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Le sang des orcs [PV]

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Galadriel:
L’orc n’était pas inébranlable, comme tout être vivant il avait des faiblesses que Galadriel devait déceler pour appuyer dessus et le faire céder pour récupérer les informations qu’elle voulait obtenir. Le poulet grillé avait fait son effet sur lui, l’odeur lui chatouillant les narines, l’allure de la princesse qui dégustait son pignon plus sensuellement qu’une queue dégoulinante de jus. Mul’had est un être primitif qui gravite autour d’idées simples, la destruction et le sexe, à voir les villages qu’il avait détruits et le nombre de femmes qu’il avait violées dans sa longue vie. Il avait eu la chance d’avoir l’intelligence de diriger ce qui le rendait dangereux pour les peuples des alentours et c’est pourquoi la princesse devait l’affaiblir pour le faire parler.

« Mul’had dans ta position je ne parlerais pas autant. » Galadriel fit plusieurs pas en avant pour être à la limite de la zone de sécurité entre elle et l’orc, ses yeux bleus éclatant le fixaient sans peur. « Bientôt tu vas me supplier, pour que j'abrège tes souffrances. » Pliant ses genoux, l’elfe mit son visage à hauteur de son torse musclé et abîmé par les batailles et elle leva sa cuisse de poulet pour la frotter contre son gland pour récupérer son liquide pré-séminal. « La mort est plus douce. » Avec un regard provocateur, Galadriel approcha le pignon à sa bouche pour y passer sa langue pointue léchant le jus encore chaud de l’orc. « Je vais te faire perdre la tête et tu vas regretter tout ce que tu viens de me dire. »

La cuisse perfora ses lèvres charnues pour rentrer dans sa bouche pour lécher le reste du liquide pré-séminal et arrachant la viande blanche, une goutte blanche resta figée sur la commissure de sa lèvre droite. « Hiiiiiii. » La princesse poussa un son de satisfaction retirant la pièce de viande, pour donner un dernier coup de langue sur l’os qui apparaissait. « Ce poulet était déjà délicieux et avec ce nouveau jus. » Galadriel reposa le reste de la cuisse de poulet sur le membre de l’orc pour récupérer son jus crémeux et tendit son bras vers le visage du chef de guerre pour l’étaler sur son visage. « Goûte va-y. » La princesse n’avait aucune intention de lui faire goûter la viande, elle voulait le marquer de sa propre odeur et de son propre foutre.   

« Tu n’y mets pas du tien Mul’had. » La voix mielleuse de l’elfe lui apportait de l’attention, elle déplia les jambes pour revenir à sa hauteur, approchant son visage du sien, elle posa ses lèvres sur une de ces canines apparentes. Elle était prête à reculer s’il décidait de forcer sur ses chaînes, en attendant la princesse se mit à suçoter sa canine proéminente entre ses lèvres charnues pour y lécher le jus qu’elle avait étalé. Ses yeux restaient plongés dans les siens sans vaciller devant son regard jaunâtre, elle ne parlait pas, laissant juste ses bruits buccaux fredonner à ses oreilles. Même pour une brute de sa race, il pouvait apprécier ce concert qui devait lui être familier, elle tendit un bras vers le bas pour saisir entre ses doigts son gland violacé.

Les premières phalanges de la princesse tournaient autour de sa collerette juteuse, donnant des pressions dessus pour le faire réagir. Galadriel allait s’amuser, le faire grimper sans jamais le satisfaire. C’était la torture qui l’attendait dans cette prison, ne jamais se soulager allait lui faire perdre la tête plus rapidement que des coups brutaux.

Jack Taylor:
La petite femelle s’avance, et l’orc fulmine, les yeux rivés sur ses belles mamelles qui glissent sous le tissu soyeux de sa robe. Il sent son odeur doucereuse, entêtante. “Un orc ne supplie pas”, grogne-il, sombrement. Son énorme chibre, désormais entièrement érigé, pointe vers l’abdomen de la jeune femme, suintant de semence poisseuse.

“Qu’est-ce tu fous, sale catin ?”

Stupéfait, l’orc regarde l’elfette au dehors si dignes se baisser, pour écraser sa cuisse de poulet contre son gland sale, frissonne à ce contact saugrenu. Il écarquille les yeux lorsque sa langue serpentine vient laper son foutre épais sur la chair pâle et tendre de la volaille.

“T’es complètement dégénérée.”

Mul’had a toujours considéré les elfes comme des créatures pusillanimes et frigides. Le comportement ouvertement provocateur et sexuel de Galadriel le prend au dépourvu. Presque hypnotisé par le spectacle de sa petite bouche souillée de foutre, l’orc s’abstient de tout commentaire supplémentaire et décide de se murer dans le silence, non sans frissonner une nouvelle fois lorsqu’elle réitère son acte.

Il s’efforce de retourner son visage du pilon qu’elle destine à son visage, mais l’os maculé de sperme glisse sur son visage, s’étalant sur ses lèvres, son nez et sa joue. L'odeur âcre et entêtante de sa propre semence remonte dans ses sinus. La situation est en train de lui échapper, l’orc le sent. Lorsqu’elle se presse contre lui, que ses lèvres roses se referment sur l’une de ses canines, pour la téter, il lui suffirait d’un geste pour planter sa mâchoire dans son cou diaphane et se repaître de sa chair, mais… Il n’en est pas capable. Les yeux exorbités, presque fous, il soutient le regard sournois de la princesse. A quelques centimètres de sa robe, son chibre pulse. Le son de succion résonne dans sa boite crânienne et un long grognement rauque lui échappe lorsque les jolis petits doigts fuselés de la jeune femme glissent sur son gland poisseux pour venir l’écraser.

“Haaaaa….”

Son regard se trouble. Une brève giclée de foutre épais dégouline entre les doigts de l’elfette, dont les petits mouvements circulaires produisent un discret bruit mouillé.

Au bord du précipice, Mul’had s’efforce de rassembler ses esprits. Contrairement à ce qu’il affirme, il craint que cette putain elfe soit en mesure de le faire céder s’il ne trouve pas un expédient rapide, si bien qu’il tire sur ses chaines pour onduler du bassin et ainsi  faire coulisser son énorme membre entre les doigts de sa tortionnaire, avec la ferme intention de l’asperger de son jus brûlant.

“Hmmmf, hmmmm…”

Il n’est pas si loin de l’orgasme. Une affreuse grimace déforme sa sale gueule, alors qu’il se branle avec ses doigts. Quelques giclées, et il sera à l’abris des tentations de l’odieuse putain.   

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