Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Matsuo Butahito

Humain(e)

Se dévoiler sous l'obectif (PV)

lundi 29 septembre 2025, 23:20:23

La lumière perçante passe à travers les interstices d'un store pour se poser pile au niveau des yeux d'Hiroto, un photographe qui peut se vanter de jouir d'une réputation plus que correcte dans le milieu. Son affaire marche plutôt bien dans l'ensemble. A tel point qu'il peut se permettre d'engager des extras en fonction de sa charge de travail. Mais malgré tout le talent de cet homme de 42 ans, c'est grâce à la présence de son assistante Giulia que la boutique parvient à tourner correctement. La jeune femme n'a pas son pareil pour faire ressortir son professionnalisme. Ou lui faire comprendre que si il ne se bouge pas rapidement les comptes vont finir dans le rouge plus rapidement que l'argent a été encaissé en premier lieu.

Comme à l'accoutumé, Giulia débarque dans le bureau et retrouve son patron avachi. Quasiment la bave qui coule de la commissure de ses lèvres tout en ronflant au point de faire résonner les bruits horribles à travers la pièce qui, pour ne rien arranger, sent le renfermé.

C'est sous les complaintes de son employée qu'Hiroto ouvre difficilement les yeux. Seul un banal « Hummmnnn... » s'échappe de ses lèvres sèches tandis qu'une main parvient difficilement à atteindre son visage pour frotter ses yeux. Un geste inutile en soit. Mais machinal. La tête du photographe se tourne à gauche, à droite, comme pour tenter de balayer l'espace qui l'entoure et lui permettre de trouver ses repères alors que tout son corps semble peser une tonne. La faute au fait d'avoir dormi dans un fauteuil miteux et dans une position plus que bancale qui ne permet en rien de se reposer.

La main qui frottait ses yeux continue sa progression pour arriver à ses cheveux. Entre deux bâillements il parvient à prononcer à son assistante « Il est... Aaaawwwwnn ! quelle heure ? » pour se prendre un florilège de réprimandes dont il est désormais habitué. Tout ça ne lui fait plus grand chose.

« Okay, okay, j'ai compris. Laisse-moi prendre une douche et on y va. » répond l'homme en quittant son fauteuil, une main collée à l'accoudoir. A le voir on dirait que sa seule main tente de soulever son corps tout entier. D'un geste il montre à Giulia un dossier contenant les informations sur la cliente, histoire de prouver qu'il sait en quoi consiste leur boulot du jour.

Deux heures plus tard, le duo se retrouve devant un hôtel. Ni trop chic, ni trop miteux. Le genre d'endroit qui voit passer tous types de clientèles et dont la réputation est correcte. C'est son assistante qui s'occupe de ce genre de détails et une chambre a été réservée pour 24 heures. Une sécurité nécessaire car on ne sait jamais si un shooting se prolonge ou non. Certains mannequins n'aiment pas perdre une seconde alors que d'autres peuvent faire durer les choses éternellement. Essayer des dizaines de tenues avant de trouver celle qui leur convient sur le moment.

Avant de pénétrer sur les lieux, Hiroto préfère vérifier les derniers détails « Je pose la question pour rien, mais tu as bien vérifiée que la cliente est dispo et qu'elle viendra ? ». La chose confirmée, le duo récupère la clé et se dirige vers la chambre valises à la main. Entre le matériel et les costumes il y a de quoi faire. Souvent les modèles apportent leurs propres vêtements et il est fort possible que la cliente qu'ils attendent en fera de même. Sauf que l'entreprise d'Hiroto et de Giulia a noué de nombreux partenariats avec différentes figures de la mode, pro comme amateurs pour promouvoir leurs tenues.


L'homme un peu nonchalant se transforme comme par magie en véritable professionnel en un claquement de doigts. Tous es gestes sont d'une fluidité déconcertante tandis qu'il dispose les caisses de matériel sur une table pour toutes les ouvrir, les vider et installer leur contenu. Quelques minutes suffisent pour transformer une chambre d'hôtel banale en studio photo irréprochable.
C'est alors qu'il sort son portable pour envoyer un message à la cliente avec son numéro professionnel. Le contenu se veut simple et concis :
Citer
Bonjour,

Ici Hiroto Sugiyama, je vous contacte pour confirmer que nous sommes prêts à vous recevoir au lieu convenu. A savoir l'hôtel ****, chambre 34. Je serai accompagné de mon assistante avec qui vous avez déjà échangé précédemment.

Comme elle a déjà dû vous le dire, nos partenaires nous ont confiés plusieurs tenues, mais vous êtes libres d'apporter les vôtres également si vous le souhaitez.

Nous vous attendons avec impatience. A très vite.


Voilà qui devrait amplement faire l'affaire. En attendant, Hiroto et Giulia peuvent profiter de ce moment pour revoir les derniers détails et parler des autres boulots qui les attendent dans les semaines à venir autour d'un verre.

Emi Nakano

Humain(e)

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 1 mardi 30 septembre 2025, 19:49:33

Depuis le temps qu’elle s’adonnait à cette nouvelle passion, Emi avait investi dans du matériel semi-professionnel pour mieux satisfaire ses abonnées. De même, ses clichés naissaient uniquement de ses propres efforts – cadrage, réglages, déclenchement… Tout reposait sur son savoir-faire. De temps en temps, toutefois, la jeune femme employait les services d’un véritable photographe. Après tout, aussi indépendante qu’elle soit, Emi n’en demeurait pas moins consciente de ses propres limites. L’absence d’un studio photo, une technique qui lui faisait défaut, un éclairage trop capricieux, un angle impossible à réaliser seule… ou simplement ce regard extérieur capable d’apporter une vision différente.

Elle ne pouvait pas tout faire, tout le temps.

Néanmoins, elle ne s’y risquait qu’à de rares occasions, autant pour préserver son identité et son intimité, que pour garder la maîtrise de son univers. Déléguer, c’était accepter de perdre une part de contrôle, de confier ses idées, ses angles et ses émotions à un autre regard. Une concession qu’Emi n’accordait qu’avec parcimonie, convaincue que personne ne saurait mieux qu’elle traduire ce qu’elle voulait raconter à travers ses images.

Cette fois-ci, impossible de s’en passer. Elle avait alors décidé de contacter un professionnel, quelqu’un qu’une connaissance dans le milieu des modèles OnlyFans lui avait conseillé. Une personne discrète, compétente, qui saurait se montrer à la fois efficace et respectueuse. Les curieux trop envahissants ou les arrogants baratineurs, elle avait donné, et surtout, n’avait plus la patience de les supporter. La preuve, dès qu’elle recevait des propositions de ces types-là, elle n’hésitait pas à les envoyer paître. Et à leur balancer leurs quatre vérités à la figure. La réputation de certains n’était plus à faire.

Le fait que le photographe qu’elle avait sélectionné ait une assistante avait également joué en sa faveur.

Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait dû repousser des avances insistantes et déplacées, garder son calme face à des comportements lourds ou insolents, et faire comprendre, sans détours, que ses limites n’étaient pas négociables. Un comble, tout de même.

Mais pour l’heure, rien de tout ça. Les messages échangés s’étaient montrés cordiaux, et lorsqu’il avait appris pour sa profession, le photographe – Hiroto Sugiyama, si elle se souvenait bien – avait simplement validé le contrat, sans commentaire aucun, se contentant de confirmer qu’il traiterait chaque séance avec la plus grande discrétion. Par-fait. Emi ne pouvait espérer mieux, en particulier après ses dernières expériences désastreuses. On pouvait dire que ce fameux Hiroto était son dernier recours, l’homme de la dernière chance, en quelque sorte. Et elle ne doutait pas qu’il saurait s’adapter à ses désirs.

Ah, dirait-elle une telle chose, si elle savait ?
Qui sait.

Emi sortait du métro, prête pour sa séance photo, lorsqu’elle reçut un message de l’homme. Un simple rappel de l’adresse, qu’elle connaissait déjà. Immédiatement, elle se mit en route vers l’hôtel, non loin de la bouche de métro d’où elle émergeait avec assurance. Elle s’était préparée avec soin pour l’occasion – douche parfumée, cheveux lissés à la perfection, corps badigeonné de crème hydratante, une touche discrète de maquillage, et surtout… Son costume, soigneusement plié dans son sac. Prête à révéler toute l’attention qu’elle portait à chaque détail. Une requête de certains abonnés, qu’elle avait acceptée de bon-gré, pas farouche pour un sou.

En quelques minutes, voilà qu’elle arrivait dans le hall principal de l’hôtel. Après avoir échangé deux-trois mots avec la réceptionniste pour s’assurer du bon numéro de la chambre, elle se dirigea vers l’ascenseur. Une fois à l’intérieur, Emi profita du miroir pour se recoiffer légèrement, lissant quelques mèches rebelles, et détailler sa tenue d’un regard critique, mais satisfait. Sa jupe crayon, noire, et son tee-shirt blanc étaient simples, mais parfaitement ajustés. Un ensemble confortable, qu’elle n’allait pas tarder à quitter pour enfiler son costume, de toute façon. Pas la peine d’en faire des tonnes.

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Au ting de l’ascenseur, elle en sortit pour se diriger vers la chambre 34, ses longues jambes mises en valeur par ses talons vertigineux, qui claquaient légèrement sur le sol. Bien, c’était le moment. Pas le moins du monde stressée par cette rencontre, c’est d’un geste assuré qu’elle toqua à la porte, le bruit discret semblant résonner dans le couloir. Et peut-être aurait-elle dû, parce qu’en découvrant le joli minois de l’assistante, Emi se sentit légèrement prise au dépourvu. Sûrement parce qu’elle s’attendait à une personne plus âgée, moins avenante, ou simplement moins charmante. Alors qu’un sourire poli étirait ses lèvres, Emi fut bien forcée d’avouer qu’elle était tout à fait son genre.

Dommage qu’elle ne soit pas là pour ça.

« Mme Nakano, bonjour, l’accueillit Giulia, une expression chaleureuse et professionnelle éclairant son visage. Entrez, nous vous attendions. »

Se décalant d’un pas, l’assistante permit à la jeune femme d’entrer, ses gestes précis et élégants, comme si chaque mouvement avait été chorégraphié pour mettre à l’aise. Elle indiqua d’un léger mouvement de la main la direction de la chambre, tout en gardant ce sourire à la fois accueillant et discret, dans une maîtrise parfaite de son rôle. Emi ne se fit pas prier, rejoignant l’espace principal de la suite, ses yeux parcourant rapidement l’espace. Sans remarquer que dans son dos, ceux de Giulia s’attardaient imperceptiblement sur le galbe de ses fesses, parfaitement moulées par sa jupe crayon.

« Je vous en prie, installez-vous, ajouta-t-elle, en récupérant sa veste, puis son sac. »

Ce fut le moment pour Emi de saluer l’homme qu’elle avait embauché pour l’occasion. Et qu’elle ne fut pas sa surprise – encore, décidément ! – lorsque ses iris rencontrèrent ceux d’Hiroto, avant de dégringoler le long d’une silhouette imposante. Grand, large d’épaules, et une présence presque intimidante. Heureusement qu’elle n’était pas de ces jeunes timides qui se dandinaient devant un tel gabarit.

« Bonjour, lança Emi d’une voix claire et assurée, en lui tendant la main. Merci de m’accueillir aujourd’hui. J’espère ne pas être en retard. »

Dans son dos, l’assistante s’affairait sur les derniers détails. Puis, elle s’approcha d’Emi, un peignoir soigneusement plié à la main.

« La salle de bain est à votre disposition si vous souhaitez vous changer, expliqua-t-elle, sous le regard attentif de notre jeune modèle. Nous avons également des costumes prêts à l’emploi, au cas où vous voudriez les utiliser.
- Oh, ça ira, je vous remercie. J’ai apporté ce dont j’ai besoin, répondit-elle, dans un sourire léger. »

L’espace d’une petite dizaine de minutes, les détails furent discutés entre Emi et son photographe. L’éclairage à privilégier, les angles de prise de vue, les différentes poses, ainsi que ses limites, ou ce qu’elle permettait. Ils évoquèrent aussi les accessoires et les éventuels changements de décor ou de costume, et le déroulé général de la séance, s’assurant que chaque élément correspondrait à l’ambiance souhaitée. Emi avait versé un acompte pour réserver la séance, le solde restant dû à la fin, le prix total incluant d’éventuelles retouches sur les clichés. Ils étaient toujours d’accord sur ce point.

Puis, sur ces mots, Emi disparut dans la fameuse salle de bain. Et ne réapparut qu’une minute plus, tard, habillée de son costume. Enfin, costume… Tout était relatif. La jeune femme était habillée d’un ensemble de lingerie très minimaliste, façon bikini, qui moulait ses formes d’une façon indécente. Le haut, à peine couvrant sa poitrine généreuse, dessinait ses courbes avec une audace assumée, tandis que le bas, un simple string assorti, soulignait la finesse de ses hanches et l’élancement de ses jambes. Ses bas, arrivant au milieu de ses cuisses, ainsi que ses gants, recouvraient une partie de sa peau, là où tout le reste de son corps était parfaitement dévoilé. Le motif du tissu ? Des taches de vache, tout simplement.

À croire qu’elle avait parfaitement conscience de l’image qu’elle renvoyait. Une vache à lait.

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Et pourtant, Emi ne semblait nullement embarrassée, ni intimidée par sa tenue. Au contraire, elle rejeta ses cheveux en arrière, d’un geste nonchalant, tout en approchant des deux comparses, ses yeux brillant d’une lueur espiègle. Presque provocante.

« Vous êtes prêts ? »
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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 2 mardi 30 septembre 2025, 22:31:03

Entre les possibles sollicitations à trier et les demandes déjà validées mais à programmer dans le temps, le duo n'a pas réellement l'occasion de s'ennuyer en attendant l'arrivée de leur cliente du jour. En plus du message d'Hiroto, l'accueil avait été prévenu de son arrivée pour l'orienter en cas de besoin. Un des avantages d'utiliser des établissements similaires régulièrement.

Leur manière de procéder est aujourd'hui parfaitement rodée. La preuve en est que Giulia fonce accueillir la fameuse Emi Nakano à son arrivée. Avec son discours et ses manières habituelles pour mettre les femmes à l'aise. Le milieu du showbiz a une réputation sulfureuse et la photographie n'est pas épargnée. Nombreux sont les photographes connus à monnayer leurs talents et réputations contre des faveurs en nature. Sans parler des prédateurs qui s'en prennent aux âmes les plus naïves en leur promettant une minute de gloire.
Dans ce métier la réputation se positionne à la même hauteur que les compétences. Et le premier cas peut se faire mettre en pièce bien plus facilement.

Lorsque la jeune femme entre dans la pièce principale, Hiroto se lève pour l'accueillir. Et... comment dire... Le photographe en impose beaucoup plus que le modèle du jour en terme de physique. D'une voix calme et rassurante il lui répond « Enchanté. » avant de marquer une pause de quelques secondes et de reprendre « Pas du tout. Et j'ai hâte de travailler avec vous. J'espère que l'on fera du bon travaille ensemble et que le résultat vous plaira. »

Les salutations d'usage effectuées, Giulia reprend la main en venant lui indiquer où elle pourrait s'installer pour se changer et se préparer si besoin. Parce que bon, avec le temps le duo sait comment réfléchissent les mannequins/modèles. Ca vient avec sa ou ses propres tenues pour faire ce dont ils avaient besoin ou envie. Puis... la curiosité prend souvent le dessus et les séances durent 2 à 3 fois plus de temps que prévu initialement. Au point que cela ne les dérange plus du tout.

Avant de partir, Emi retourne voir Hiroto pour peaufiner quelques détails et celui-ci se lance dans des explications aussi détaillées et précises que possible pour la rassurer. « Oui, oui, c'est parfaitement possible. » répond calmement l'homme avant de se lancer sur un autre détail quelques secondes plus tard « On peut aussi installer un fond vert après pour ajouter des arrières plans numériques. Le nôtre est assez large, regardez ! ». Ce type d'accessoire peut être combiné avec presque tout pour donner de l'impact à des photos. Difficile après tout d'offrir un panel varié de résultats dans une simple chambre d’hôtel. Tandis qu'avec le fameux fond vert, souvent utilisé par les créateurs de contenu en ligne, les possibilités sont infinies.

Après plusieurs minutes à échanger, la cliente s'éloigne pour rejoindre la salle de bain histoire de se changer. Un entracte des plus courts car elle en ressort très rapidement dans une tenue... très révélatrice. Le genre qui ferait générer de la fumée par les oreilles pour un personnage de cartoon. Mais rien de nouveau pour Hiroto ou Giulia qui en ont vu passer des tenues affriolantes et des personnalités tout aussi excentriques sous ses bouts de tissus qu'on nommerait plutôt des bouts de ficelle.

La question arrive à peine aux oreilles du photographe que ce dernier lève l'appareil qu'il tenait dans la main depuis que sa cliente était partie se préparer pour prendre 3 clichés *CLIC* *CLIC* *CLIC*. Il s'en explique rapidement étant donné qu'Emi n'a même pas eu le temps de venir s'installer « Pardon, j'aurais dû vous prévenir. Les clientes aiment avoir des photos d'elles plus "naturelles" juste après s'être changées. Cela fonctionne un peu comme une sorte de souvenir et très souvent elles rendent très bien. Regardez ! »
Hiroto lève l'appareil, effectue quelques pressions sur des boutons et montre l'écran à Emi. Et comme il l'affirmait, les clichés sont réussis malgré le manque d'accessoires. Le genre de "bonus" que les créateurs/trices de contenu peuvent offrir à leurs fans en vendant la chose comme des photos de coulisses. Même les photos un peu ratées peuvent attirer dans certains cas de figure car on y retrouve de la surprise, de l'authenticité, du naturel. Bref, on n'est jamais perdant de toute manière.

Avec la tenue de vachette aux formes pulpeuses portée par Emi, les idées fusent dans la tête d'Hiroto. Mais par quoi commencer ? Bon, "Inutile de se précipiter" pense le photographe qui tend la main à sa cliente pour l'inviter à la guider vers le centre de la pièce. D'un regard perçant et professionnel il scrute chaque parcelle de son anatomie en lui expliquant quels genres de poses elle pourrait prendre pour débuter. Puis il termine en replaçant un peu ses cheveux du bout des doigts sans se laisser submerger par le délicat parfum que dégage sa peau qui doit aussi être d'une douceur extrême.

A son tour cette fois de s'éloigner pendant que Giulia ajuste les différents équipements pour que la lumière soit parfaite. Il va falloir déplacer le matériel régulièrement et la séance ne fait que commencer.
« Modifié: mardi 30 septembre 2025, 22:47:30 par Matsuo Butahito »

Emi Nakano

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 3 mercredi 01 octobre 2025, 18:27:00

Emi se saisit de cette main tendue, sans trop faire d’histoires. Au contraire, ses lèvres s’étirèrent en un sourire amusé, teinté de malice. Après tout, clichés naturels ou photographies bien plus mises en scènes, n’était-elle pas présente pour immortaliser l’instant, ainsi que son costume tacheté ? Hiroto pouvait l’assaillir de clic clic clic qu’elle ne s’en formaliserait pas. Une fois installée au centre de la pièce, le grand lit double à quelques mètres, le photographe put commencer à la guider, accueillant ses poses et ses suggestions de commentaires et de conseils pertinents. Hiroto semblait savoir ce qu’il faisait, et lorsqu’il prenait la parole, ce n’était pas pour s’étendre en flatteries hasardeuses ou en paroles inutiles.

Ce qu’elle ne pouvait qu’apprécier.

À son geste spontané, celui de replacer ses cheveux sur ses épaules, Emi ne put s’empêcher de le détailler de haut en bas, jaugeant son regard, son attitude, ainsi que l’expression sur son visage. Non pas qu’elle se méfiait, mais depuis le temps, notre jeune modèle savait lorsqu’elle plaisait. Lorsqu’elle attirait l’attention, d’une femme comme d’un homme. Et dans une tenue aussi dénudée, aussi moulante et révélatrice, difficile de rester de marbre, pas vrai ?

Mais pour l’heure, il était temps de commencer leur séance photo, et non de se laisser distraire. Ils avaient réservé la chambre pour une durée déterminée, et Emi ne voulait pas traîner. Chaque heure supplémentaire était facturée. Or, l’objectif n’était absolument pas de vider son compte en banque parce qu’ils avaient trop tardé. Ainsi, Emi s’installa au bord du lit, croisant et décroisant lentement ses jambes gainées de bas. Le tissu tendu contre sa peau dessinait ses cuisses d’une façon indécente, et son string, parfaitement ajusté, ne laissait que peu de place à l’imagination. Elle fit glisser ses cheveux sur une épaule, dévoilant la ligne de son cou et la naissance de sa poitrine, avant de lever les yeux vers l’objectif avec une intensité calculée. Clic.

Ce fut ensuite le moment parfait pour basculer sur le lit, posant ses mains en arrière afin de cambrer légèrement le dos. Sa poitrine se tendit, ses hanches se creusèrent, alors que la lumière accrochait chaque courbe de son corps. Puis, les poses défilèrent de longues minutes, tandis qu’elle bougeait avec naturel, passant d’une posture languide, presque rêveuse, à une attitude plus joueuse, sans se départir de son sourire canaille. Nul doute qu’elle s’amusait, et qu’elle jouait avec l’objectif de l’appareil photo. Ou le regard de l’assistante, plus discret, mais tout aussi présent, qui n’avait de cesse de revenir, à chaque pause, pour réajuster son maillot et peaufiner son maquillage.

Giulia se montrait appliquée, professionnelle en apparence, mais ses gestes trahissaient parfois une attention qui dépassait la simple rigueur de son rôle. Ou peut-être Emi se faisait-elle des films ? Pourtant, lorsqu’un doigt s’attardait trop longtemps sur sa peau, ou que les iris clairs fixaient trop longtemps sa poitrine, impossible de ne pas se questionner. Ce n’était rien qui puisse être reproché, bien sûr. Tout pouvait se justifier par le professionnalisme. Mais petit à petit, ce moment prenait une saveur un peu plus électrique. Hiroto en avait-il conscience, depuis son point d’observation ? Qui sait.

Heureusement, les jeunes femmes étaient sages. De véritables anges, même. Mais pour combien de temps ?

La jeune assistante avait-elle l’habitude de se montrer aussi attentive aux besoins de ses modèles ? Emi se le demandait, tandis qu’elle se redressait dans le lit, pour une dernière slave de poses et de photographies. Puis, ce fut le moment de s’attarder un peu sur les résultats, curieuse qu’elle était. Emi n’avait certainement pas la patience d’attendre le traitement post-prod, les retouches ou même la sélection minutieuse que Hiroto aimait sans doute opérer avant de livrer ses clichés. Elle voulait voir, là, tout de suite, ce que ces instants avaient donné. Peut-être par vanité, peut-être par excitation, ou tout simplement parce que son tempérament ne souffrait pas l’attente.

Ainsi, elle vint soudainement se poster aux côtés de l’homme, les doigts croisés dans son dos, comme une élève docile venue présenter son travail. Alors qu’elle venait surtout observer le sien.

« J’aimerais faire d’autres photos, allongée dans le lit. En plongée, surtout, s’enquit-elle, en relevant les yeux vers lui, son regard accroché jusqu’alors à l’écran de son appareil. Est-ce possible ? »
« Modifié: jeudi 02 octobre 2025, 20:56:14 par Emi Nakano »
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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 4 mercredi 01 octobre 2025, 20:14:36

Tout se déroule avec une facilité déconcertante par la suite. Emi laisse Hiroto peaufiner les derniers détails pour les premiers clichés avant de s'installer confortablement sur le lit. Les poses et les photos s'enchaînent avec rapidité et fluidité sous les interventions régulières de Giulia. Voir une séance se dérouler de cette manière avec une nouvelle cliente est probablement une première pour le photographe. Le modèle qui pose pour son objectif ne fait montre d'aucune gêne ou hésitation. Du véritable pain béni pour tout membre de la profession.

A sa demande, il se décale légèrement en tournant son ordinateur portable sur lequel il venait de brancher l'appareil photo quand l'heure de la pause arrive. En quelques secondes seulement des dizaines d'images, plus sexy les unes que les autres, viennent inonder l'écran. Hiroto sait lesquelles ouvrir avant même qu'elle ne le lui demande car il a remarqué sur le moment cette petite étincelle dans son regard ou ce sourire plus prononcé quand Emi prenait la pose ou se donnait un peu plus. Le genre de talent qu'on développe avec l'expérience. Les secondes passent alors qu'il lui indique ce qui lui a plu ou non, « Celle-ci est probablement la meilleure. Le regard fait tout. Mais j'aime aussi beaucoup celle-ci... ».

La sélection de photos à conserver et supprimer devra attendre. Surtout parce qu'Emi sait déjà comment poursuivre cette collaboration. Un simple « Bien sûr. » s'échappe des lèvre de photographe qui s'arrête alors brusquement de bouger un bref instant en ajoutant « Mais j'ai peut-être une idée... Une seconde. » Son regard parcourt la pièce comme s'il cherchait un objet en particulier, pour s'arrêter sur une petit table en verre.

N'importe quel modèle capitalisera forcément sur ses atouts, peu importe le public visé. Et le fait de choisir une petite tenue aux motifs si particuliers ne laisse pas réellement de place à la supposition quant aux préférences des fans d'Emi. Un point que met en avant le photographe : « Avec une poitrine pareille on peut faire beaucoup de choses, tout en restant dans le même ordre d'idée. »

« Je peux prendre des photos en me plaçant en-dessous pendant que vous pressez vos seins contre la table. » lui suggère l'homme. Il aurait pu aller jusqu'à lui proposer de se mettre dessus sur le ventre pour voir ses gros seins pendre. Mais cela peut tout autant se faire quand elle sera sur le lit sans craindre un accident car il ignore à quel point la table est solide ou non.
Jusqu'à maintenant tout s'est bien passé. En grande partie grâce à la distance quand Emi posait depuis le canapé. Alors que là... Il a un gros plan sur ses... gros nichons. La plaque en verre de la table les fait prendre encore plus d'espace si elle décide de les plaquer fort dessus. En même temps c'était l'effet recherché.
Hiroto se laisse distraire quelques secondes avant de se reprendre car ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve dans ce genre de position. Surtout que Giulia ne semble pas hésiter à intervenir à plusieurs reprises sous prétexte d'"aider à bien se positionner" Emi avec ses mains baladeuses.

Après les clichés pris alors qu'il se tenait dos contre le sol, Hiroto se relève en demandant à son modèle de ne pas bouger pour prendre d'autres photos en effectuant deux pas en arrière. Plusieurs pour qu'on puisse admirer ses deux monts de chair s’aplatir sur la table, ou d'autres qui mettent en lumière ses cuisses et son cul qui ressort de manière proéminente dans cette position.

Voilà, il est désormais temps de faire plaisir à la cliente en l'accompagnant dans le lit pour un moment qui risque de s'annoncer encore plus mouvementé. Hiroto n'est qu'un homme et il n'est pas rare qu'un photographe ou un metteur en scène finisse avec une érection durant un shooting ou un tournage. Et pour le coup, il va se retrouver très proche d'elle lors des minutes à venir. A renifler son parfum, entendre sa voix résonner dans ses oreilles ou encore voir ses formes de très, très, très, très, très près. Mais ce n'est pas une réponse pour lui dire non. Il faut savoir au bout des choses quand on est un professionnel.

« Giulia, tu peux m'aider à tout remettre en place ? Surtout la lumière, j'ai l'impression qu'elle n'était pas parfaite sur la première prise. » ordonne avec un calme des plus bancal le photographe. Une fois le matériel en place, il se tourne vers Emi et lui lance un « Allons-y ! » avant de grimper sur le lit qu'elle a réchauffé plus tôt afin d'avoir un angle de vue parfait.

Emi Nakano

Humain(e)

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 5 jeudi 02 octobre 2025, 21:23:20

Emi était docile, obéissant bien sagement aux recommandations et conseils d’Hiroto. Alors, bientôt, ses seins furent pressés contre cette table en verre, dévoilant deux monts fermes et délicatement écrasés par la surface lisse. La transparence de la table soulignait encore davantage leurs formes, comme un jeu de lumière et de matière qui captait l’œil. Impossible de ne pas remarquer, d’ailleurs, la forme bien distincte de ses tétons, dont la pointe érigée frottait contre le tissu de son maillot, dessinant deux reliefs nets et aguicheurs. Un détail qu’Hiroto n’aurait sans doute pas laissé passer, cadrant soigneusement pour immortaliser cette provocation silencieuse. Impudique.

Ses cheveux retombaient en rideau autour de son visage légèrement tourné de côté, ses lèvres entrouvertes trahissant une respiration plus marquée. Dans cette pose, à la fois vulnérable et calculée, Emi offrait une image d’une forte intensité, sans aucun doute. Et à chaque fois que l’assistante revenait pour réajuster son costume, autant au niveau de sa poitrine que de ses fesses, qui n’en avaient vraiment pas besoin puisqu’elles n’étaient pas dans le cadre de l’objectif, Emi sentait son corps frissonner plus encore. Trahissant un trouble qu’elle avait bien du mal à dissimuler.

Plus les minutes passaient, plus son regard s’embrasait, et son corps, lui, s’échauffait. Ainsi, lorsqu’elle finit par se redresser, ce fut pour reprendre le même type de poses… mais cette fois avec ses fesses pressées contre la vitre. La surface froide accentuait le contraste avec la chaleur qui montait en elle, tandis que le tissu du string se tendait, épousant la cambrure de ses reins et le galbe plein de ses courbes. À travers le verre, l’arrondi de ses fesses paraissait encore plus insolent, plus indécent, offert comme un présent généreux à l’objectif qui le traquait. Mais le plus remarquable ?

C’était cette tache humide qui ne tardait pas à se former, juste là, au creux de son string. Minuscule au départ, presque imperceptible, elle s’élargissait doucement sur le tissu tendu, trahissant sans détours l’état d’excitation dans lequel se trouvait la brunette. La faute de Giulia, évidemment. Et à la caméra, qui capturait le moindre détail, le moindre frisson, sans complaisance aucune. Un détail cru, sans fard, qui contrastait avec la mise en scène sophistiquée des poses et des lumières. L’assistante en avait-elle conscience ? Peut-être pas… Ou peut-être que si… Car elle revenait sans cesse, ses doigts glissant à la frontière de l’indispensable et du superflu.

Heureusement, ce moment prit fin, lorsque Hiroto lui fit signe de changer de décor. Emi abandonna la table de verre pour venir se laisser tomber avec souplesse sur le grand lit défait. Elle s’allongea sur le dos, les bras au-dessus de la tête, le corps cambré, attendant les directives du photographe pour se mouvoir. *Clic, clic, clic*, les clichés furent pris, capturant la finesse de sa silhouette élancée, la ligne étroites de ses hanches, la tension délicieuse de ses seins. Puis, obéissant à un signe discret, elle croisa lentement ses jambes, effleurant du bout des doigts les draps froissés, avant de rouler légèrement sur le côté, offrant à l’objectif une pose plus intime, presque alanguie. Ses cheveux s’éparpillèrent en cascade sombre sur l’oreiller, ses lèvres entrouvertes appelant un baiser langoureux.

Et son regard, lui, soutenait celui de la caméra – ou d’Hiroto, allez savoir – dans un sourire effronté, chargé de défi. Comme si elle cherchait à le mettre à l’épreuve, à teste sa patience.

Lui, ou son assistante.

Jusqu’à ce qu’elle se tourne à nouveau et se redresse sur ses coudes, une requête sur le bout de la langue. 

« Je voudrais quelques clichés de mains sur mon corps. Qui m’agrippent les cuisses, ou la poitrine. Est-ce que ce serait trop vous demander de jouer les cobayes ? s’enquit-elle, à l’adresse de Giulia. »

D’abord étonnée, l’assistante lança un regard à son patron, comme pour jauger sa réaction, cherchant silencieusement une permission implicite. Mais en avait-elle vraiment besoin, lorsqu’elle semblait si tentée, depuis le début de cette séance photo ? Alors, après avoir accepté, avec cette politesse qui la caractérisait tant, elle fut bien en peine de s’installer dans le lit sans trop déranger Hiroto, ni risquer d’empiéter sur le cadre soigneusement pensé. Elle avança avec précaution, ajustant ses gestes, effleurant à peine les draps, ses mains et ses genoux se posant avec la légèreté d’un chat, entre les cuisses de la modèle, pour ne pas rompre la composition.

Puis, ce fut le moment de saisir cette délicieuse poitrine. Celle qu’elle ne pouvait s’empêcher d’admirer, de détailler depuis plus d’une demi-heure. Et lorsque ses paumes se renfermèrent sur ces deux mamelles, elles les moulèrent à la perfection, ses doigts s’enfonçant dans la chair délicate et généreuse. Au creux de ses mains, les tétons durs, dressés, d’Emi, qui frissonnaient sous chaque pression, et qui tirait, de temps en temps, quelques soupirs appréciateurs à la brunette. S’en rendait-elle compte ? Qui sait.

« Uhm… Pressez plus fort, souffla-t-elle, de cette voix tendue par la fièvre du moment. »

À nouveau, les poses défilèrent sous les doigts de l’assistante et l’objectif d’Hiroto. Les mains de Giulia découvrent la rondeur de ses fesses, la fermeté de ses cuisses, remontant doucement le long des hanches pour effleurer le tissu tendu du string. Le corps de la modèle réagissait avec fluidité, ondulant sous les caresses, répondant au rythme des prises, bien qu’elle ne semblait pas insensible aux caresses indirectes de sa partenaire de jeu. Et l’assistante elle-même n’était pas en reste ; une oreille attentive et un regard curieux le remarqueraient immédiatement. Son souffle était court, ses yeux chargés de désir. Peut-être était-il temps de s’arrêter là.

C’est ce qu’elle fit, en se redressant, abandonnant la poitrine d’Emi d’un geste lent et calculé, ses mains glissant le long des hanches avant de se retirer complètement.

« Je pense que nous avons assez de clichés. Voulez-vous essayer un autre costume, ou d’autres poses ? lui dit-elle, dans cette posture toujours très professionnelle, malgré sa voix chargée d’intensité. »

En guise de réponse, Emi tira distraitement sur l’élastique de son string, pour l’ajuster un peu. Puis, relevant son regard vers le photographe et son assistante, un sourire malicieux fleurit sur ses lèvres.

« Lequel me conseillez-vous ? »
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Matsuo Butahito

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 6 jeudi 02 octobre 2025, 23:02:38

La tension... La tension sexuelle, pour ne pas avoir peur d'utiliser les termes, monte d'un cran quand Giulia et Emi se lancent ensemble dans un duo de poses qui vont faire craquer un paquet de caleçons chez les fans de la modèle. Impossible également de ne pas remarquer que l'assistante du photographe y prend plus de plaisir qu'elle le devrait dans ce type de situation. A plusieurs reprises on pouvait la voir se mordiller une lèvre ou reprendre son souffle entre deux gestes. Comment lui en vouloir alors que ses doigts fins venaient manipuler cette paire de seins imposante qui semble mettre à mal la gravité.

Garder son calme n'avait rien de compliqué en soit. Par contre il commençait à transpirer de plus en plus sous la chaleur dégagée par les deux jeunes femmes qui étaient absorbées par leur petit jeu coquin pratiqué sous ses yeux. L'ambiance étant totalement décomplexée, le moment était venu de faire une proposition particulière lorsqu'Emi leur demanda si elle devait changer de costume.

Le manque de souffle se ressent dans sa voix quand Hiroto se redresse « Avant de changer de tenue on pourrait faire autre chose. Restez-là ! ». Après s'être éloigné quelques secondes seulement, le voilà de retour. En possession d'une bouteille de lait. Si Emi voulait jouer à allumer le couple elle allait être servie. Une étincelle s'alluma dans le regard de Giulia qui ne se fait pas prier pour participer en se saisissant de la bouteille qu'elle dévisse pour en verser tout doucement une partie du contenu sur la poitrine de leur cliente. Difficile de produire une image aussi explicite que celle-ci, n'est-ce pas ? Une fois encore les photos s'enchaînent à un rythme effréné.

Être à l'initiative de cette suggestion galvanise notre photographe. Voir ce liquide blanc entrer en contact avec cette grosse paire de seins, enduire le haut de sa tenue, dégouliner de tous les côtés à la fois quand il y a accumulation à certains endroits, commence à lui faire de l'effet et cela se reflète sur un début de bosse qui se forme sous son jean. Le fait qu'elles étaient deux à se rapprocher de cette manière est probablement l'élément décisif de son état. On se croirait presque dans un scénario de film porno où tout pourrait dégénérer d'un instant à l'autre.

Chaque balancement de sa poitrine et chaque éclaboussure de lait qui termine son voyage sur les draps le font vriller un peu plus intérieurement. Heureusement que cela prend fin au bout d'une dizaine de minutes. Comment changer de sujet et souffler un peu ? Ah oui, le costume... Elle voulait en changer. Très rapidement Hiroto fait une proposition « On nous a confié une tenue utilisée dans un jeu vidéo et qui devrait vous aller à la perfection. »
Une idée qu'il n'est pas le seul à partager. Giulia s'empresse de descendre du lit pour récupérer la tenue et la tendre à Emi.

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A peine la jeune femme enfermée de nouveau dans la salle de bain, Hiroto interpelle Giulia « Essaie de faire un peu plus attention. On aurait dit que tu voulais lui sauter dessus. » Chose qu'il ne se serait pas gêné de "documenter" avec son appareil. « Même si elle n'a pas l'air farouche, on ne sait jamais ce qui passe par la tête des modèles. Un procès est vite arrivé si on se retrouve face à une tordue. »

La chaleur est toujours présente sous les habits du photographe qui décide d'enlever son veston pour finir en simple chemise alors que la cliente refait son apparition devant lui dans une tenue qui le fait déglutir sans même qu'il ne s'en rende compte. A croire que ce costume, destiné à des femmes aux formes XXL a été dessiné et cousu sur mesure pour Emi. Le pauvre bougre vient de se tirer une balle dans le pied sans le savoir. Il ne manquerait plus que Giulia décide de faire des siennes en demandant à poser avec elle dans la seconde tenue qui va avec.

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« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 10:13:01 par Matsuo Butahito »

Emi Nakano

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 7 samedi 04 octobre 2025, 21:05:37

Le lait était froid sur sa peau, et cette première coulée la fit frissonner, alors qu’elle laissait échapper une petite exclamation surprise. Puis, sous le feu des projecteurs et la chaleur de son corps, le liquide finit par se réchauffer, dégoulinant sur sa poitrine et son ventre au moindre mouvement. Un spectacle qui en troublerait plus d’un, mais une fois encore, photographe et assistante restèrent professionnels, se contentant de capturer chaque détail avec précision. Puis, ce fut le moment de changer de costume, au grand soulagement d’Emi. Elle commençait à se sentir poisseuse, et pas de la meilleure des façons.

Curieuse, elle découvrit la tenue que Giulia lui tendait, et sans se faire prier, disparut dans la salle de bain, afin de l’enfiler. Il lui fallut plusieurs minutes pour se nettoyer et en trouver le sens, mais bientôt, Emi réapparut, sous le regard attentif et avide de sa douce partenaire de jeu. Giulia semblait apprécier le spectacle, et comme toutes les fois précédentes, ne se fit pas prier pour réajuster le costume. Pourtant, elle se montra plus modérée, plus prudente, suivant scrupuleusement les recommandations d'Hiroto. Au grand dam de notre jeune modèle.

Qui avait remarqué, sans grande difficulté, que son photographe s’était allégé de quelques vêtements depuis son retour de la salle de bain. Cette observation la fit sourire légèrement, amusée de constater que tous, dans cette pièce, s’échauffaient peu à peu, au fil des minutes. Comme quoi, elle qui craignait de devoir repousser des avances insistantes et déplacées, se retrouvait à en être à l’origine. Bien qu’ils étaient restés sages, jusqu’à présent. Tous les deux. Emi aurait sûrement apprécié un peu plus de… chaleur. Un comble, pas vrai ?

« Il vous va à merveille, lui fit remarquer Giulia, en recoiffant ses cheveux avec soin.
- Oh, merci. Je suis sûr que vous le porteriez tout aussi bien, répondit Emi, un sourire effronté étirant ses lèvres. »

Giulia lui répondit par un sourire tout aussi malicieux, tandis qu’elle glissait délicatement quelques élastiques dans ses mèches brunes pour les discipliner et en coiffer subtilement quelques-unes derrière ses oreilles. Quelques tresses firent également leur apparition dans la crinière d’Emi, afin d’accorder sa coiffure au costume qu’elle portait à présent. Ses boucles d’oreille dénotaient d’ailleurs avec ce dernier, alors avec sa permission, Giulia finit par les retirer et les déposer dans un petit coin, afin de ne pas les perdre.

« Oh, j’en doute fortement. Je ne suis pas aussi à l’aise devant l’appareil que vous, continua-t-elle, s’occupant à présent de retoucher son maquillage.
- Peut-être, mais je suis sûre que vous pourriez facilement rivaliser, si vous le vouliez. »

Comme pour appuyer ses paroles taquines, Emi laissa traîner son regard sur l’assistante, avant de lancer un coup d’œil vers la tringle métallique, où étaient soigneusement accrochées plusieurs tenues. Certaines attiraient l’attention par leurs couleurs vives. Peut-être que ce yukata, ou ce kimono, siéraient parfaitement à sa silhouette. Oui, ça ne faisait aucun doute… Et lorsque Emi avait une idée en tête, rien ni personne ne pouvait l’en débarrasser. Pas même la ou le principal concerné.

« Et si vous m’accompagniez ? s’enquit-elle, tandis qu’une moue espiègle fleurissait sur son visage. Seulement pour deux-trois photos... »

Son regard pétillait d’un mélange de défi et de malice, invitant Giulia à entrer dans son jeu sans détours.

« Hum… Je ne suis pas sûr que… »

L’assistante semblait hésiter, surtout après les réprimandes d’Hiroto. Mais en même temps, elle avait parfaitement conscience qu’une série de photos avec Emi, toutes deux habillées des costumes issus du fameux jeu-vidéo, attireraient l’attention, autant sur elles, que sur la qualité des fameux clichés. Une publicité subtile et efficace pour leur entreprise. Bien qu’elle fonctionnait déjà parfaitement. Mais de nouveaux clients ne pouvaient pas faire de mal, surtout durant les périodes les plus creuses. Alors, après avoir jeté un regard vers son patron, Giulia finit par céder, autant parce qu’elle en avait envie, que pour des raisons purement commerciales.

Ce serait l’occasion parfaite pour profiter de leur proximité, pas vrai ? Impossible de ne pas le comprendre, à l’étincelle dans ses yeux.

Le temps que l’assistante disparaisse dans la salle de bain pour enfiler son propre costume, Emi s’observa dans le grand miroir de la chambre. Après tout, elle n’avait vraiment pas l’habitude de s’habiller de cette façon. Ainsi, elle fit lentement tourner son corps sur elle-même, observant la manière dont le tissu épousait parfaitement ses formes : ses fesses étaient fermement emprisonnées dans le tissu, soulignant chaque courbe, tandis que ses seins, légèrement comprimés, dessinaient des reliefs sensuels. Malgré une grande partie dénudée, c’était bien plus subtil que son bikini aux taches de vache.

Un sourire aux lèvres, elle finit par se tourner vers Hiroto, mains sur les hanches, ses cheveux en partie tressés retombant en cascade sur ses épaules.

« Alors, qu’en pensez-vous ? Je conviens au personnage ? »
« Modifié: samedi 04 octobre 2025, 22:37:33 par Emi Nakano »
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Matsuo Butahito

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 8 dimanche 05 octobre 2025, 00:36:34

Au point où en sont les choses il n'était plus nécessaire pour le photographe de tenter d'arrêter son assistante de partir enfiler un costume à son tour. Et ce n'était même pas pour faire plaisir à la cliente. Dans un coin de sa tête il veut voir ce que cela pourrait donner avec deux belles femmes pulpeuses dans des tenues plus que provocantes. Quel genre de photos est-ce qu'il va pouvoir leur extirper ? On entre dans un domaine inconnu. Une sortie de session bonus car les photos en question ne pourront pas être utilisées par Emi sur son site. Enfin, tout dépendra de Giulia et de la teneur des clichés.

De son côté, la cliente faisaient bondir et rebondir ses formes parfaitement moulées dans ce costume. Si ses fans voyaient ça ils en boufferaient leur écran à pleines dents. Cette femme dégage quelque chose de sérieux et sexuel à la fois. Le tout sans tomber dans la vulgarité gratuite alors qu'elle doit faire un tas de choses réservées aux adultes sur sa chaîne privée. C'est assez paradoxal.

Surpris qu'on lui demande son avis, Hiroto relève la tête pour lui répondre « Je serais tenté de dire que vous êtes faite pour le porter. C'est assez bluffant ! Alors qu'il faut avoir un physique particulier pour pouvoir le mettre en valeur. » A comprendre par là qu'il faut posséder des formes comme il faut là où il faut. Sa tête se penche sur le côté, une main sur le menton quand il se questionne « Je me demande même comment il est possible de faire autant s'étirer les bretelles au niveau de la poitrine alors que le costume est fait pour supporter des formes larges. » A comprendre, encore une fois, qu'Emi a des nichons énormes alors que le costume est prévu pour une poitrine XXL dès le départ.

Avec l'ambiance détendue et plutôt chaude qui prend de plus en plus possession des lieux, le fait de se vouvoyer lui semble un poil dérangeant et il n'hésite pas à l'exprimer « On serait plus à l'aise en se tutoyant, non ? »
Et à peine la réponse d'Emi obtenue, voilà que Giulia sort de la salle de bain dans la tenue qui allait avec la première.
Si Emi a été gâtée par la nature, que dire de l'assistante du photographe ? Sa poitrine peine à tenir en place sans menacer de bondir d'un moment à l'autre.

Sans s'en rendre compte, Hiroto s'en lèche les lèvres subtilement tout en levant son appareil photo en les guidant « Mettez-vous comme ça ? Oui, là ! Parfait ! » Les *clic* si caractéristiques de l'appareil photo s'enchaînent. Il les prend en photo debout au milieu de la pièce principale, chacune leur tour assise sur une chaise alors que la seconde se tient derrière. Ou une jambe posée sur une chaise pour faire ressortir leurs cuisses bien dodues. A un moment il les fait même se tenir ensemble sur la table.

Arrive alors le moment où il leur indique de s'installer ensemble sur le lit pendant qu'il se prépare « On peut faire une dernière prise de vous deux sur le lit. Laissez-moi juste vider la carte mémoire. » En même temps la mémoire de l'appareil doit être surchargée après toutes ces photos. L'outil n'a pas arrêté un seul instant de fonctionner depuis plusieurs dizaines de minutes. A photographier ces deux magnifiques jeunes femmes sous tous les angles possibles et imaginable. Des plans serrés sur leurs visages, des plus larges sur chaque partie de leur anatomie ou des costumes qu'elles portent pour satisfaire les costumières qui voudront des références pour les ajustements ou leurs futures créations.

Lorsqu'il est enfin prêt, Hiroto se retourne en direction du duo avec un sourire malicieux sur le visage. « Et si on inversait les rôles cette fois ? Giulia s'est bien amusée tout à l'heure. A son tour de se faire tripoter. Ca ne serait que justice après tout, non ? » L'idée ne devrait pas tomber dans l'oreille d'une sourde.

Emi Nakano

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 9 dimanche 05 octobre 2025, 21:49:00

Rien ne l’avait préparée, en entrant dans cette chambre, à ce qui se jouait à présent. Emi ne s’était absolument pas imaginée surplomber une magnifique jeune femme, son corps généreux et électrisant alangui sur les draps, alors que ses propres mains pressaient délicieusement cette poitrine imposante. Et son regard, plongé dans le sien ? Chargé d’intensité, de désir, de cette supplique muette, celle d’enfin céder à leurs pulsions. Parce que Giulia n’y avait absolument pas le droit. Pas lorsqu’elle était employée par son patron, qui l’avait mise en garde. Mais voilà, Emi refusait de se plier à sa demande, évidemment.

Notre jeune modèle était joueuse, une véritable provocatrice dans l’âme. Elle comptait bien savourer, jusqu’au bout. Jusqu’à l’apothéose. Jusqu’à ce qu’ils ne soient plus capables de distinguer le désir de la retenue, le contrôle de l’abandon.

Alors, pour le moment, ses doigts se faisaient un plaisir de se promener sur le corps de l’assistante, sous les clic clic frénétiques d’Hiroto. Ils effleuraient sa peau avec envie, soupesaient sa poitrine, longeant lentement ses flancs, s’agrippaient à sa taille fine, avant de disparaître sous les pans de son costume, à la naissance de sa culotte en dentelle. Ses cuisses étaient fermes, musclées, bien en chair, tout ce qu’elle aimait. Est-ce qu’elles s’écartèrent pour lui permettre de s’y glisser ? Évidemment. En guise de récompense, Emi souffla quelques mots à Giulia, un « Good girl » qui fit frissonner sa pauvre victime.

La température montait, petit à petit. Emi, elle, était de plus en plus aventureuse, son cœur s’affolant au rythme de ses gestes. Ses lèvres se perdirent un moment dans le cou de l’assistante, frôlant son épiderme, caressant le lobe de son oreille, ainsi que la naissance de sa mâchoire, tandis qu’elle se rapprochait davantage, leurs deux poitrines écrasées l’une contre l’autre. Profitant de cette proximité, elle glissa une main entre elles, avec discrétion, suffisamment subtile pour échapper à l’attention d’Hiroto. Puis, elle pinça doucement un téton durci, sentant distinctement sa pointe se dessiner contre le tissu délicat du costume.

La réponse ne se fit pas attendre.

« Aahn, mhh... »

Une plainte. Délicieuse. Un soubresaut dans le corps de sa comparse, dont le bassin vint soudainement se presser contre son genou. Et là, tout contre sa cuisse, l’humidité caractéristique d’un sous-vêtement.

Un sourire malicieux fleurit sur les lèvres d’Emi. Bingo. Elle avait gagné et Giulia le savait, parce qu’à son expression, on devinait qu’elle avait conscience de son propre désir. Qu’elle sentait son intimité pulser d’une fièvre pressante, celle de sentir les doigts de la modèle s’y promener. S’y enfoncer, puis explorer, lentement, avant de lui faire chanter son plaisir. Un plaisir insidieux, qu’Emi voulait lui donner, et ce, alors que le photographe poursuivait ses clichés.

La brunette était-elle assez vicieuse pour espérer faire jouir sa partenaire, sans qu’Hiroto ne remarque le mouvement de ses doigts ? Peut-être bien. Mais ces derniers étaient occupés, pour l’heure. Caressant le visage de Giulia, dont le corps était bouillant d’avidité, Emi finit par plonger un pouce entre ses lèvres légèrement entrouvertes, découvrant l’humidité de sa bouche pulpeuse. Emi aurait également voulu l’embrasser, plonger sa langue entre ses lèvres, mais ce serait manquer un spectacle indécent, et pour rien au monde, elle ne voulait gâcher cette vision captivante. Charmante. Sensuelle.

Alors, à la place, Emi se fit la mission de torturer sa belle. Dans un geste presque imperceptible, elle se mit à frotter son genou contre la vulve de l’assistante, jouant avec la pression et le rythme, savourant chaque frisson, chaque soupir qu’elle provoquait. Giulia, elle, remuait son bassin à la rencontre de cette poussée, tout en essayant de rester de marbre pour la caméra. Les photos devaient être érotiques, lascives, et non obscènes ou dépravées. Encore moins pornographiques. Mais c’était si difficile de ne pas céder à la tentation de se tordre de plaisir, de laisser ses gémissements lui échapper. Pourtant, le rouge lui était monté aux joues depuis longtemps, et son regard était flou, dilaté, empli de luxure.

Lentement, l’assistante s’abandonnait entre les draps, ses seins jaillissant du costume. À deux doigts d’en voir les mamelons érigés. Dans sa bouche, deux doigts supplémentaires, sa salive débordante, tandis que son souffle se faisait court et irrégulier, chaque respiration trahissant la tension et le plaisir qui montaient en elle. Ses hanches se relevaient imperceptiblement, suivant le rythme des gestes d’Emi. Jusqu’à ce qu’elle sente, tout à coup, une pression plus vive, plus forte, plus fourbe. Son clitoris. Torturé, tiraillé, au point de lui arracher un gémissement bruyant, qui aurait fait exploser le plus frigide des hommes.

« Non, non, vous ne pouvez pas… réussit-elle à balbutier entre deux inspirations tremblantes, alors qu’elle s’agrippait au poignet d’Emi, consciente qu’elle dépassait les bornes. »

Après tout, Hiroto l’avait avertie. Ne pas lui sauter dessus. Faire attention. Attention à quoi, déjà ?

« Chut… Ce n’est rien, ma belle, souffla Emi, tandis qu’elle déposait un baiser sur sa joue. Je suis sûre que monsieur Sugiyama n’y voit aucun inconvénient. Pas vrai ? »

Emi lança un regard malicieux à l’intéressé, ses yeux pétillant de défi et d’audace, comme pour sonder sa réaction, et s’assurer que le jeu n’était pas encore terminé.
« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 22:03:30 par Emi Nakano »
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Matsuo Butahito

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 10 dimanche 05 octobre 2025, 22:38:22

La proposition a effectivement trouvée preneuse car les mains d'Emi ne perdent pas un instant pour venir s'affairer sur le corps de l'assistante avec une efficacité dévastatrice. Ce qu'il faut savoir sur Hiroto et son employée, c'est qu'ils ont travaillés sur des centaines de projets aussi variés les uns que les autres. Et cela inclut bien évidemment des tournages de films pour adultes. Avec les tournages vidéos, le streaming et tous les moyens technologiques à la disposition des créateurs de contenus on peut vite oublier que les photographes sont toujours de la partie. Il arrive même que des studios fassent appels à lui ou des concurrents pour prendre en photos des scènes inédites qui ne seront jamais partagées en vidéos. Tous les moyens sont bons pour fidéliser les clients et leur offrir autant de choses à acheter que possible.

C'est sans doute cette expérience qui a rapidement aidé Hiroto a comprendre ce qui se déroule sous ses yeux entre les deux femmes. Ses mains et son corps ne s'arrêteront pas pour autant. Bien au contraire, il redouble d'intensité dans chacun de ses gestes pour capturer ces moments sensuels et érotiques avec une précision chirurgicale. Le but est que chaque personne qui posera les yeux sur les photos prisent en ce moment même se mettent à bouillir de l'intérieur. Qu'ils sentent monter la température dans leurs veines comme si ils avaient été là.
Pour se faire il faut capturer le bon angle pour voir le bras d'Emi se contracter et se tendre quand elle part à la chasse pour titiller sa partenaire de jeu. Ou plutôt sa proie. Chaque souffle plus haut que le précédent, chaque mouvement du visage de Giulia qui tente de réprimer ses envies et ses sensations. L'érotisme doit transpirer dans chaque photographie.

L'homme est tellement possédé par la scène qui se déroule sous ses yeux qu'il ne se rend pas compte de la transformation qui s'opère dans son propre corps. La petite bosse qui s'était formé plus tôt tout en restant à peine perceptible gagne clairement en taille. Jusqu'au point de repousser le tissu de son pantalon. Excepté qu'Hiroto est comme on aime à le dire souvent dans ce genre de situation "dans la zone", ou "dans sa bulle". En dehors de ce qu'il voit, plus rien n'existe. Ses remarques aussi volent dans l'air sans atteindre de destinataire « C'est parfait, continuez ! Vous êtes parfaites comme ça. Toute cette sensualité... »

Puis la situation grimpe en intensité quand l'imposante poitrine de Giulia fini par déborder de son costume. Ce n'était qu'une question de temps avant que cela n'arrive de toute manière. Un simple détail sur le moment car rien ne semble pouvoir être en mesure d'arrêter le photographe sur sa lancée. On peut même entendre le *viiiiiiiiiii* du zoom pour prendre un plan plus rapproché des doigts qui viennent s'insérer dans cette bouche qui a l'air si chaude et humide. Dans sa tête il s'imagine à la place d'Emi, simulant toutes les sensations qu'elle soit expérimenter à l'autre bout de l'appareil.

Comme poussé par une envie de la voir jouir par procuration, Hiroto n'hésite pas une seule seconde en répondant « Pas le moindre. Fais-la jouir ! Fort ! Je veux tout voir ! Tout enregistrer ! ». Non sans remuer son bassin pour essayer de faire disparaître ce sentiment de démangeaison qui l'harcèle depuis de longues secondes maintenant. Il pourrait utiliser sa main pour remettre son autre matériel en place. Mais ce serait risquer de perdre de précieuses secondes si Giulia venait à trouver l'orgasme en même temps.

A genoux au pied du lit, le photographe est enfin à son aise pour prendre les dernières photos. Le clou du spectacle est sur le point de se produire. Ce moment où les sensations sont si vivaces, d'une extrême puissance... Impossible à simuler. C'est pour immortaliser ce genre de situation qu'il s'est lancé dans la photographie après tout. « Vous êtes si belles toutes les deux. Montrez-moi à quel point ! Lâchez-vous ! », comme pour les encourager à ne plus penser à rien. Qu'elles oublient le but originel de leur présence dans cette chambre. Ou même la sienne. Elles ne doivent plus penser qu'à leurs envies. Tandis que lui, de son côté, se met à les fixer avec un regard fixe. Obnubilé presque.

Emi Nakano

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 11 lundi 06 octobre 2025, 21:08:51

Face à une belle assiette copieusement garnie, qui pourrait vraiment résister ? Emi se retrouvait dans la même situation, mais la « belle assiette » n’était autre que Giulia. Impossible de détourner le regard : chaque détail – ses courbes, sa chaleur, son regard – invitait à la dévorer. Mais voilà, Emi cultivait plus d’un péché. Luxure, envie, orgueil. Et gourmandise. Ainsi, à la vision de cette érection étroitement prisonnière sous une montagne de tissu, son esprit s’embrasa, trépignant à l’idée de jouer, de titiller, de provoquer son propriétaire. Et nul doute qu’elle y arriverait sans difficulté aucune.

Après tout, Emi était habile de ses doigts. De sa langue, également. De tout son corps en réalité. En plus d’être inventive. Giulia et Hiroto n’allaient pas tarder à le découvrir.

Mais pour l’heure, Emi avait un plat sur le feu. Giulia se tortillait sous elle, des soupirs d’impatience lui échappant, alors qu’elle suçait ses phalanges avec une avidité manifeste, incapable de contenir son désir. Son bassin remuait contre sa cuisse, à la recherche d’une friction plus intense, celle qui saurait la faire jouir d’une seconde à l’autre. Mais notre jeune modèle savait, pour l’avoir senti elle-même, que ce n’était pas assez. Que l’assistante avait besoin d’être consumée toute entière. Submergée par le plaisir, ravagée par l’orgasme. Un black-out complet de son esprit, de toute sa personne.

Ainsi, il ne lui en fallut pas plus pour se saisir de sa poitrine à pleine main, tandis qu’elle plongeait sur ses tétons érigés, enfonçant son visage dans cette montagne de chair ballotante. Ses lèvres se refermèrent sur son mamelon sensible, et bientôt, Giulia gémit sous ses caresses, tiraillée par cette langue déchaînée, qui léchait, pressait, effleurait chaque centimètre de peau. Puis, ce fut le tour de ses dents, qui se firent le malin de plaisir de mordiller cette tétine réceptive, alternant entre pincements légers et tiraillements insistants, comme pour en faire jaillir une bonne quantité de lait. À croire qu’elle était devenue la vache laitière qu’Emi interprétait plus tôt.

« Ahnn… Ouui… ! Mhhh… gémissait‑elle, haletante, son dos s’arquant à chaque pique de plaisir qui parcourait son corps. »

Ce n’était pas terminé, loin de là, et alors qu’Emi s’occupait de ces deux mamelles bien chargées, ses doigts, jusque-là perdus dans la bouche de Giulia, trouvèrent le chemin de ses cuisses pour plonger d’une seule traite dans son intimité, dans un bruit humide qui sembla résonner dans toute la chambre. Autour de ses phalanges, l’étroitesse de ses parois, trempées, un havre de chaleur, et Emi sentit son corps réagir en réponse, sa culotte baignée de mouille. Rêvait-elle de sentir une présence s’insinuer en elle, de la même façon qu’elle fouillait éhontément Giulia ? Sans aucun doute. La frustration à son comble, elle se tortillait sur le corps de sa belle assistante, entièrement dévouée à son plaisir. Le sien viendrait plus tard.

Et quel plaisir ! Giulia n’était plus que plaintes volubiles, hoquets impatients, ses doigts agrippés aux draps du lit. Au plus profond de son vagin, les doigts d’Emi allaient et venaient avec frénésie, explorant chaque recoin avec une précision tortueuse, la faisant trembler et pleurnicher à chaque mouvement. Et si elle essayait de fermer ses cuisses, comme pour contrôler cette pression insupportable, la brunette s’y glissait encore plus profondément, forçant ses chairs avec une douceur cruelle, ses jambes grandes ouvertes pour mieux l’accueillir. À sa merci. Giulia était à sa merci, et ne pouvait que subir, avec une félicité plus qu’évidente.

Sa jouissance se fit violente, au moment où l’assistante s’y attendait le moins. Une giclée puissante, dévastatrice, alors qu’Emi pressait soudainement son clitoris de son pouce, en même temps qu’elle écartait ses chairs d’un mouvement de ciseau, frottant ses parois d’une divine friction humide et brûlante. Immédiatement, ses gémissements et ses cris traversèrent la pièce, son corps frissonnant et crispé autour des phalanges d’Emi. Ses jambes tremblaient légèrement, cherchant à s’enrouler autour de la brunette, tandis que ses hanches se relevaient instinctivement, pressant encore davantage ses doigts contre son intimité brûlante. Comme si elle en voulait encore.

« Mhh… Bonne fille, souffla Emi, tout sourire. »

Et notre modèle, dans toute cette histoire ? Haletante d’excitation, elle avait abandonné ses mordillements pour se repaître de l’orgasme de Giulia, son regard rivé sur ses doigts qui la pilonnaient avec une précision sadique. Lorsqu’elle finit par les sortir de cette chatte délicieuse, ce fut pour les lécher avec gourmandise, un sourire malicieux sur ses lèvres.
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Matsuo Butahito

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Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 12 lundi 06 octobre 2025, 22:25:23

L'homme jusque là calme et posé semble avoir laissé sa place à une toute autre personne. L'objectif de son appareil photo est devenu une extension de sa propre enveloppe corporelle tandis qu'il respire au même rythme que Giulia et Emi. Pratiquement au point de mimer certains de leurs gestes ou expressions faciales pour mieux parvenir à capturer chaque sensation que les deux femmes sont en train d'expérimenter, allongées sur ce lit. Un feu se met à bouillonner de plus en plus fort sous sa peau. Son front se met à perler de sueur pour couler le long de ses joues sans que cela ne le perturbe. Sa concentration n'a jamais été aussi accrue qu'à ce moment précis.

A un certain moment on pouvait clairement remarquer une tension dans ses doigts pour tenter de reproduire l'intensité avec laquelle Emi dévorait les appétissants mamelons de sa victime. Ces petites pointes roses sont à quelques centimètres de lui et sa seule manière d'interagir avec est par l'intermédiaire de son appareil. C'est sa façon de participer à ce multiple échange sans pouvoir le faire physiquement. Cette frustration a un petit quelque chose d'excitant.

L'orgasme de Giulia immortalisé de la plus belle des façons, le regard et l'objectif du photographe se tournent vers Emi qui déguste et savoure son succès. Cela va désormais faire de longues minutes qu'Hiroto a cessé de réfléchir. Son corps ne répond plus qu'à ses instincts et ses envies. Et si jusqu'à maintenant il tenait surtout à les rejoindre depuis l'arrière de son appareil, il va changer son fusil d'épaule. L'appareil lui échappe des mains alors qu'il s'approche du duo. Ou plus précisément d'Emi.
D'un geste fluide de la main droite il se saisit de son menton et lui susurre avec une excitation dans la voix « Laisse-moi goûter aussi. » pour ensuite l'embrasser à pleine bouche. Ce simple baiser sonne comme un soulagement au fond de lui. Tout son corps se détend et son autre main vient rejoindre la première pour tenir Emi en place et l'empêcher de reculer. De sa langue il va chercher celle de sa cliente et le reste de cyprine dont elle se gavait l'instant d'avant. Est-ce le cocktail de fluides ou la situation qui le met dans cet état ? Il n'en sait rien et s'en moque éperdument.

Sentant son corps se relâcher et pour éviter de tomber en arrière ou sur le côté, sa main gauche vient se rattraper sur le lit à quelques centimètres d'une cuisse d'Emi. Le léger contact de cette peau délicate mais brûlante contre son pouce l'attire comme un aimant. Une fois encore il ne peut s'empêcher de venir empoigner une fesse de sa cliente tout en revenant à la charge avec sa bouche durant une bonne trentaine de secondes. Les lèvres si douces et délicates de la modèle fonctionnent comme une drogue. Tout comme sa langue si sensuelle qui danse avec la sienne en parfaite harmonie. Pourquoi s'arrêter ?

Dans d'autres circonstances il aurait réfléchit un peu plus à chacun de ses gestes. Sauf qu'il en est incapable et va jusqu'à faire une chose dont il ne se serait pas cru capable un jour. Les doigts de sa main s'enfoncent dans la chair si douce de la fesse d'Emi comme une dernière étreinte pour l'abandonner et se diriger entre les cuisses trempées de Giulia. Le contact, même infime, fait trembler et couiner son assistante. Le liquide chaud et collant qu'elle vient d'expulser recouvre rapidement trois de ses doigts sans qu'il n'ait besoin de s'enfoncer en elle.
Le regard surpris et captivé, il lève la main pour admirer ses doigts et va les glisser aussi délicatement dans la bouche d'Emi. Un centimètre, une phalange à la fois. Seigneur que c'est bon. Sentir cette langue sur ses doigts ne fait qu'augmenter la pression de son sexe sur son sous-vêtement qui doit le démanger terriblement.

Emi Nakano

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    Description
    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 13 samedi 11 octobre 2025, 20:14:57

Étalée entre les draps, son corps tremblotant encore de son orgasme, Giulia reprenait doucement ses esprits, alors que son souffle ralentissait peu à peu, et les battements affolés de son cœur avec. Débordant de son costume, sa poitrine était luisante de salive, et ses tétons, toujours érigés, bien dressés vers le ciel. Un spectacle à la mesure de ses cuisses écartées, qui dévoilaient ses chairs encore bien étirées, baignant dans sa cyprine. Son regard, lui, était voilé de plaisir, ses paupières mi-closes, et ses lèvres entrouvertes, comme si un simple souffle pouvait la replonger dans la transe qu’elle venait de connaître.

Un délice pour les yeux qu’Emi ne pouvait qu’apprécier, une moue satisfaite sur les lèvres. Toutefois, ces dernières se firent bientôt happer par une bouche gourmande, celle d’Hiroto, et loin de s’en offusquer, elle répondit à cette étreinte avec plaisir plus qu’évident. Pour preuve, ses doigts se perdirent dans les cheveux du photographe, tandis qu’elle pressait sa poitrine contre son torse, quelques soupirs enivrés lui échappant. S’il y avait bien une chose dont elle raffolait, c’était qu’on l’embrasse passionnément et qu’on s’agrippe à son corps avec la force du désespoir – ses fesses, sa poitrine, ses cuisses, pourvu qu’elle puisse sentir tout le désir de son partenaire.

Sa langue n’était pas en reste, agile et joueuse, s’enroulant autour de celle d’Hiroto dans une danse brûlante et effrénée. Elle goûtait sa bouche comme on savoure un péché, chaque échange plus profond, plus pressé que le précédent. Par la même occasion, ses doigts glissaient lentement le long du dos du photographe, traçant des sillons légers, des griffures à peine contenues à travers ses vêtements. Dieu, qu’elle adorerait marquer directement sa peau de ses ongles vernis. Mais pour l’heure, Emi avait chaud, de plus en plus. Le cœur battant à vive allure, l’épiderme en ébullition, l’excitation au creux de cuisses. Rien ne semblait pouvoir apaiser sa fièvre, à moins que…

Pas le temps d’y songer, les doigts d’Hiroto plongèrent bientôt entre ses lèvres, lui arrachant un petit bruit appréciateur. Se cramponnant à son poignet, comme pour le guider jusqu’au plus profond de sa bouche, Emi se mit à sucer et à lécher ses phalanges, de la même manière qu’elle l’aurait fait pour son membre, qu’elle sentait tout contre sa cuisse. Mh, imposant, bien dur… Sa langue glissait lentement entre ses doigts, les enveloppant d’une chaleur humide, avant de les avaler un à un jusqu’à la base, dans un mouvement aussi lascif que délibéré. Ses yeux, mi-clos, se révélaient par instants vers lui, lourds de provocation et de cette malice qui la définissait si bien.

Lorsqu’il écartait ses phalanges, effleurant son palais, Emi ouvrait grand la bouche, sa peau parcourue d’innombrables frissons. Sur sa langue, le goût de Guilia, qu’elle n’avait pas encore savourée.

Plus tard, qui sait.

Pour l’heure, Emi manquait de patience, surtout après toutes leurs taquineries. Ainsi, elle ne se fit pas prier pour presser une main contre la bosse qui déformait le pantalon d’Hiroto. Elle sentit immédiatement la chaleur qui en émanait, et ne put retenir un sourire satisfait, un brin carnassier, alors que ses doigts entreprenaient de suivre le contour de cette tension, afin de le caresser à travers le tissu, dans des mouvements lents et insistants. Jusqu’à ce qu’elle descende la braguette et défasse le bouton de son jean, et plonge ses doigts librement sous les pans du denim. En dessous, ses sous-vêtements, qui peinaient à dissimuler son érection, lourde, sûrement douloureuse d’avoir été négligée si longtemps.

Pauvre, pauvre chose...

 « Uhm… Qu’est-ce que tu préfères, mon grand ? lui dit-elle, pleine d’espièglerie, abandonnant le vouvoiement sans la moindre once d’hésitation. »

À quoi bon conserver les formes, alors qu’il pelotait ses fesses et la dévorait du regard, hein ?

« Je peux te sucer… Ou qui sait… Tu as peut-être d’autres désirs de photographies. ~ »

Sa voix se fit rieuse, douce et enjôleuse, tandis qu’elle laissait traîner ses mots, savourant l’effet qu’ils produisaient sur lui. Chaque syllabe semblait glisser comme une caresse, promettant plaisir et audace, pendant que son regard brillant sondait sa réaction. S'attendait-elle, pourtant, à cette prise soudaine sur ses seins, qui la fit autant sursauter que frémir ? Pas le moins du monde. Des mains envahissantes, avides, curieuses, celles de l'assistante, qui avait vraisemblablement recouvré ses esprits. Pressée contre son flanc, la jeune femme vint déposer un baiser dans son cou, tout en malaxant le galbe généreux de sa poitrine, dont le haut retenait à peine leur échappée. De quoi exciter d'autant plus notre belle modèle, incapable de contenir un soupir de félicité.

« Et si on s'occupait de toi, plutôt ? souffla-t-elle, affamée. »
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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Se dévoiler sous l'obectif (PV)

Réponse 14 samedi 11 octobre 2025, 22:29:49

Tout s'enchaîne si vite sur ce lit qui vient d'accueillir un troisième membre récemment. L'excitation gagne Hiroto et sa cliente qui se retrouvent comme coupés du monde un bref instant. Un instant. C'est tout ce qui semble suffire à Emi pour s'insinuer de manière insidieuse sous le pantalon défiguré après s'être amusée à venir le caresser par-dessus histoire de s'assurer que ce qu'elle avait remarqué n'était pas une illusion d'optique. Est-ce qu'elle cherche une confirmation visuelle ?

Ce qu'il préfère ? Là en cet instant ? En général ? Dans les deux cas la liste peut vite devenir conséquente. Les envies ce manquent pas face à une femme à la beauté et aux atouts aussi prononcés. C'est alors que son propre regard s'illumine comme celui d'un enfant qui voit ses cadeaux aux pieds du sapin de noël. Un simple mot a suffit à provoquer ça : sucer. Elle veut le sucer. Poser sa délicate bouche qui était sur ses doigts il y a encore si peu de temps irait en faire de même sur son sexe ? Cette simple pensée le fait frisonner de la tête aux pieds. Oui ! Absolument ! Tous les jours ! Même plusieurs fois par jour ! L'idée ne fait qu'un tour dans sa tête. En plus cela lui est proposé de façon si naturelle. La douce voix qui lui a fait cette suggestion allait se mettre à soupirer et expirer contre son sexe gonflé qui n'attend que ça depuis plusieurs minutes.

Avant que le photographe ne puisse exprimer son approbation il est interrompu par Giulia qui revient à la charge en soulevant les seins d'Emi. Ses ongles sont à peine visible de sa position. Ce qui ne l'empêche pas de déglutir face à cette vision excitante. Un « Tu as raison. » est répondu à l'assistante qui ne lui posait pas la question à lui directement. Un détail. Un simple détail même qui ne risque pas de l'arrêter en si bon chemin.

Cette fois c'est à son tour. Rester en retrait et les observer a assez duré. Le baiser et le léchage de doigts a suffit à faire démarrer son moteur et ce n'est qu'une fois épuisé qu'il cessera de fonctionner. Le regard plein d'étoiles il ne sait pas par où démarrer. Mais une chose est sûre, cette énorme paire de nichons lui fait de l’œil depuis un moment. C'est alors qu'il lève les deux mains pour se saisir des deux espèces de bretelles épaisses qui soutenaient la poitrine d'Emi et masquaient ses mamelons et il tire dessus pour les écarter chacune de chaque côté.

« Wow ! » Que dire de plus face à ce spectacle enchanteur ? Les deux seins d'Emi sont entraînés par son mouvement et s'éloignent l'une de l'autre sous l'effet de la force exercée par le photographe pour ensuite faire le chemin inverse et se claquer l'un contre l'autre. Toujours avec une envie bestiale dans les yeux, il se tourne en direction de Giulia qui en fait de même. Les deux se font un "oui" de la tête pour se plonger chacun sur le sein le plus proche.

La bouche du photographe offre d'abord des baisers bruyants out autour de son aréole alors que ses mains ne sont pas en reste. L'une l'aide à venir tenir ce trophée qu'il vient d'obtenir alors que la seconde se glisse entre les cuisses de la belle modèle avec plus de rapidité et d'efficacité qu'elle a pu le faire avec lui l'instant précédent. Se gestes sont hasardeux car guidés par son excitation débordante. Est-ce qu'il doit se concentrer sur ses attouchements ? Sur sa bouche ? Faire autre chose ? Tout à la fois ?
Des « Mnnnn ! », « Aaaaahn ! » quand il ouvre la bouche pour lécher et embrasser sa proie laissent alors la place à un long « Slurrrrrrp ! » quand il finit par parvenir à coller ses lèvres et les transformer en ventouse contre son téton sensible.

Pourtant des grosses poitrines il en a vu passer. Giulia n'est d'ailleurs pas en reste dans le domaine. Poser ses lèvres dessus, les lécher, les suçoter, les aspirer reste une première. Il veut en profiter sans ménagement et montrer à Emi à quel point elle lui fait envie « J'ai envie de te dévorer les seins ! ». A cet instant, sa main vient compresser le nichon dont il avait la charge pour foncer sur celui de Giulia. Leurs deux langues se collent l'une à l'autre pour titiller son second mamelon dans une double attaque humide.


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