Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Un papillon et un seigneur blessé. [Réservé à Kamui.]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Red Butterfly

Yunalesca n'aimait pas le jour, trop de sensations tactiles étaient présente, aussi il avait décidé de dormit la journée, une maigre couverture trouvée sous un pont, il pouvait retirer de l'argent pour se payer une chambre ou au moins un appartement, mais cela aurait été pour lui utiliser l'argent de celle qui l'a libéré de son enfer. Rien que le fait de se souvenir du nom de la femme et sa mort lui donnait envie de vomir dans la rivière le contenue totale de son estomac, mais il arrivait à se retenir et plonge sa tête dans l'eau froide d'une fontaine pour faire passer la mal être.

Il prit le temps de reprendre son souffle et passa donc la journée dans un endroit reculé de la ville où personne n'irait le chercher, de toute façon qui irait chercher une personne ayant autant d'handicap. Aussi il cala sa tête contre un cerisier et fit un petit somme.

*****************************************************************************

Dans la soirée, il fut réveillé par un froid saisissant, pour les autres c'était une nuit tiède, mais pour le jeune homme c'était comme-ci la température avait chuté de dix degré d'un coup, cela dû à sa sensibilité au sens du touché. Il prit la couverture et le planque dans un fourré, on ne sait jamais, cela peut servir de nouveau.

il se leva et fit un petit tour en ville, utilisant son intuition pour le guider vers un lieu qui serait propice à la restauration, il passa donc dans la rue de la Toussaint, il n'eut aucun soucie, les coupe-gorge, voleur et violeur avaient vue des proies beaucoup plus intéressante.  Il fit un léger détour pour éviter un endroit où il avait le présentiment qu'il y avait un danger tapi prêt à bondir sur lui dès qu'il passerait et trouva enfin un restaurant qui faisait des plats à emporter.

Il se fit comprendre en signalant, par des signes simples, qu'il était aveugle, sourd et muet. Le restaurateur fit avec une fiche et un cure dent, une liste des plat à emporter avec le prix, le tous en braille.

Le jeune homme prit donc un kebab complet avec frite et une bouteille d'eau, il mit cela dans un sac en pandouillère, qu'il avait trouvé hier par hasard. Il prit donc le chemin vers un petit jardin laissé à l'abandon, quand il buta sur quelque chose et tomba, mettant les bras croisée devant lui pour éviter de se faire mal au visage, quitte à avoir mal aux coudes, mais heureusement le sol était en terre, il se rappela qu'il y avait un chantier en construction.

Il tenta avec ses mains de trouver l'objet qui l'avait fait tombé et sentit un pied, il remonta et découvrit une chose qui le pétrifia de peur, un homme, c'était un homme blessé qui se trouvait être l'objet qui l'avait fait chuté. Des nausée se mirent à apparaitre, pensant à l'état de Yumi lors de son meurtre, dans un élan de panique, il le saisit par la mains gauche, pour le supporter sur son épaule et le trainer vers le lieu où il voulait aller avant la rencontre.

Il pressait le pas, craignant que cette personne ne rende l'âme, il avait peur de la mort, il voulait tout faire pour ne pas encore sentir une âme partir, il ne voulait pas ressentir encore une fois son coeur de briser en une myriade de morceau, il avait peur, mais cette peur avait l'avantage de réveiller une instinct maternel qui aiderait le blessé à guérir.

Yunalesca le mit sur un matelas, certes cela ne sentait pas la rose, mais Kamui n'en sera que bien mieux que s'il avait dû être à même le sol. Le jeune homme chercha dans son sac de quoi le soigner, il trouva deux fiole, elle en sentit une, qu'il referma tous de suite, c'était du formole. L'autre était un puissant antiseptique, il posa sa main, fleurant chaque parcelle de peau, pour trouver les plaies, retirer les objets plantés dans le corps et soigner son aile.

Il était encore tellement paniqué par l'idée de le voir mourir, qu'il ne se posa même pas la question de ce qu'il était et si l'aile étaie un mauvais signe ou non. Il prit une heure à soigner toute les plaie et faire les bandages, heureusement pour lui le dernier visiteur semblait avoir fait un petit casse dans une pharmacie.

Le fait qu'il est les nerfs à vif et qu'il se soit démené comme un fou pour le soigner, finit par l'épuiser à un tel point, qu'il ne se rendit pas compte qu'il a piqué du nez, sa tête à côté du corps de Kamui, les cheveux masquant son visage.

Kamui Meisa

Avatar

Re : Un papillon et un seigneur blessé. [Réservé à Kamui.]

Réponse 1 dimanche 13 juin 2010, 01:20:59

Perdu. C'était le terme exacte pour expliquer ma triste situation. Mon arme reposait misérablement à ma droite, mon armure était abîmée et ma fierté, totalement réduite à néant. Mon seul réconfort? L'assurance que mon fief sera bien tenu par Dame Selene le temps que je réunisses mes forces pour revenir à la charge. Fort heureusement, j'ai appris à la Dame à se servir des divers mécanismes de défense et pour elle, cela serait exactement comme un jeu de défense, et le mieux; elle savait parfaitement jouer à cette sorte de jeu. Ses cotés sadiques sauront parfaitement manipuler les pièges de manière à ce que les frontières des fermes, du village et de la Villa de Meisa soient protégées jusqu'à mon retour.

Les elfes se terreront dans la forêt tant que l'agresseur ne s'y attaquera pas, ce qui était en soit une bonne chose, je pourrais communiquer avec eux dans leur totalité. Les Nains retournés dans leurs montagnes attendaient aussi que je reviennes, fournissant les militaires résistants en armes et en armures. "Ce qui unit un pays, c'est l'unité du peuple en lui-même. Conquérir le monde ne servirait à rien si le peuple ne vous désire nullement comme dirigeant." Me dis-je avec un léger sourire, toussant par la suite une petite quantité de sang. "Pour ce qui m'en reste... j'en aurais au moins pour une semaine à récupérer..." Songeai-je. "et pendant ce temps, il va falloir que je recherche de l'aide... des démons, des dragons, des elfes, il va me falloir de tout si je veux récupérer ma maison. Je ne peux pas laisser mon foyer entre les mains d'une bande d'êtres sadiques qui vont empoisonner mes terres..."

Avec difficulté, je me dressais sur mes jambes, ramassant un sabre métamorphosé en flingue chargé de dix balles, et je me mis en marche. Pas question de rester dans ce parc, à la vue de n'importe qui. Mon aile unique battait avec difficulté et surtout, elle me faisait énormément souffrir, et heureusement que je l'avais immobilisé, sinon c'était bonjour la douleur et bonsoir la raison, je n'aurais eu de pensée que pour cela. "Merde... salope de Melisende... ses sortilèges empêchent les plaies de guérir..." Si seulement les ombres n'étaient pas aussi faible, j'aurais pu percer le sortilège et recouvrir la santé en quelques millièmes de secondes, mais non, il fallait que ce connard d'Arthas aie une épée qui en recèle et qui les retiennent. Me voilà démuni jusqu'à ce que mes pouvoirs me reviennent.

Cependant, je m'effondrai, épuisé. Je mis alors en place un sort de rétablissement sanguin. Je sombrai dans l'inconscience, encore une fois.

***

J'ouvre les yeux. J'ai toujours mal, mais je me sens au chaud. Je me redressai d'un coup, surpris de me retrouver dans une endroit si inconnu et je cherchai un point de repaire. Tout ce que je vis, c'est une jeune femme allongée près de moi. Je ne la connaissais pas, mais instinctivement, je sus qu'elle était la bonne samaritaine qui m'avait sauvé la peau. Mon coeur me disait que le sien était plus grand que le monde en soi, ce qui me rassura. À moins d'être une esclave, cette fille était pure de coeur, et n'avait pas l'intention de me faire du mal, ou de me créer des ennuis.

-Excusez-moi... mademoiselle?

Aucune réaction. Je posai donc ma main sur son épaule pour la réveiller et je la secouai, tentant de rassembler mes esprits et surtout les événements récents que je ne comprenais pas tout à fait. Je me souvenais être tombé sur le sol proche d'un centre commercial, puis me voilà ici, le corps bandé de partout, allongé sur un lit ma foi plus confortable qu'un sol de brique.
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Red Butterfly

Re : Un papillon et un seigneur blessé. [Réservé à Kamui.]

Réponse 2 dimanche 13 juin 2010, 11:05:51

Red était encore dans une rêve sans images, juste des sons, des bruit qui n'avaient rien de bien amusant, il avait finit par s'habituer à ses cauchemars sans fin et sans amour. Pendant son enfance il ne dormait jamais, par peur de refaire les même cauchemar,maintenant il vit avec, non sans avoir mal au coeur de constater que la souffrance passé et présente le ronge, même dans son sommeil. Son corps ne bougea point, trop habitué à resté prostré dans une endroit lors de ses moments de repos.

Il ne réagit pas l'appel de Kamui, mais par contre il commit une grave erreur en voulant secouer le petit dormeur. En effet certes au début il leva la tête, encore à moitié assoupis, puis sentant enfin la présence de la main de Kamui, il fit un revers de son bars gauche, faisant lâcher prise au blessé. Dans son geste, il avait prit la peine de faire un pas en arrière pour être hors de porté des mains de la personne qu'il venait de soigner.

Il commençait à se demander s'il avait eu raison de soigner cette personne. Il habitait dans une crainte perpétuelle, aussi était-il facile de comprendre ses agissements qui ne visait qu'à se préserver de tout mal que les autres pourraient lui faire subir.

Yunalesca prit le temps de laisser son intuition lui dicter la conduite à prendre, mis cette dernière ne semblait pas indiquer une quelconque animosité ou danger chez l'homme sur le matelas. Aussi il tenta de communiquer avec lui.

Il mit ses mains sur ses oreilles, sa bouche et ses yeux, pensant que se geste simple serait facilement traduit par "Je suis sourd, muet et aveugle.", mais il restait méfiant, étant prêt à fuir en cas de problème, on aurait dit un chat sauvage qui tentait d'approcher pour la première fois un humain, on pouvait lire la même expression et sensation émanant de Red


Répondre
Tags :