Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ayame Usui

Créature

Abus en direct ( Pv Georgette Lenoble )

jeudi 14 avril 2022, 00:28:20

Ayame se trouve actuellement au volant d'une voiture, cette dernière n'étant pas la sienne, mais une qu'elle avait loué pour la soirée. Elle avait bien une voiture personnelle qu'elle pouvait conduire, si elle prenait le temps de le faire, sa voiture prenant la poussière au vu de la fréquence à laquelle elle l'utilisait. Mais la tanuki avait ses raisons d'utiliser une voiture louée pour ce soir ... elle avait reçu une somme d'argent plutôt généreuse, avec une demande très spécifique ... et Ayame attendait simplement de pouvoir passer à l'acte.
La nuit était déjà bien avancée à l'heure actuelle, un brouillard léger étant même visible dans l'obscurité de la ville, donnant presque une apparence lugubre à la nuit noire ... apparence qui pourrait sembler approprié, vu ce que la tanuki allait faire.

Ayame attendait actuellement à proximité du cinéma, surveillant les personnes qui en sortait, une photo affichée sur son téléphone ... elle attendait qu'une personne en particulier sorte du cinéma, et elle ne devrait pas tarder, le cinéma ayant dû diffuser sa dernière séance pour la soirée ... Ayame devait simplement faire preuve de patience.
Et la tanuki n'eut pas besoin d'attendre trop longtemps, repérant la personne qu'elle attendait. Elle garde son attention sur sa cible, attendant une occasion d'agir ... elle pourrait difficilement faire quoique ce soit tant qu'elle resterait à l'entrée du cinéma, étant toujours peuplée, malgré l'heure tardive. Mais Ayame avait simplement besoin d'attendre, et rien de plus, l'occasion d'agir allait bien finir par se présenter à un moment ou un autre.
Le moment d'agir ne tardait donc pas vraiment à arriver, la cible de la tanuki s'éloignant de l'entrée du cinéma, tournant au coin de la rue, se dirigeant vers une autre rue largement moins peuplée. Et étant donné l'heure, Ayame était basiquement garantie que la rue serait déserte ...

Sans la moindre hésitation, Ayame démarre l'engin, suivant de près sa cible pour ne pas la perdre, roulant à un rythme lent ... et rapidement, la tanuki repère la personne qu'elle suivait, seule et sans défense.
Ayame accélère doucement la voiture, s'arrêtant brusquement à proximité de la jeune femme qu'elle suivait, sortant en vitesse du véhicule. Et sans que sa cible ne puisse pousser le moindre cri, la tanuki immobilise sa pauvre cible, la bâillonnant sans perdre une seule seconde, tout en prenant soin de bloquer sa vue, avant de finir le tout en limitant les mouvements de sa cible, liant les mains à l'aide d'une corde ... tout donne l'impression que ce n'est pas la première fois que la tanuki agit de la sorte.
Une fois que sa cible se retrouve capturé, ayant pu faire cela pratiquement sans le moindre cri de la part de sa victime, Ayame force celle-ci dans le coffre de son véhicule. Elle ne perd pas une seule seconde pour quitter la scène du crime qu'elle venait de commettre, s'en allant sans faire rugir le moteur du véhicule, pouvant donner l'illusion que la cible d'Ayame s'était subitement évaporé dans la nuit noire.

La route n'était pas longue avant qu'Ayame et sa cible arrivent à destination, à une cabane perdu dans la forêt voisine de la ville. La tanuki ne perd pas du temps pour sortir du coffre sa pauvre victime, ne disant pas le moindre mot alors qu'elle pousse sans réelle délicatesse sa cible vers la cabane.
À l'intérieur de la dite cabane, Ayame ne perd pas du temps pour installer sa victime. C'était loin d'être une situation confortable pour elle, se retrouvant à même le sol, et même si Ayame avait défait ses liens, cette dernière se voyait malgré tout restreinte dans ses mouvements, étant attaché à une barre au milieu de la pièce qu'elle se trouvait. Au mieux, elle pourrait se déplacer dans un rayon de 2 mètres autour de la barre.
Etonnamment, Ayame enlève le bâillon de sa victime, lui permettant de respirer à plein poumons, et lui permettant de laisser sa voix sortir ... mais surtout, la tanuki enlevait ce qui obstruait la vue de sa victime. Mais elle ne pourrait pas forcément voir pour le moment, deux projecteurs pointés dans sa direction l'aveuglant soudainement de lumière dans cette pièce sombre.
Jetant dans un coin de la pièce le bâillon et tout, la tanuki se dirige entre les projecteurs, allant tapoter dans le plus grand des calmes sur un ordinateur portable, activant sans plus attendre une caméra, enregistrant ce qui était en train de se passer ... plus que cela même, la tanuki était en train de diffuser en direct ce que la caméra voyait !

Ayame ne peut contenir un léger rire, cette dernière pouvant ressentir une certaine excitation quand à ce qu'il allait se passer, cela étant assez peu commun pour être noté. Sa victime devait commencer à s'habituer à la lumière des projecteurs, et pourrait donc voir son bourreau ... mais elle n'avait aucune chance de pouvoir l'identifier, Ayame portant un masque pour éviter la possibilité d'être reconnue ...

Pourrais-tu sourire pour la caméra ? Tu es en direct après tout ...

Ayame ne cachait pas son sourire en disant cela, ne faisant rien de plus pour le moment, souhaitant voir la réaction initiale de sa victime, tout en laissant un peu de temps pour que des gens rejoignent le stream ...

Georgette Lenoble

Humain(e)

Re : Abus en direct ( Pv Georgette Lenoble )

Réponse 1 samedi 23 avril 2022, 21:06:10

Ce soir pour me détendre un peu pendant qu'on termine l'emménagement au manoir, j'ai demandé à mon nouveau chauffeur de m'emmener au cinéma. Je voulais voir un film gai et sympathique, pour essayer de fêter un peu mon arrivée dans ce nouvel endroit fort accueillant. Un film où il y aussi de l'amour et où les plus malheureux, finissent par vivre aussi un peu heureux. Je n'aime pas trop les films dramatiques, parce que ça me fait tout de suite pleurer. Quant aux films d'horreurs, j'en ai tellement peur que je ne peux jamais en regarder. Donc c'est après avoir voulu manger des petites choses sympathiques, pour apprendre à encore mieux découvrir la bonne cuisine locale, que je suis partis d'un petit bar sympathique, pour ensuite aller au cinéma et choisir ma séance. C'est évidemment toute seule, parce que je n'ai pas encore trouvé d'amis à me faire pour l'instant, que je regarde ensuite le film dans une salle, qui n'est pas trop bondée. Une fois la séance terminée à peu près deux heures plus tard, je retire mes lunettes rouges que je mets quand je suis devant un écran, parce que j'ai parfois mal aux yeux. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai beaucoup aimé le rouge et le vert. Le blanc aussi, c'est joli et c'est lumineux. Mais voilà que à peine tout le monde commence à sortir, que le chauffeur me bi, en me disant être prêt à me reprendre. Comme j'avais envie de marcher seule, je lui dis de ne pas m'attendre. J'étais quand même assez grande pour rentrer toute seule si j'en ai envie, non mais!

C'est en gonflant un peu les joues, que je décide de vouloir renter à pied au manoir. Bon c'est vrai que ce n'était pas tout à côté non plus, mais j'en ai parfois marre qu'on me prenne encore pour une enfant. Donc je profite de l'air à la fois frais et moite, à cause de la présence d'un léger brouillard, pour marcher dans les rues nocturnes. Pendant que je regarde un peu ce qui est encore ouvert ou pas à cette heure déambulant tranquillement, je finis par arriver dans une rue beaucoup plus étroite et calme. Alors que j'en profite pour essayer de regarder un peu par là où il y a encore de la lumière, comme  derrière les fenêtres des vieilles maisons où tous ces pauvres gens doivent se sentir si injustement à l'étroit, une voiture passe à côté de moi... et s'arrête subitement?...

- Hein?...

Sans vraiment m'inquiéter, j'ai quand même un petit frisson quand je vois quelqu'un qui sort rapidement. J'ai alors le souffle bloqué, quand la personne qui ressemble à une fille de mon âge ou peut-être une femme plus âgée que moi, me met directement quelque chose dans la bouche, avant de me la coller ensuite!

- Mmmmh??? Mmmmmmmh!!! Mmmmmmmpf!!!

Je n'ai même pas le temps de comprendre ce qui se passe, que j'ai la vue obstruée et juste après, on me ligote même les mains. Sans savoir quoi faire, on me pousse très vite dans ce qui semble être le coffre de la voiture, qui vient tout juste de s'arrêter à côté de moi. Quand je l'entends claquer, le véhicule se met à rugir et à démarrer, je ne savais pas du tout où!...

- Mmmmmmh!!! Mmmmmmh!!! Mmmmmmmh!!! Mmmhhhh!!!

Cette fois, je panique! J'ai peur et je ne vois rien! Je ne sais même pas où on m'emmène!... Est-ce que j'aurais fais quelque chose de mal? Je ne savais rien, mais j'étais maintenant allongée dans le coffre d'une voiture, avec quelqu'un qui était en train de conduire, sans même savoir qui c'était... J'ai alors le coeur qui bat à toute vitesse! Je tremble et je finis par vite pleurer. J'étais terrorisée et je n'arrêtais pas d'essayer d'appeler mes parents, mais j'avais la bouche fermée, a cause du tissus qui me bloquait l'intérieur. Alors j'essaie de me calmer... J'essaie de me dire que tout va bien aller. Que c'était une mauvaise blague qu'on était en train de me faire. Que je n'étais pas en danger et que personne n'avait de raisons de vouloir me faire du mal comme ça. Je sais qu'on ne m'aime pas beaucoup, mais je suis certaine que tout va très vite s'arranger. Enfin je l'espère... Puis assez rapidement, la voiture finit par s'arrêter enfin. Je recommence alors à trembler de peur, quand j'entends le coffre s'ouvrir...

- Mmmh? Mmmh! Mmmh!

Tout en bougeant mais pas trop non plus, parce que j'avais peur que la personne s'énerve après moi, je sens que je marche d'abord sur quelque chose qui ressemble à de la terre, avec du bois et des feuilles. Sans me demander mon avis, je suis entrainée assez fortement à l'intérieur d'une maison qui semble faite avec des planches en bois, je crois. La personne, s'il s'agit toujours bien de la femme de tout à l'heure, me force ensuite à m'asseoir par terre. Elle délie après plus ou moins mais mains, avant de me retirer le bâillon qui m'empêchait de parler et de respirer jusqu'à présent...

- Aaaah!... Que???... Aaah!...

Quand l'air entre dans mes poumons enfin mieux libérés, j'ai comme plein de salive qui ressort par la bouche. Et alors que je suis sur le point de m'uriner dessus tellement j'ai peur de ce qui se passe, on me retire ce qui me cachait la vue. Mais je n'ai pas le temps de voir quoique ce soit, que je suis agressée par des violentes lumières, qui m'obligent à fermer les yeux! Je... Je veux rentrer chez-moi!... Mais je n'osais même pas parler encore. J'étais tellement terrorisée, que je me disais qu'on ne me ferait peut-être pas trop de mal, si je ne faisais rien de déplaisant. C'est une des choses que j'ai appris, à force d'être persécutée. Ne pas réagir, pour avoir moins à subir de coups et les insultes. Mes parents m'ont plusieurs fois dit que ce n'était pas la bonne méthode, mais moi j'avais vraiment l'impression qu'on m'embêtait un peu moins, quand j'acceptais de me laisser faire.

Pendant que je continue de respirer à plein poumons. Que je ne suis pas loin de pleurer encore aussi, j'entends marcher. On dirait que les bruits de pas s'éloignent un peu et que la personne est en train de pianoter sur un ordinateur... Mais je suis ensuite encore terrorisée, quand je l'entends rire! Qu'est-ce elle préparait? Que...

- S'il-vous-plait, laissez-moi partir!... J'ai peur! Je n'ai rien fais de mal, je vous le jure! S'il vous plait madame! Laissez-moi m'en aller et je ne dirais rien à personne!

Alors que j'ai les yeux qui s'habituent un peu à l'aveuglante lumière qui m'éclaire dans ce drôle d'endroit, je regarde en direction de la personne de tout à l'heure, tout en lui suppliant de me laisser m'en aller. Mais Je ne voyais pas du tout à quoi elle ressemblait, comme elle avait un masque... Mais tout ce qu'elle me dit juste après, c'est de me demander de sourire à... à la caméra qui me filme en direct?

- Non! Non! Arrêtez s'il-vous-plait! Non!...

Et voilà qu'en plus de me remettre à pleurer, que ma vessie ne tient plus du tout le coup. Je sens honteusement ma culotte se mouiller et chauffer, sous ma robe... Pendant que je fais pipi par terre, je tremble comme une feuille morte, des pieds à la tête. Je ne comprenais rien. J'avais alors peur qu'on me fasse vraiment du mal. Beaucoup plus encore que toutes les autres fois. J'ai détesté entendre ça, mais je n'ai plus dormis pendant des semaines, quand on m'a dit un jour qu'il existait un internet qu'on ne voyait pas. Ici, on pouvait voir des personnes se faire torturer, violer et même tuées... Mais je suis certaine que c'est faux! Ce genre d'endroits ne peux pas exister! C'est de la science fiction! Tout ça n'est que du mensonge, pour me faire peur!


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