Il ne restait plus qu'une culotte blanche a Aya, maintenant, il n'y avait plus rien, ce rustre l'avait brulé, elle fit mine de prendre peur et se recroquevillat dans le coin de la piece avant de se faire trainer par le bras sans douceur et jeter au millieu du plancher poussiereu, elle s'écorcha les bras, laissant paraitre dans son regard de la fureur, elle avait horreur qu'on la blesse, qu'il continue sur sa lancé et il comprendra ce que le mot dominatrice veut vraiment dire.
Pour l'heure, elle restait soumise, fermant les yeux sous les attouchements de son violeur, la succube gemit comme pour lui dire qu'il ne lui faisait aucun bien avant de lacher un cri de surprise quand ses doigts la penetrerent, elle se senti mouiller abondament, il était allait directement, sans prendre le temps de chauffer la jeune femme, elle trouvait ca terriblement plus excitant, l'ambiance d'n viol, l'absence de douceur, l'envie primere qu'un homme satisfait sans demander son avis a sa femme.
Haaa, non, pas ici, pas par terre, je vous obéirez, mais pas ici, je ferais tout, tout ce que vous voudrez....
elle était supliante, non pas qu'elle n'aimait pas, mais un lit, aussi pourri soit il est toujours plus confortable que le sol, mais elle ne pouvait pas encore lui reveler qui elle était, si elle le faisait, il n'y aurait plus rien d'un viol et ca ne serait plus drole, ni pour lui et encore moins pour elle