Muerte se réveilla à l'institut, cela faisait une semaine que sa tutrice était morte, elle n'avait pas voulut participer à l'enterrement préférant de loin se chouter davantage pour retirer de sa tête l'image de ses parents assassinés de ses propres mains, se jour là elle avait largement dépassé la dose qu'elle prenait d'habitude et faillit même y passer, une chance qu'une infirmière en permanence constate que la porte de la chambre de Muerte soit ouverte.
Suite à cet accident, elle devint dépressive, mais jamais elle ne put se tuer, c'était fréquent chez les personnes ayant peur de la mort, ils ne peuvent se tuer directement et utilisent des moyens tuant à petit feux, comme la prise de stupéfiant.
La femme médecin se chargeant du cas de Muerte, cette dernière l'appelant des fois "mère", vintla voir, alors que cette dernière était en train de se changer, enfilant une tenue autre que ceux portée en temps normale, n'ayant aucune pudeur. Muerte s'en fichait ou plutôt ne voulait pas y penser, car penser c'est se faire du mal pour rien. Elle enfila donc une culotte rouge accompagné d'un soutient-gorge de la même teinte garnit de dentelle, c'était un cadeau que la femme médecin aimait faire à Muerte, pour changer petit à petit ses centres d'intérêts, puis elle fit glisser sur elle une robe pourpre qui était coupé au-dessus des genoux.
c'est alors que la "mère" de la demoiselle vint à prendre la parole.
- Aujourd'hui nous allons voir ta future tutrice, tâche d'être gentille avec elle, il a été dure de trouver une personne qui veuille bien de toi et l'air en dehors de cet institut ne te fera pas de mal.
- J'aurais toujours mes doses ?
- Oui nous avons tout prévue, mais tu devras demander à ta tutrice pour les avoirs, c'est elle qui les a et nous lui avons donné les prescription, ainsi tu ne pourras pas avoir une dose de trop et cela t'obligera à nouer un contact avec elle.
- J'ai toujours dit que tu étais une sorcière.
- J'ai crû mal entendre ?
Se genre de petite piqe était monnaie courante enter les deux femmes, il n'empêchait pas que Muerte lui en soit reconnaissante. Aussi elle signa d'un X les feuilles de sortie, en effet Muerte n'avait jamais eut d'identité propre et donc de signature. Une fois cela de fait elles partirent d'un bon pas vers la maison de Haylen.
Muerte trainait une valise sur roulette avec dedans ses affaires vestimentaire, sa réserve de drogues, de clopes et d'alcools, toujours prévoir en cas d'impossibilité de recevoir sa dose quotidienne. Mais il contenait aussi des revues assez coquin que les autres locataires de l'institut avait offert en guise de cadeau de départ, mais Muerte était peu intéressée par se genre de chose.
Il ne fallait pas plus de quarante minute pour se trouver devant la demeure de la policière, Muerte laissa le soin à la femme médecin de vérifier que sa tenue était bien mise et droite, puis la femme sonna à la porte.
- Tu te comporte bien, hein ?
- D'accord vieille peau, je me tiendrais tranquille tant qu'elle est pas trop chiante.
La toxico eut le droit de se ramasser une tape sur l'arrière du crâne. C'est alors que la porte s'ouvrit.