Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

Show me your love Arc 1 - Akira meets Mizuho

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The Dark Idol:
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"Mizuho? Hey Mizuho? Qu'est ce que tu regardes?"

Juchée en haut de l'escalier B menant aux salles de cours, la fille interpellée par sa camarade de classe ne répondit pas tout de suite. Avec un sourire un coin, elle regardait le garçon,  un étage plus bas qui venait de tourner vivement la tête. Il la matait, elle le savait. Il la dévorait du regard dès qu'il pouvait. il y avait de quoi. Mizuho était la senpai de dernière année que tous ses cadets  rêvaient de fourrer dans leur lit. Elle était de taille moyenne, très bien proportionnée sans tomber dans l'archétype de la bimbo mais dégageait une présence qui intimidait les garçons. Ses pupilles noisettes accordées à ses cheveux courts lui donnaient un air mutin surtout quand elle plissait les yeux d'amusement. Mais ce qui faisaient fantasmer toute la populace estudiantine et masculine du lycée étaient ses lèvres. On lui donnait tout un tas de surnoms et tous avaient un rapport avec ses talents de fellatrice. Il y avait beaucoup de on-dit mais personne ne s'était enorgueillit réellement de l'avoir eut agenouillé entre les cuisses.

Bien évidemment, cette réputation était avérée mais tous ses partenaires étaient des universitaires plus âgés. La fellation, c'était toute la vie de Mizuho. Elle était une experte dans ce domaine et ne s'avouait satisfaite que gorgée ou recouverte de sperme. Bien entendu, son père avec qui elle vivait n'en savait rien ... Il était horriblement protecteur et avait démoli une fois le seul petit copain qu'elle avait osé ramené à la maison.

"Rien, je ne regarde rien, que disais-tu?"

Elle portait aujourd'hui l'uniforme règlementaire de l'école: une chemise blanche  à manches longues boutonnée jusqu'au cou et fermé par un joli nœud couleur or, une jupe brune à bretelle (bien plus courte que celle des autres étudiantes) dévoilant une petite culotte rose, et des bas sombres tirés jusqu'à mi-cuisses. Les talons étant interdits au lycée, elle avait chaussé des mocassins en cuir à boucle unique.

Elle connaissait de vue se garçon qui n'avait pas raté le spectacle de son exhibition volontaire. il s'appelait Akira et leurs deux classes partageaient une fois par semaine le créneau sport de monsieur Tano. Ce jeune lycéen, elle devait avoir deux ou trois ans de plus que lui, était la terreur de l'établissement. Lui et sa bande tyrannisait les bandes adverses ou les élèves qui ne s'écartaient pas assez vite devant eux et avaient même une fois insultés un professeur. Akira jouait les durs et ça faisait sourire Mizuho car dès qu'elle était proche de lui, il perdait ses moyens. Elle l'avait effleuré une fois à la piscine et il était tombé à l'eau, au bord de l'évanouissement. C'est cette fois là d'ailleurs qu'elle avait remarqué ... qu'il était membré comme un taureau. Elle aussi avait manqué un battement de cœur mais ça ne s'était pas vu. Elle avait lorgné sur le maillot trop serré du garçon durant tout le cours, et les suivants aussi d'ailleurs. Depuis elle s'imaginait sucer cette queue prometteuse assez fréquemment. Cette envie n'était que physique, ils n'avaient jamais parlé et ne faisait rien ensemble à part le sport. Akira n'était pas de reste et elle le surprenait souvent à la regarder en douce. Est-ce qu'il se masturbait en pensant à elle. Cette pensée l'émoustillait et aujourd'hui, elle allait tester les limites du garçon.

C'était l'interclasse et Akira devait passé par son casier récupérer ses affaires avant d'aller en classe. Elle venait d'y glisser un petit mot "Rejoins moi dans les toilettes pour filles du premier étage à 10H30. Mizuho" et sur le papier qu'elle avait prit soin de plier, elle avait précisé Ne lis ce message que quand tu seras en classe." Son écriture était très féminine et elle avait frotté le papier entre ses seins pour l'embaumer de ses effluves.

La sonnerie résonna et tous les étudiants se hâtèrent de rejoindre les cours. La discipline régnait dans ce lycée de Seikusu, seulement perturbée par la bande d'Akira. Akira ... elle était sûre qu'il était puceau. Il jouait les durs mais ne connaissait pas les joies du sexe, c'était certain. Son regard admiratif et envieux l'avait trahi et rien n'échappait à la prédatrice qu'était la jeune fille.

Mizuho n'alla pas en cours. Le professeur de biologie ne lui dirait rien, elle et lui s'attardaient parfois ensemble en salle de classe le vendredi après l'étude, quand ils étaient seuls. Elle se dirigea vers les toilettes des filles du premier étage et y entra. C'était propre mais ce n'était qu'un détail. Elle alla s'asseoir sur le bord de la cuvette des WC de la cabine du fond et attendit patiemment 10H30.

A l'heure dite, la porte s'ouvrit et ce n'est pas le pas léger d'un mocassin de fille qui claqua sur le carrelage.

"Je suis là, au fond! Tu viens?" Sa voix était sereine avec un timbre de légèreté.

Elle avait défait le nœud doré de son col et avait déboutonné les trois boutons du haut de sa chemise. Son décolleté offrait une vue plongeante sur sa poitrine confinée dans un soutien gorge sexy assorti à sa culotte.

Jack Taylor:
C’est d’un air renfrogné qu’Akira quitte le bureau du proviseur. Cette fois-ci, il risque bel et bien l’expulsion pour avoir envoyé à l’hosto un terminale qui voulait faire le malin en le vannant sur sa taille. Ni une ni deux, Akira lui a écrasé les couilles d’un coup de genou bien placé, avant de lui balancer deux grosses droites et de l’envoyer faire une bonne sieste. Car si Akira n’est en effet pas bien grand, il est trapu, et plutôt musclé pour son âge. A la différence du bulletin scolaire, ses notes en sport sont très élevées. Chose plus surprenante encore, sur un terrain, Akira fait preuve d’un admirable fair-play.

Mais pas en dehors.

“Putain, 'fait chier !”

A tous les coups, son père risque de le défoncer. Physiquement. Le caractère orageux d’Akira - qu’il partage avec sa sœur jumelle - ne vient pas de nulle part. Son père, avant de se reconvertir dans l’import-export, était un trafiquant notable d’opiacés. “Akira, ça va ?” Avec humeur, Akira repousse la main secourable de Toshio, que son sous-fifre s’est permis de lui poser sur l’épaule. “Ouais c’est bon, casse pas les couilles, mec.” Ce soir, il faudra qu’il en parle à sa grande sœur, la seule capable - par il ne sait quel moyen - d’apaiser l’ire de leur père. Putain, il est même pas encore 9h30, et sa journée est déjà niquée. D’un geste de la main, il congédie son pote, avant de descendre d’un étage pour aller récupérer ses affaires d’anglais dans son casier.

“Mh ?”

Il fronce les sourcils lorsqu’il remarque le papier soigneusement plié en quatre sur sa pile de manuels scolaires. Immédiatement, son cœur s’emballe. Une écriture de fille ?! Wow. Il n’a jamais reçu de petit mot. C’est probablement une farce. Il baisse les yeux, fronce les sourcils. Assurément, c’est une écriture de nana. Fine ronde, soignée. Il embrasse les environs du regard, mais le couloir est presque vide ; la cloche a retenti depuis cinq bonnes minutes et il est déjà en retard. Pourquoi en cours ? Et si c’était une nana de sa classe… Sayuki ? Hana ? Rah. Impossible de savoir ! Dans le doute, il obéit à l’injonction, fourre le papier dans sa poche et se rend en salle 301, pour assister au cours lénifiant de M. Taylor, un connard arrogant qu’il n’a jamais pu supporter, mais qu’il se garderait bien d’essayer d’intimider. Alors que l’européen interroge une élève au hasard sur la séance de la semaine passée, il sort le petit papier de sa poche, pour l’ouvrir délicatement, la bouche sèche. Toilettes. 10h30. Mizuho.

“Putain c’est quoi ce… Bordel ?”

Il a juré à voix basse, mais son voisin, un binoclard de première, lui jette un regard courroucé. Mizuho. Nan, c’est carrément impossible. Mizuho, c’est cette putain de bombasse inaccessible au commun des mortels. La suceuse de prof. Il a encore croisé l’adorable brunette, juste avant de se rendre dans le bureau du proviseur et il se souvient assez clairement avoir croisé son regard au moins deux secondes, avant d’avoir détourné les yeux sans demander son reste. Mizuho et ses gros seins, ses jambes interminables et ses lèvres pulpeuses. Son air indolent et sa démarche féline. Entre ses cuisses serrées, Akira sent sa grosse queue enfler à vue d'œil. Et si c’était possible ? Si elle avait vraiment jeté son dévolu sur lui ?

***
Une bonne demi-heure plus tard, Akira, en nage, pousse enfin doucement la porte des sanitaires féminins. Sourcils froncés, souffle court, il est sur ses gardes. L’adolescent a beaucoup d’ennemis - à juste titre - et il n’a pas écarté l’idée d’un traquenard. Dans son poing serré, le petit mot doux qu’elle lui a écrit.

“Mizuho-senpai … ?”

Lorsqu’une voix féminine lui répond, le garçon sursaute, et son cœur loupe un battement. Impossible de savoir si c’est elle puisqu’en réalité, il n’a jamais entendu sa voix, même s’il s’est masturbé un nombre incalculable de fois en pensant à elle. Plusieurs cabines sont grandes ouvertes, vides. Il avance avec prudence. Seule la cabine du fond est fermée. Le garçon se penche légèrement, et constate qu’il peut apercevoir d’adorable petites pieds chaussés de mocassins vernis. Wow… Les doigts tremblants, il fait sauter les deux premiers boutons de son uniforme, avant de poser le plat de sa main sur le battant en bois verni.

“Mi… Mizuho-senpai.” tétanisé, l’adolescent recule d’un pas.

Il a du mal à y croire, mais c’est bien elle, sagement assise sur la cuvette des chiottes, le haut de son uniforme largement ouvert sur ses gros seins, compressés dans un élégant soutien-gorge en dentelle. Il rougit vivement, balbutie quelques monosyllabes. Son énorme chibre gonfle encore, jusqu’à tendre le tissu de son pantalon d’une manière particulièrement obscène. D’un geste, il plaque sa main libre sur son chibre, pour le plaquer sur le côté de sa cuisse, mais le mal est fait. Lorsqu’enfin il parvient à reprendre la parole, le regard fuyant, sa voix est faible, mal assurée.

“Tu… Voulais me voir ?”

The Dark Idol:
Pour elle, c'était un scénario déjà vécu un nombre incalculable de fois. Le garçon arrivait dans tous ses états. Il portait les stigmates d'une longue rumination teintée d'incertitude et présentait une personnalité toute autre que celle habituellement affichée. Que ce soit un sportif arrogant, un intellectuel encore plus arrogant, un jeune ou un vieux, tous réagissaient de la même manière. Mizuho faisait perdre leurs moyens aux hommes. Elle n'en surjouait pas et s'en moquait en réalité, la seule chose qui comptait était ce qui pendait entre leurs cuisses. Elle n'avait pas vraiment de petit copain. Elle préférait certains types à d'autres mais le nombre ahurissant de gars devant qui elle s'agenouillait ne lui permettait pas de jeter son dévolu sur l'un plutôt que d'autres ... beaucoup beaucoup d'autres. Akira ne faisait pas exception à la règle. il était là parce qu'elle avait remarqué qu'il était bien foutu.

Elle avait failli éclater de rire quand il avait poussé la porte. Ce geste héroïque précédait sa question prononcée surement pour se rassurer lui-même qu'être sûr qu'elle soit bien là. Il avait la mine de celui qui voit une apparition divine alors qu'il ne croit pas en Dieu. Elle s'était retenue et avait simplement sourit en constatant qu'une fois de plus, la règle du type hébété était de mise. heureusement, il ne transpirait pas à grosses gouttes. Ça ... ça viendrait peut être après.

Comme frappé de stupeur, il venait de faire un pas en arrière et elle lança un bras en avant pour le rattraper et le tirer dans la cabine qu'elle referma à l'aide du loquet. ils étaient proches l'un de l'autre, très proches. La poitrine de la jeune femme pressait contre le haut du torse du garçon. Elle était plus grande que lui et pouvait sentir son souffle précipité contre son cou. Dans un autre monde, Mizuho aurait été une succube ais là, elle était bien humaine et elle savait ce qu'elle voulait. Akira n'était pas parvenu à cacher sa trique et c'était un bon point. D'office, la première fois qu'elle l'avait vu, elle lui avait attribué un 10/10 avec mention très gros.

"Oui, je voulais te voir."

Elle se collait à lui et venait de lui attraper la queue qu'elle masturbait doucement à travers le tissu de son pantalon. Elle était ravie! Le membre dur qui grossissait était prometteur. Espérons qu'il était aussi endurant.

"Tu crois que je n'ai pas remarqué que tu me mates tout le temps? Tu es un pervers Akira! Tu as la trique dès que tu me regardes. Je t'ai vu à la piscine, ton maillot ne cachait rien."

Elle s'excitait elle-même à l'allumer mais elle voulait rester maitresse du jeu. Elle lui lécha la joue et y laissa une longue trainée brillante. Il avait le goût un peu salé du lycéen qui avait pris sa douche la veille au soir et pas le matin avant de venir au bahut.

"Tu ... l'as déjà fait avec une fille?"

Elle lui mordilla le cou avant de continuer.

"Non ... je suis sûre que non ..."

Elle s'assit à nouveau sur le bord de la cuvette et s'attaqua à la ceinture du pantalon.

"Montre moi ta queu.... OOOHHHH!"

L'expression de surprise était bien réelle. L'engin qui venait de jaillir devant son nez était hors-normes. Muette de surprise, elle louchait devant et tendit un index curieux pour donner une pichenette au gland gonflé.

"C'est ... pas ... croyable!"

La note passa aussitôt de 10 à 15/10 mention inhumain. Elle releva les yeux sur le garçon.

"Pourquoi tu m'as caché ça vilain pervers?"

Elle huma la délicieuse odeur qui émanait du sexe tendu et s'y frotta le visage toute heureuse.

"Et même sucer? Tu t'es jamais fait sucer par une fille?"

Jack Taylor:
Surpris par la poigne de son aînée, Akira manque de la percuter de plein fouet lorsqu’elle l’attire à l’intérieur. Dans son dos, le loquet claque sèchement dans sa charnière, scellant son destin. Un sentiment proche de la panique, l’étreint, lorsque ses yeux glissent sur l’ourlet des lèvres de la lycéenne quelque centimètres au-dessus des siennes. Lorsqu’elle s’approche, ses seins s’écrasent sur ses pectoraux, les doigts fuselés et verni de sa main s’emparent de son gros chibre à travers le tissu en coton du pantalon de son uniforme scolaire.

“Pour… Quoi… Faire ?” Question stupide. Réponse stupide. “Pas tout le temps… Parfois”. Il ment, il y a des mois qu’elle l’obsède. Il est incapable de soutenir son regard, non plus que de tourner les talons et de s’enfuir. A supposer qu’il en ait vraiment envie, malgré l’appréhension qui lui tord les boyaux. Lorsqu’elle lui lèche la joue, surpris, il essaye de reculer, mais son dos heurte le battant en bois de la porte de la cabine. Il y a, derrière l’indolence de cette fille, l’ombre d’une gourmandise féroce qui l’impressionne.

“Non. Jamais.”

Inutile de mentir, Mizuho s’en rendrait compte, de toute manière, d’autant qu’entre ses doigts serrés, il est déjà au bord de l’éjaculation. Lorsqu’elle s'assoit, il la contemple, pantelant. Il se sent gauche, ne sait pas trop quoi dire, ni quoi faire de ses bras qui pendent mollement le long de son buste. “Attends Mizuho-senpai, ça va…” Trop tard. L’énorme chibre jaillit de sa prison de coton. Sa masse épaisse et veineuse décrit un arc de cercle vers la droite en sifflant et, si la brunette ne s’était pas écartée, le gland violacé l’aurait giflée. “Hmmpf.” Surpris du ravissement de sa camarade, Akira ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire timide.

“T’as vu, elle est grosse hein ?”

Sa fierté lui permet de reprendre un semblant de contenance… Qu’il perd immédiatement lorsque l’ongle de l’index percute le sommet de son gland. La grosse trique vibre, et Akira grogne, se mord la lèvre jusqu’au sang pour ne pas se laisser submerger par l’orgasme, frappant du plat de sa main sur la paroi gauche de la cabine. Il y parvient de justesse, en haletant, mais pour autant une belle coulée de foutre tiède s’échappe de son méat, pour dégouliner le long de sa hampe avant de souiller le carrelage des toilettes.

“...Non. Non plus. Jamais rien.”

Pas même un baiser. Mais les baisers, ça n’a pas l’air d’être le fort de Mizuho senpai. Alors que la jolie garce se penche en avant, frôlant sa queue odorante de la pointe de son petit nez, Akira s’interroge. Aurait-il aimé que sa première fois se déroule différemment, avec une jeune fille douce et timide ? Pas certain. “Oh putain”, murmure-il, quand la brunette écrase sa jolie petite gueule sur son énorme chibre, souillant d’elle même ses lèvres, son nez et son front de son foutre tiède. Il a un nouveau sursaut, mais cette fois, par réflexe, c’est sur la nuque de Mizuho que sa main se crispent, alors que sournoisement, il ondule lentement du bassin, afin de sentir le renflement de lèvres et du nez de l’adolescente contre sa tige érigée.

“Ah ! Pardon” s'exclame-il, lorsqu’il se rend compte qu’il y a une bonne dizaine de secondes qu’il se branle littéralement contre son visage radieux. “Senpai”, murmure-il, réalisant que les rulmeurs qui courent sur la jeune femme sont très probablement en deçà de la vérité. “Ca te plaît de… faire des trucs pareil ?” Putain. Il ne pensait pas qu’une meuf pouvait être aussi entreprenante, et aussi vicieuse. c’est carrément excitant, mais également un peu effrayant, mine de rien.

The Dark Idol:
"Oups! Hey! interdit de gâcher la moindre goutte!!!"

Mizuho se précipite pour laper d'un coup de langue râpeux la grosse queue sur toute sa longueur afin d'en prélever tout ce qui en coule. Elle marmonne un truc pas compréhensible et déglutit.

"A partir d'aujourd'hui, tu n'as pas le droit de gicler ailleurs que dans ma bouche ou sur mon visage d'accord?"

Le visage contre le sexe d'Akira, la goule s'imbibe de tout ce qui l'excite: la grosseur d'une belle bite, sa capacité à délivrer un max de sperme et à terme, jusqu'où elle pourra s'enfoncer dans sa gorge.

"Y'a pas de mal, n'hésite pas."

Akira venait de lui saisir la tête et s'agitait contre elle. Elle le laissa faire, qu'il prenne confiance et surtout que ça puisse durer le plus longtemps possible. Elle levait les yeux vers lui pour capter son regard et ne plus le lâcher. Qu'il était loin le petit dur qui se la jouait sur le terrain du campus. Il pouvait tenir tête sans problème à trois élèves plus âgés que lui et là, il n'en menait pas large face à une simple fille. Mizuho glissa ses mains sous la chemise du garçon et les remonta haut pour malmener ses tétons. Elle faisait des ravages avec sa langue qui paraissait interminable. Autant elle s'activait à la glisser pour écarter les lèvres du prépuce, autant elle s'enroulait autour du manche pour le râper sans merci.

C'est à ce moment-là que la porte des toilettes s'ouvrit à la volée et qu'une personne vint s'installer dans la cabine à côté de la leur. Mizuho posa son index sur ses lèvres et intima le silence à Akira. Ce n'était normalement pas nécessaire mais aux vues de l'état du garçon, un petit rappel était de mise. Ils entendirent un froissement de vêtement, puis un pet et le bruissement pressé d'un long jet d'urine. Mizuho sut mettre à profit la pétrification subite d'Akira en pressant ses lèvres autour du gland du garçon. C'était chaud et dégageait les effluves de la journée. La jeune salope s'en délecta en soupirant et le pompa avec application. Elle n'avait pas besoin d'appliquer une fellation magistrale, elle sentait bien que sa victime ne pourrait pas tenir longtemps. Aussi, elle s'appliqua à déguster la protubérance sans lui laisser le temps de récupération dont Akira avait fatalement besoin.

A côté, l'utilisatrice avait fini et quitta les lieux après avoir tiré la chasse d'eau. La pipe de Mizuho se fit plus pressante, plus affamée et entre deux aspirations, elle cajolaient cette queue contre son visage comme une petite fille à sa poupée. Les succions devinrent obscène et si Akira essayait de bouger, elle l'enlaçait de ses bras pour le garder au contact de sa bouche.

Une alarme lança un bip d'avertissement et sans cesser de sucer, Mizuho regarda sa montre. elle mâcha littéralement le gland tourmenté quand elle lui dit.

"Il va falloir que tu retournes en cours."

Du coup, elle le branla en douceur des deux mains, juste devant sa bouche grande ouverte, langue tirée. Il était temps qu'elle se nourrisse.

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