Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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La musique est le domaine des démons - PV Stephen

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Stephen Connor

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    Colosse d'un mètre et quatre-vingt quinze centimètres, de près de cent cinquante kilos, aux yeux rouges et à la peau cuivrée. 
    
    Champion de Lucifer, Grand Duc du plan Infernal. A la tête de cent Légions de démons.
    
    Prétendant au trône d'Ashnard, sur le point de réaliser un coup d'état.
    
    PS : Préfère les gros culs D:

Re : La musique est le domaine des démons - PV Stephen

Réponse 15 samedi 30 septembre 2023, 11:09:02

Valpula était une superbe créature, mais plus encore elle était puissante. Sa musculature féminine frémissait sous les doigts du beau diable, le faisant grogner avec envie et frissonner à son tour. Il grognait d’aise, comme un fauve ronronnerait d’approbation. Helel n’avait pas besoin de se retenir avec une telle diablesse. Les marques de poigne trop ferme, les griffures ou les suçons insistants étaient une preuve de passion, chez les démons.

Un large sourire vint aux lèvres du Grand-Duc, faisant à nouveau face à Valpula, laquelle dévorait avidement ses larges doigts. Récompensant la dévotion de son amante, Helel lui lima doucement la langue de son index et de son majeur, enfonçant un peu plus loin comme s’il cherchait à la faire hoqueter. Son sexe n’aurait pu être plus dur tant l’excitation s’emparait de lui, tant l’excitation lui semblait être des flammes qui léchaient tout son corps.

Les marques laissées sur le corps de Valpula remémorèrent à son amant tout le plaisir qu’il avait ressenti à les lui imposer. Un instant seulement éloigné d’elle le rendait fou, il avait besoin de la toucher de ses grandes mains, encore et encore. Presser sa chair, ses muscles, c’était une pulsion à laquelle il peinait à résister, se faisant souffrance pour ne pas céder à ses instincts les plus primaux. Il était de bon ton de respecter la danse que lui offrait son amante.

« Ceux ne sont que les premières marques. » Assura le beau diable, mordant ses lèvres en observant la parade nuptiale que lui offrait Valpula. Son sexe tressautait d’impatience, alors que le colosse, complètement nu, laissait sa propre main courir le long de ses abdominaux en guise de réponse. Son autre paluche vint enserrer son sexe, le masturbant doucement malgré que ses hanches accompagnent les mouvements de sa main contre son chibre. Il pouvait résister à la tentation de se jeter sur Valpula, mais pour combien de temps ?

Les bougies offraient une lumière encore mieux assortie à la beauté et aux couleurs de la diablesse, enjoignant Helel à approuver d’un profond et bruyant râle rauque. A moins que ce n’eusse été la sensation de sa main sur son sexe, alors qu’il s’abreuvait du spectacle que lui offrait son amante. Et cette lingerie seyait d’autant plus à l’infernale, aiguisant le désir et les sens d’Helel. Heureusement, elle l’invitait enfin à jouer avec elle. Il n’aurait pu se retenir davantage.

« Déjà toute trempée ? » S’amusa le Grand-Duc alors que ses deux doigts venaient éprouver les lèvres intimes de Valpula, juste après avoir profité de celles de sa petite bouche. Cette culotte fendue était bien pratique. Brutalement, son autre main asséna une claque sur le cul éhonté de la diablesse, puis une autre. Même la tendresse du beau diable était empreinte de brutalité, d’un besoin de contrôler et dominer. Doucement, il vint gratter la peau si sensible du bout de ses ongles, accordant un léger répit aux fesses de Valpula. « Je parie que tu rêves de dandiner ce cul contre mes lèvres, mh ? » Il ricana doucement, rauque.

Finalement, comme une ultime libération, le démon prit place entre les cuisses de son amante, délaissant son propre sexe, fléchissant les genoux pour déposer de langoureux baisers contre les fesses de Valpula. Helel inspira doucement, l’odeur presque sucrée de son intimité trempée, fermant les yeux et grognant d’aise. Ses lèvres se trouvaient à quelques millimètres à peine de la fleur intime de la diablesse, éclosant sous ses yeux alors qu’elle écartait les cuisses. Bien sûr, il n’était dans les habitudes du beau diable de donner trop vite à ses conquêtes ce qu’elles souhaitaient.

Alors, ce n’était que le souffle brulant d’Helel qui caressait les lèvres intimes, agaçait le clitoris impatient de Valpula. Il lui agrippait fermement les fesses, les écartant doucement pour s’offrir un peu plus de cette vue. Ses lèvres charnues étaient si proches de l’intimité moite qu’elles les frôlaient, titillant l’impatience de la diablesse, mais aussi celle du diable lui-même. De doux baisers, chauds et moites, furent alors déposé par le démon sur les cuisses de son amante. L’arrière, l’intérieur. Il se permit même de la mordre légèrement, éprouvant la musculature de ses jambes avec un grognement d’aise.

« Suis-je cruel ? » Demanda le monstre, dont les baisers se rapprochaient dangereusement de l’intimité offerte. Le creux de l’aine de Valpula était maintenant la proie de ses attentions, attirant ses baisers tendres et même quelques coups de langue explorateurs, à quelques millimètres de ses lèvres intimes. Puis, enfin, le beau diable déposa un franc baiser contre la petite chatte trempée, un bruit moite retentissant dans les jardins. Il descendit doucement, son nez chatouillant les lèvres intimes alors que sa bouche glissait, jusqu’à arriver au sujet de son désir. « Hmf… » Un soupir des plus approbateurs.

La langue bien mouillée et chaude du monstre vint caresser le clitoris, d’abord à travers la fine couche de peau qui le protégeait. Mais le muscle explorateur d’Helel eut tôt fait de s’y faufiler, découvrant cette précieuse perle. Un râle quitta sa gorge, alors que ses muscles se contractaient sous l’excitation, qu’il pressait un peu plus son visage contre l’entrejambe de son amante. Ses lèvres impitoyables capturèrent l’intimité de Valpula, aspirant de plus en plus fort tandis que sa langue harcelait le petit clitoris, délicieusement vulnérable.

Helel n’avait rien de raffiné. Ses grognements étaient audibles, sonores, faisaient vibrer toute la petite chatte de son amante alors même qu’il la dévorait. Les bruits moites de sa bouche accompagnaient cette symphonie, la bave lui coulait du menton sans qu’il puisse s’arrêter, comme si le fruit le plus sucré et juteux se trouvait dans sa bouche. Sa prise puissante avait encore de quoi marquer les fesses de Valpula, et l’excitation le poussa même à la fesser lourdement, une nouvelle fois.

Comme pour ponctuer la symphonie, un « pop » retentit dans les jardins, alors qu’enfin Helel laissait la précieuse perle de son amante s’échapper d’entre ses lèvres. Un léger rire l’accompagna, tandis que le démon regardait son travail avec fierté. Une belle petite chatte bien trempée de salive et de mouille. A nouveau, le souffle chaud du Grand-Duc, sa respiration lourde d’excitation, vint caresser la fleur intime, à fleur de peau. Mais ce repos ne fut que de courte durée. Aussitôt, Helel revint à son ouvrage, grognant de plaisir, et saisissant Valpula entre ses lèvres.

Stefani Cobhar

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Re : La musique est le domaine des démons - PV Stephen

Réponse 16 samedi 30 septembre 2023, 21:09:20

Elle se tient, se maintient les cuisses légèrement écartées pour offrir à la vue du démon son intimité ruisselante d’impatience. Son souffle se fait un peu plus saccadé, un peu plus rauque. Les créations de Lucifer ont toutes leurs particularités et Valpula fait partie intégrante de ces démons qui respirent, soufflent. L’air n’est pas vital mais son corps a gardé certains automatismes, stigmates du passé qui profitent très clairement à la danse endiablée qu’ils mènent avec Helel. L’impatience se matérialise sur tout son corps. Ses reins se creusent davantage, l’une de ses jambes tremblote davantage que la seconde. Ses poignets sont croisés mais ses doigts viennent se crisper contre l’étoffe qu’elle s’est matérialisée tout contre sa peau d’albâtre. La chaleur court à la surface de sa peau, se niche entre chaque parcelle de son délicieux corps, effleure ses seins, sa nuque, les plis musclés de ses cuisses.

L’impatience est aussi vicieuse que le beau diable. Sournoise, elle met en ébullition ses sens alors qu’elle tente docilement de se maintenir en place, de s’offrir. Ce qui s’apparente probablement à quelques secondes ou minutes tout au plus ressemblent à d’interminables heures. Valpula mordille doucement ses lèvres alors que son omniprésence lui permet de voir Helel dans son dos. Elle observe ses muscles, l’observe porter une main contre son sexe et frissonne de plus belle. En un gémissement d’impatience, d’envie, elle l’appelle. La bestialité naît entre leurs deux êtres. Valpula gémit, couine, appelle le mâle à se rapprocher d’elle. Elle veut être sienne, se fait caressante, délicieusement ondulante alors que le souffle du beau diable vient se répercuter entre ses cuisses en une énième provocation. Le visage de la démone se rejette légèrement en arrière, arcboutée au possible, grognant d’une frustration intenable pour le commun des mortels.

Dans son dos, ses doigts malmènent l’étoffe qui couvre ses fesses. Une claque retentit sur son délicieux postérieur et la démone plie en le sentant s’immiscer au sein de son intimité : son visage se rejette vers l’avant, ses yeux démesurément clos savourant l’instant. Elle peine à maintenir ses cuisses ouvertes mais le beau diable s’y atèle, ouvrant ses fesses de ses mains, se délectant de sa vulnérabilité, de sa mise à nue. Les mains de la démone retombent, venant épouser de ses phalanges le bord de la dite-baignoire. L’atmosphère est au summum de sa chaleur alors que les flammes des bougies vacillent et tanguent tout autour d’eux. Le bain bouillonne, l’eau est en effervescence. La vapeur vient effleurer leurs faciès alors que la présence des deux démons agite outrageusement les alentours. Leurs énergies entremêlées se répercutent à l’infini sur les environs. Se redressant légèrement sur la pointe de ses pieds Valpula se fait suppliante sous la bouche du beau diable. Elle tente de se soustraire à sa poigne, tente de se soustraire à sa bouche et à sa langue alors que sa peau luit de toute cette chaleur qui malmène son fort intérieur.
La bouche du démon lui accorde un moment de répit. Valpula retombe sur le plat de ses pieds. Son corps tressaute, sursaute, à chaque caresse apposée contre sa peau. Un gémissement plaintif s’extirpe d’entre ses lèvres alors qu’elle souffle :
« Helel, tu n’es pas cruel. Tu es démoniaque. »

Un sourire vient pourfendre son faciès qu’elle secoue négativement. Son sourire se dissipe, s’efface bien rapidement alors qu’il repart à l’assaut entre ses cuisses. Valpula fait passer l’une de ses jambes par-dessus le démon, se soustrayant à son horrible petit jeu. Face à lui, elle l’observe un instant agenouillé entre ses cuisses. Ses mains viennent prendre appui contre la baignoire alors que ses fesses surplombent légèrement le rebord du bain. Son regard bleuté teinté d’une franche lueur de perversité scrute le démon. Elle se recule jusque à ne plus pouvoir, fermant finalement ses cuisses moites à sa vue. Détachant l’une de ses mains du bord de la baignoire, la démone se saisit du menton du beau diable. Se mettant agenouillée à son niveau Valpula passe sa main le long de la mâchoire du beau diable. Un frisson nouveau vient accabler la surface de sa peau alors qu’elle fait face à son égal, venant lécher doucement ses lèvres. Terminant son ouvrage en un ardent baiser, Valpula se saisit de sa gueule qu’elle embrasse avec une passion dévorante. Son être tremblote, frissonne tout contre lui. Intenable, insatiable, elle vient becter, suçoter, mordiller sa bouche. Ses mains se détachent de son visage, glissant le long de son torse, de ses épaules, qu’elle griffe, saisit entre la pulpe de ses doigts avec possessivité rare, fermeté franchement assumée et assurée.

Grognant contre sa bouche Valpula relâche soudainement son visage. Dans son dos, elle lui matérialise une assise des plus confortables. Elle pousse le démon d’une main plaquée contre son torse, l’invitant à s’échouer au bon milieu de l’assise et des coussins. A quatre pattes, la jolie déambule jusque à atteindre les pieds du beau diable. Son regard se relève, cherche le sien alors qu’elle vient embrasser ses chevilles. Restant à quatre pattes, elle remonte ses baisers le long de ses jambes embrassant tantôt celle de droite, tantôt celle de gauche. Elle vient mordiller la peau fine en soufflant de plaisir. L’une de ses mains se joint à la dance et de sa paume, la démone vient presser chacune des parcelles de peau qui s’offre à sa vue. Arrivant à l’objet de sa convoitise, Valpula en fait fit. Ne quittant pas le beau démon du regard, elle se place agenouillée entre ses cuisses cessant d’agiter sa croupe à sa vue et délicatement provoquante, elle vient pianoter du bout des doigts sur les cuisses du beau diable. La pulpe de ses doigts effleure, caresse, tapote. Un sourire délicieusement sadique vient border ses lèvres, pourfendant ses joues de deux fossettes malicieuses. S’immisçant dans la tête du démon, elle lui souffle :
« Suis-je cruelle ? »

Ses mains remontent le long de ses cuisses, effleurent son bassin puis son abdomen sans jamais s’attarder sur son sexe. Valpula se penche légèrement en avant, trouvant un appui de ses deux mains, venant baiser le torse du démon. L’étoffe qui recouvre ses seins vient malencontreusement rencontrer la virilité du beau diable. La jolie descend puis remonte ses baisers en esquissant ce même sourire qui en dit long sur ses intentions. Sa bouche mutine vient mordiller, lécher, capturer entre ses fines lèvres tout semblant de peau qu’elle savoure, baise langoureusement. Elle s’enivre de son odeur alors qu’elle hume sa peau en grognant de satisfaction. Reprenant légèrement le dessus sur leur petit jeu sadique, Valpula lui rend la monnaie de sa pièce au centuple. Démone à n’en point douter, elle finit par se redresser entre ses cuisses, venant de ses fesses rencontrer le plat de ses propres pieds. Ainsi installée, elle lui lance en toute innocence :
« Touche-moi encore s’il te plaît ? »

L’incandescence de ses mains laissera désormais des traces colorées sur le corps de Valpula. A chaque fois qu’il touchera ce corps d’albâtre, celui-ci gardera en mémoire la trace de ses doigts. Un petit sortilège avant-gardiste, mignonnet pour pimenter leur petit jeu. Rejetant ses cheveux sur une épaule la démone ne lui laisse pas le temps de prendre ses aises à la malmener. Elle repousse ses mains, se remettant à quatre pattes, elle retourne embrasser l’intérieur de ses cuisses remontant jusque à l’objet de sa convoitise. La pulpe de ses doigts vient effleurer, caresser. Valpula attend qu’il tressaillît entre ses doigts, qu’il souffle, grogne, pour doucement porter des baisers sur son sexe. Des baisers presque innocents, portés du bout de ses lèvres gourmandes. Mais n’y tenant plus, la démone laisse ses baisers gagner en intensité. Sa langue s’adjoint à la danse en quelques bruits vulgaires. Elle remonte le long de son membre et cherchant son regard au moment où elle fait glisser son sommet entre ses lèvres Valpula gémit de contentement. S’attardant sur le sommet, elle suçote en creusant légèrement ses joues son gland. Son regard continue de chercher celui du beau diable s’abaissant parfois pour se repositionner correctement entre ses cuisses. L’une de ses mains guide pendant que l’autre effleure, glissant jusque à ses bourses qu’elle vient caresser avant de les capturer au sein de sa petite paume. Ses joues rougissent. Son corps d’humaine réagit à la surstimulation qui l’accapare et Valpula ferme les yeux consciente d’être trahie par son enveloppe charnelle.

S’assurant d’avoir un appui, elle le laisse pénétrer doucement le carcan chaud de sa bouche. L’impatience semble gagner le beau diable mais Valpula s’entête à le faire patienter comme il l’a fait tantôt. Ses joues viennent doucement presque tendrement épouser les formes de son sexe. Le moelleux de sa langue l’accueille entre ses lèvres et en un gémissement étouffé par sa queue qui occupe l’espace de sa bouche, Valpula effectue un léger mouvement de va-et-vient, s’empalant doucement sur son sexe. Elle cesse sa progression à mi-chemin, sa bouche déjà pleine et joue de sa langue compressée entre ses joues et sa virilité. Sa propre intimité est mise à mal, dégouline de ce nectar d’excitation certane. La jeune démone grogne d’impatience et le laisse atteindre la naissance de sa gorge. Son grognement meurt étouffé contre son sexe alors qu’elle recule légèrement son visage, recule sa bouche pour lécher sa virilité toute tendue. Un filet de bave se dessine de son sexe à sa bouche et Valpula passe le revers de sa main contre ses lèvres avec un calme déconcertant. Son regard se rouvre, croise celui de Helel alors qu’elle lui souffle :
« Je parie que tu as envie de baiser cette bouche, hm ? »
Un rire provoquant franchit le seuil de ses lèvres alors qu’elle fait écho aux propos tenus tantôt par le beau diable.

Stephen Connor

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Re : La musique est le domaine des démons - PV Stephen

Réponse 17 mardi 03 octobre 2023, 19:30:07

Leur lien donnait à Helel la sensation de tout connaître, de tout comprendre de son amante. Il ressentait sa magie animer le lieu, attiser les flammes qui dansaient autour d’eux, comme si c’était la sienne. Mais, même en temps normal, le beau diable se serait délecté de l’effet qu’il faisait à Valpula. La sentir ainsi trembloter, gémir, se tordre sous la torture de sa langue était une flatterie puissante à son égo, une source d’excitation intarissable.

Malgré cet acte de dévotion, un genou au sol, le démon se sentait dominer la diablesse, et il était bien conscient qu’en dépit du plaisir, elle voudrait reprendre le dessus. Aussi ne s’étonna-t’il guère lorsqu’elle mit fin à cette doucereuse torture, fermant ses cuisses aux assauts de son amant. Il sourit, légèrement narquois. Était-ce trop pour cette pauvre petite diablesse ? Mais heureusement pour Valpula, Helel était de ceux qui jouent sans rechigner le jeu de leurs partenaires.

La bouche de son amante embrasait le Grand-Duc, lui arrachant gémissements et grognements rauques contre ses lèvres pulpeuses. La possessivité du démon prenait le pas sur les jeux érotiques de son amante. Il fondait sur elle comme une bête sauvage, obsédé par son goût, par son parfum. Il vibrait contre ses lèvres, saisissant sa crinière pour qu’elle ne puisse lui échapper, pour s’accaparer sa bouche comme sa propriété. Cependant, c’était bien Valpula qui tenait le visage de son amant, qui menait cette danse face à Helel.

Aussi se redressa-t-il pour prendre place sur l’assise que venait d’invoquer son amante, ronronnant d’aise alors que son esprit travaillait à imaginer en détails la suite de ces ébats moites et brulants. Détails qui envahissaient allègrement les pensées de Valpula, portés par leur lien électrique et électrisant. Mais ils semblaient bien que leurs visions soient similaires, même si Helel imaginait à raison qu’elle le torturerait comme il l’avait fait.

« Être à quatre pattes comme une petite chienne te va si bien. » Grogna Helel, tout sourire, prêt à exploser à la vue de ce cul obscène. Son sexe tressautait à la moindre remembrance de ces fesses contre ses gros doigts, des lèvres humides de Valpula contre sa peau. Il se faisait douleur pour ne pas forcer son sexe entre ses lèvres, appréciant la lenteur méthodique de cette divine bouche démoniaque. Tout le corps d’Helel était à fleur de peau, en ébullition. Il ployait sous les succions, les coups de langues et caresses de lèvres, gémissant des sons rauques.

Evidemment, il ne put se retenir de faire miroir aux explorations de Valpula. Ses mains épaisses, encore plus chaudes désormais, marquaient le dos de son amante, le caressant et le griffant à tour de rôle, la saisissant avec possessivité, insistance. Toucher sa partenaire avec tant de force l’aidait à maitriser son impatience. Mais elle devait bien le sentir à travers leur lien, après tout. Cette envie qu’avait Helel de poser ses mains sur son crâne, de la forcer contre son sexe et lui baiser la bouche. Les visions l’assaillaient sans répit.

La bouche de Valpula contre son sexe arracha à Helel un bruyant râle de plaisir, alors qu’il s’affalait dans son assise, son bassin se surélevant pour offrir davantage de son sexe aux lèvres moelleuses de son amante. Leurs yeux se croisèrent alors qu’enfin les lèvres de la diablesse se refermaient sur le sexe brulant du beau diable, arrachant un sourire à Helel, bien vite suivi d’un soupir de plaisir alors qu’encore, ses hanches se surélevaient pour enfoncer son sexe un peu plus dans la bouche de son amante.

Elle le provoquait ouvertement, jouant de sa salive sur son sexe tendu, soutenant son regard embrumé par le désir. Impossible pour Helel de ne pas y aller de légers coups de reins, désireux d’en avoir plus, encore et toujours. Elle le menait à la baguette, au gré de ses gémissements rauques, de ses soupirs insistants. La frustration se mêlait au plaisir, car le beau diable ne pouvait rendre la pareille à son amante. Elle le contrôlait habilement, lui arrachant spasmes de plaisir avec aisance. Mais le démon comptait bien lui donner ce qu’elle désirait véritablement, derrière ses provocations.

« Contrairement à toi, ma belle, je ne compte pas me retenir. » Répondit Helel, léchant ses lèvres d’une façon évocatrice. Appuyant ses propos, ses mains vinrent se poser sur le crâne de la diablesse, alors qu’elle reprenait son gland bien gonflé entre ses lèvres. Mais le perfide démon n’empala pas son amante sur son sexe tout de suite, non. Il voulait la faire hoqueter, doucement envahir sa bouche, sa gorge. Il voulait voir les larmes monter aux yeux de son amante, la suffoquer avec amour. La vue de son maquillage coulant le long de ses yeux était son paradis à lui. Bien sûr, il aurait été compliqué de suffoquer une diablesse mais leur lien, couplé au désir d’Helel, pouvait donner à Valpula l’impression de perdre pied. « Les larmes te vont si bien, ma belle. »

Délicieusement hautain, le beau diable souriait face au traitement que ses hanches, que son sexe dur comme le marbre, imposaient à la confortable petite bouche de son amante. Il rejeta la tête en arrière, absorbé par leur plaisir partagé, ses hanches entreprenant de baiser Valpula plus furieusement encore, ses bourses bien remplies giflant le visage de la belle. Ses doigts se crispaient sur la chevelure soyeuse de la diablesse, et son déhanché promettait encore bien des plaisirs à Valpula, lorsqu’enfin son amant forcerait ce sexe épais entre ses cuisses trempées de désir.

« Je parie que tu meurs d’impatience, hm ? » Minauda le beau diable, relâchant enfin le doux visage de son amante alors qu’il se relevait lentement. Il la toisait d’autant plus lorsqu’elle était à genoux en face de lui. Une place qui lui seyait à ravir, d’après Helel. Agrippant la crinière de son amante, il la guida d’une main délicate mais ferme vers la baignoire, la trainant à quatre pattes comme une petite chienne docile. Leurs sexes étaient trempés, de salive et des fluides de leur propre impatience. Helel laissa son amante s’installer au bord de la baignoire, sa lourde poitrine touchant les rebords alors qu’il lui attrapait les hanches, la redressant tout en gardant son buste apposé contre la baignoire. « Je vais te ravager, ma belle petite diablesse. » La voix du démon était presque tendre, un imposant contraste avec le poids de ses paroles.

Une main tenait son sexe, tandis que l’autre caressait la croupe de la démone, la giflait doucement par moments. Lentement, son gland gonflé et brulant frotta les lèvres intimes de sa partenaire. Il glissait contre, ronronnant de plaisir, frottant avec insistance la perle intime gonflée par l’excitation que lui offrait Valpula. Il forçait un peu plus fort, faisant mine de glisser, manquant de la pénétrer à chaque fois et la frottant plutôt un peu plus de son gland, de sa hampe, tressautant. Enfin, il arrêta de jouer avec la patience de la diablesse, enfonçant doucement les premiers centimètres de son gland en elle.

De plaisir, Helel plissa les yeux, agrippant à nouveau les hanches de Valpula. La lenteur de cette pénétration était grisante pour lui. Comme de l’électricité qui parcourait son corps, répercutant ce plaisir en son amante, dans un cercle sans fin. Il la limait, lentement, grognant de plaisir, soufflant fort. Helel posa un pied sur le rebord de la baignoire, afin d’avoir plus d’appui, de pouvoir s’appuyer plus fort, s’enfoncer plus loin en son amante. Il se sentait l’étirer à chaque renfoncement, et tirer sa petite chatte à chaque recul, écrasant son aine musculeuse contre les fesses de Valpula.

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Re : La musique est le domaine des démons - PV Stephen

Réponse 18 mercredi 01 novembre 2023, 21:50:42

Echappatoire suprême.

Un fin sourire vient border ses lèvres alors qu’elle retourne à sa besogne. Ses lèvres tout juste entrouvertes viennent effleurer son sexe, embrassant, pourléchant son membre. Les visions du beau diable viennent envahir son esprit et elle lui cède légèrement, cessant de maintenir son regard. Le moelleux de sa langue se fait accueillant au possible. Ses joues se creusent légèrement alors qu’elle le laisse progresser au sein de sa bouche. Allègrement, sa langue se fait joueuse, caressante, venant effleurer les veines qui se dessinent à même son sexe. Son souffle meurt sur le sommet de son membre gonflé par le plaisir. Elle le laisse se frayer un chemin au sein du carcan chaud et humide de sa bouche, le laissant atteindre et rencontrer la naissance de sa gorge. Valpula glisse ses mains contre les cuisses du beau diable, s’apprêtant à frapper ces dernières si d’aventure la tête en viendrait à lui tourner. Helel se saisit du visage de la démone qu'il baise presque affectueusement, s'aventurant dans les tréfonds de sa gorge. Les yeux fermés de la démone se bordent de larmes alors qu’elle lui voue dévotion. Valpula se concentre, tendant le visage entre les doigts du beau diable, acceptant son supplice nouveau. Ses propres doigts griffent la surface des cuisses de Helel avec envie. Sa dévotion est totale alors que sa dextre se détache des cuisses du beau diable et du bout de ses doigts tremblants, elle parvient à effleurer ses bourses. Ses doigts s’agitent légèrement alors qu’elle parvient à faire rouler ses boules au creux de sa main.

Un petit hoquet meurt étouffé contre sa virilité. Il glisse entre ses lèvres, maintient son visage et baise sa bouche offerte à ses caprices les plus fous. Abattant sa senestre avec fermeté contre l’une des cuisses du beau diable, Valpula reprend par automatisme sa respiration alors qu’il daigne de relâcher son faciès. Sa mâchoire est légèrement douloureuse mais le plaisir qui l’accable prend le pas sur tout semblant de douleur. Valpula vient passer le plat de sa main contre ses lèvres reluisantes de bave. Son regard vient chercher le sien par automatisme. Elle tente de deviner la suite de leur petit jeu alors que son regard mordoré brille de cette éternelle lueur d’envie.

Leurs ébats animent en la diablesse un quelque chose de nouveau, une passion qu’elle pensait ensevelie en elle depuis bien des siècles ne trouvant chaussure à son pied depuis tout ce temps. Trainée à ses côtés, la démone relève légèrement le visage franchissant la distance qui sépare l’assise de la baignoire en quelques instants à peine. Délaissant sa fierté de démone au placard, Valpula bouillonne et ravale des propos emplis de fierté à l’encontre du démon. Elle se fait chienne docile le temps de leur petit aparté et glissant ses deux mains contre sa chevelure, la jolie se tient sur ses genoux le temps de nouer sa tignasse en un chignon négligé.

Un sourire nouveau vient orner son faciès alors qu'elle fait écho à ses propos, lui soufflant en le provoquant dans leur petit jeu pervers :
« Oh, j’ai si peur Helel. »

Son sourire disparaît légèrement alors qu’il se joue de ses nerfs, se joue de sa patience, l'amenant à se poster au bord de la baignoire. La démone pince légèrement ses lèvres alors que ses doigts viennent se crisper sur le marbre du coin d'eau. Elle reste postée, croupe tendue alors qu'un grognement d’impatience retentit. Elle dandine légèrement son fessier cherchant à s’empaler sur sa queue mais le beau diable garde la main sur leurs échanges, il ne lui cède rien et avec une lenteur perverse laisse leurs intimités se rencontrer, s’effleurer, sans jamais s’imbriquer. Les grognements de frustration se multiplient alors que la démone n’y tient plus sous ses doigts, sous ses mains, sous son corps. Surplombée, elle le laisse difficilement mener le jeu alors que l’impatience vient danser avec ses sens.

Doit-elle se faire suppliante ?

La question effleure son esprit avant qu’un soupir de soulagement vienne franchir le seuil de ses lèvres lorsque il se fraye enfin un chemin au cœur même de son intimité ruisselante. Elle souffle d’une voix emplie par le désir :
« Oh, Helel. Lucifer est grand. »

Mais là encore, le beau diable joue et ne vient pas s’immiscer totalement entre ses lèvres gonflées par le plaisir qui l’accable. N’y tenant plus, la démone se fait suppliante. Elle l’implore et avec prudence, elle ondule des hanches pour venir s’empaler sur toute la longueur de sa queue. Un violent frisson vient parcourir son corps alors qu’elle resserre légèrement ses cuisses pour le sentir au plus proche, au plus profond de son intimité. Ainsi enchevêtrés, la danse commence avec légèreté, bien que passion présente déchaine leurs sens. Valpula n'émet aucune réticence face à ce plaisir parfaitement assumé. Le sentant aller et venir en son sein, son intimité se contracte à chaque mouvement de bassin cherchant à le retenir en elle avec cette pointe d’égoïsme nouveau. Un gémissement retenti, couplé à un grognement d’impatience. La lenteur qu’ils s’imposent est cruelle, presque perfide. La démone prend conscience de son corps frissonnant. Chaque parcelle de son corps nu appelle Helel. Son corps demande à être embrassé, griffé, agrippé, empoigné et ce pour l'éternité. Son être tout entier se tend vers lui alors que sa chute de reins se creuse légèrement plus que de raison. Elle se maintient sur le bord de la baignoire, croupe relevée en sa direction, mains fermement agrippées sur les pourtours du bain. Son visage se rejette vers l’arrière alors qu’elle exulte de ce sentiment nouveau. L’éternité semble réserver bien des surprises aux deux démons.

Valpula penche légèrement son visage sur le côté. L’heure n’est plus aux baisers, morsures possessives et capricieuses alors qu’il s’affaire surplombant le dos de la créature. La poitrine de la diablesse s’agite, légers ballotements d’avant en arrière alors que les coups de reins se font un peu plus puissants. Couinements, soupirs et souffles résonnent. L’atmosphère autour d’eux décline, bascule, se déchire. Eclairés à la lumière des bougies jusque alors et des astres précédemment, ce sont les flammes de l’enfer en personne qui viennent pourlécher les chevilles des deux démons. Valpula se redresse, happée, enivrée, par la silhouette du beau diable. Elle veut être proche. Elle veut être sienne physiquement et mentalement. La muse se glisse dos contre lui, empalée au possible. Le contact de sa peau contre la sienne l'électrise. C'est physique, leurs corps s'attirent au delà du raisonnable et le lien qui perdure entre leurs deux êtres ne rend pas la sensation moins ardue. Le souffle lui manque alors qu'elle le sent niché profondément entre ses cuisses. Ses bras viennent se glisser de part et d’autre de son amant. Ses bras font presque écharpe autour de la nuque du beau diable. Sa poitrine se tend alors qu’elle s’applique à se redresser sur la pointe de ses pieds pour se relever légèrement et s’empaler de plus belle en un souffle court. Son intimité ruisselle, l’invite à la faire sienne en ne cessant aucunement sa progression.
« Je meurs d’impatience, oui. Je veux te sentir en moi, encore et encore mon beau diable. »

Son souffle s’amoindri alors que l’impatience l’a gagne progressivement. Autour d’eux, les flammes se déchainent. Le décor plie et vacille. L’atmosphère est étouffante, grisante. La chaleur vient accabler les sens des deux démons. Les têtes tournent, les odeurs se font ensorcelantes, enivrantes. Le ciel matérialisé dans les quartiers de la démone se charge en émotions, vrille, vacille, oscillant entre les tons mordorés et rougeâtres.  Dans ses quartiers, Valpula cède un peu de son pouvoir à Helel. Elle lui offre sur un plateau d'argent tout. La jolie devient sienne, totalement, physiquement, mentalement. Son psyché, son royaume s’ouvrent totalement au démon.
S’enivrant de l’odeur de son amant ensanglanté par le combat de tantôt, la démone murmure frissonnante :
« Baise-moi encore plus fort s’il te plaît Helel. »

Une énième supplication érotique. Ses bras retombent, le plat de ses pieds retourne épouser le sol. Valpula cesse de se maintenir tout contre lui et courbe doucement l’échine pour retrouver de ses mains le bord de la baignoire en ébullition. Ses fesses se tendent, ses yeux se ferment. Son corps frissonnant s’offre à ses caprices et à ses vices. Leurs énergies s’imbriquent, se mélangent. Ensemble, ils forment un tout surpuissant, dépassant l’entendement. Ressourcés, les deux démons le seront assurément pour partir, après leurs ébats, à la conquête de la cité infernale. Mais pour le moment, c'est la voix suave de la démone qui résonne. Pleine de vices, la démone l'invite en quelques propos à peine croyables à continuer. Demandeuse de ses mains, demandeuse de son sexe, elle vient nourrir l'égo du beau diable, susurrant :
« Encore. Fesse-moi encore, s’il te plaît Helel. »

Sa chute de reins se creuse. Son souffle se fait plus bruyant. Les frissons viennent accabler à tour de rôle le bas de son dos et le haut de ses épaules. Entre ses doigts, elle tremblote, frissonne, gémit d'un plaisir non feint. Son intimité ruisselle, s'ouvre à Helel l'invitant à pourfendre encore et encore ses chairs et à s'enfoncer toujours plus profondément en son sein. Entre ses doigts, Valpula n'est plus une démone assurée. Elle est une muse lubrique, proche du point de non-retour. Il appartient à Helel de lui accorder ou non la délivrance qui semble lui tendre les bras.



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