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L'exorcisme du Père... -- PV

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Soeur Mary

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L'exorcisme du Père... -- PV

vendredi 14 janvier 2022, 12:59:22

"Ma Sœur, il est l'heure de se lever, nous avons de la visite aujourd'hui…"

Je peine à émerger, les voix dans ma tête, cette nuit, étaient puissantes et j'avais eu du mal à les combattre pour trouver le sommeil. Je sens Soeur Dominique enlever les liens qui me retiennent au lit, j'ai les bras et les jambes raides comme à chacun de mes réveils. Je mets un peu de temps à me redresser, roulant mes poignets pour les déliés ainsi que mes chevilles.

"Bonjour Soeur Dominique… Qui peut bien nous rendre visite aujourd'hui alors qu'il y a le rituel de renaissance à 150 lieues d'ici ?"

Le rituel attirait beaucoup de monde, toutes les nonnes du couvent y étaient, même les plus vieilles. Il restait juste quelques Soeurs pour surveiller les lieux et moi… Je n'avais pas eu le droit d'y aller, une dévergondée de mon genre n'avait pas le droit de se montrer. Tant que le Malin n'avait pas quitté mon corps, je devais éviter de croiser des inconnus… Mon corps de coureuse de rempart était un péché que je devais cacher, au Diable mes mamelles trop imposantes, mes courbes des Enfers…

"C'est un Prêtre, nous avons parlé de votre cas à la grande instance et aujourd'hui, Père Yves va venir pour enlever le Mal en vous. Alors vous serez à son écoute quoi qu'il arrive, je ne veux pas qu'il vienne me voir ensuite, car vous ne voulez pas l'écouter."

"Bien ma Soeur…"

Plusieurs personnes avaient déjà tenté des exorcismes sur moi sans résultat, un de plus un de moins ne va pas changer grand-chose.

"Allons ma Soeur, nous devons vous préparez…"

Je me lève de mon lit, Soeur Dominique m’attrape le bras pour me servir de guide et surtout me faire avancer plus vite. J'arrive à me repérer sans la vue dans le couvent, depuis le temps, j'ai trouvé des repères pour savoir exactement où je suis. Nous descendons les marches pour arriver au rez-de-chaussée et directement se rendre dans la cuisine où je sens la bonne odeur du poêle à bois, ainsi que du lait chaud.

"On va commencer par un bon petit déjeuner… Je vais vous servir !"

"Ma Sœur, notre invité doit arriver pour quelle heure ?"

J'entends le lait couler dans mon bol, j'y dépose mes mains pour sentir celles-ci se réchauffer.

"Je ne sais pas, nous savons juste qu'il doit arriver aujourd'hui et qu'il va rester plusieurs jours au couvent s'il le faut ! J'espère que cette fois nous allons avoir…"

La cloche de l'entrée se met à résonner dans tout le bâtiment, signe qu'il y a quelqu'un au portail.

"Ce n'est pas possible, c'est déjà Père Yves, vous ressemblez à un épouvantail doublé d'un ramoneur, allez vite vous débarbouiller, je vous rejoins dans la salle d'eau avec notre invité. Le déjeuner attendra."

À contre cœur, j'enlève les mains de mon bol chaud pour me rendre à la salle d'eau qui se trouve au même étage, la vapeur des bains y est toujours étouffante quand on y rentre. Je me dirige vers un lavabo pour le remplir avec le seau à côté afin d'y plonger mes mains pour me passer de l'eau sur le visage. Sans la vue et dans la précipitation, difficile de faire vraiment attention, le trop-plein vient couler sur ma tunique blanche, laissant le tissu devenir transparent et coller à mon corps. Mais je dois faire vite Soeur Dominique va bientôt revenir avec notre invité, je dois être un minimum présentable. Je continue mon ouvrage jusqu'à que la porte des bains s'ouvre laissant sûrement le Prêtre arriver.

Pere_Yves

Humain(e)

L'exorcisme du Père... -- PV

Réponse 1 samedi 15 janvier 2022, 08:18:31

Petit à petit, mon carnet se remplit. Face à de très rares échecs, j'ai eu beaucoup de réussites. Si je continue sur cette lancée, le Vatican m'accueillera bientôt. Ça me dérange parce que je ne pourrai peut-être pas recevoir autant de paroissiennes que j'en accueille aujourd'hui, mais ça m'offrira une gloire que je n'aurai jamais ici.

Hélas, pour prétendre à cette gloire, il me faut en faire toujours plus. Les exorcismes peuvent parfois être très simples, certains n'étant même qu'une mascarade qu'il m'est aisé de mettre à jour, sans même recourir aux forces divines ; de l'enfant qui fait mine d'être possédé pour n'en faire qu'à sa guise face à des parents apeurés, jusqu'au mari criminel qui feint la possession diabolique pour justifier l'assassinat de son épouse, j'en ai croisé des affabulateurs !

Mais, cette fois, ça a l'air sérieux. Si j'ai bien compris Soeur Dominique, qui m'a contacté et doit aussi m'accueillir, ce serait pour exorciser une sœur lubrique. Le descriptif est assez inquiétant ; elle semble n'avoir ni morale ni pudeur, il faut l'attacher au lit la nuit, elle semble réellement possédée. Si le Diable s'attaque aux couvents, c'est qu'il est sûr de lui. Et, depuis le temps que ça dure, il semble vraiment avoir choisi la bonne proie.

Proie ? Si l'on peut dire ! Elle aurait déjà mis à mal plusieurs de mes confrères, dont certains sont même morts. Elle aurait fait tourner la tête de villageois, dont certains se seraient même battus, après l'avoir vue une seule fois en ville. Vu le portrait dressé par Soeur Dominique, il semble que celle sui se nomme donc Soeur Mary ait des atouts physiques qui ravagent les âmes. En clair, je dois exorciser une sœur succube à gros nibards, et le couvent m'hébergera le temps nécessaire.

Toujours aussi austère ! C'est la première impression qui me traverse, lorsque j'en sonne à la porte. Une bâtisse sinistre, de pierres grises traversées de mousse verte sombre, ça fait toujours impression de prison. Pourtant, j'y suis déjà venu. J'y ai même de bons souvenirs. L'ancienne Mère Supérieure m'autorisait toute liberté avec les novices arrivantes, dès lors que je lui accordais mes faveurs de temps en temps. Grâce à elle, j'ai même ajouté quelques pucelages à ma collection. La méthode était rôdée ; une novice pour son premier entretien, une confession suivie d'une ostie avec mon mélange d'herbes naturelles, juste le temps de la mener à sa cellule avant qu'elle ne s'effondre sur sa couche, et j'avais le temps et la discrétion pour explorer les tréfonds de son âme, et pas que...
Mais, quand ça a changé de direction, ce fut fini !

Soeur Dominique m'ouvre. Elle, par contre, n'a pas changé. « Même à poil en porte-jarretelle, je ne l'encule pas, je préfère encore me tripoter » sont les seules paroles qui arrivent à mon esprit. Toujours obséquieuse, toujours mal fagotée, toujours vindicative.

« Bonjour Soeur Dominique, quel plaisir de vous revoir », quel hypocrite je fais.

« Bon, mène-moi à l'autre ; c'est elle que j'ai envie d'explorer en profondeur », telles sont mes pensées, alors que Soeur Dominique se fend d'un « Bonjour mon Père, Saint homme de Dieu, merci de venir en aide à nos âmes faibles ».

Le temps de traverser la cour, elle me résume la dévergondée, l'âme perdue, la débauchée, et toute l'indignité, saupoudrée de victimisation, de tristesse, mais pas de compassion, plutôt de martyrisation. Ce que j'en comprends me glace : Soeur Dominique me verrait bien crucifier Soeur Mary, et lui enfoncer un truc genre pieu pour extirper le Malin de son corps. « Mais non, pauvre imbécile, pas un pieu, mais mon épieu plutôt » me dis-je en souriant.

La porte des bains, étrange lieu pour une prise de contact. Mais le contenu de la pièce est encore plus ahurissant. Ce n'est pas une nonne, c'est un appel à la baise ! Ma queue se tend tout à coup sous mon habit. « Celle-là, je l'embauche à l'entretien de l'église et, promis, je ne vais plus voir ailleurs ».
Une crinière plus ou moins ordonnée, une de ces paire de seins sous une tunique blanche qui les colle et en montre les tétons tant elle est mouillée. Et, plus bas, je ne peux pas dire que la tunique soit plus prude, car il y a coulé de l'eau aussi je suppose. Il faut raison garder !

« Soeur Mary, je suppose ? »
Je vois aussi le bandeau qu'elle a sur les yeux. Si je maîtrise bien les sciences, ça doit avoir exacerbé ses autres sens.
« C'est bon, Soeur Dominique, je la prends en mains ».
« Oui, je prendrais bien mains ces seins. Putain, quelle paire paire d'obus ! Je suis ici pour quelques jours, moi. »

Une fois l'autre sangsue partie, j'ai toute Soeur Mary à moi.
De ma voix la plus douce : « Bonjour, Soeur Mary. Je suis le Père Yves, et on m'a parlé de vos tourments. Je suis là pour vous aider, et vous éclairer de la lumière de Notre Seigneur. N'ayez aucune crainte, je vous guiderai ». Et je pose doucement ma main sur la sienne.

D'un coup d'oeil dans le miroir, je mate ses fesses sous la tunique blanche. « Hum, là aussi, il y a de quoi faire ! ». Elle ne peut pas me voir, autant en profiter.

« Soeur Dominique m'a dit que vous n'aviez pas pris le temps de déjeuner. Moi, j'y tiens ! Je vous y conduis ».
Je connais les lieux par cœur. Tenant sa main, je la guide. Nous sortons des bains, prenons le long corridor toujours aussi sombre. Le silence me permet de me concentrer sur ses attitudes. Elle se fie vraiment à moi, aveuglée nul doute. La porte de la cuisine grince toujours. Un bol de lait chaud attend sur la table. Le sien sans doute. Je l'aide à s'asseoir, la voyant à tâtons prendre le bol, attendrissante si ce n'est cette putain de paire de seins.
« Prenez votre temps, Soeur Mary. Le pain est à votre portée, sur la table ».

Je me sers un café, une gorgée, toujours aussi immonde ce truc. Puis je m'approche d'elle, debout alors qu'elle est assise. J'ai une vue plongeante sur ses seins, et ma queue s'en délecte de se redresser. Ma queue, juste à hauteur de son visage, mais encore sous mon habit ecclésiastique. Ça va être le premier test. Va-t-elle percevoir l'odeur mâle à portée de sa bouche ? Et, dans ce cas, ce fameux démon va-t-il lui dire d'aller goûter à la source ? Ou n'est-ce finalement qu'une esbrouffe ? En tout cas, réalité ou mensonge, s'est sûr que je me ferai Soeur Mary !
« Modifié: samedi 15 janvier 2022, 10:39:32 par Pere_Yves »


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