Catalina ne se déroba pas, et Vance ne s’attendait pas à ce qu’elle le fasse. Elle se montra aussi féline et coquine qu’il s’y attendait plutôt, et peut-être même plus que cela encore. La façon dont elle se pressa contre lui gorgea son entrejambe d’un désir inaltérable tandis qu’il la sentait prise entre les fentes de ses fesses et de ses cuisses avec une ardeur sans équivoque. Sa braguette était sur le point d’exploser, et elle aurait peut-être cédé si elle n’avait pas été de si bonne qualité.
Il fallait dire que la brune savait se mettre en valeur également. La façon qu’elle avait de constamment se mettre en valeur lui faisait tourner la tête, stimulait ses hormones au point d’en anéantir ses pensées rationnelles, inondant sa tête d’une excitation qui ne laissait la place qu’à une seule réflexion possible : le sexe, la copulation, la baise, qu’importait le mot tant qu’il se retrouvait en elle et la remplissait comme un sauvage.
Et il savait le moment non seulement inévitable, mais maintenant très proche. Elle n’eut presque pas la peine d’amener sa main à son chemisier pour qu’il s’en empare. Sa grande main était déjà à mi-chemin, et elle empoigna un de ses seins à travers le tissu, se refermant dessus avant d’en glisser, saisissant le seul écrin blanc pour le tirer, en forcer les entraves, faisant sauter un bouton tandis qu’ils se dérobaient un à un quand sa force dépassa leur résistance. Il dévoila sa poitrine blanche, voulut la saisir encore, mais elle était déjà retournée.
Ah ! Frustration superflue ! Il grogna légèrement, mais se laissa découvrir avec un plaisir évident, la laissant découvrir son buste sans lutter, prenant une gorgée du Macallan d’un air détaché avant de délaisser totalement les verres, qu’elle écarterait de toute manière bientôt.
« Je sens qu’on aura besoin de quelques temps morts, oui, ricana-t-il. »
Comme elle embrassait son torse, il passait une main dans ses cheveux, la tenait contre lui, lui massait le crâne avec emphase, d’une manière bien proche que celle qu’il avait eu lorsqu’elle le suçait dans la voiture. De quoi lui rappeler l’expérience, la stimuler encore davantage, et de quoi le renvoyer, lui, à ce moment d’extase qui lui avait donné envie de tellement plus.
Elle avait finalement grimpé sur le meuble, écartant les verres, écartant les cuisses. Il la suivit avec un sourire carnassier, et elle attrapa sa ceinture à la volée pour la décrocher avec expertise. Une fois le bouton de sa taille ouvert, le reste de la braguette céda sans aucune intervention, et elle eut juste à déballer un vît turgescent déjà bien raide et veiné qui pulsa dans sa main. Il approcha encore, se colla à elle, l’embrassa fougueusement en frottant son pal à sa fente humide et chaude.
« J’ai envie de te baiser depuis que je t’ai vu, admit-il sans aucun détour. Mais là, j’ai envie de te défoncer, ma belle. »
Il passa ses mains derrière ses genoux et releva ses jambes, la laissant s’appuyer en arrière et sur le miroir pour ne pas tomber. Elle était peut-être surprise, mais certainement ni mécontente ni dupe. Il ne fit pas que relever ses jambes, il écarta bien ses cuisses aussi, et il ne se fit pas prier pour arrêter de jouer avec elle et glisser son large gland dans le creux de sa petite chatte, où il s’enfonça sans aucun mal dans un soupir comblé. Il poussa avec énergie, laissant sentir la puissance de ce tronc ferme et massif qu’il exposait volontiers en la pénétrant avidement, l’écartant et la remplissant avec un appétit manifeste, ses yeux remplis d’une lueur sauvage plantés dans ceux, transis, de la veuve noire.
« T’es tellement bonne, et t’es tellement chaude, je vais tellement prendre mon pied avec toi, lui lança-t-il sans plus aucune mesure. »
Il fonça tout en elle, ignorant toute limite pour se ficher jusqu’à la garde, se presser contre elle, gigoter, jouer du bassin et s’amuser au fond de son écrin chaud avant d’entamer une danse de reins féroce dans laquelle il la laissa presque vide pour mieux revenir buter pleinement au fond, prenant un plaisir si évident que les ahanements et les grognements amusés en étaient superflus tant il la tenait fermement et se plaisait à se servir d’elle ainsi.