Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

Jeune fille pleine de vie recherche amis pour la vie [PV Georgette]

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Huang Jinyu:
Parfois il ne suffit pas de grand-chose pour s’attirer les foudres des mauvaises personnes, même si certains individus avaient, disons le franchement, le chic de les attirer tel une mouche avec du vinaigre. C’était un peu le cas de Naru Hori, une fille plutôt mignonne qui avait très vite compris que pour ce qu’elle désirait de la part des hommes, il était plus facile d’écarter les jambes que se creuser la tête pour l’obtenir. Le souci, l’avoir compris, se fut une descente aux enfers qui se résumait beaucoup à descendre une pente en vélo sans prendre la peine de vérifier si il y avait des freins. Beaucoup vous le dirons : il est toujours plus facile de détruire une réputation que de la fabriquer. A peine qu’elle avait commencé à le comprendre qu’elle avait dorénavant une réputation de traîné dès la première année juste pour avoir fait du rentre dedans à un intello pour avoir accès à ses notes. Pourtant il a été discret de son côté mais à Mishima, les murs ont des oreilles. Et si Kuzutetsu pardonnait rarement, Mishima de son côté était impitoyable envers ses élèves. Se faire traîner de putes et de moins que rien, ça été un coup de poignard pour elle, au point de se rabaisser tel quel. Une première année mémorable en sorte...

L’arrivée de ce beau gosse au allure de badboy avait pas mal changé la donne, ce Huang Jinyu. C’était un chinois et Naru n’aurait pas parier un Yen sur son cas au vu des tensions fréquentes qu’avait le Japon et la Chine sur la scolarité du jeune homme. Et pourtant, le jour où il avait éclaté le capitaine de l’équipe de base-ball qui l’avait pris en grippe en cherchant «à se faire un petit chinois» si on devait réutiliser ses termes. Pourtant ce jour là, Naru avait littéralement trempé la culotte. Ce fils de pute était le premier à la traiter de trainée avec les garces qui son fan club qui le suivait sans cesse, et pourtant à le voir chialer pendant que son pote saignait du nez et que sa nana s’était pisser dessus en se tenant la lèvre en sang après cette gifle bien placé, c’était tout un art. Tout comme ce qui avait suivi. Il était LE capitaine de l’équipe de base-ball ? Il pouvait faire en sorte de faire virer le petit nouveau si facilement ? Aller raconter que ce si fière gaillard, capitaine de base-ball, s’était retrouver avec sa batte dans le fondement, le tout filmer par téléphone. Si la vidéo n’avait pas circuler comme l’a promis Huang, c’était pourtant tout comme : la vidéo pour démolir sa future carrière sportive si jamais il lui prenait l’envi de remonter l’incident et d’utiliser son influence au Conseil des étudiants et à se démerder pour que les témoins se taisent sur ce qui a pu se passer ce jour là dans la salle de stockage. Quant au quotidien, Huang n’a jamais caché d’être le «mâle alpha» après cette histoire, en le rabaissant comme une merde quotidiennement et au vu des hématomes qu’il avait dû traîner la semaine qui a suivi. Et ne parlons pas du fait de le voir marcher en pingouin... La suite, les ragots n’avaient fait que suivre le cours des choses. Et elle avait tout vu ! Elle avait flipper et pourtant Naru avait été impressionnée ce jour là, à regarder par la fenêtre, monter sur cette caisse en bois quitte à manquer à plusieurs reprises de tomber.

Inutile de dire pour Naru, c’était le coup de foudre et quitte à être une garce, au fur et à mesure que Huang attirait les petits caïds en manque de sensation, autant qu’elle le soit avec des personnes qui pouvaient l’apprécier à sa juste valeur et être proche de ce badboy à l’aura particulière. Elle a été la première à le suivre, pas la dernière mais pour elle, Naru valait mieux que ses petites suiveuses juste là pour se faire un beau ténébreux. Du moins, c’était ce qu’elle croyait. Certes, le gang de Huang la respecte plus que la plupart de ses pouffiasses de Mishima, mais là où elle rêvait de quelques choses d’un peu plus sérieux avec Huang, le chinois ne la voyait que comme la garce de la bande et qui était là pour vider les couilles de son boss quand l’envi lui prenait. Elle était bien traitées, Huang ne s’est jamais permis de la rabaisser comme tel, elle lui en était redevable mais il y avait ce goût amer, celui d’être rabaissée à ce qu’elle était : une salope. Certes la salope de Huang Jinyu, mais une salope quand même.

Et puis plusieurs mois ont passé, il y avait la petite nouvelle dans une classe inférieur à la sienne. La parfaite petite bourgeoise, toute discrète, toute mignonne. L'ironie de cette histoire, Naru évitait depuis longtemps les réseaux sociaux, son dévolu sur Georgette n'était dû qu'au pure hasard, peu importe si il existait quelques ragots à son encontre. Cette fille ne lui avait rien fait et pourtant, elle représentait tout ce qu’elle détestait. Cette idiote, si ce n’est pas pour dire cette conne, avait même cru rencontrer sa «nouvelle meilleure amie pour la vie» lorsqu’elle s’était incrustée pendant une brimade dans le couloir en croyant qu’elle allait intervenir !

Alors oui, elle a intervenu. Et bonne nouvelle, les pisseuses de la classe de cette Georgette Lenoble avait vite baissé les yeux devant une aînée. Elles semblaient même avoir la peur au ventre avec l’une d’elle, s’étant pris une gifle derrière le front sans se rebiffer, ce qui aurait dû mettre la puce à l’oreille de cette petite bourge à ce moment là. Mauvaise nouvelle pour celle ci, c’était pour prendre le relais aux toilettes et finir ce jour là, la tête sous le lavabo sous le rire de ses copines, avant de bien sûr de la racketter sous prétexte qu’elle n’avait plus d’argent de poche pour la cantine.

Et ce n’était qu’un début puisque ce calvaire allait durer plusieurs jours, où cette petite scène était pour durer à chaque sortie de cours le soir. Car aujourd’hui, c’était l’étape supérieur, le lavabo ayant laissé place au toilette, la miss tenant par les cheveux par la pauvre Georgette pour lui mettre la tête au niveau de cette toilette à l’eau usagé, avant de tirer sans prévenir la chasse d’eau.

«Hé la petite bourgeoise, tu fais ta difficile parce que l’eau n’est pas assez propre selon toi ?»

L’une avait le visage trempé et même les cheveux, la seconde venait d’avoir la main humide à cause du geyser et de la pression de l’eau. Heureusement qu’elle s’était retroussé les manches de sa veste mais ça restait une excuse. A cause des murs proches, elle ne reçut qu’un coup de pieds aux fesses, sans délicatesse. Et pourtant, sous la colère, Naru ignorait que son portable vibrait depuis deux bonnes minutes.

«Pauvre conne, je suis trempée maintenant. Vas-y essuies moi ça tout de suite.» Et si Georgette s’apprêtait à utiliser son mouchoir ou même ses habits elle reprendra «Avec ta langue, au moins elle servira autre chose qu’à dire des conneries.»

Et pourtant à l’entrée, il y avait le jeune Huang, qui, après s’être lassé de son second appel, s’était décidé de faire quelques minutes de rab’ en plus au lycée. Naru est bien gentille à se trouver certainement un sac de frappe chez ses anciennes rivales, mais il n’avait pas toute la soirée : il allait loupé le bus à cause d’elle. C’était quoi déjà son endroit de prédilection ? Les toilettes pour fille au second étage du bâtiment B ? Bon, que ça soit les toilettes réservés pour les filles ne changeaient rien à ses yeux, si ce n’était que de perdre cinq minutes à faire un petit détour parce que Naru avait mis encore son portable sur vibreur.

Georgette Lenoble:
- Non arrête! Brgblll! Arr...brrrglb!

Et voilà qu'après les toilettes du collège, que c'est ici dans mon nouveau lycée, que je me refais encore mettre la tête dans une horrible cuvette, par une fille qui n'a vraiment rien du tout de commode. Quand elle tire la chasse d'eau, je me retrouve avec de l'urine et même du caca, en plein sur le visage. Mais je n'ose pas bouger un seul petit doigt. J'ai juste les mains posées sur les siennes par réflexe, parce qu'elle me tenait par les cheveux. J'étais à quatre pattes, en train de boire la tasse répugnante... J'avais tout simplement envie de disparaitre. Envie de ne plus exister du tout et d'être oubliée de tout le monde.

- Gggglbbbbl! Gggggblblbllll!

Je n'ai pas seulement peur, mais je suis aussi écoeurée. Dégoutée par l'énième humiliation que je subis et qui ne fait que me rappeler encore une fois tous ces horribles souvenirs où je me suis faite frappée, insultée, violée ou même plongée je ne sais ee plus combien de fois la tête dans la cuvette, comme exactement aujourd'hui! J'en ai marre... Ca ne fait même pas un mois entier que je suis là et on commence déjà à s'en prendre à moi. Comme d'habitude, ça a commencé par des moqueries, avant de passer par des insultes. Le plus que j'avais le droit en plus d'être traitée de "pute" ou de "salope", concernait ma couleur de cheveux. On s'amusait à me dire que je devais arrêter de manger des carottes et même du caca. Et puis des garçons ont commencés à me tripoter, quand on est tombé sur des anciennes images de moi. Je ne sais pas exactement qui les a envoyé, mais des anciens élèves de ma classe situé pourtant en France, ont réussit à les faire passer même ici. Moi qui croyait que j'allais enfin être tranquille pour de bon, avec tout ça. Que j'allais enfin avoir droit à avoir de vrais amis qui m'accepteraient comme je suis, j'avais juste l'impression que tout était en train de recommencer...

- Pitié. Arrête. S'il-te-plait.

La rencontre avec cette horrible fille du nom de Naru, s'était passée il n'y a seulement que quelques jours. Des filles de ma classe étaient en train de m'embêter dans les couloir entre les cours, en s'amusant à me tirer fortement sur les cheveux pour que je les suive, en me disant en même temps que je portais des carottes sur la tête. Et c'est là que cette odieuse fille est arrivée. Au début, je croyais qu'elle était venue pour m'aider. Les autres filles ont même eu peur d'elle, surtout quand celle qui s'amusait à me tirer et à me trainer par les cheveux pour me forcer à avancer, s'est prise une claque derrière la tête. Alors dès qu'elles sont partis, j'ai voulu la remercier. J'ai tout de suite pensé que j'allais enfin avoir droit à une véritable amie, qui en plus m'aurait défendue contre tout le monde ici. Mais c'est quand elle m'a dit de la retrouver le soir, après les cours dans les toilettes des filles, qu'elle m'a surtout piégée. Elle a commencé à me mettre la tête dans le lavabo en faisant couler l'eau froide et en se moquant de moi avec ses copines. Alors elle m'a dit qu'elle arrêterait, si je lui donnais mon argent pour la cantine, dès le lendemain. J'ai donc out de suite accepté, mais elle a quand même continué de me persécuter, même après avoir prit mon argent. Je ne savais pas ce qu'elle voulait, ni ce que javais fait pour mériter ça. Tout ce qu'elle me disait, c'était que je devais la retrouver à chaque fois dans les toilettes des filles à la fin du cours, si je en voulais pas que ça soit encore pire pour moi. Donc comme d'habitude, je préfère ne pas oser répondre et accepter de faire ce qu'on veut de moi, pour espérer que ça aille peut-être mieux un peu plus tard. Ou au moins, que ça ne soit pas pire. Et puis c'est au bout de plusieurs jours, que je suis maintenant ici à boire la tasse, la tête dans la cuvette de ces horribles toilettes. Exactement comme avant... Pourquoi ça recommence encore?....

Naru, la fille qui me persécute dans les toilettes, m'ordonne de lui essuyer toute la main et l'avant bras trempé en bonne partie par les déjections, après avoir finit de tirer la chasse. J'ignore donc ce que j'ai reçus sur le visage et toute la tête, pour sortir mon mouchoir en tissu de ma poche. Obéir ainsi à ce qu'elle veut, quand elle m'ordonne de lécher, juste après m'avoir envoyé un coup de pied dans les fesses, qui m'a fait assez mal. Même si on m'avait déjà plusieurs fois demandé de lécher les cuvettes des toilettes, j'en avais quand même la nausée, rien que d'imaginer faire ça sur son bras. Mais comme je ne voulais pas qu'elle me frappe, j'avance la tête toute détrempée par l'eau croupie et qui sent vraiment mauvais, vers sa main. Je ferme alors les yeux et c'est en grimaçant, que je pose la langue dessus. Il me faut encore une bonne seconde en plus, avant de commencer à lécher lentement toute sa main, jusqu'au niveau de son avant-bras.

- Errrk... Eeeerk...

C'est encore avec une envie de vomir le déjeuner et le gouter que je n'ai pas eu le droit, que je lèche plusieurs fois le reste des horribles déjections des autres filles, laissées sur son bras. J'espérais au moins qu'elle ne me demande pas d'avaler.

Huang Jinyu:
Naru était peut-être ce qu’elle était, une sale garce qui aimait s’en prendre à ceux qu’elle avait dans le collimateur, ses actes semblaient plus agir sur la violence physique et psychologique que de véritablement se creuser pour trouver une humiliation pire que celle de la veille. Était-ce mieux ou non ? C’était surtout plus brutal et moins réfléchi et certains iront même jusqu’à dire qu’elle faisait dans le classique. Peut-être qu’un jour elle demanderait de lécher la cuvette à Georgette mais jusque là, elle ne l’avait pas demandé, simplement parce que ce geste la dégoûte elle aussi ne serait-ce qu’en tant que témoin. Juste que ce soir là, ce n’était pas de chance pour Georgette : elle avait pris la première chiotte qui traînait et une grosse truie du bahut n’avait pas tiré la chasse d’eau. La suite c’était trop tard pour faire demi tour sans perdre la face, quitte à rentrer dans un trip scatophile qui dégoûtait Naru aussi. La fin, ça s’était fini en «dommage collatéraux» car en croyant tirer la chasse d’eau pour éviter d’être dégoûté de voir la merde d’autrui, la pression de l’eau avait éclaboussé son avant-bras. Bref, sur ce coup c’était de la faute à «pas-de-chance» et à défaut d’accuser cet être qui n’existe pas (quoique en cherchant bien), tout retombait sur cette pauvre Georgette car c’était connu, les accidents pour les assurances, il fallait toujours un coupable.

Coup de bol, au moins Naru ne lui demandera pas d’avaler. Simplement parce si elle lui demandait cela, entre cette emmerdeuse et Georgette, ça risquait d’être le concours de celle qui risquerait de gerber la première. Parfois ça se limitait vraiment à pas grand chose.

«Si tes léchouilles sont un peu timide, je suis certaine que cette langue ferait plaisir à beaucoup de mecs.»

C’était un... compliment ? Venant d’une nana qui avait eu la réputation d’une salope, on ne savait pas comment le prendre. Cette réputation, Naru l’avait toujours mais dorénavant on évitait de lui dire en face.

«Possible, mais avec une tête comme ça je peux te dire que ça ne fera pas bander grand monde.»

Une voix masculine, Huang venait de rentrer dans les toilettes de filles, occupées par quatre d’entre elle si on comptait la jeune rouquine, comme si de rien n’était. Les manières on repassera. Se fut à ce moment là que Naru cessa d’agripper par les cheveux Georgette, même si elle la repoussa assez brutalement. Juste qu’elle ne s’attendait pas à le voir là, maintenant. Elle jeta un bref regard à son téléphone portable, pour voir trois appel en absence.

«Ah euh... Désolée Huang, ça fait combien de temps que tu attends ?»
«J’ignorais que tu avais ce genre de trip..»
«C’est à cause de cette connasse !» Suivi d’un violent coup de pieds dans le ventre de Georgette pour la faire heurter le mur «Elle m’en a foutu partout ! »

Ce Huang, ce n’était pas ce chinois qui traînait avec des zonards ? En tout cas à voir son comportement calme, c’était assez trompeur, la situation le dégoutait et ce n’était pas spécialement à l’encontre de Georgette. Aussi mais pas que car à voir la réaction de Naru qui commençait à se comporter comme une furie au vue de son coup de pieds, c’était la première fois qu’elle tapait aussi fort la rouquine. Son petit copain, si c’était bien le cas, elle se serait bien passé qu’il voit cette scène.

Sans demandé son avis, le chinois rentra à son tour dans les toilettes, pour mettre son doigt sous le menton et regarder de plus près son visage avec un air assez sévère. Autant la cruauté en guise d’exemple, c’était un peu son quotidien, autant savoir que la dernière utilisatrice de ses toilettes s’était chopé une diarrhée à cause de riz mal cuit avant son départ à Mishima, il s’en serait bien passé. Le problème, à le voir agir ainsi, on ne savait pas trop à quoi il pensait.

«Va te débarbouiller.»

C’était assez froid, sortait du coin intime pour laisser Georgette sortir. Le problème, c’était «l’autre furie» qui allait prendre le relais, Naru prenant de nouveau la tignasse de Georgette pour lui mettre la tête sous le lavabo. Et si elle «aida» celle ci à se rincer les cheveux, la rouquine s’en serait bien passé parce qu’elle faisait VRAIMENT mal à la frotter brutalement, quitte à boire la tasse en ayant le visage au fond du lavabo. La situation n’avait pas rendu Georgette très glorieuse, mais Huang avait été témoin d’une scène que Naru se serait bien passé qu’il voit.

Le chinois se contenta d’un bref signe de tête pour que les deux autres filles aillent voir ailleurs, la suite ne les regardait. En réalité, pour le peu qu’il a pu voir, sous ce ramassis de déjection et d’urine, cette Georgette était plutôt mignonne, l’archétype de la parfaite petite bourgeoise. Sur ce point, Naru ne s’était pas trompée. Discrète et timide, pas étonnant que sa copine la déteste, elle représentait un peu ce qu’elle était l’année dernière. S’appuyant sur le mur, il se contentait de regarder les deux jeunes filles faire «leur brin de toilettes» si il devait utiliser ses termes féminins. Ou plutôt regarder la jupe en partie moulé avec l’eau de cette Georgette. Jolie petit cul, il n’avait jamais goutté jusque là à de la petite bourgeoise. Et puis à écouter Naru, cette Lenoble avait une langue à rendre heureux des mecs, Huang ne pouvait que faire confiance à son amie pour donner ce verdict. Ca restait tentant, pendant que les deux filles lui tournaient le dos. Non pas qu’il bandait, il n’était pas assez dégénéré pour bander comme un âne et sauter sur tout ce qui bouge sans raison, mais l’idée lui avait quand même traverser l’esprit.

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