A vrai dire Don se fichait un peu de la position que Souillon pouvait prendre, ce qui l'interessait en lui même était le rapport. Si elle donnait naissance a des Terranides a chaque fois qu'elle se faisait prendre, donnerait t'elle naissance a des ESPERS a chaque fois qu'il en ferait de même ? C'était quelque chose qu'il fallait tester, elle n'avait pas du être en relation avec assez d'ESPER pour voir si ce genre de choses était possible...Avec une femme comme celle ci il pourrait se créer une armée d'ESPER féminins a ses ordres, une armée de filles...Dévouées et dressées depuis leur naissances pour lui obeir. Rien que le projet le fit sourire. Ce plan était particulièrement diabolique et il ne put s'empecher de sourire. La jeune femme ne pouvait pas le voir, mais le sang qu'il avait donné était celui d'une autre ESPER qu'il était allé récupéré. Il voulait voir si la puissance du pouvoir avait quelque chose a voir avec la puissance des parents.
Son pouvoir a lui n'avait pas vraiment d'échelle de puissance, il se contentait d'égaler ses chances faces a celles de l'ennemi, souvent plus gros et mieux armé que lui, celui que venait de boire Souillon en revanche était celui d'une puissante guerrière a l'épée doublée d'une pyromancienne. Si le sang avait un quelconque impact sur la progéniture...Il était sur d'avoir de puissantes rejetons pour le servir...
"Tu sais, c'est très reposant que tu sois muette. La plupart du temps on ne s'entend plus penser."
Lança Don alors qu'il allait et venait en elle, il la retourna pour qu'elle puisse voir ses yeux noirs comme deux morceaux de charbon froid et pour pouvoir mieux contempler tous les attours de son esclaves, il tira sur le haut de la robe pour en détendre le décolleté dans le but d'en faire sortir les seins. Il s'approcha de celle qui allait bientôt être, au sens propre, la mère de ses enfants et se mit a lécher la courbe de sa poitrine, jouant de sa langue sur un de ses tétons avant de l'embrasser, le mordiller, il posa ses mains sur ses hanches et enfonça la jeune femme plus profondement sur lui, utilisant la table pour donner des coups de reins plus violents.
"Mais ce n'est pas forcement mieux. Je donnerais cher pour savoir ce que tu pense en ce moment."
Lança Don qui ne se privait pas pour continuer, derrière lui la chienne regardait la situation en rougissant, interdite, ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait, ni la dernière, a elle ou a une autre...Mais comme a chaque fois. Sa voisine, restée sur sa faim avec Souillon se dirigea vers elle et se mit a lui mordiller l'oreille, la faisant pousser des petits cris...Bientôt tout le monde finirait par s'envoyer en l'air ici.