vous avoir ?

Demanda t il sur un ton un peu joueur, bien que l’évidence aurait permit de deviner ce qui allait se passer dans ce loft désert, et tout à eux jusqu’au matin, voir plus qui sait. Il s’était tout de même un peu reculer, de façon à pouvoir venir mettre son visage à quelques centimètres de celui d’Aleera, et plonger son regard dans le sien.

- En effet, il y a tellement d’occupation qu’on peut faire dans une nuit, laquelle cette charmante demoiselle souhaiterait elle ?

En effet, le tandem pourrait passer la nuit à jouer..à divers jeux vidéos, de sociétés, ou toutes autres activités qui ne permettent pas forcément à une homme et une femme de ne faire qu’un durant un court, ou du moins souvent le ressentit final, moment.

- Et quelle genre de compagnie aimeriez vous avoir ?

Mach était donc lui aussi joueur, il s'était reculé pour bien pénétrer le regard de la vampire. Aleera pensait que cela allait être une bonne soirée, cet humain avait l'air d'être un sacré coquin et avec ce qu'elle possédait...Il tiendrait la nuit entière!

- En effet, il y a tellement d’occupation qu’on peut faire dans une nuit, laquelle cette charmante demoiselle souhaiterait elle ?

Sans vraiment s'en rendre compte, elle avait pénétrer l'esprit de l'humain. Elle fit un large sourire en lisant dans ses pensée...Des jeux vidéos et de société...Quel humain pouvait penser ça en la voyant!

Elle sauta gracieusement du bar où elle était assise et s'approcha de Mach. Elle déposa ses lèvres sur les siennes, tenta de briser la barrière de sa bouche qui céda rapidement et alla jouer goulument avec sa langue. La langue d'Aleera allait et venait, elle faisait des petit jeu de cache-cache avec celle de Mach...Puis comme si de rien n'était elle se dégagea de ce baiser langoureux et alla près du bar.

A ce genre de jeu la, Macharius, qu'en pensez-vous?

Sans que Mach puisse le voir, elle versa une petite poudre aphrodisiaque dans le verre de Mach, les vampires peuvent être de vraie voraces, et il était arrivé plus d'une fois dans le passé qu'Aleera doivent se contenter de quelques heures de partie fine et de voir l'humain se rouler sur le coté et s'endormir.

Elle avait horreur de ça, et généralement l'humain qui lui faisait ce genre de coup finissait mort, vidé de son sang dans son sommeil. Mach lui paraissait être un bon amant, musclé, militaire elle espérait trouver de la violence dans un rapport avec lui, mais peut être se trompait-elle et l'homme était-il empreint d'une grande douceur!

Elle lui tendit donc le verre de vin remplit et sans attendre se dirigea dans le fond du loft, et passa derrière le paravent qui cachait la salle de bain. Elle ôta sa petite jupe et son haut et passa un kimono en tulle noir (donc transparent à souhait). Puis revint vers Mach...

Alors ce verre?

Elle avait relevé ses cheveux en un charmant chignon décoiffé, quelques mèches de ses cheveux noir corbeau tombait en cascade sur ses épaules. Son kimono était attaché très lâchement et laissait entrevoir un décolleté de nacre. Sous le kimono on pouvait très clairement distingué ses seins, lourd et pulpeux. Lorsque le regard descendait, si on avait envie de le descendre, Aleera possédait un joli string de dentelle rouge, un petit morceau d'étoffe qui  ne masquait pas une de ses vulve épilée en entier mais une vulve de femme accomplie avec des poils (pas une foret, mais quelque chose de jolie qui ne fait pas bébé).

Elle regardait Mach dans les yeux et attendait une réaction positive de sa part à l'appel qu'elle lui faisait.

Aleera se montrait de plus en plus aguichante, et il n’avait pas fallu longtemps à Mach pour le comprendre. Si bien qu’il décida de jouer le jeu, et ses prises de paroles le montrèrent, bien qu’il laisse volontairement des ouvertures, pouvant faire croire qu’il avait autre chose en tête que les jeux du corps. D’ailleurs, elle semblait avoir comprit le sens de ses propos, et ne se doutait pas qu’en fait s’était l’inverse, et qu’elle s’était focalisée sur les suggestions pensives pour détourner le sujet qui l’accaparait.  En effet, elle bondit du bar pour venir se tenir devant lui, un air souriant et lui voler un baiser. D’ailleurs, il ne lui fallut pas longtemps pour apprécier le contact des lèvres de la demoiselle. Il avait laissé pénétrer sa cavité buccale avec aisance pour permettre aux langues de jouer entre elles.

Par contre, il se retint de la prendre dans ses bras pour s’assurer que cela ne se brise pas après le baiser, et qu’ils puissent enchaîner. Comme si cette liberté laissée à chacun sur la suite leur permettrait de passer à autre chose que le plaisir corporel. S’est tout aussi rapidement qu’elle offrait ses lèvres, qu’Aleera les sépara et retourna vers le bar pour servir les boissons, en demandant à son compagnon ce qu’il pensait de ce jeu là.

- Que du bien pardi. A croire que vous lisiez dans mes pensées ?

Répondit-il avec un sourire amusé, alors qu’il se rapprocha de la jeune femme, comme s’il comptait continuer le petit jeu, en le faisant aller plus loin, petit à petit. Mais, avant qu’il ne puisse entrer en contact avec son dos, celle-ci se tourna, le verre de vin à la main, qu’elle tendit à son amant. Celui-ci le prit, et la vit s’éloigner, se dirigeant, puis disparaissant derrière un paravent. Lui, s’adossa alors au comptoir, s’apprêtant à boire la première gorgée de vin, ce qu’il fit sans se douter qu’un aphrodisiaque avait été versé dedans.

- Très bon ce vin.

Répondit-il alors que la jeune femme ressortait de derrière sa cache, une nouvelle tenue, encore plus affriolante sur le dos. D’ailleurs durant son approche, Mach avait clairement pu détailler le corps de sa compagne, et l’envie personnelle, ajouté à celle que l’aphrodisiaque lui donnait faisait que son membre était déjà en érection. Il en posa d’ailleurs le verre sur le comptoir, comme s’il s’apprêtait à sauter sur sa proie.

- Mais, il est loin d’être aussi agréable que ce que je peux avoir sous les yeux actuellement !

Dit-il avec un sourire plein d’envie, alors que son regard plongeait dans celui de son hôte. Il ne tarda pas à lever les mains pour s’emparer des hanches de la demoiselle et la tirer à lui, pour que leur corps soit l’un contre l’autre.  La poitrine d’Aleera comprimée de la sorte, sans pourtant lui faire mal, était un vrai plaisir à regarder, et le contact sur son buste était agréable, et excisant, bien qu’il ait toujours son haut lui, et que le kimono freinait aussi ce dernier en partie.

- D’ailleurs qui serait assez fou pour ne pas répondre à de tels appel aux vices hein ?

Continua t il, parlant peut être trop, mais se rattrapant vite en venant prendre un baiser fougueux à la jeune femme, pénétrant sa bouche avec sa langue, et jouant avec celle de sa partenaire avec vitesse et tendresse en même temps. Il savait d’ailleurs qu’elle ne se refuserait pas, vu qu’elle avait elle-même fait les avances à Mach, donc pourquoi se retenir. Les mains du jeunes homme avaient d’ailleurs glissé des hanches vers le dos, comme s’il s’assurait qu’elle ne s’éloignerait pas de lui, comme la fois précédentes. En plus, celles-ci s’étaient placées juste au dessus des fesses de la jeune femme, et ne tarderaient sans doute pas à venir s’en emparer.