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Une dette effacée et un prix a payer [PV L'empire Sildurien]

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Koshiro Ikeda:
«C'est tout ? Rapporte plus la prochaine fois ! Sinon tu sais ce qui t'attends !»

Trois yakuzas comptent leurs billets dans une petite ruelle isolée et crachent sur un homme couvert de bleus. Ce dernier ne peut plus répondre pendant que ses bourreaux s'éloignent. Ça durait depuis un bon moment déjà, cet homme qui avait emprunté de l'argent à la famille Ikeda n'a pas su rembourser sa dette. Après cet affront, les yakuzas se sont montré de plus en plus violent envers lui. Avec la police refusant de l'aider, il ne pouvait qu’obéir. Malheureusement plus le temps passait et plus sa situation devenait difficile.Et les trois Yakuza aussi virent leur avenir devenir de plus en plus glauque. Leur supérieur perdait patience en remarquant qu'ils ne ramenaient plus grand chose et s'ils ne faisaient pas leur preuves, il pourraient facilement finir avec des doigts en moins ou pire. Vu leur faible rang, les remplacer ne sera pas un problème.
« On est obligé de venir à trois ? C'est pas comme si j'avais besoin de vous... »

Dans la banquette arrière d'une voiture noire et coûteuse, Koshiro grogne. Il en a marre de régler leurs problèmes et c'est pas la première fois. Jinsuke au volant ne peut pas rétorquer quoi que ce soit, tout comme Haruto et Kota. Mais s'ils ne réussissent pas à se rattraper d'une manière ou d'une autre, ils seront sûrement sévèrement punis au prochain faux pas. Après plusieurs minutes à se faire supplier, Koshiro avait accepté de les aider. Ils auraient pu voir directement l'endetté dans le point de rendez vous habituel ou il devait toujours donner plus d'argent mais aller voir là ou il vivait était une bien meilleure idée. Qui sait peut être qu'il y avait quelque chose d'intéressant. Trouver l'adresse n'avait pas été très difficile.

« Jte promet qu'on te revaudra ça... » Dit Haruto, soulagé, pendant que les deux autres acquiescent.

La voiture s'arrête devant une petite maison. Elle n'a rien de spécial, mais prouve que les hommes accompagnant Koshiro n'ont pas fait grand chose mis à part utiliser leurs poings bêtement. Il soupire et tout les trois s'avancent pour sonner à la porte. Personne ne répond mais Haruto s’impatiente et frappe assez fort, jusqu'à ce que la porte s'ouvre. Malheureusement la personne qui ouvre la porte n'est pas la bonne, enfin presque, car notre homme endetté avait une femme. Et particulièrement belle, assez pour faire siffler un des yakuzas derrière Koshiro. Ce dernier commença a la reluquer sans gêne, tout en lui expliquant la raison de leur présence.

« Ca fait un moment que vous nous devez de l'argent, alors je suis là pour essayer de trouver un arrangement. »

Il remarque la méfiance de la femme, normal. Si Haruto, Kota et Jinsuke sont plutôt costauds, sans parler de leurs visages pas très accueillants. Koshiro est plus agréable à regarder mais aussi plus imposant encore. Tenir ses trois hommes en respect ne lui poserait aucune difficulté, cependant effrayer leur interlocutrice pourrait bien leur faire perdre l'occasion de régler la situation autrement qu'avec le foutu mari. A tout les coups, il n'a rien pour payer. Lui faire confiance est juste une perte de temps. Prévoyant que la femme tente de refermer la porte, Koshiro s'avance juste assez pour pouvoir l'arrêter facilement, sans mouvement brusques. Il souris légèrement de manière rassurante et calme, usant de son charme, contrairement à ses trois alliés qui cherchent à l'intimider. Les deux premiers rappellent qu'ils sont à l'origine des blessures du mari, Kota rappelle qu'elle l'a déjà rencontré également et tente de la draguer en même temps. Un geste de la main les arrête.

« Je peux vous aider, mais il faudra vous montrer coopérative. Laissez moi au moins entrer pour qu'on puisse parler. Mes amis resteront dehors. » Kota commence à peine à râler et Koshiro réagit vite pour le réduire au silence. Un seul regard et une menace suffisent. Avec seulement un ordre, les trois voyous sont renvoyés vers la voiture ou ils attendront sagement. Sauf s'ils tiennent à aggraver leur situation. « Vous voyez ? Tant que je suis là ils vont se tenir tranquille. Me désobéir leur coûtera cher vous pouvez me croire. Alors je peux entrer ? »

Même si Koshiro paraît conciliant, il compte bien forcer le passage s'il le faut. Si ça arrive, elle n'aimera pas du tout ce qui se passera ensuite.

L'empire Sildurien:
Marie n'a aucune idée de qui est ces drôles de gens, des criminels ? Mais que viennent-ils faire ici ? Elle a déjà dit cent fois à son mari de faire installer une caméra de sécurité dans l'entrée, mais non ! À cause de lui là voilà obligée d'ouvrir et se retrouver face à plusieurs hommes quatre on dirait ! Et en plus c'est ces monstres qui font du mal à son mari, et à elle surement d'ici peu, sans compter la violer, l'insulter, la fister et ils la laisseront toute nue et couverte de sperme dans son propre lit ! Enfin elle n'a aucun mal à voir cela venir bizarrement ! Elle a beau apprécier son mari, à cause de lui elle est dans la merde ! La blonde à pointes bleues observe donc ces hommes avec un air mauvais, elle n'est pas une fille fragile et vite apeurée, ils veulent du sexe, elle les baisera jusqu'à les épuiser et les tueras pendant qu'ils reprendront leurs forces ! Où leur servira un bon café au cyanure, ou vu qu'elle n'en a pas, elle usera le bon vieux poison pour rat qui traine dans le fond d'une armoire. Mais avant ça faut laisser rentrer ces quatre abrutis chez elle et faire comme si de rien n'était ! Elle va clairement devoir dresser son mari et le punir avec un gros strappons dans les jours à venir !

- Entrez donc, même si je n'ai aucune idée de ce dont vous me parlez, mon mari n'a pas de souci d'argent, il ne m'en a jamais parlé.

Elle les laisse donc entre et s'en va préparer du café au percolateur, un café bien corsé qui sentira super bon ! Puis elle laisse cela se faire et apporte des petits cookies faits maison ;

- Bon, installez-vous, et racontez-moi cette incroyable histoire.

Koshiro Ikeda:
Lorsque la blonde feins l'ignorance, Koshiro perd son sourire. Il sait très bien que ses hommes n'auraient jamais osé lui demander de l'aide sans raison. Le mari de cette femme avait une dette à payer et il remboursera d'une manière ou d'une autre. Finalement la jeune femme décide de tous les laisser entrer. Tant mieux ça allait juste rentre la tâche plus facile. Lorsque Koshiro fait signe à ses hommes de revenir, ces derniers obéissent visiblement rassurés de ne pas avoir à repartir bredouilles. Le frankenstein soupire, les trois gaillards qui l'accompagnent sont des incapables. Même si la blonde se montrait courageuse, elle n'a aucune chance contre les trois hommes. Mais ces derniers n'ont sûrement pas suffisamment de cran pour régler la situation par eux même. Après tout le moindre échec peut signer leur arrêt de mort.

Comme on pouvait s'en douter, la petite maison n'a rien de spécial, même à l'intérieur. Il n'avaient presque rien à offrir, rien ne valait le coup d'être volé à l'intérieur. Sauf une chose, la blonde. Elle possédait un beau visage, une poitrine volumineuse, un cul bien rebondi... Bref tout ce qu'il faut pour qu'une catin rapporte pas mal d'argent. Pourquoi pas la faire travailler ?   

Pendant que la blonde part chercher de quoi grignoter, les quatres hommes explorent... Pas grand chose, l'endroit n'a rien de désagréable mais y a rien d'intéressant. Ou presque. Koshiro s'arrête devant une photo de famille ou on y voit le fameux mari, sa jolie femme et un enfant. Intéressant. La blonde finit par revenir avec des cookies et propose à tout le monde de s'installer, continuant sa farce inutile. Seul Koshiro s'assoit , ses deux hommes restent debout derrière la blonde. L'autre est parti explorer plus loin, pour trouver ou est la chambre de l'enfant, histoire que la blonde ne puisse plus mentir. Il revient quelques secondes après y avoir fait un tour, l'enfant sur la photo était bel et bien celui de la blonde.

« Il n'y a rien d'incroyable, votre mari nous dois de l'argent, il faut payer. » Pendant qu'il parle, il allume sa cigarette « Ca fait bien trop longtemps qu'on attend et vous n'avez pas assez d'argent je me trompe ? On est pas généreux d'habitude alors estimez vous chanceuse » Évidemment qu'elle peut pas. Peu à peu le ton de Koshiro deviens glacial « Vu que votre mari n'a pas l'air de tenir ses promesses, je préfère m'arranger avec vous. Vous pourriez bosser pour moi, dans un de nos bordels, pendant quelques temps jusqu'à ce que votre dette est effacée. Qu'est ce que vous en dites ? » Il observe sa réaction un instant, mais avant qu'elle puisse répondre « C'est mieux que mettre en danger votre enfant. » Haruto, Kota et Jinsuke rigolent. « Ce serait dommage qu'un accident arrive. C'est bien votre gosse sur cette photo non? » Il montre à la blonde la photo qu'il avait trouvé, même si c'est pas son enfant, rien ne changera mais le gamin reste un bon outil de pression.

Si la blonde se rebelle, Haruto et Jinsuke sont derrière pour l'en empêcher et la forcer à rester à sa place. Soit elle vend son corps soit elle laisse sa famille mourir et elle les rejoindra quand tous les hommes présents se seront fait plaisir avec son corps. « Alors? »

Haruto pose sa main sur l'épaule de la blonde tout en observant sa poitrine « Allez on prendra bien soin de toi c'est promis » Un sourire pervers se dessine, il sait que Koshiro va surement l'autoriser à profiter de la situation.

«  En tout cas mieux que son mari je paris. » Les Yakuzas rient encore « Haha  pas faux, vu à quel point il est facile à défoncer! Et bordel ce qu'il est naif! » Ils continuent de se moquer de lui, jusqu'à ce que la femme fasse son choix.

« Si c'est oui jveux tu te prosterne devant moi » commande Koshiro « Et demande bien gentiment d'être mon esclave si tu veux pas que ton enfant meure trop jeune. » Normalement il n'a pas besoin de faire ça, l'envoyer directement dans le bordel devrait suffire mais la blonde est vraiment bien foutue, ne pas profiter de l'occasion serait du gâchis. Alors il attend que la blonde bouge son cul, assis comme un roi avec ses trois hommes qui continue de la reluquer sans gênes.

L'empire Sildurien:
Marie en effet valait le coup, grosse poitrine, longs cheveux blonds, yeux bleus, en 40 on l'aurait vue comme une déesse digne de dominer bien des hommes ! Mais pour le moment elle laisse le groupe s'installer dans le salon sur les canapés au besoin, du Ikea, rien de marque en effet. Tout ici est bien trop récent pour avoir une valeur d'antiquité, même les quelques tableaux vitrés sont des répliques, rien ici n'est signé et le style est moderne. Elle prépare donc des cacahouètes et des chips, mais aussi du coca et de l'eau pour venir poser cela au salon, elle sait quand même recevoir des gens ! Un verre par personne, et il y a sans doute du café en préparation vu qu'on entend le percolateur tourner, elle fait cela à l'ancienne ! Pas de machine à dosette jetable chez elle, du vrai café en grain moulu au moulin électrique et mis en boite ensuite. Non seulement c'est moins cher, mais en plus aucun ne risque d'avoir un rat mort broyé avec les grains dans une usine en chine. Elle écoute donc le chef qui fume, quel odieux personnage ! Elle n'aime pas qu'on fume chez elle et fronce le regard, non, mais oh ! Et puis il a beau faire genre, ils n'auront rien par la force, au pire la violer une fois, puis ne pouvoir jamais revenir, car elle aura leurs visages en tête ! Et elle est totales le type de femme qui irait porter plainte en restant bien calme, froide, calculatrice, c'est sans doute elle qui tient les comptes ici, d'où le fait qu'elle soit surprise de cette demande d'argent soudaine ! Elle s'installe donc face à lui en tenue ordinaire, pantalon noir suivant son corps sans le moulé, chemisier noir qui suit sa poitrine et puis le ventre, laissant bien deviner l'opulence de sa poitrine naturelle ! Dessous des dessous bleu marine brodés et armature pour le soutien-gorge qui doit soutenir cette grosse paire de loches !

- C'est hors de question, et menacer mes enfants ne vous aidera pas.

Elle boit un peu de café, qu'elle venait de faire et leur a mis le thermos sur la table avec quelques tasses, il y a même du sucre et des dosettes de lait. Elle lui explique ensuite le raisonnement, car elle n'est pas idiote à dire non juste pour le contrarier, elle reste assise sans craint des deux autres gorilles :

- Pas la peine de vous énerver, la raison est simple, je dois aller chercher mon enfant tous les jours, car mon mari "travaille", enfin je suppose. Puis je dois faire le repas, mais aussi les courses, et garder cet appartement en ordre, je suis une femme au foyer voyez-vous ?

Elle boit encore un peu, en effet, ça serait bizarre qu'elle ait soudainement un boulot, et qui va garder les enfants, cela demanderait une babysitter et des frais en plus, personne n'y gagne finalement. Et elle se doute qu'une rentrée de plus aiderait sa maison. Elle l'écoute donc faire son numéro avec l'esclave et les deux pervers faire les chauds, dont un qui la touche, elle l'observe et hausse un sourcil le dénigrant du regard, elle n'est pas intéressée par lui, seulement par le chef.

- Disons que j'ai une autre offre à vous faire, après tout vous me semblez intelligent, tuer mon enfant ne me fera pas travailler pour vous, et me violer tous ensemble ne vous assurera pas d'avoir une bonne travailleuse à portée de main.

Elle marque une pause et pose sa tasse sur la table pour reprendre :

- Voilà mon ma controffre, je bosse de 9h à 16h pour vous, mais pas dans un bordel, qui sait si mon mari n'y va pas dans mon dos... Ou un ami à lui, ou quelqu'un de mon boulot... À la place je prends vos clients ici, un par un, si ça doit être plus d'un mec à la fois OK, mais pas plus de trois à la maison, sinon je n'aurais jamais le temps d'effacer les traces. Si vous voulez un groupe plus grand, je propose l'hôtel en bas de la rue, discret et pas cher, la chambre sera retenue sur mes gains.

Elle pense un moment et espèce que ça lui ira, et puis elle se relève fusillant au besoin les deux gorilles, elle retire son haut, puis défait le soutien-gorge et finalement elle défait le pantalon et la petite culotte, elle laisse le tout sur le canapé et lui dit alors face à face, enfin la table entre eux :

- Si mon offre vous va, vous pouvez me baiser dès maintenant, vous et vos collègues, on a jusqu'à 16h, toute fois...

Elle se déplace et va prendre dans un meuble un collier de gros chien, sans doute l'ancien animal de la famille, visible sur quelques photos. Elle l'enfile et prend aussi la laisse sans l'enfiler et va cette fois devant le chef. Elle s'agenouille alors et se penche en avant pour se prosterner et lui tend la laisse d'une main :

- Vous vouliez une esclave, mais si vous prenez mon offre je vous une offre une chienne, qu'en dites-vous ?

Elle joue un coup de poker clairement, mais dans le fond, si elle peut être payée et ne pas devoir trop quitter la maison, sauf en journée... Puis le coup de la chienne devrait sans doute exciter un pervers dominateur comme cet homme, il pourrait l'avoir rien que pour lui quand il veut, la tenir en laisse, la faire coucher avec de vrais chiens peut-être même ! Elle prend un risque, mais elle semble déterminée à prouver qu'elle protègera son enfant et les apparences devant sa famille et ses collègues, le reste... Disons qu'elle est curieuse pour le moment, est-il un idiot, ou un vrai dominant ?

Koshiro Ikeda:
Décidément cette femme a du cran. Même avec des menaces et plusieurs hommes visiblement plus forts qu'elle, elle garde son calme et déguste son café comme si de rien était. Les yakuzas  sont surpris lorsqu'elle regarde ses invité avec autant de férocité que de calme. Koshiro sourit, les réactions de la femme l'amusent. Plus il l'observe, plus elle l'intéresse. Elle semble avoir l'étoffe d'une leader. Le genre de femme amusantes à baiser. Mais malgré son comportement, elle ne refuse pas les demande du yakuza devant elle. Tout ce qu'elle veut, c'est continuer d'être une femme au foyer et préserver son image auprès de sa famille. *Bonne idée* se dit Koshiro, ça rendra les choses bien plus exit antes. Elle propose des horaires et plusieurs autres indications pour cacher son nouveau boulot. Bref tout ce qu'il faut pour que son mari ne remarque rien.

«  Hm.... Tant que tu fais ton travail... Le reste m'importe peu »
Comme pour prouver sa motivation, la blonde se déshabille complètement. Même si elle tient respect les brutes d'un seul regard, elle n'échappe à plusieurs sifflements. Les cuisses de la femme au foyer parviennent facilement à exciter les hommes autour d'elle. Koshiro sent déjà son membre viril grandir, comme pour complimenter la vue en formant une bosse massive. Et cette bosse grandit encore lorsqu'elle donne l'autorisation aux hommes de la baiser s'ils acceptent. Lorsqu'elle se déplace pour chercher quelque chose, tous les hommes la reluquent. Lorsqu'elle se trouve à portée de main, Koshiro choppe le joli cul qu'il voit passer et la laisse repartir assez vite, curieux de voir ce qu'elle allait faire ensuite.

« Dommage j'aurais pu t'éviter de servir mes hommes, mais vu que tu insiste je vais les laisser te prendre aussi peut-être.  »
Et elle revient avec un collier de chien autour de cou et offre à Koshiro la laisse, tout en se prosternant devant lui. Comme un roi ce dernier la regarde de haut mais ne cache pas sa joie, la situation le fait rire. Il peine à se retenir et ses hommes aussi, ils sont tous impatients de commencer. Après s'être calmé, le jeune chef se penche vers sa nouvelle chienne et attrape son colier fermement pour qu'elle le regarde.

« Ta proposition me plait mais je ne crois pas qu'une chienne puisse se permettre d'imposer des horaires à son maitre.  »

Tout en parlant il attache la laisse, ignorant toute plainte. Peu importe si son mari a le cœur brisé ou si son enfant découvre que sa mère est une pute, elle travaillera qu'elle le veuille ou non. Elle n'a rien à demander et mérite juste une punition pour son insolence. Le maitre plaque le visage de sa chienne sur le sol, pour qu'elle se retrouve le cul à l'air, montrant sans doute une belle vue à ses hommes qui bandent sûrement. Puis un puissant bruit de claque retentit à travers la salle. La fesse de la mère rougit vite sous le coup et son maitre n'attend pas avec de répéter le mouvement.

« Tu viendras me servir quand je le commande et tu n'as pas intérêt à refuser.  »
Le fessier de la blonde se déforme à chaque coup, chaque fessée pousse la chienne à crier et son maitre ne s'arrête pas. Les voisins l'entendent sûrement mais n'y feront rien pour éviter d’attiser la colère des Yakuzas régnants sur leur quartier. Peu importe si cela continuera jusqu'à 16 heures et si son précieux mari assiste au spectacle. Plus elle s'entête plus la douleur s'intensifie.

« Je ne t'entend pas répondre !  » Ordonne t-il durement. Il continue de frapper comme une brute et ne s'arrête pas, pas tant qu'elle n'a pas obéhi.
Finalement la réponse arrive, il parvient à forcer à accepter par la force. Satisfait, Koshiro s'adosse à nouveau sur son siège, laissant à sa chienne l’occasion de se redresser. Lorsqu'elle le fait, il l'a tire de force vers son entrejambe qu'elle manque de percuter. Un sexe massif l'y attend et elle ne peut pas le manquer.

« Bien, vu que tu es motivée je veux bien t'aider à cacher ton secret tant que tu sera une bonne chienne  » Il soupire puis la regarde « Libère mon sexe je suis serré à cause de toi. Dépêche toi.  »

Son ton dur montre de la colère mais en vérité, il est terriblement excité, il veut dominer cette femme et la briser petit à petit jusqu'à ce qu'elle devienne complètement sienne. Il la force à s’exécuter encore s'il le faut quitte à démolir son cul et la rendre incapable de marcher. Elle a qu'à déserter la ceinture, déboutonner le pantalon coûteux devant elle.  Lorsque le membre viril de Koshiro est libéré, il frappe lourdement la joue de la chienne. Le jeune homme possède un monstre, digne des plus grands étalons et capable de réaliser les phantasmes des plus gourmandes.

« Allez montre moi ce que tu sais faire, considère ça comme un test.  » Après quelques secondes; une question lui vient à l'esprit. « Au fait c'est quoi ton nom » Il comptait bien l'appeler chienne sans se préoccuper de son vrai nom mais connaître son prénom pourrait être bien utile.

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