Alors que les minutes défilent, je prends beaucoup plus de plaisir à chacune des venues de ma verge dans le sexe trempé de plaisir d’Adelheid. Il n’y a rien à dire, c’est de loin meilleur que le précédent ébat, des vagues de plaisir parcours mon corps, je suis entrain de goûter à quelque chose que je ne connaissais pas. Il y a quelque chose en plus que le simple plaisir physique, je ne peux expliquer ce que c’est, mais c’est si bon…
Peu après, je sens mon corps se raidir un peu plus, la jouissance est proche. Je resserre la poigne possessive de mes mains sur la croupe de la norvégienne, et j’augmente de plus belle la cadence de mes coups de reins. Mon membre ressort presque entièrement, et revient toujours plus fort cogner son gland au plus profond de l’intimité de Frig. J’ai de plus en plus de mal à réprimer mes gémissements, alors j’embrasse fougueusement ma « petite sœur », pour les étouffer. Dans un dernier mouvement de bassin, mon corps se fige, mes yeux noirs se plongent dans les siens alors que ma verge réchauffe tout son antre, des jets de sperme chauds commençant à l’inonder. Des souffles brefs s’échappent de ma bouche tremblante à chaque flot de semence, alors que je chavire sous le plaisir, et sous le regard d’Adelheid.
Il me faut quelques minutes pour reprendre mon souffle, mon corps contre celui de ma « petite sœur », je dépose des baisers délicats sur ses lèvres, loin de la fougue d’il y a quelques minutes. Puis je m’écarte doucement, sortant ma verge maintenant semi-rigide, qui, faisant office de bouchon, laisse s’échapper quelques filets de nos semences mêlées le long des cuisses de la Norvégienne.
Pourquoi ce n’est pas comme d’habitude ?... Je me sens… bizarre. Je recroise le regard de Frig, et je frissonne, pourquoi j’ai cette envie de l’embrasser ? De continuer de voir un sourire sur son visage ? Est-ce une nouvelle évolution de mon pouvoir ? Ou bien celle d’un sentiment ?...
J’ai besoin de temps pour repenser à tout ça, je suis complètement troublé, et je ne peux m’empêcher d’afficher cet air sur mon visage. Je range mon sexe dans sa barrière de tissu, et remet correctement mes vêtements en place. Je replonge une dernière fois mon regard dans celui d’Adelheid, puis vient laisser jouer mes lèvres contre les siennes, avant de m’écarter, et de sortir de la cabine avec une petite déchirure. Et le temps qu’elle puisse se rhabiller, je suis déjà loin et plus sous la forme de son grand frère.
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