Bac à sable > One Shot

L'essentiel en enfer est de survivre. - Clad Oyio

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Li Hua:
Les requins sont partout dans le milieu de la mafia, faire des unions pour s’arranger, les défaires pour en obtenir d'autres plus puissants. Ce n’est qu’un énorme plateau de jeu, où il est important de décaler ses pions avec précaution si l’on veut survivre. Li était une experte dans ce milieu, mais parfois il arrive d’avoir des loupés. Personne n’est parfait et la mafieuse allait devoir en endurer les conséquences… La cheffe de la famille Hua s'était alliée à un clan pour nuire à un autre, l’attaque avait fonctionné avec brio !

Les deux clans avaient amorcé une descente dans des bordels pour emporter six pieds sous terre tous les hommes, s’emparer de la drogue et des prostituées. Ils en avaient profité pour dévaliser les lieux avant de les brûler pour tout réduire à néant. Li avait suggéré de faire moitié-moitié pour le butin et de s’offrir au chef du clan… Mais, car il y a toujours un mais avec la mafieuse, c’est son changement de route. Finalement, elle voulait tout préserver, ne rien offrir pas même son corps. Le contrat venait d’être brisé sans la moindre hésitation. Li avait abattu de sang-froid les hommes de son ennemi avant de souligner à son équipe de rentrer avec tous les biens. Le pion venait d'être déplacé sur le plateau, les représailles allaient arriver.

Dans sa demeure, Li avait triplé la sécurité pour se défendre, elle ne voulait pas filer dans un autre bâtiment trop à découvert et sans moyens de fuir. Presque tous ses hommes étaient concentrés sur la sécurité du site, tournant autour du terrain, fouillant les recoins. Et voilà maintenant une semaine que la tension régnait, les hommes de la mafieuse n’en pouvaient plus, Li ne voulait rien abandonner sachant qu’il y allait avoir des représailles.

- Quelqu’un surveille la porte est ?

- Oui, Madame Hua.

- Bien.

S’assurer que tout était en place, faire confiance à ses hommes… Li n’aurait pas dû simplement se remettre assise à son bureau ce soir-là. L’agent de sécurité qu’elle venait de joindre n’était pas en place, fatigué il avait opté de son gré de prendre une pause, allant dans une cabine se mettre assis pour somnoler, ses compères avaient fait de même. Une défaillance que l’équipe de Lee Vankov et ses hommes n’allaient pas laisser passer, l’exploiter pour rentrer dans la demeure de la famille Hua

Li ne se doutant de rien, étant à son bureau elle passait des derniers coups de téléphone pour s’assurer de la sécurité. Appuyées contre le dossier de son fauteuil, les jambes croisées dévoilant une cuisse blanche semblable à la neige à cause de sa robe fendue. Elle s’amusait avec quelques mèches de cheveux qui descendaient sur sa joue, les enroulant autour de son doigt. Sur son bureau, un plateau saillant de fruits, où elle venait picorer de temps en temps pour gagner en énergie et pouvoir tenir les positions toute la nuit.

Clad Oyio:
Lee Vankov était un jeune mafieux. Il avait à peine dépasser la vingtaine d'année qu'il était déjà à la tête de plus d'un millier d'hommes installés un peu partout dans le sud de l'Asie. Son père, alors le plus grand mafieux de son époque perdit la vie, lors d'un voyage avec des amis. Une crise cardiaque fulgurante l'emmena au ciel, laissant Lee seul. En effet, il ne connaissait pas sa mère, juste qu'elle était une putain et faisait partie du harem de son père. Des moqueries sont apparues dès son plus jeune âge. Mais Lee ne se laissait pas faire, faisant parti d'une des plus grandes familles mafieuses d'Asie, il su se faire respecter, et plus il vieillit, plus le respect était présent. Peut-être aussi parce qu'il n'hésita pas à tuer quiconque se moquait de ses origines.

Puis, maintenant qu'il était à la tête de la mafia de son défunt père, il n'avait peur de personne et tout le monde avait peur de lui. Sa réputation grandit au fur et à mesure des années. Il se spécialisa dans la production de drogues, de matières premières rares ou dans le vole. Il s'en sortait à merveille, il amassait une quantité astronomique d'argent et d'hommes. Il n'avait pas encore d'harem à proprement dit, comme celui de son père. Il trouvait les filles qu'ils choisissaient beaucoup trop vieilles et grosses. Lui les aimait fines avec de très jolies formes. Le fait qu'elles soient jeunes était un plus non négligeable. Et même si beaucoup de ses hommes lui avait déjà ramenés des femmes, il n'en fit rien et les laissa là, à l'abandon entre deux "missions".

Lee et sa troupe étaient installés dans une des iles au large de Singapour. Il avait récemment fait un marché avec une mafia "amie", dirigée par une jeune femme. Cette dernière leur avait promis de partager le butin et les femmes qu'ils allaient voler ensemble. Mais rien de tout cela n'était arrivé. Elle avait garder toutes la drogue et les matières premières. Inutile de vous dire qu'elle avait laissé partir toutes les femmes que ses hommes avaient aidés à emprisonner. On ne se moquait pas de Lee Vankov de cette façon. Il décida alors d'envoyer trois de ses hommes. Les meilleurs, ceux, faisant partie de sa garde rapprochée. Il ne voulait prendre aucun risque. Il fallait qu'ils réussissent. En effet, il ne voulait qu'une chose, enlever la jeune femme et la faire payer.

Quelques jours plus tard, les trois hommes de Lee étaient déjà à l'intérieur de la demeure de Li Hua. Ils avaient réussi sans trop de difficulté à faire croire qu'ils faisaient parti de la sécurité. Mademoiselle Hua avait beaucoup d'hommes qui garantissaient sa sécurité, ils avaient juste eu à éliminer trois gardes et prendre leurs uniformes. Ils arrivèrent alors devant la porte de la jeune femme. Ils avaient méthodiquement attendu que son garde prenne une pause pour entrer et fermer derrière eux, se retrouvant ainsi face à la cible, Li Hua.

Tous les trois sortirent en même temps leur Desert Eagle et se faufilèrent partout dans la pièce. L'un était à présent à sa gauche, l'autre à sa droite et le dernier en face d'elle, c'est ce dernier qui prit la parole :

"Monsieur Vankov vous salut et aimerait bien bavarder avec vous, au sujet de … Vous savez quoi." dit-il en faisant un signe de la tête.

Puis tout d'un coup, les deux autres hommes vinrent sur elle et lui agrippèrent ses deux bras. Il ne fallait pas prendre de risque avec cette jeune femme. En plus d'avoir une grande réputation, elle savait se battre.

"Inutile de vous débattre." dit l'homme toujours en face d'elle, avec maintenant son arme pointée entre les yeux de la jeune femme. "Nous allons vous amenez avec nous. C'est un fait. Vous n'avez pas le choix. Par contre, on peut le faire par la manière douce ou la manière forte. Ca c'est vous qui voyez !" dit-il, sourire en coin.

Li Hua:
La porte du bureau de la patronne venait de s’ouvrir, elle leva les sourcils voyant la piètre surprise faire son avènement. Il y avait une défaillance dans la sécurité et des ennemis avaient réussi à en tirer profit pour arriver ici, la mafieuse leva son bras vers son ordinateur sur le côté pour baisser le capot et le verrouiller. Il y avait des données importantes à l’intérieur, elle prenait des précautions pour la suite des événements pendant que les hommes s’approchaient armes à la main pour l’encercler.

- Je serais heureuse de converser avec Monsieur Vankov sur je sais quoi…

Li laisse les hommes s’approcher d’elle, lui attrapant ses bras pour la contenir.

- Pourtant le cœur ne m’en dit pas.

Li ouvrit la bouche laissant s’envoler une fumée pâle vers l’homme à sa droite, qui rentra sur-le-champ dans son nez sans lui laisser le choix. La mafieuse n’était pas une humaine, elle avait des aptitudes assez surprenantes, qu’elle ne contrôlait pas. C’était au petit bonheur la chance quand elle en avait nécessité, ou que ses émotions étaient vraiment fortes. À l'instar de forte douleur, d’une puissante excitation par exemple. Ici, ses pouvoirs venaient la défendre, de la fumée d’opium en considérable quantité venait d’être inhalé par son ennemi le laissant s'écrouler au sol net, overdose, le pauvre homme venait à se tordre sur lui-même en bavant. L'achever avec son arme devrait être une meilleure fin, moins douloureuse.

Hélas, pour Li son pouvoir avait été énormément sollicité ces derniers jours, dans les attaques et son état de surmenage n’allait pas lui permettre de réitérer l’exploit pour les deux hommes qui restaient dans son bureau. Au fond de son organisme elle sentait cette pénurie, ce pouvoir qui venait de s’endormir en manque de force. C’était à elle de passer à l’attaque et elle le pouvait.

- Votre patron devrait vous enseigner à traiter les femmes d’une autre manière.

Souffla Li se redressant en même temps de son fauteuil tout en empoignant son plateau de fruits pour le larguer sur l’homme à sa gauche et le fragiliser, la laissant s’échapper pour qu’elle puisse prendre de la distance avec ses opposants.

- Vous voulez faire quoi avec vos armes ? Me tirer dessus j’en doute ! Mon petit doigt me dit que Monsieur Vankov a besoin de moi vivante.

Par contre si Li arrive à récupérer une des armes c’est le festival, après ce qu’elle a fait, les hommes doivent se douter qu’elle ne va pas tergiverser à leur tirer dessus. La mafieuse se jette à terre sur l’homme au sol, les yeux révulsés sur l’arrière il a rendu son ultime souffle sans qu’on le remarque, dans sa main il tient encore son arme. Li va tenter de le récupérer, essayant de le dégager sous les doigts crispés de l’ennemi qui à cause de l’overdose le tenait de toute sa force. L’adversaire qui se tient devant le bureau n’hésite pas pour se lancer en avant pour l’entraîner en roulé-boulé dans sa chute pour l’empêcher de récupérer l’arme.

Sans suit un foutoir brutal au sol, Li échange des attaques avec son adversaire, sa robe fendue se déchire sur la longueur jusqu’à ses côtes, quand le second vient derrière elle pour la cogner avec la crosse de son arme, un bon coup derrière la tête qui vient la tinter laissant sa force s’échapper.

- Encore un.

Le deuxième coup tombe sans attendre, laissant Li tomber sur l’avant sa chute arrêtée par l’homme avec qui elle se battait, il la repousse en arrière sans ménagement.

- Doucement avec elle, le patron ne va pas être ravi si elle est trop abîmée.

- Cette pétasse ne mérite que ça.

L’homme se lève pour la contempler allongé de tout son long sur le sol, dans la bataille sa superbe coiffure s'est défaite laissant ses interminables cheveux se déployer le long de son corps allant jusqu’à la pliure de ses genoux. Du bout du pied, il marche sur la robe déchirée pour la traîner sur le côté, découvrant l’antre de la mafieuse. Une intimité sans système pileux comme le reste de son corps, des lèvres intimes faiblement roses et serrées même avec les cuisses écartées. L’homme s'humidifie les lèvres, il a envie de la déguster avant son patron, sachant qu’il n’a pas le droit et pourtant il a bien envie de lui faire payer ce qu’elle a fait.

Clad Oyio:
C'était évident que les hommes de Lee n'allaient pas avoir la tâche facile avec la demoiselle. D'ailleurs ils savaient tous que cela allait être plus simple de s'infiltrer à l'intérieur de sa base, que de la mettre hors état de nuire. Et en effet, dans le bureau de Li Hua, le combat avait commencé. La jeune femme avait choisie la manière musclée, c'était prévu. Ce qui l'était moins, c'est qu'elle réussisse à tuer un des hommes de Vonkov. Les deux autres hommes de main, en avaient vu d'autre et réussirent à garder leur calme, afin de contenir la jeune femme au sol. Une fois fait, ils se relevèrent et se mirent à regarder la jeune femme au sol. Elle était sur le dos, sa robe déchirée, révélant une entrejambe sans le moindre poil.

"Putain, ta gueule, je sais ! Mais … Combien d'autres chances tu as dans une envie que de te faire une meuf comme celle-ci ?" dit-il en pointant du doigt leur ennemie. "Oh et puis merde !"

L'homme ouvrit son pantalon pour le faire tomber au niveau de ses chevilles, il glissa sur les genoux afin de se mettre juste devant elle. Il sorti alors son sexe et le pointa en direction de la chatte de mademoiselle Hua. L'homme ne se fit pas prier et inséra sa bite à l'intérieur. Il commença les vas et vient. L'autre homme pendant ce temps, ne savait trop quoi faire. La situation était trop bizarre. Son collègue était en train de violer une des plus grandes personnalité de toute l'Asie, une des plus menaçantes, le corps de leur camarade gisait sur le sol non loin de là et il réussissait quand même à bander comme un fou !

"Oh et puis on aura qu'à dire qu'on ne l'a pas touché !" dit l'autre homme en se baissant lui aussi. Il se mit  à genoux sur le côté de droit de Li. Il n'enleva pas complètement son pantalon, il ouvrit juste sa braguette pour en faire sortir son sexe. Il ouvrit la bouche de la jeune femme et l'inséra à l'intérieur. Et tout comme son collègue, il commença les vas et vient.

Ils profitèrent que la jeune femme soit complètement évanouie pour la violer chacun de leur côté et chacun de la façon qu'ils le voulaient.

"Putain cette pute à une chatte tellement serrée ! Aaaaah !!!
- Ouais sa bouche est pas mal non plus … Mmmh … Je vais lui faire cracher autre chose que de l'opium à cette cinglée !" dit-il en lui enlevant son haut, afin de lui caresser les seins.

Plusieurs minutes passèrent et celui qui s'occupait de la chatte de Li Hua était sur le point de jouir, tandis que l'autre essayait de faire rentrer toute sa queue à l'intérieur de sa bouche. Tous les deux essayaient d'être le moins violent possible, afin de ne pas laisser de marques sur son corps. Il leur aurait été difficile de dire qu'ils ne lui avaient rien fait, si son corps était plein de marques de violence.

Les deux lâchèrent un : "Aaaaaaah … !"

La bouche de Li se remplit de sperme, tandis que plus en bas, c'était autour de sa chatte.

Les deux hommes se rhabillèrent vite. Ils en firent de même avec la jeune femme. Ils le menottèrent bien fermement et russisèrent à l'exfiltrer de la base. Un voyage en voiture, puis en camion et enfin en bateau plus loin, les hommes de Lee déposèrent la jeune femme dans une sorte de hangar géant, où se trouvait une chaise et quatre projecteurs très puissant dirigés vers celle-ci. Le sol était mou, on pourrait dormir dessus. Il y avait tout un attirail de torture ici.

La porte du hangar s'ouvrit en grand derrière les deux hommes. Lee Vankov entra. Un long manteau noir, des bottes, une chemise ouverte sur le dessus et un pantalon de la même couleur. Il était seul, deux autres gardes étaient postés à l'entrée du lieu. La mine sombre, masquait l'excitation qu'il avait de se trouver en face de la jeune femme.

Sans dire un mot, il s'approcha de la jeune femme au sol, qui commençait à reprendre connaissance petit à petit. Il claqua des doigts et les deux hommes s'empressèrent de prendre la jeune femme et la mettre sur la chaise. Ils lui bloquèrent les mains et les pieds. Ils s'écartèrent de nouveau.

"Voici Li Hua, monsieur Vankov. Comme vous nous l'aviez demandés !" dit un des deux hommes sur sa gauche.

Lee Vonkov, était dans l'obscurité, ses yeux rouges perçaient tout de même la noirceur du lieu.  Mais il restait là, sans rien dire. Attendant que la jeune femme s'éveille et prenne conscience de ce qui était en train de se passer. 

Li Hua:
Dans les vapes, Li ne réagissait pas, même quand elle se faisait violer par les deux hommes de son rival Vankov, les deux profitaient de son antre serré et de sa bouche, la pilonnant avec leurs vifs dressés jusqu’à se vider en elle dans des râles de plaisir. Ils venaient d’avoir leur vengeance après ce qu’elle venait de faire, ils avaient réussi à profiter de son corps de déesse sans que leur patron ne soit au courant. Ils prirent le temps de la nettoyer pour ne pas laisser de trace, de lui remettre des vêtements avant de l’extraire de sa demeure pour la transporter au point de rendez-vous.

C’est uniquement des heures après qu’elle venait à reprendre connaissance, assise sur une chaise une horrible douleur se réveilla à l’arrière de sa tête mais aussi des picotements au niveau de son intimité. Li voulut lever ses bras pour apaiser les sensations dérangeantes qu’elle ressentait remarquant à ce moment qu’elle ne pouvait pas. Ses yeux en amande venaient à s’ouvrir délicatement, sa tête penchée vers le bas elle vit directement les liens qui retenaient ses poignets et plus bas ses jambes écartées sur la chaise.

- Qu’est-ce…

La mafieuse avait encore du mal à réagir comme il faut, les coups à l’arrière de son crâne qu’elle avait subis aidaient à conserver ce flou dans sa tête. Elle tira sur les cordages pour s'efforcer de se libérer, elle remarqua que sa robe était déchirée jusqu’à sa hanche seulement ses seins étaient encore cachés sous le tissu. Sa petite intimité serrée aux lèvres rosâtres apparaissait entre ses cuisses écartées.

Li leva enfin la tête, pour voir en première ligne Lee Vankov et ses hommes derrière, c’est là que tout commençait à lui revenir. L’attaque dans sa maison, l’homme qu’elle avait réussi à anéantir, les deux autres avec qui elle se battait qui étaient là aussi sous ses yeux.

- Monsieur Vankov… Bonsoir, où bonjour, je ne sais pas dans quelle mesure de temps j’ai dormi, vos hommes ne sont pas d’une considérable amabilité avec les dames.

La mafieuse bascule la tête sur le côté pour soulager cette douleur lente qui était toujours à l’arrière de son crâne, elle en profitait pour examiner où elle se trouvait. Le bâtiment ressemblait à un hangar, les grosses lumières pointées sur elle ne lui permettaient pas d’analyser les détails l’éblouissant quand elle se focalisait de trop sur un point.

- Nous allons pouvoir discuter, c’est ce que vous vouliez, n'est-ce pas ?

Li ne laissait rien paraître de la peur qui montait dans son ventre, elle savait que la situation était très compliquée pour elle et qu’elle allait sûrement morfler.

- Vous ne voulez pas me détacher ? Que je sois dans de meilleures conditions.

Les hommes de Vankov devaient le savoir, la libérer n’était pas recommandée, elle pouvait encore se bagarrer et même estropier le boss si elle le voulait. Attendant une réponse, Li avala sa salive, elle avait la bouche très sèche et il y avait un goût curieux qu’elle n’arrivait pas à déterminer qui persistait jusque dans sa gorge. Semblable a quelque chose qu’elle avait mangé qui ne voulait pas circuler, pourtant elle se souvenait qu’elle n’avait dévoré que des fruits… Et non, un membre de plusieurs centimètres couvert de poils. .

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