Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Dortoirs et douches
Sue a-t-elle la main verte ? (Pv. Akita Celebrindal)
Akita Celebrindal:
Akita laisse son amante reprendre légèrement ses esprits quelques temps. Mais l’invitation de la jeune femme l’incite alors à recommencer. Des mains viennent caresser les fesses, les remuer, les masser, mais surtout les écarter. Des pouces viennent légèrement écarter l’œillet brun. Un long membre, brillant d’aphrodisiaque, vient s’emparer des fesses bronzées. Il s’enfonce lentement, mais sans marquer d’arrêt, jusqu’à ce que le bassin d’Akita vienne écraser les fesses de Sue. L’autre membre, encore souillé de leurs fluides mêlés vient se glisser, à nouveau dans le vagin de l’humaine, jusqu’à l’entrée de son utérus. Les mouvements de bassin reprennent, le membre s’élargissant, dilatant l’orifice étoilé. Des bruits de succion très pervers émanent des orifices pénétrées par l’être végétal. Akita vient alors mordiller l’oreille de Sue et vient lui murmurer :
"Akita va te donner plein de plaisir, va remplir ton corps de sa semence."
Les mains s’empare de la poitrine et aspirer leurs tétons avec leurs stomates. Des minuscules vrilles viennent masser les tétons et caresser leurs orifices. Deux autres bras pourvus de mains surgissent du corps de la femme plante. Ses mains mains nouvelles viennent claquer les fesses rebondies de l’humaine à chaque mouvement de rein qui emmène les membres au cœur des chairs intimes, suivant un rythme régulier. Une nouvelle main, plus petite, vient se plaquer sur le clitoris. Tandis que les doigts caresser les pétales de la fleur intime, un stomate s’ouvre au milieu de la main et vient aspirer le clitoris. Des mini-vrilles viennent masser le clitoris aspiré, offrant toujours plus de plaisir à l’humaine.
La dame-plante, de son côté, savoure son plaisir. Sa pénétration d’un nouvel orifice si étroit et d’une antre déjà inondée et brûlante. Des soupirs, des halètements et des couinements de plaisir trahissent tout le plaisir qu’elle ressent. A chaque mouvement de ses hanches, ses membres enflent sous la montée de son plaisir. Les mouvements de reins s’accélèrent et les stimulations faites par les mains et les vrilles augmentent également en intensité.
"Han ! Han ! Han ! Han ! Akita aime beaucoup ton corps. Han ! Han ! Han ! Elle va jouir fort."
Alors que ses membres ont complètement dilatés les orifices de l’humaine, son plaisir explose. Le corps végétal se plaque contre le corps humain. La semence se répand dans le vagin et l’utérus, mais le flot est tel que le corps ne peut le contenir et la semence se répand au sol et sur les cuisses de l’humaine. Les fesses bronzées de cette dernière arrivent cependant à retenir ce flot, du moins avec le membre vert glisser entre elles. La femme-plante libère de nouveau son amante de sa douce et passionnée étreinte.
Ses multiples mains soutiennent l’humaine pour éviter qu’elle ne glisse et masse doucement son corps pour l’aider à se remettre. Akita tourne doucement le corps de l’humaine pour lui faire face. Puis, après l’avoir fixer un long moment dans les yeux, l’embrasse fougueusement sur les lèvres, jouant de sa langue avec la sienne et dévoilant sa véritable apparence.
Laura et Sue:
Sue reprend encore difficilement ses esprits lorsqu’elle sent ses fesses se faire caresser et écarter. On dirait que l’inconnue l’a prise au pied de la lettre, en plus de la prendre tout court, et veut un second round de suite. Ce n’est pas exactement ce qu’elle voulait dire par ‘refaire ça quand elle veut’, mais malgré l’intensité de leur rapport ça ne la dérange pas : en réalité, son corps est encore brûlant de désir. Elle ne l’explique pas vraiment, mais ça lui importe finalement assez peu. Elle tente de se concentrer un minimum sur ce qu’il se passe, et sent quelque chose venir la titiller. On dirait que la visiteuse a vite retrouvé sa fougue, et qu’elle en profite pour se glisser en elle ! Sue laisse échapper un long soupire appréciateur en la sentant commencer à la sodomiser, mais ne s’attend pas à la suite : son vagin est à nouveau sollicité ? D’un côté elle se demande comment c’est possible, et d’un autre elle est bien décidée de profiter de cette double pénétration surprise. Ce n’est pas tous les jours qu’elle a le droit à un traitement si plaisant !
L’étudiante gémit sous les coups de rein de sa partenaire, un large sourire s’affichant sur son visage en entendant les mots qu’elle lui murmure à l’oreille. Elle n’a aucun doute sur le fait que sa partenaire va lui offrir du plaisir, ni qu’elle va la remplir. Parti comme elle est, Sue doute même réussir à retourner dans sa chambre tout de suite après l’acte. Elle se retrouve à nouveau stimulée de toute part, sa poitrine se faisant assaillir par les mains de l’étrangère tandis que ses fesses se font fesser… par ses mains également ? Son esprit est à nouveau trop embrumé par l’aphrodisiaque pour vraiment percuter, mais le plaisir lui est bien là et elle pousse des petits couinements sous les nombreuses stimulations offertes par sa généreuse amante. Elle sent l’intensité des stimulations augmenter petit à petit, jusqu’à ce que nouveaux mots parviennent à ses oreilles entre deux cris de plaisir. Elle-même incapable de répondre dans son état actuel, elle se tient néanmoins prête à accueillir la semence de son amante tout en se relâchant de son côté : la simple idée de se faire remplir est le coup fatal qui la fait jouir, resserrant quelque peu le membre épais qu’elle a en elle. A peine quelques secondes après, elle sent deux vagues de sperme chaud l’envahir et la remplir jusqu’au débordement. Bien vite, une partie du fluide commence à couler sur ses cuisses alors que son bassin tremble sous le plaisir.
Par chance, son amante pense à la soutenir. Un peu plus et Sue allait glisser sur le sol, totalement épuisée… elle a bien du mal à tenir, même en s’appuyant contre le mur. Elle a même le droit à un massage tout en douceur ! C’est particulièrement plaisant, elle en a même des frissons de plaisir tant la douceur contraste avec le rythme effréné qu’elles avaient quelques secondes plus tôt.
Merci…
L’étudiante se laisse faire, jusqu’à finalement faire face à l’inconnue. Celle-ci vient l’embrasser après avoir accroché son regard durant quelques instants, tandis que Sue lui rend ce baiser passionné en passant ses bras par-dessus ses épaules… et… elle a la peau verte ? La jeune femme, malgré qu’elle soit toujours sur un nuage, essaie d’organiser ses pensées et de poser une question à peu près cohérente. Pas facile ! Déjà qu’elle a du mal à réfléchir, une multitude de théories plus ou moins farfelues se bousculent dans sa tête.
Akita… t’es fabuleuse… et… tu es une… je suis pas sûre, une dryade… ?
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