Bac à sable > One Shot

Retrouvailles charnelles [PV]

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Clad Oyio:
"Je vais voir quelques amis, je reviendrai dans la soirée. Ne m'attends pas pour manger.
- Fais attention à toi et ne dilapide pas tout notre argent dans les casinos.
- Chérie … Je sais ce que nous a coûté cet argent et je compte bien investir dans quelque chose de beaucoup plus sérieux. A tout à l'heure."

Yao Atshi ferma la porte de sa petite maison de banlieue afin de se diriger vers la grande ville. Il avait dit à sa femme qu'il allait voir des amis, pour passer le temps et surement boire un coup dans un bar. Mais il avait décidé de faire tout autre chose. En effet, depuis qu'ils avaient vendu leur fille à une riche femme, qui leur avait promis une éducation et un avenir radieux à la petite Kimimo. La famille Atshi était à la tête d'une belle somme d'argent. Pas assez pour acheter tout ce qu'il souhaite, mais assez pour investir beaucoup afin de vivre aisément durant des générations. Mais Yao voyait cela différemment.

Quelques minutes plus tard, nous le retrouvons dans les bidons villes, loin de l'endroit où il avait promis à sa femme d'être. Non, Yao voulait simplement s'amuser. En effet, à la maison tout ne se passait pas très bien. Oh, avec sa femme, leur relation était saine, ils étaient toujours très amoureux, mais malheureusement il n'y avait plus cette flamme. Les années passèrent et le physique de sa femme ne l'intéressait plus. Il avait besoin de chair fraîche. C'est pour quoi, il frappa à la porte d'une maison close, au plein cœur des bidons ville.

Quelqu'un lui ouvrit et il s'y faufila. L'endroit était assez sombre, bien que propre, il y avait une atmosphère pesante ici, mais il savait qu'il y avait ce qu'il voulait. C'était Jintsu qui lui avait dit, un ami de longue date. Il avait entendu dire que  cet endroit regorgeait de jeunes femmes plus belles, les unes que les autres. Qui plus est, elles n'étaient pas très chères contrairement à ce qu'il se faisait en centre ville.

Yao continua son chemin à l'intérieur et se retrouva devant une sorte de guichet. Une personne lui demanda ce qu'il recherchait.

"Heu … Jeune, plutôt mince, mais avec des jolies formes … Mmmh ... Avec de gros seins … Si ... Si c'est possible." dit-il en essayant de cacher le fait qu'il était très mal à l'aise.

Mais à peine eut-il le temps de réfléchir à ce qu'il pouvait ajouter, la personne derrière le guichet lui demanda de suivre la personne à sa droite. Elle ajouta qu'une Saori le rejoindra plus tard. Il acquiesça d'un signe de la tête et suivit la personne devant lui.

Quelques instants plus tard, il se retrouva devant une porte et l'ouvrit. Il y a un lit immense et beaucoup d'espace. Il y avait une commode avec beaucoup de sex-toys sur le dessus. Il y avait aussi une salle de bain et la température de la pièce était presque étouffante. Mais l'homme était trop excité. Cette Saori, il espérait vraiment qu'elle était comme il l'avait décrit à la personne de l'accueil.

Alors qu'il l'attendait, il ne pu s'empêcher de se lever du lit pour voir ce qu'il se cachait dans la commode. Mais alors qu'il ouvrit le tiroir, la porte se mit à s'ouvrir.

Saori:
Dans la maison close, le rez-de-chaussée et le premier étage étaient dédiés aux services et le second accueillait les filles, des chambres à plusieurs où les prostituées s'entassaient pendant leur temps de répit. Quelquefois, le gestionnaire venait chercher une fille pour lui indiquer qu'elle avait un client et qu'elle devait se préparer.

- Saori c'est pour toi !

La prostituée était sur un lit à étage regardant des bandes dessinées pour enfants afin d'apprendre à lire. Elle ferma son magazine, pour descendre de son lit à l'aide de l'échelle sur le côté, sans un mot elle alla dans la salle de bain pour se préparer. Son manager avait posé les vêtements qu'elle allait devoir porter pour retrouver le client, il pouvait après les modifier à son goût, comme une poupée. La prostituée portait une chemisette noir translucide remontant au-dessus de son nombril, en dessous un soutien-gorge noir, sur ses hanches remontait les ficelles de son string assorti avec une minijupe par-dessous allant à peine plus bas que son intimité. Finissant elle faufila ses pieds dans ses chaussures à talons noirs.

Saori sortie de la salle de bain avec une touche de maquillage, les cheveux bien coiffés et une fragrance délicate aux fleurs. Son manager était encore là calculant le temps qu'elle mettait à se dresser.

- Bien. Tu peux aller à la chambre 103.

Elle descendit les escaliers, devant les autres prostituées et clients, arrivant promptement devant la chambre où un plateau d'accueil était placé. Même si le bordel se situait dans le quartier pauvre, la grande patronne Li Hua voulait maintenir un standing pour les clients, s'ils se sentaient bien ils reviendraient systématiquement. Saori prit le plateau pour le poser sur sa main telle une serveuse, dessus un pot à mousseux avec une bouteille encore fumante après l'ouverture, deux flûtes et un éventail de toasts. Elle se mit à sourire avant de pousser la porte pour entrer.

- Monsieur, bonjour !

L'accent mi-coréen mi japonais venait en aimable mélodie dans la pièce, accompagné du tempo de ses hauts talons quand son bassin chaloupait à chacun de ses pas. Elle s'approcha de la table basse pour y placer le plateau de bienvenue, penchant seulement le haut de son corps pour tendre ses fesses au client, sa jupe si minime qu'elle ne cachait rien. Elle se redresse, un large sourire illumine son minois, croisant les mains devant sa jupe pour honorer l'homme devant elle.

- Je suis Saori ! Je suis servante de vous pour le soirée.

Les étrangères dans les bordels étaient monnaies courantes, de la main-d'œuvre pas chère. Et pour éluder les mauvaises surprises, Saori donnait le ton sur son niveau de langue, pas adroite et un manque de vocabulaire conséquent.

Clad Oyio:
La voici. Saori. Et le moins que l'on puisse dire c'est que Yao était gâtée. Il se retourna timidement vers elle, il l'a voyait poser un plateau avec une belle bouteille non loin du lit, sur une petite table. Avait-elle fait exprès de se pencher à ce point là ? En tout cas, l'homme profita pleinement de la vue.

Elle était si jeune, "Elle pourrait être ma fille" se dit-il. Loin de s'imaginer qu'il n'avait pas tout à fait tord. Son ami ne mentait pas, il y avait vraiment de jolie fille ici et la réceptionniste avait bien cernée ses goûts. Il lui avait demandé une fille svelte avec de belles formes et de gros seins. Jackpot ! Elle avait visée juste. Le sexe de notre homme commença à se durcir, imaginant tout ce qu'il pourrait lui faire faire. Parce que, oui, bien qu'il paraissait timide aux premiers abords, Yao avait décidé de bien se laisser aller et d'accomplir tous ses fantasmes. En tout cas, pour aujourd'hui. Du moins il l'espérait. En effet, il n'avait pas demandé à la personne qui tenait l'accueil, si il pouvait faire ce qu'il voulait avec la jeune femme. S'il devait utiliser des capotes, etc. Pas le temps de s'en préoccuper pour le moment, laissons tout ça suivre son cours.

"Enchanté mademoiselle. Moi c'est Yao." dit-il en restant collé à la commode derrière lui.

C'était la première fois qu'il faisait ça, donc il ne savait pas trop comment s'y prendre. Il décida dans un premier temps de se calmer et laisser les choses venir. Il y avait une bouteille ? Alors pourquoi ne pas se servir à boire pour commencer. Il se rapprocha alors de la petite table sur laquelle Saori avait déposée le plateau . Il prit la bouteille en main, se débâta avec le bouchon, pour enfin réussir à l'enlever. Il servit le précieux liquide dans deux jolies coupes. Il posa la bouteille et tendit le verre à la jeune fille.

"Santé. A un agréable moment !" dit-il en trinquant avec la brunette. "Mais dites moi, vous avec un si joli accent. D'où vient-il ?" dit l'homme en ne pouvant s'empêcher de mater la jeune fille de tout son long.

Elle était magnifique. S'il pouvait il la sortirait d'ici et ferait sa vie avec.

L'homme se posa sur le lit et fit signe à Saori de s'assoir à côté de lui. Son sexe devenant de plus en plus visible le long de sa cuisse.

Saori:
- Saori est très contente de vous connaître Yao.

La prostituée passa sa main dans ses cheveux tout en souriant à son client, pendant qu’il s’occupait de servir le mousseux dans les verres, lui tendant sa coupe pour trinquer.

- Santé !

Saori pencha son verre vers celui de Yao pour faire retentir une brève mélodie quand les deux venaient à se croiser, elle trempa ses lèvres dans le fluide pour en prendre une petite gorgée. Avec le temps, elle avait appris à apprécier le champagne, à en boire des bouteilles, comparé à ses débuts où elle n’arrivait pas à en boire une seule coupe.

- Je venir d’un autre pays !

Elle se mit assise sur le lit juste à côté de son acquéreur, se collant à lui, imposant sa poitrine sur son bras, prenant une autre gorgée dans sa coupe.

- Je n’ai pas le droit de dire, mes managers ne sont pas contents.

Dans les bordels de la dynastie Hua, il y avait énormément des filles qui n’avaient pas de papier, qui étaient mineures, qui avaient disparu de la circulation pour être forcées à coucher avec des hommes. Pour contourner les problèmes avec la justice, les filles n’avaient pas le droit de parler d’elle, où elle devait élaborer une fausse histoire. Saori ne préférait pas s’aventurer sur ce terrain, ne parlant pas bien japonais, inventer une histoire était difficile, alors elle préférait dire la vérité.

- Et vous n’êtes pas ici pour parler de moi, c’est Saori qui doit prendre soin de vous.

Saori ricane venant déposer ses moelleuses lèvres sur la joue de son client pour l’embrasser, reculant pour lui transmettre encore une fois un doux sourire pour le mettre à l’aise et le détendre à peine voyant qu’il était timide.

- C’est première fois que vous venez ?

Saori attendit la réponse de Yao, même si elle se doutait de ce qu’il allait répondre.

- Je vais expliquer à vous.

La prostituée se leva pour venir se mettre assise sans attendre sur les genoux de son client, en amazone, pour qu’il puisse venir cajoler sa tendre peau s’il le voulait. Sa poitrine était postée au niveau de son visage, il pouvait sentir son doux parfum, Saori passa sa main libre derrière sa tête pour lui câliner les cheveux.

- Je sais tout faire et vous, le droit à demandez tout ce que vous voulez. Patron a dit que vous avez pris forfait tout compris.

Yao avait la possibilité de rester le temps qu’il voulait jusqu’au lendemain et bénéficier de Saori de toutes les manières possibles, il pouvait employer des préservatifs ou non, utiliser des accessoires ou non, changer ses vêtements à sa guise, exiger tout ce qu’il voulait avec le téléphone disponible dans la chambre.

- Yao est roi pour journée.

À cette nouvelle, Saori se trémousse sur son client, levant son verre vers le haut pour célébrer ça, collant ses seins contre son visage en guise de câlin affectif envers son client.

- Saori aime qu’on lui donne surnom quand on s’amuse, vous avez idée pour moi ? Et vous aussi, vous voulez surnom ?

La prostituée se penche vers la table pour placer son verre dessus et empoigner la bouteille pour remplir le manquant dans le verre de Yao, glissant la bouteille glacée entre ses cuisses et sur le vif de son client qui durcissait en dessous. Saori leva la tête pour faire mine de réfléchir à un surnom, tapotant son menton de ses doigts. 

- Monsieur Yao ? Monsieur ? Chéri ? Daddy ? Papa ? Maître ? Directeur ? Monsieur le Directeur… Monsieur le Directeur et moi votre secrétaire ou surnom que vous voulez.

Saori aimait les jeux de rôle, cela permettait de pas uniquement baiser et de s’amuser, laissant grimper le plaisir dans la chambre. Si Yao le voulait il pouvait approuver sa proposition ou rejeter pour assouvir ses instincts primaires sans tarder, il pouvait quand même noter que les yeux de la prostituée brillaient à cette idée. S’il acceptait, il allait devoir changer de vêtement pour devenir un directeur et principalement relooker Saori pour faire d’elle la secrétaire de ses fantasmes. Dans les armoires dans la chambre, il allait pouvoir trouver son bonheur et faire d’elle sa poupée à sa guise.

Clad Oyio:
Les deux individus parlaient poliment sur comment allaient se passer la soirée, la nuit et même jusqu'au petit matin si Yao se sentait encore d'attaque. Mais à vrai, c'est Saori qui prenait surtout la parole. Notre homme restait quant à lui muet, docile. Il se laissait faire. Il apprit de la bouche de la jeune femme, qu'il pourrait lui faire ce qu'il veut. Que ce soit dans la pratique sexuelle, que les vêtements qu'elle portera. Aussi, elle lui permettait de le faire sans préservatif. A cette phrase là, le sexe de Yao se durcit un peu plus. Mais alors qu'il essayait de cacher sa petite bosse, Saori vint sur lui, se posant sur ses genoux et se tourna vers lui. Posant ainsi ses gros seins sur le haut  de son corps. Elle se rapprocha davantage, si bien qu'il n'arrivait plus à respirer. En effet, les seins de la jeune fille prenait toute la place et étaient posés contre son visage. Quelle odeur enivrante, c'était un vrai régal. Il pourrait mourir de la sorte, qu'il s'en ficherait.

Elle lui proposa alors un jeu. Que ce soit lui le directeur et elle sa subordonnée. Elle était très à l'aise avec ça et était toute excitée à l'idée de jouer ce rôle là.

"Oui … Heu … Avec plaisir." dit-il légèrement troublé.

Il en avait très envie. Tout ça l'excitait énormément. D'ailleurs, il ne savait pas où mettre ses mains. Un coup c'était sur les cuisses de Saori, l'autre fois, sur ses hanches. Il voulait bien faire. Mais l'alcool et la joie de vivre de Saori aidait à le rendre petit à petit moins crispé. En atteste son sexe, qui augmentait de longueur et de largeur au fil du temps.

L'homme regarda alors vers l'armoire, à leur gauche, non loin de la porte d'entrée.

"Je vais voir ce qu'il y a dedans et je te dis." dit-il en se levant.

Il prit Saori par les fesses et la posa sur le lit, délicatement, puis se dirigea vers le meuble. Il l'ouvrit et découvrit une centaine de vêtements différents, il n'y en avait pour tous les goûts. Cette garde de robe … C'était beaucoup trop ! Il fouilla quelques instants et en sorti un bandeau. Il se tourna vers Saori et vint à sa rencontre.

"Ne bouge pas." dit-il en lui mettant le bandeau autour du crâne et devant les yeux. "Je vais te faire la surprise de comment je serai habillé et surtout, de ce que j'aurai choisi pour toi." dit-il en laissant la jeune fille sur le lit.

Il chercha pendant quelques temps les vêtements qu'il portera. Il jeta son dévolu sur une chemise blanche, avec une cravate noire. Un pantalon noire et des chaussures noires. Il ne mis pas de veste, il retroussa juste ses manches. C'était un directeur décontracté, on pourrait dire.  Pour Saori, il opta pour un ensemble uni blanc. Très ouvert sur les côtés et le dessus, laissant apercevoir un énorme décolleté. Il décida de lui donner des talons hauts blancs.

"Tiens, j'ai ce qu'il te faut. J'espère que ça ira. Si c'est trop petit, c'est tant mieux. Cela fera ressortir ta jolie poitrine."  dit-il en s'approchant d'elle.

Il prit sa main pour la lever délicatement du lit et la mettre debout. Il lui enleva alors son petit chemisier noir, ensuite sa petite jupe. Il lui enleva alors son soutien gorge et son string noir. Il avait alors en face de lui, Saori complètement nue. Mon Dieu, elle était incroyablement belle. Son sexe était prêt à sortir de son nouveau pantalon. Il prit alors le nouveau vêtement qu'il avait choisi pour la jeune fille. Il l'enfila non sans mal. Il lui demanda un coup de lever le bras, ensuite, la jambe, etc. Quelques instants plus tard, il réussit enfin à lui mettre cette jolie pièce unie. Il fini par les chaussures.

"C'est bon, tu peux enlever ton bandeau !" dit-il excité comme une puce.

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