Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Bando

Humain(e)

Re : Je puis tout par celui qui me fortifie. -- PV

Réponse 15 lundi 06 décembre 2021, 01:15:32

Comme piégé par un charme dont je n’aurai su déceler la véritable nature et provenance, voilà donc que je me trouvais prisonnier de mes plus bas instincts, à la seule merci de mes sens en ébullition tandis que, seconde après seconde, ma vue semblait se troubler sous l’effet de cette fiévreuse chaleur qui prenait racine en mon corps.

Je n’avais pu jusqu’ici expliquer la raison de mon comportement, de mes gestes déplacés et des folles envies qui me tenaillaient. Dès le premier regard que j’avais posé sur la nonne, j’avais pressenti quelque chose, un... magnétisme ou quelque chose de semblable, m’empêchant de détourner mes yeux. J’eus ressenti plus que l’envie, le besoin de toucher sa peau, de la goûter... Elle était belle, à n’en pas douter, plus encore même, mais sans que je ne puisse le comprendre, je savais que cela allait bien au-dessus de ça. Comme sous l’emprise d’une drogue ou bien d’un maléfice, qu’en sais-je, la passion me dévorait.

Et mes questions ne trouvèrent, sinon d’explications, que davantage de mystères pour les complexifier.


« Oh... ouuuh... »

Un petit hoquet de surprise, puis un profond soupir -de soulagement, presque- alors que Mary prend bien place au-dessus de moi et que ses mains ne viennent à l’exploration de mon urgente érection.
La sensation de ses mains tout contre mon corps m’apaise tout comme elle me brûle, me soulageant comme elle me dévore, comme elle me tient, rongé par toute la luxure que m’inspire le contact de sa peau. Mes yeux se ferment alors que mes doigts jouent au bord de ses lèvres et je n’en ressens que plus fort encore la douceur de ses caresses, étonnamment expertes malgré toute sa maladresse...
Je la triture et ses mains se serrent avec vigueur sur ma queue, au rythme de ces longs souffles qu’elle lâche et qui ne cessent d’attiser plus encore ce brasier en moi. Elle est douce, très douce, avant d’accélérer subitement quand ses premiers gémissements très sonores parviennent à mes oreilles pour ne m’exciter que plus...

Mes mains pressent son cul avec insolence et mes doigts, avec malice, étirent les portes de son petit jardin. Je joue de cette mouille abondante qui perle sans honte et déborde le long de ses cuisses, goûtant tel un affamé ses deux énormes seins tendus à ma bouche. Je m’en repais telle une bête avide, dévorant ses deux merveilleux mamelons que je pourlèche tour à tour, quand je ne parviens pas à en prendre en bouche l’ensemble, y couvrant quelques-uns de mes râles quand je sens ses doigts tripoter mon énorme gland, qu’elle ne couvre qu’à peine de ses doigts.

Ô si vous saviez comme, nue et dans son plus simple appareil, la jeune soeur était bandante. Et... savoir que j’étais alors le premier à lui procurer de telles sensations ne faisait qu’accroître mon penchant pour le vice en sa chair.

Ne pouvant arrêter de la goûter tout en masquant mes soupirs, je n’en prête cependant pas moins une oreille attentive, restant très à l’écoute de ces petits cris aigus qui viennent à résonner entre les pierres froides de sa chambre et dont je me délecte sans plus la moindre once d’innocence.

Quand vient enfin le moment. Elle se redresse et je retombe dos au sol alors qu’elle se redresse d’un coup. Je reste sans voix, le souffle tout bonnement coupé alors que l’absence de ses mains sur mon sexe me frustre comme jamais je ne pu me sentir délaissé. Mais la nonne revient pourtant bien vite à l’assaut, pour me combler encore un peu... beaucoup plus.
Se penchant jusqu’à se plaquer tout contre moi, elle me sent, m’enlace, baise ma peau brûlante du bout de ses lèvres humides. Elle m’hurle son envie au creux des oreilles alors que mes doigts ne lâchent pas son petit bouton de plaisir que j’astique frénétiquement, se jette à la rencontre de mon torse du bout de sa langue aventureuse et me vole au passage de nouveaux soupirs chaque fois plus profonds.
Je sens sa poitrine s’écraser, si douce, si voluptueuse que je ne peux m’en empêcher. Mes doigts quittent sa petite chatte pour reprendre ses seins en mains, pour les pétrir avec vigueur mais sons violence. Je les soupèse, les parcourt de toute leur surface avant d’en reprendre les pointes du bout des doigts... Hmm.

Elle m’oblige à les lâcher à regret alors que sa bouche descend tout contre mon corps. Mes doigts passent dans ses cheveux et je frissonne. Puis... je frissonne encore, la queue tendue haute et droite, fièrement et sur le point de devoir forcer le passage entre ces deux lourds obus qui viennent à sa rencontre, glissant tout contre mon ventre alors qu’elle embrasse mes pectoraux.

« Haan... mmmh... mmoooooh... oh oui ! »

À force de frottements, ma queue finit par se frayer un chemin, écrasée, comprimée sans aucune lubrification entre les quelques kilos de chair ferme et parfaitement lisse de ses seins. Ils sont si lourds que je peine, l’ensemble de mes muscles se contractant pour qu’enfin je fasse une percée entre eux, d’un grand mouvement de bassin, tirant presque avec douleur sur ma peau. Et malgré tout, j’en ressens un bien fou... Le contact de son corps m’enchante, comme si je bandais plus encore, sentant mes veines de gonfler toujours plus, comme si j’allais exploser.

Ma vue de nouveau se trouble sous les effets de cette écrasante chaleur et je gémis, comme possédé.

Mon sexe bute violemment sur le visage de la jeune femme, s’extirpant enfin de sa somptueuse prison pour me procurer une sensation de soulagement infini. Ainsi couché sur le sol, je me dresse sur mes coudes, les yeux fiévreux mais grands ouverts. J’admire sans en détacher mes yeux le spectacle de ma bite qu’elle vient à redécouvrir, à petits coups de langues et de baisers.

Elle baise mes couilles comme s’il s’agissait de trésors inestimables, les gâtant langoureusement en les triturant à pleines mains. Je suis... sur le point d’exploser, ébahi, émerveillé...
Ses lèvres viennent alors prendre ma queue de tous les côtés, partant à son assaut comme s’il s’agissait d’une tour ou bien d’une glace interminable. Bouillant, je lâche un de mes appuis pour passer mes doigts entre les boucles de ses cheveux, pour caresser son visage angélique, qu’elle déforme en ces sulfureux lapements. Elle me lèche, me lèche encore sans discontinuer, me couvrant avec délicatesse, et tout autant de voracité pourtant, de toute son attention. Embrassant mon gland, elle referme sa toute petite bouche tout contre son orifice grand ouvert, léchouillant et aspirant chaque petite goutte de mes fluides, m’arrachant soupir sur soupir.

« Oooooooh... han oui. HAN ! Oh. Ouuuh... han oui, c’est bon... oh, oui comme ça... comme ça... »

Je ne peux reprendre mon souffle que l’improbable se produit, tel un miracle. Elle, qui jamais n’eût la moindre expérience en la matière, fait pourtant entrer mon gland, épais comme un poing, dans sa bouche si fine... Sa mâchoire s’écarte sans effort et j’entre sans être griffé par la moindre dent qui soit, comme avalé par les cieux... ou par l’enfer, tant je brûle en elle.
Doucement, elle m’avale, centimètre après centimètre, faisant disparaître ma queue, que je sens glisser longuement contre sa manque qui me dévore, me tourne autour, glissant jusqu’aux premiers centimètres de sa gorge.
Jamais aucune fellation ne me fit un tel effet. C’était... trop.

« OOH ! Mary... Mary... »

Mes doigts se serraient alors doucement dans ses cheveux, prêts à l’empoigner alors que j’aurai pu décharger litre sur litre de foutre jusque dans son estomac, mais de mes lèvres elle m’extirpait, gémissante et désireuse de savoir seulement, si ma gâterie me plaisait.

Me redressant un peu plus encore, je reprends mon souffle peu à peu, difficilement, les yeux écarquillés alors que je peux en revenir. Qui était t-elle ? Je n’ose lui demander si cela est bien la première fois qu’elle s’adonne à de telles choses, connaissant déjà la réponse... mais les sensations qu’elle me procure me laissent impuissant, esclave du moindre de ses gestes, ne trépignant alors qu’à la seule idée d’être à nouveau en elle, tandis que ses seins ballotent encore et encore tout contre ma bite, rebondissant et la frappant de façon tout bonnement indécente.
Ses mains, elles, ne quittent pas mes bourses, qu’elle caresse encore... et encore... et encore, s’y agrippant comme si elle prenait goût à mon sexe, à sa forme et à ses dimensions... à son goût. Le seul fait de le savoir... mmmh.

Me courbant légèrement sous l’effet de mes frissons, j’écarte une mèche tombée sur son visage. Je passe la main sur sa joue avec tendresse et vient à caresser ses cheveux. Je me dresse encore et, de mes deux mains, les attrape en une longue queue de cheval, destinée à ce qu’elle puisse laisser libre court à sa créativité, comme à ses talents innés.

Incapable de parler un premier instant, je fais juste non de la tête, soufflant difficilement.

« Haa... Nan. Non... vous faites ça très bien, ma soeur. Je... je prends beaucoup de plaisir dans votre bouche. »

Peinant à avaler ma salive, je persiste pourtant à poursuivre :

« Hum. Est... est-ce que ça vous plaît, à vous ? Mon... mettre mon sexe dans votre bouche... Quand vous m’aspirez en vous comme ça. J’ai l’impression que vous cherchez à me traire... à tout avaler en moi... »

Contractant le bas de mon corps, je me remettais en position assise, ou presque, pour me tenir légèrement au-dessus d’elle. J’embrasse alors son front, dispose quelques autres baisers contre son cuir chevelu puis descends passer ma langue contre son oreille en murmurant.

« Je vous en prie, ne vous arrêtez pas. »

Baisant de nouveau le haut de sa tête à de nombreuses reprises, je poussais doucement sa tête vers le bas, sans trop en faire pour ne pas la forcer, ni chercher à aller trop vite, tandis que la faire se courber ainsi me redonnait une parfaite visibilité sur son fessier, large et parfaitement rebondi. Celui-là même qui me faisait bander comme un âne.

Après quelques secondes, j’arrête tout mouvement, pour que Soeur Mary puisse revenir se redresser un peu. Mon visage près du sien, j’embrasse ses joues, son cou, je mordille le lobe de son oreille en soupirant, glissant mes doigts contre ses joues, dans ses cheveux...

« Ah... aaah... votre cul. Changeons de place... Je veux goûter votre cul, votre sexe... mettre ma langue en vous, vous... oooh... vous goûter pendant que vous léchez ma queue... Je veux votre cul rien que pour moi, je veux sentir vos seins... vous... vous voulez bien ? Mary ? »



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