Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

(TERMINE) oeil pour oeil (pv Shun)

(1/2) > >>

Lele Moretti:
Elle le surveillait depuis quelques minutes maintenant, alors que c'était la cohue dans les couloirs du lycée. Shun, son voisin de casier, qu'elle s'était amusée à harceler par moments, restait fidèle à lui-même : discret, du genre à rien dire même quand il se faisait bousculer. Ca agaçait fortement Lele, et en même temps, l'attitude du jeune homme à se contenir de la sorte l'intriguait, voire même, l'impressionnait. Elle, elle était instinctive, explosive, du genre à cogner s'il fallait et à réfléchir après avoir agi. Quand elle voulait bien réfléchir à ses actes. Ce qui n'arrivait pas souvent. 


Elle avait glissé ce matin un petit mot anonyme dans son casier, en ouvrant le cadenas à l'aide d'une barrette. Elle lui donnait rendez-vous dans le vieux local de rangement des accessoires et produits ménagers, au dernier étage du lycée, qui se trouvait au début de l'aile des bureaux d'administration.  Endroit peu fréquenté donc.

Lele avait perdu un pari contre une fille de sa classe. La perdante devait choisir un ou une camarade de son choix, et se faire prendre par derrière par celui ou celle-ci, avec preuve à l'appui. Elle avait râlé un peu, mais encaissa l'annonce de la peine plutôt bien. Lele aimait les défis, et avait toujours besoin de prouver quelque chose. Elle avait jeté son dévolu sur l'énigmatique jeune homme, dont elle avait hâte de voir la réaction quand il tomberait sur elle dans le placard à balais. C'est donc une fois assurée qu'il ouvre son casier que l'adolescente file en courant, monte les escaliers des trois étages pour se cacher dans le débarras, au milieu des étagères, produits et balais en tous genres. La course l'avait essoufflée, elle avait chaud. Si bien qu'elle défit un bouton de sa chemise, laissant apparaître la naissance de sa poitrine, humide de sueur. Y avait plus qu'à attendre qu'il se pointe.

Shun:
Enfin la pause de midi! La dernière heure de cours avait été assommante et Shun n'en pouvait plus des airs guindés de son professeur. Il n'attendait qu'une chose: de pouvoir s'échapper de ce lieu de perdition où les meilleurs de la classe étalaient leurs connaissances pour bien se faire voir. La sonnerie avait annoncé la libération et pour une fois, il avait été le premier à sortir pour rejoindre les couloirs bondés de l'établissement. Comme d'habitude, il subit les assauts des étudiants pressés en repoussant discrètement les sacs qui le heurtaient à leur passage. Quand il arriva devant son casier, il laissa la horde passée et attendit pour ouvrir et récupérer son repas. Comme toujours, il envisageait de se trouver un petit coin peinard où il n'aurait à parler à personne.

Il ne comprit pas tout de suite ce qu'était le papier soigneusement plié qui attendait sur l'étagère à côté de son bento. Ce n'était pas là quand il avait fermé son casier. Il regarda de part et d'autre mais ne vit personne de suspect aussi il déplia l'objet suspect et lut ce qui y était écrit. Un petit mot d'une fille lui donnant rendez vous? C'était une blague? Encore une fois, il chercha à identifier un éventuel blagueur mais rien ne laissait supposer qu'on l'observait. L'écriture était fine et déliée, toute en courbe, définitivement une écriture de fille ... Qui pouvait bien s'intéresser à lui?

Shun décida qu'il s'agissait d'un mauvais plan et fit une boulette du papier qu'il enfourna dans sa poche. Il allait saisir son bento quand le remords le prit. Et si c'était bien ça? Peut être qu'il avait réellement une admiratrice secrète qui l'attendait là-haut? Étant lui-même souvent déçu de l'attitude des autres à son égard, il détesterait décevoir une gentille personne. Il referma donc son casier et prit la direction des escaliers qu'il grimpa jusqu'au dernier étage. Il n'y avait personne à cette heure-ci. Avec son attitude particulière et ses vêtements larges de skater, il prendrait surement une réflexion s'il croisait un professeur. Le vieux local de rangement était une drôle d'idée mais il pouvait le comprendre, étant adepte de la discrétion. Il l'ouvrit, entra vite et referma la porte derrière lui. La lumière du jour passant par la fenêtre du fond était suffisante pour y voir. L'endroit était encombré de tout et de rien.

"Je suis là et ..."

Arghhhh!!! Sa voisine de casier, la peste du bahut! Elle était là, toute sexy comme toujours, avec cet air qui laissait augurer un truc pas net. Les yeux du jeune homme glissèrent sur la peau découverte par la chemise déboutonnée et il déglutit avant de se reprendre.

"Qu'est ce que tu veux? C'est encore un de tes coups tordus?"

Lele Moretti:
Il faisait sacrément sombre ici. Et Lele préférait être dans le déni quant à la présence d'araignées. Elle avait une sainte horreur des insectes, aussi, son regard ne s'attarda pas trop dans les recoins de la pièce et des étagères, où elle finirait par en voir une et hurler. Se faire surprendre à cause d'un arachnide, ce serait con. L'ambiance ici est moite et étouffante, et Lele a vraiment chaud. Alors elle ventile son joli visage de sa main, se procurant ainsi un peu d'air. Bon il foutait quoi Shun ?

Au moment où elle commençait à s'impatienter et à se dire qu'elle allait sortir de la réserve, la porte s'ouvre. Le coeur de Lele bat la chamade, l'excitation est à son comble. Un sentiment de crainte était mêlé à celui de l'excitation : et si c'était pas lui ? Si elle se faisait surprendre, là, dans le placard ? Quelle excuse elle pourrait bien sortir ? Fort heureusement, elle reconnut immédiatement le visage doux et quasi-féminin de sa victime... Lele souffle presque, rassurée. Il ne lui faudra pas longtemps pour aborder un sourire carnassier.

" Shun-kuuun ! Surpriiise ! "

La chieuse se jette sur lui, presse son torse contre sa petite joue dans un câlin exagéré, du fait qu'il soit bien plus grand qu'elle. Son ton est mielleux, hypocrite. Elle savait qu'il se douterait d'un truc pas net, au vu de la réaction de Lele à son encontre. D'habitude elle lui faisait plutôt un croche-patte discret dans les couloirs, ou enduisait l'intérieur de son casier de glu... Lele sert le tronc du jeune homme de ses petits bras, écrase sa poitrine ronde contre l'abdomen musclé de Shun. Ni une ni deux, Lele ouvre la braguette de son voisin de casier, attrape sa verge encore molle de ses petits doigts taquins, pour commencer à le caresser.

" J'ai pas été cool avec toi... Prends ça comme ma façon de m'excuser. "

Un sourire fier trône sur sa jolie bouche, elle lui fait un clin d'oeil. Son regard est cruel. Lele s'amusait beaucoup, elle aimait torturer les autres en les déstabilisant. L'entre-jambes de Shun durcit sous les caresses expertes de la petite lycéenne, qui le branle plus vigoureusement. Sans plus attendre, elle se met à genoux devant lui, et sort sa bite de sa prison de tissu. Lele observe, gourmande. Elle était loin d'imaginer qu'elle pouvait être aussi appétissante. C'était un secret, mais au-delà de la taquinerie, Lele fantasmait un peu sur l'étudiant... Sa petite langue mouillée lape le gland rose, comme un petit chat. Elle se contentait que de ça pour le moment, ayant envie de jouer un peu...

Shun:
"Shun-kuuun ! Surpriiise !"

Il se serait attendu à tout mais surement pas à ça. La petite chose bruyante et habituellement si chiante se jette sur lui comme un chien sur un os et se frotte à son torse de la plus irrespectueuse des manières. La masse tiède de ses seins s'écrasant contre lui lui coupe le souffle. Elle a beau être une emmerdeuse de première, elle n'en reste pas moins un super joli petit lot.

"Hey!! Mais tu fais quoi là??"

L'instant d'après, il sent une petite main curieuse se faufiler entre ses jambes pour s'emparer de son sexe. La réaction est immédiate. Bien qu'il ne le veuille pas, il durcit aussitôt. Elle sait y faire et prouve que tout ce qui se dit sur elle est complètement fondé. Shun a déjà entendu des camarades de classe déclarer fièrement qu'il s'étaient fait la petite salope du lycée. est-ce que ça avait commencé comme ça pour eux aussi?  Un rendez-vous bidon et une partie de jambes en l'air dans un local pourri? Il n'eut pas le temps d'y penser plus que Lele (tout le monde connait son prénom) tombe à genoux avec en tête une idée bien précise. Shun se retient des deux mains aux murs qui l'emprisonnent, presqu'en proie à une panique naissante. S'ils se font attraper, là, ce sera vraiment foutu pour eux! Et l'autre qui le branle sans aucune forme de préparation!

"Att...Attends!!! Pas ici!"

Il aurait voulu lui dire d'arrêter son cirque mais un coup de langue bien placé le fit s'étouffer. Il se raidit et involontairement, la saisit par la tête en appuyant. Chez Lele, tout était petit et sa bouche ne faisait pas exception. Sa queue bien préparée à ce stade l'envahit d'une seule poussée en forçant les lèvres délicieuses et humides.

Il fit un pas en avant et le petit corps de la fille se logea entre ses cuisses, légèrement arc bouté en arrière. Il baissa les yeux et ne vit que la masse brune des cheveux de Lele bien placée au bon endroit.

Des excuses? Il y croyait moyennement mais maintenant qu'il y était, pourquoi ne pas prendre une certaine revanche pour toutes les saloperies qu'elle lui avait faite. Au moins, si quoi que ce soit devait arriver, il ne serait pas complètement perdant. Il reprit son équilibre et donna un coup de reins pas sympa pour l'emmancher plus profondément. Évidemment, il tapa contre la luette et son gland bloqua à l'entrée de ce gosier qui s'avérait être très étroit.

"Tu veux t'excuser? Fais un effort alors!"

Il accentua la pression et chercha à aller plus loin. La gorge profonde, c'était un kiff vu sur internet et qu'il rêvait d'expérimenter. Avec une autre fille, il n'aurait jamais osé mais là, tous les voyants étaient au vert...

Lele Moretti:
Le fait qu'il soit pris par surprise le rendait presque mignon. La situation l'excite Lele, et sa petite culotte commence à devenir légèrement humide. Le reste de son corps reste brûlant, elle a chaud. Alors elle fait péter quelques boutons de plus sur son chemisier, laissant visible la naissance de sa jolie poitrine. Bien évidemment, Lele ne portait pas de soutif. Déjà, c'était désagréable, elle considérait qu'elle n'en avait pas besoin en plus de ça. Et puis elle aimait voir comment on pouvait loucher dessus, quand les plis du coton blanc prenaient la forme de ses seins, dévoilant leur galbe. Et ne parlons pas des journées fraîches, quand ses petites pointes se faisaient légèrement visibles au travers… Et pour finir, c'était beaucoup plus pratique quand il n'y avait qu'à soulever le tissu pour faire quelques photos coquines avec son téléphone.

Elle continue de sucer cette trique avec gourmandise, remarquant avec joie la surprise de son voisin de casier. Elle le pensait bien timide, du genre à repousser n'importe quelles avances. Et surtout celles de Lele, qui, disons-le, n'avait jamais été bien tendre avec lui. D'un côté, il était donc compréhensible que le jeune homme soit déboussolé. Pourtant, il avait l'air d'y prendre goût… Le voilà bien dur dans la petite cavité qu'est la bouche de l'adolescente. Il la remplissait si bien, que Lele avait du mal à jouer de sa langue quand la bite de Shun était entièrement dans sa bouche. Elle devait ajouter une certaine pression, pour que son muscle buccal puisse se faufiler à sa guise. Elle se retire complètement, lance de temps à autres un regard lubrique à sa victime du jour. Puis Lele aspire de nouveau cette queue dans un bruit qui résonna dans la petite pièce. La queue de Shun tape dans le fond de la gorge de Lele, qui se met instantanément à gargouiller.


" Hmmpf ghrgh… "

Le petit salaud venait de placer un coup de rein souple, mais pas moins suprenant, et Lele ne s'y attendait pas. Décidément, Shun en redemandait… Elle est obligée de reprendre sa respiration. Alors Lele retire de nouveau l'énorme trique de sa jolie bouche. Quelques filets de bave relient sa bouche au gland violacé. Par réflexe de protection, sa gorge s'était mise à produire une salive visqueuse. Les doigts fins de l'adolescente enserrent finalement les bourses du jeune homme. Elles étaient tièdes et bien remplies… Tout ce qu'aime Lele. Elle commence à les masser, doucement, puis réenfourne d'elle-même la queue qui se dressait devant elle, dans sa petite bouche. Elle choisit un angle d'inclinaison, qui permet au gland de passer la barrière du fond de sa gorge bien serrée. La voilà tout au fond… Elle entame des vas-et-viens réguliers. On pouvait voir sa gorge se déformer sous les assauts du membre du bel étudiant.

" Hmmm… Hm !!! "

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

Utiliser la version classique