Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dans le parking...[Privé]

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Don

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Dans le parking...[Privé]

mardi 20 octobre 2009, 23:11:26

Parking souterrain du centre commercial de Seikusu, celui ci s'étendait en dessous du quartier de la toussaint et il était utilisé par la plupart des personnes de la ville pour y garrer leur voitures, il faisait bien dix étages et proposait plus de 1200 places a pourvoir pour toutes les voitures, de quoi en effet bien remplir n'importe quel parking de métropole, mais celui ci était assez peu plein en réalité, car après tout la ville de Seikusu n'était pas bien grande et il y avait déjà beaucoup de parking, peu de personnes prenaient la peine de se garer dans des souterrains car c'était peu pratique, néanmoins ceux ci avaient quelques habitués, et c'était également ici que certains élèves y stockaient leurs motos, leurs bicyclettes ou autres. Le parking était sombre dans les profondeurs également, malgré les panneaux de sécurité qui clignotaient, on y voyait goutte si on utilisait pas de phares, les lumières n'étaient jamais allumées par les vigiles, comme il devait y avoir tout au plus 200 voitures pour tout le parking, ils n'en voyaient pas la peine, ce qui rendait l'endroit sombre et non fréquenté. Il était 19 heures, la sortie scolaire était finie depuis bien longtemps et tous les vélos étaient depuis partis, tous ? Non, un seul velo était encore là, un vélo qui ne serait jamais récupérée par son propriétaire.

"Aaah..."

Lança Don alors qu'il venait en elle et que la petite lycéenne se débattait tant bien que mal, elle ne devait pas avoir plus de 15 ans, il l'avait baillonnée pour que celle ci ne hurle pas et ne fasse pas écho, il se dégagea d'elle et regarda un moment avec le sourire du devoir accompli, le liquide blanc dégouliner un peu d'elle mélé a un peu de sang, les larmes de la jeune filles étaient si délicieuses qu'il se baissa près d'elle et les lécha goulument, il lança.

"Ne t'en fais pas, bientôt tu connaîtra un bonheur bien supérieur a celui d'assister a des cours."

Et sur ce il saisit la jeune femme et la jetta a l'arrière dans son coffre, où il n'y avait rien pour lui permettre de se défaire des liens serrés qu'il lui avait mis, Don referma son imperméable sous lequel il ne portait rien. C'était un truc vieux comme le monde, faire la sortie des écoles, mais ça marchait bien. Il décida avant de partir de faire un tour dans le parking histoire de voir si il y avait par hasard d'autres proies, les vélos étaient partis mais il restaient quelques moyens de transport, et d'autres rangées de velo qu'il n'avait pas exploré...Il entendit des pas et se cacha derrière un pillier
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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 1 mardi 20 octobre 2009, 23:27:41

J'aimerais bien qu'on m'explique pourquoi je me stationne à cinq kilomètres du lycée alors que j'ai réservé un stationnement à mon nom bien plus près que je paye mensuellement dans le parking du bâtiment. Je pourrais même m'installer à la bibliothèque, mais je me stationnes devant le musée de l'occultisme et je marches pour aller au travail. Aujourd'hui, je n'ai rien appris vraiment à mes élèves, puisqu'on a fait de la révision sur les accords de verbe. J'étais vraiment triste quand mon planning ne me permettait pas de leur enseigner des choses nouvelles, parce qu'ils me regardaient avec une espèce de rancune et un désintérêt qui me déplait franchement. J'ai passé la journée à me faire envoyer des soupirs ennuyés et la seule chose qui pouvait les garder loin de l'ennui total, c'était la tenue que je portais. Puisque j'allais danser avec une nouvelle rencontre, j'avais décidé de revêtir mes plus beaux atouts, soit un beau décolleté plongeant noir (sous lequel était mon habituel corset-soutien-gorge), une veste de fausse fourrure ainsi qu'une belle robe de cuir noir qui ne semblait pas laisser "mes" garçons indifférents, puisqu'ils ne cessaient d'observer avec intérêt mon déhanchement pourtant habituel et évident. Heureusement, aujourd'hui, le charmant monsieur avec qui j'ai discuté dans le bar, venait me prendre dans le parking de l'école, donc, j'ai prit le métro pour venir.

Les cours finis, je quittai le lycée par l'accès au parking souterrain. L'air frais de l'endroit me fit frisonner, mais je me dis que je n'aurais pas à entendre longtemps pour revoir le visage de cet homme au teint basané, très grand aussi, qui me faisait autant d'effet, la soirée passée. Je n'ai pas pu aller avec lui car je devais partir chez une copine, mais je lui avais laissé au moins mon numéro et mon adresse électronique. Je ne suis pas une fana d'informatique, mais en tant qu'enseignant et femme célibataire, je faisais mes corrections et mon budget par l'ordinateur. Au moins, le Lycée avait les moyens de payer des ordinateurs aux élèves, ces derniers pouvaient donc recevoir leur correction le plus tôt et je pouvais faire mes cours privilégiés via le papotage en ligne, bien que rien ne vaut une leçon corps contre corps pour ensuite un beau petit ébat tout chaud dans les bras des indisciplinés à corriger.

Je regardai aux alentours un moment puis je m'installai contre une voiture fraîchement lavée pour éviter de me salir, attendant patiemment. C'était mon premier rencart depuis des lunes et j'étais un peu stressé. Forger une relation avec les gens était nettement plus difficile que celle de prof-élève-amant. Mes mains tremblaient un peu, l'une dans l'autre. J'espérais surtout qu'il ne m'avait pas oubliée.

Soyez de bons élèves et je vous récompenserai.

Don

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 2 mardi 20 octobre 2009, 23:39:23

Cette fois ça serait la bonne, il était quand même farfelu qu'au bout de trois fois on arrive toujours pas a avoir un sujet qui nous conviens non ? Mais Don ne connaissait pas le sens de l'échec. Il ne connaissait qu'une seule chose : la victoire. Au cours de sa vie, aucune proie ne lui avait échappée, au cours de sa vie aucune proie n'avait réussi a s'échapper de son emprise, c'est pour ça qu'il avait couplé a sa prudence une espèce d'arrogance qui le protegeait et qui lui donnait un air encore moins sympathique. Souriant, avançant dans les ténèbres il entendit les pas pressants de ce qui ressemblait a des chaussures et a une démarche de femme. Oui, une démarche de femme. Il arrivait a les reconnaître, au fur et a mesure du temps, les femmes avaient une façon bien a elle de se déplacer. Don, intrigué par le bruit unique, suivit celle ci discrètement, tachant de ne pas faire de bruits alors qu'il longeait les pilliers dans les ténèbres, elle se plaça contre une voiture et semblait attendre, Don se faufilla derrière elle et tacha de la détailler.

Eh bien, il ne faisait pas dans les femmes, préférant les jeunes filles, mais en voyant celle ci il se demandait bien pourquoi, après tout elle était encore fraîche, ses attributs étaient plus matures que ceux de la jeune fille qu'il venait de capturer, elle semblait être une adulte, il ne savait pas qui elle était, mais soudain il se dit qu'il s'occuperais bien d'elle. Et il récupéra malgré qu'il vienne de faire son affaire a une de ses élèves, toute sa vigueur. Evidement il ignorait qu'elle était une succube, et que son attirance était normale. Les lunettes, la chevelure, la poitrine, le visage, tout celà l'attirait énormement, il lui fallait cette femme. Pas plus tard mais maintenant. Il n'avait pas envie de la berner, elle était dans un parking souterrain, elle serait inquiétée de le voir arriver vers elle, même avec les meilleurs intentions du monde, qui plus est elle semblait attendre quelqu'un, alors autant s'occuper d'elle tout de suite.

Don sortit de l'ombre, portant un large imperméable, il avança vers Emilia


"Salut !"

Lui dit il avec familiarité, le colosse de deux mètres au corps bien batti ne s'attendais qu'a une chose de sa part en le voyant arriver d'un pas rapide : fuir et il était prêt pour la course.
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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 3 mercredi 21 octobre 2009, 00:33:29

Je regardai alors par dessus mon épaule et je vis justement l'homme que j'attendais... ou si ce n'était pas lui, il était très ressemblant. J'aurais cru qu'il viendrait me chercher en voiture, mais il semble apprécier marcher, ce n'est pas plus grave. Faut dire que, je ne le savais pas à ce moment-là, mon véritable compagnon venait d'avoir un accident qui l'avait tué sur l'autoroute. À la radio, si je l'avais ouverte, je l'aurais su, mais j'étais bien trop contente et l'homme était en soit plutôt beau monsieur. Je souris en le regardant puis je me levai de la voiture. Je savais maintenant qu'il n'était pas mon prétendant, mais au moins, c'était déjà une rencontre intéressante. J'ajustai un peu mes lunettes puis j'observai l'homme, jouant avec une mèche de mes cheveux, lui souriant gentiment. Il était plutôt bien bâti, d'un teint pas mal bronzé, et musclé en plus. Je me retins de faire apparaitre la queue, parce que je l'aurais agitée. Mais, plutôt que de me diriger vers lui, je m'en distançai, marchant à l'opposé.. avant de me mettre à courir. Je sentais quelque chose loin d'être net chez cet homme et je n'étais pas du tout intéressée à savoir de quoi il s'agissait.

Je n'ai jamais rencontré un homme aussi massif auparavant, et surtout qu'il dégageait une énergie qui ne me plaisait pas, une énergie de mâle un peu trop dominant, et ce n'était pas cette petite frappe qui voulait me violer dans le sous-sol de l'école, c'était un véritable danger pour ma santé. Je ne devais pas me laisser attraper et surtout qu'il semblait plutôt... bizarre. Mais j'avais espoir de pouvoir planer grâce à mes ailes si j'arrivais à partir d'ici tranquille.

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Don

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 4 mercredi 21 octobre 2009, 00:43:53

Etrange, le poisson semblait avoir été férré et tout se passait comme prévu, mais l'air enigmatique qu'avait pris la jeune femme le refroidit quand elle lui sourit avant de fuir...Ca voulait dire sans aucun doute qu'il avait affaire a un changeforme ou un esper qui se nourissait sur les hommes avant de les laisser tomber comme des coquilles vides. Néanmoins Don continuait a sourire et a marcher vivement vers elle, après tout si c'était un piège il allait bien devoir compter sur ses pouvoirs pour lui en faire voir de toute les couleurs. Et son pouvoirs de Magicide règlerais le problème. Don possédait en effet un pouvoir, un pouvoir en lui même si bénin qu'il en était exceptionnel : Il possédait le pouvoir par le toucher, d'annuler tous les pouvoirs. Ca voulait dire deux choses : Si on lui lançait une boule de feu il la subissait et ne pouvait l'annuler, mais si il touchait son lanceur il ne serait plus capable d'utiliser aucune capacité surnaturelle. Ce pouvoir était redoutable, car il marchait sur les démons et les anges, vampires et autres créatures surnaturelles. Evidement, dès que le pouvoir était d'ordre naturel, comme la transformation du loup garou, il ne pouvait rien faire...

Mais ce pouvoir lui avait permis de dominer et de soumettre des femmes bien plus puissante que lui et qui se pensaient a l'abri de tout. Et c'était toujours un plaisir de voir des reines d'arrogances se retrouver humiliées avant d'être vendues sur la place publique a ceux qu'elle méprisaient il y a quelques jours de ça a peine...Vraiment hilarant...

Don quand a lui se contenta de hausser le pas, poursuivant la jeune femme a travers le parking souterrain. Certes, il était costaud, mais pour tout ce qui était art martial il était vraiment mauvais. En revanche, dès qu'il s'agissait de force brute, il était imbattable. Don fondit sur Emilia et la poursuivit, au bout de trentes secondes ou elle fut poursuivit sa main puissante se referma sur son poignet, la retournant d'un coup il la plaqua contre un pillier. Son visage a une vingtaine de centimètre du sien, ses jambes bien écartées des siennes pour éviter un trop évident coup de pied, il lui saisit l'autre poignet qu'il plaqua également contre le pillier


"Eh bien ? Où allez vous comme ça mademoiselle ?"

Lança l'esclavagiste en ricannant
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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 5 mercredi 21 octobre 2009, 03:04:53

J'avais un fort espoir de pouvoir m'en aller et rentrer chez moi, gronder au téléphone ce connard qui a osé me foutre un lapin et s'en aller baiser je-ne-sais-quelle-gonzesse alors que moi, j'avais affaire à un type dangereux. J'avais l'habitude de profiter des violeurs, mais là, c'était pire qu'un sport extrême. Mes talons-aiguilles tapaient fortement sur le sol et ca me faisait mal aux chevilles. Je savais que s'il essayait de m'attraper, il pourrait le faire en deux voir trois secondes, maintenant. Je sentis sa main s'emparer de mon poignet. Lorsqu'il m'eut plaqué au mur, je savais exactement où son esprit d'homme s'était fixé, mais je n'étais pas la tête brulée du corps enseignant pour rien. Hors de question d'être violée dans un endroit pareil, surtout que je ne voulais pas perdre ma réputation de "vierge" après avoir, grâce à mon sang de succube, récupéré mon hymen. Le regardant dans les yeux, je me vis alors dépouillée de mon déguisement.

Ma queue jaillit de ma robe, mais mes ailes n'en firent pas de même, heureusement. Apparemment, c'était bien un pouvoir et non quelque chose que j,avais à la naissance. Une idée assez lâche me passa par la tête et, d'un coup de queue, je lui fouettai l'entrejambe. Puisqu'aucun pantalon n'aurait été assez grand, je savais que je toucherais assez facilement au but et lui causerai assez de douleur. Les hommes les plus forts et les plus virils ont le plus souvent l'entrejambe extrêmement fragiles. De ma queue, je saisis le poivre de Cayenne en vaporisateur dans ma sacoche et j'en aspergeai le visage de l'homme avant d'arriver à me défaire de lui.

-C'est indigne d'un homme de s'en prendre ainsi à une femme! Vous êtes sensé les protéger, pas les agresser!

Je me mis alors à courir encore une fois, mais je me pris les pieds dans les siens dans ma hâte, m'affalant sur le sol de tout mon long, ayant perdu mon équilibre. Je m'en écorchai les mains sur l'asphalte et je gémis de douleur. Ma seule consolation, mes vêtements n'étaient pas abîmée, bien que mon violeur pourrait voir ma longue cuisse épilée ayant sorti de la fente de ma robe de cuir. Je le regardai un moment puis je fus presque déçu. Il était beau garçon, mais il était bien trop violent pour moi et surtout trop brutal... J'en étais presque amoureuse tant il me plaisait en tant qu'homme, mais je n'aimerais pas vivre à ses côtés. Il sentait énormément l'homme mâle et en plus, à son allure, je pouvais en déduire qu'il venait de Terra. Je me redressais lentement puis je léchai mes plaies douloureuses et sanguinolentes avant de tenter à nouveau de fuir.

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Don

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 6 mercredi 21 octobre 2009, 23:54:13

Il s'attendait a annuler ses pouvoirs et en effet il put voir Emilia sous sa véritable forme, celle d'une non humaine qui le fouetta d'un coup de queue qui lui fit le plus grand des mal, le tordant en deux avant de se sentir vaporiser sur le visage du poivre. Le Don se mit a hurler, se tenant les yeux a deux mains alors que la jeune femme tentait de fuir. Il eut néanmoins la chance d'anticiper son coup et de lui faire un croche pattes. Don se mit a crier de douleur alors que ses yeux étaient emplis de larmes. Normalement il était plutôt doux avec les femmes, mais les armes naturelles d'Emilia l'avaient pris au dépourvu et là il n'avait qu'une seule envie : défouler sa colère. La vision encore floue Don s'avança vers Emilia qui finissait de se relever, se précipita en arrière et la saisit par la queue alors qu'il la tirait d'un coup sec a lui.

"Couché sale démone !"

Lança t'il alors qu'il la faisait tomber a nouveau a terre et s'avançait vers Emilia pour la doter d'un coup de pied ravageur dans le ventre. De quoi calmer tout de suite le jeu

"Sale garce ! Je vais t'apprendre a me résister !"

Cria le marchand d'esclave alors qu'il shootait dans la main d'Emilia, balançant le spray au poivre au loin, il la saisit par les cheveux et la releva avec douleur alors qu'il passait une main dans sa poche

"Tu n'as que ce que tu mérite, imbécile !"

Fit il alors que d'une main il saisissait son tazzer et zappait la pauvre professeur, il lui assena une décharge a puissance maximale, de quoi laisser de grâve séquelles a une humaine, mais assez pour engourdir completement une créature de son sang.
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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 7 jeudi 22 octobre 2009, 00:42:52

Je ne m'attendais pas à ce qu'il se rétablir aussi vite. Je sentis une affreuse douleur à la queue quand il la tira. Je n'aurais jamais cru qu'il soit aussi violent, du moins, pas à ce point! J'ai sentit un énorme coup de pied heurter mon ventre, m'arrachant un gémissement de douleur, me ployant davantage, le souffle coupé par ce coup. En d'autres situations, j'aurais peut-être apprécié cette douleur, mais c'était de la douleur brute. Je lâchai un sanglot de souffrance. Il était vraiment furieux que je lui ai résister. Il tira mes cheveux en l'air pour me redresser, me faisant crier de douleur. Je sentis alors un puissant choc électrique avec un pistolet à électrochoc. Cet objet était pourtant utilisé le plus souvent par les femmes et maintenant, les hommes en avaient. Le monde devenait définitivement fou. Je lâchai alors un cri de douleur.

-AAAAAAH!!!!

Tout mon corps fut secoué par le courant électrique qui le traversa. Je m'affalai sur le sol, complètement neutralisée. Je regardai l'homme toute tremblante suite à cela. Je restai là, gisante sur le sol froid. Pourquoi le poivre de Cayenne ne fonctionnait-il que dans les films? Tout mon corps était fragile comme si je revenais d'une séance de sado-maso avec la petite Tsukiyo. Ma peau ressentait à la puissance mille chaque contact de l'air sur elle. C'était horrible de savoir que malgré cette douleur, cet homme venait de m'exciter au plus haut point, mes tétons maintenant tout durs étaient un peu visible sous la partie soutien-gorge de mon corset. Ma peau était trop sensible et même le contact de mes vêtements sur mon corps m'arrachaient un gémissement. Malgré tout, je tentai de me défaire de la puissante main de l'homme.

-Lâchez-moi! Lâchez-moi!

Je me débattais comme une dingue, hors de question d'être violée ici, là où un élève pourrait me voir et détruire la réputation que j'ai mit onze ans à établir. Une réputation se forme avec des années d'effort, mais il suffisait d'une seconde pour tout détruire et je n'y tenais vraiment pas. Je me mis à le frapper de mes poings, le frappant aux jambes, faible comme jamais.
« Modifié: jeudi 22 octobre 2009, 01:32:42 par Émilia Phillips »

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Aya Endô

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 8 jeudi 22 octobre 2009, 00:47:25

Légère et discrète, Aya cheminait tranquillement à travers le niveau de parking. Vêtue de son bel uniforme scolaire, l’adolescente venait de quitter ses amies après avoir mangé avec elles dans l’un des fast-food du grand centre commercial et maintenant elle retournait vers le lycée en empruntant un raccourci qui en la faisant sortir par l’un des accès du parking lui permettrait de gagner au moins cinq minutes sur son trajet. Souriant encore au souvenir du bon moment passé entre filles, aucune inquiétude n’assombrissait ses pensées ou ne la poussait à envisager un danger. Il n’était pas très tard après tout et l’endroit n’avait pas mauvaise réputation.

Une ombre massive et des sons peu identifiables surgirent alors quelque part sur sa droite, deux rangées de véhicules et deux allées bétonnées plus loin. Curieuse et pas plus inquiète que ça, la lycéenne s’arrêta et tourna complètement la tête pour déterminer ce qui se passait. Par chance, elle se trouvait derrière l’un des énormes piliers de soutien et sa tête dépassait à peine les toits de la plupart des véhicules et une fois encore la chance aida car un mini-van stationné là masquait davantage sa présence. De curiosité, ses grands yeux s’écarquillèrent soudain de frayeur en réalisant la nature du spectacle. Un homme tout en muscles dont l’allure la pétrifia s’en prenait apparemment à une femme aux cheveux longs. La scène était confuse et la peur qui la gagnait n’aidait pas à y voir plus clair, un réflexe de crainte ou l’instinct de survie la plaqua contre le pilier et elle se recroquevilla, fermant ses paupières et crispant ses petits poings, en entendant les bruits de lutte. Néanmoins, elle rouvrit un œil et se risqua de quelques centimètres, ne pouvant rester sans savoir ce qui se déroulait en dépit de cette peur qui lui tenaillait l’estomac. La femme ne se laissait pas faire par son agresseur. S’agissait-il d’une dispute de couple ou l’attaque d’un malade mental sur une représentante du sexe faible ? Difficile à dire pour Aya, peu experte dans ce domaine, qui reconnut, à sa grande surprise, une enseignante de son lycée Phillips-sensei ! Cela devenait de plus en plus inquiétant, malsain même.

*Quelqu’un va forcément arriver et tout va bien se passer* Se rassura-t-elle, le cœur battant à tout rompre et se demandant pourquoi elle avait oublié son téléphone portable dans son sac de cours. Si quelqu’un devait venir, il ferait tout même bien de ne pas se perdre en chemin car le terrible individu avait mis la main sur la sensei et la hissait au-dessus du sol. Cette façon de la soulever lui parut étrange même si elle ne parvenait pas à mettre le doigt sur ce qui clochait pas plus qu’elle ne comprenait pourquoi elle sentait son attention captivée par la professeur. Et que faire ? Crier ? Quand bien même sa gorge ne serait pas serrée, elle attirerait l’agresseur sur elle et il n’y avait aucun moyen d’échapper à un homme adulte. Bouger à l’abri des voitures ? Il lui faudrait passer à découvert à un moment ou un autre et le problème de la fuite se posait de nouveau. Le cri de terreur de la sensei suivi des
Lâchez-moi ! la glacèrent jusqu’au sang et elle resta là, clouée au sol derrière son pilier, près du mini-van.

Don

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 9 jeudi 22 octobre 2009, 17:44:10

Le visage de Don dont les yeux étaient encore fermés aveuglé par le poivre dans la figure serrait les dents, lui donnant un air encore plus redoutable et déformant les traits de son visage pour que ceux ci apparaissent comme ceux d'un monstre inhumain a la belle Succube. Don avait un visage assez agréable, mais la douleur le rendait fou, et dans le cas présent il avait affaire a une non humaine, elle possédait peut être le pouvoir suffisant pour l'abbatre d'un claquement de doigt. Il n'avait plus a prendre des gants, il devait frapper. Tant pis pour elle, ramenant la tête d'Emilia près de la sienne alors qu'il serrait les dents il lui lança

"Tais toi donc imbécile ! Si tu n'avais pas résisté rien de ça ne serait jamais arrivé !"

Il la lança sur le sol avec violence pour la laisser s'y étaler. Le prédateur avança a pas lent vers elle, avec le choc electrique elle ne devrait plus tenir sur ses pieds, le poivre lui brulait les yeux, il ne remarquait rien plus loin que le bout de son nez, Aya aurait pu sortir, si jamais Emilia ne lui disait pas clairement qu'elle était là il ne l'aurait pas vue. Poussant un second cri de douleur alors que le poivre continuait a lui bruler les yeux il lacha

"Les hommes sont sensés vous protéger ?Tu crois que tu as besoin de protection monstre ? Je vais te montrer le rôle d'une femme !"

Cria Don alors qu'il passait a taton sur le corps d'Emilia, posant une main lourde sur sa fesse droite a travers sa juppe de cuir, la positionnant sur le ventre pour pouvoir passer sur elle et retenir ses coups. Il arracha la juppe de la professeur d'un simple geste alors que de sa main libre il commençait déjà a toucher sa poitrine a travers ses vetements
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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 10 jeudi 22 octobre 2009, 22:23:25

Il m'avait encore fait tomber au sol. Mes lunettes ont quitté mon visage et se sont brisé en entrant en contact avec le sol. Je regardai les éclats de verre puis je lâchai un cri alors qu'il m'arrachait ma longue jupe, révélant ma culotte de dentelle violette. Il me déshabillait, ce salopard, et maintenant, je sentais ses mains puissantes sur mon corps, me souillant. Je lâchai un cri, essayant d'alerter quelqu'un, me débattant. Je me fis alors glisser contre lui et je lui mordis sauvagement la main, y laissant une marque ensanglantée avant de me défaire de lui puis de me diriger vers l'école, me couvrant avec les restes de ma jupe. Dans le stationnement, mes talons-hauts faisaient un bruit très sonore, mais, malheur à moi, la porte était verrouillée... et ma clé... ma clé était aux pieds du monstre qui voulait me violer! Paniquée, je cherche une autre issue, mais la sortie du garage est à l'opposé de la porte du Lycée et il faudrait que je passes près de l'homme.

Mon dos était plaqué contre la porte, j'essayais de rester à distance de l'homme, respirant tellement vite que mes poumons et mon cœur risquaient de me lâcher en même temps. J'avais peur, très peur. Et j'avais aussi honte, parce que j'en voulais quand même, de ce viol. Entre mes cuisses, une légère humidité s'était établie et mes tétons étaient tout durs, c'était tellement humiliant de se savoir désireuse, mais en danger de mort. Mouillée, ma culotte épousait maintenant les formes de ma vulve. Je regardai alors ma jupe en lambeaux avec une envie horrible de pleurer. Elle m'avait coutée tellement cher et maintenant, elle était irrécupérable. Je l'avais faite faire sur mesure, ayant resté dans la même position tout le temps de sa conception et j'ai fait les motifs dessus moi-même et j'ai passé deux semaines à la rendre aussi magnifique... et maintenant, elle était ruinée, RUINÉE!

Je regardai cet enfoiré avec une rage que je n'ai jamais eue auparavant. Je serrai les poings puis je marchai vers lui avant de lui foutre une gifle douloureuse (pour moi) en plein visage, emplie de colère et de rancune. S'il croyait que j'allais lui laisser l'honneur de me violer avec la manière dont il a traité mes vêtements, il se foutait le doigt dans l'oeil. Un bon violeur aurait retiré mes vêtements sans les endommagé et mes les aurais PEUT-ÊTRE piqué pour les revendre, mais ce salopard avait ruiné mon travail et celui des meilleurs couturières de la villes. C'était un cuir tellement rares que seuls les multi-milliardaires avaient la chance de mettre la main dessus avant les gens normaux.

-Espèce de salopard! J'ai du économiser huit semaines pour la faire faire!

Soyez de bons élèves et je vous récompenserai.

Don

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 11 jeudi 22 octobre 2009, 22:46:19

Mais c'était une véritable sauvageone ! Comment est ce qu'elle arrivait encore a lutter comme une lionne après ce qu'il lui avait fait ?! La dose avait visiblement pas été suffisante. Il allait devoir la zapper jusqu'a ce qu'elle tombe en cendres ! Lui qui s'attendais a quelque chose de rapide, même avec une succube, mais non, il fallait que celle ci lutte comme une folle, criant quand elle lui mordit la main il la relacha par mégarde et serra les dents...Ah la garce, dès qu'il aurait réussi a remettre la main dessus il allait telllement la cogner qu'elle en perdrait des dents ! Don n'était pas un violent, il n'aimait pas abimer la marchandise qu'il revendait après tout chère et de bonne qualitée. Mais quand il avait mal il devenait completement fou, bestial, animé par une rage folle, il se redressa accroupi, presque a quatres pattes et fonça vers l'endroit où il entendait les bruits de pas, ironie du sort, il croisa Aya en courrant et elle eut l'opportunité de voir son visage plein de rage, peut être même la peur qu'il la repère, mais il était passé sans la voir a cause du spray qu'il avait dans les yeux et avait continué son chemin, puis, le son des talons s'était arrété et Don ralentit le pas, inutile de s'annoncer a l'ennemi pour qu'il anticipe sa venue. Il allait devoir la jouer fine. Lentement il se mit a avancer, faisant le moins de bruits possible. Il avançait comme un loup traquant sa proie avant finalement d'entendre celle ci avancer vers lui.

Relevant le nez comme un animal, il sentit une gifle lui claquer au visage alors que celle ci protestait. L'esclavagiste, ni une ni deux, attrapra Emilia par le bras alors qu'elle le corrigeait et lui cria


"TA PREOCUPATION ACTUELLE C'EST MOI !"

Cria t'il alors qu'il lui assenait sans aucune douceur un crochet du droit en plein ventre pour lui couper le souffle avant de la saisir par les cheveux. Si il ne s'était pas retenu il lui aurait brisé le nez sur son genoux, mais le fit au dernier moment, elle eut donc l'occasion de voir le genoux monter vers son visage pour s'arrêter alors qu'il balançait Emilia au sol, ce coup devrait être suffisant pour faire ce qu'il avait a fairE. Sans se gener, il s'assit sur elle et saisit tout ce qu'il put trouver comme vetements avant de les arrachers un par un, ne se controlant plus, une fois qu'il fut sur d'avoir dénudé la poitrine il se pencha sur son corps et lui mordit le sein droit avec violence
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Émilia Phillips

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 12 vendredi 23 octobre 2009, 00:21:27

Son coup était violent, violent et douloureux. Tout mon souffle me fut ainsi arraché alors que je tombai sur le sol, incapable de récupérer de l'air. Je me pliai en deux sous ce coup brutal. Son poing était massif et puissant alors que mon ventre était menu et fragile. Mon dos en ressentit le choc et un bruit de craquement se fit entendre alors qu'il entra en contact avec la main de mon agresseur. Lorsque le choc fut passé, je tombai sur le dos, gémissant ma douleur lorsqu'il se fut assit sur moi. Alors que j'étais au sol, juste avant que ce géant ne fusse assis sur moi, j'ai pu voir une de mes élèves, plus loin, cachée. Le poids de l'homme sur moi m'étouffa sur le moment, mais je ne m'en plaignis pas, détachant mon regard de la petite Aya pour ne pas qu'elle soit repérée. Mon regard empli de larmes fixaient la bête qui voulait mon corps avant que celle-ci ne pose son horrible bouche sur mon sein droit, enrobant en même temps mon téton de sa langue chaude avant de me mordre, m'arrachant un cri de douleur et, en même temps, de plaisir.

J'ai toujours été une masochiste, ce n'était pas une nouveauté, mais cela était horrible d'aimer être violenter par un homme qui veut vous asservir. J'avais peur, très peur, surtout que je ne voulais pas m'attacher à un tel être. J'ai remarqué que j'adorais tout ceux qui m'offrait du plaisir et que je finissais par les aimer, même s'ils étaient désagréables et cruels avec moi, je finissais par tomber amoureuse, comme j'étais amoureuse d'un bon nombre de mes élèves. Je le laissai cependant faire, caressant doucement les cheveux de l'homme pour qu'il se calme. Peut-être pourrions-nous passer un moment plus agréable que ce qui s'est précédemment produit... mais il devait être consentant à cette nouvelle idée. Je me soumettais à lui, mais il devait arrêter de me faire mal, ainsi, tout se passera pour le mieux pour lui comme pour moi et on sera tranquille. Ma jambe remonta doucement contre son sexe puis se mit doucement à caresser le sexe de l'homme. Plus un homme était agressif, plus il avait besoin de douceur. Les plus grands psychologues ont affirmé que les hommes violents sont des hommes blessés, qui avaient besoin de compréhension. Je voulais surtout offrir une chance à mon élève une chance de fuir sans être attrapée.

Soyez de bons élèves et je vous récompenserai.

Aya Endô

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Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 13 vendredi 23 octobre 2009, 15:44:27

Comme il était simple de pester contre la stupidité et la lâcheté des personnages de certains films où confrontés à une situation difficile requérant des actions dont la logique semblait évidente et pertinente pour le simple spectateur assis au milieu de ses amis dans une salle de cinéma. Affronter au dépourvu la situation terrible prenant place dans le parking, cela paralysait la frêle Aya et consciente qu’il s’agissait d’une agression, elle n’arrivait pas à déterminer si c’était là une dispute de couple ayant dégénéré. Tétanisée, un voile assombrit son regard quand elle sentit l’odeur de transpiration masculine laissée par le passage du colosse lancé sur les pas de la sensei qui avait essayé de fuir par une porte de service. Fermée à clef malheureusement !

Esquissant un mouvement autour du pilier, sentant ses tempes pulser follement, la lycéenne s’assura de rester hors de vue de ce barbare qu’elle pouvait désormais entrevoir de dos. Un dos large et bien bâti, ses bras s’activant férocement et dépouillant la pauvre et jolie enseignante de ses habits. Un cri s’étouffa dans la gorge juvénile muette de terreur. L’empathie naturelle d’Aya envers ses semblables, surtout les femmes, faisait qu’elle partageait le calvaire de la victime dont elle se sentait étrangement proche, comme si elle était une amie, une parente. Or elle connaissait à peine Phillips-sensei, sachant évidemment combien elle était populaire parmi les élèves. Peut-être était-ce à mettre sur le compte du regard qu’elles échangèrent juste avant que la brute ne lui tombe dessus. En effet, l’enseignante – et non l’agresseur par chance – l’avait aperçue alors qu’elle se repositionnait à l’abri derrière le massif pilier de béton et une brillance dans les yeux de la jeune adulte l’avait déstabilisée et en elle était né un élan, une chaude et mystérieuse vibration, comme si son corps répondait inconsciemment à quelque chose émanant de la belle Emilia. Ce qui n’arrangeait en rien son sentiment de confusion et désemparée, elle assista à la douceur, les caresses que la supposée victime offrait maintenant à la grosse brute. Dispute de couple en train de s’arranger ? Comment en être sûre ? Prévenir la police paraissait encore la solution la plus logique mais il faudrait pour cela prendre le risque de contourner le mini-van blanc puis repartir par où elle était arrivée. Mission presque impossible…elle peinait à rester debout et se voyait mal courir pendant plusieurs dizaines de mètres sur ses jambes flageolantes. Un œil anxieux fixé sur la scène, spectatrice impuissante, elle aurait aimé que tout cela ne fut qu’un hideux cauchemar et pria les esprits de ses ancêtres pour que l’agression de la sensei prenne fin dès maintenant.


Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Dans le parking...[Privé]

Réponse 14 samedi 24 octobre 2009, 15:21:04

Peut être qu'Aya considérait celà comme une réconcilliation sur l'oreiller musclée, mais Don quand a lui avait la rage au corps, il aurait peut être était un peu plus psychologique si Emilia ne l'avait pas autant mis en boule, mais là il était clair qu'il n'avait absolument aucune envie de négocier ou d'essayer de traumatiser Emilia : il avait bien trop mal pour tenter d'élaborer le moyen de briser son état psychologique et était revenu au stade de bête féroce. Et dire que la professeur aurait pu fuir sans qu'il la retrouve si elle avait simplement enlevé ses talons aiguilles, avec sa jupe en moins, il n'y aurait pas eu de quoi fouetter un chat...Mais le fait qu'elle soit restée, soutenue par le fait que celle ci le caressait confortait Don dans le fait que cette succube voulait ce qui allait lui arriver, il lui tira les cheveux.

"T'aime ça hein sale garce ?!"

La subtilité n'était plus au rendez vous, en temps normal Don aurait été plus psychologique, plus pervers, il aurait cherché les mots qui faisaient mal, mais là tout ce qui importait, tout ce qui importait pour le marchand d'esclave, c'était se défouler sur Emilia. Il lui lécha le cou et mordit celle ci a l'oreille

"Malgré tout tu reste ce que tu es : une saloperie de monstres qui écarterais ses jambes pendant qu'elle se fait violer."

Fit il alors qu'il la soulevait et la plaquait contre un pillier, retirant son imperméable, finissant entièrement nu dans le Parking, il la pris immédiatement et sans aucune douceur, enfonçant son sexe le plus violement et le plus profondement qu'il pouvait en elle

"Allez ! Crie ! Appelle a l'aide ! Personne ne viendra sauver une salope comme toi !"

La finesse n'était définitivement plus au rendez vous.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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