Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois

Les mercredis après-midi (PV Nadia)

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Bando:
Ces derniers temps, je n’suis plus si seul.
Nan, ça doit faire quoi, un mois ? Deux mois ? Ouais, un truc comme ça. Deux mois que mes nouveaux voisins ont emménagés dans la petite maison mitoyenne à la mienne et, pour ainsi dire, tout roule. Enfin je crois. Une jeune mère célibataire, à peine plus âgée que moi et sur laquelle j’ai peut-être des vues... et son fils. Il doit avoir 17 ou 18 ans, j’suis pas sûr d’avoir vraiment prêté attention quand sa mère m’en parlait, la première fois qu’elle est venue se présenter au pas de ma porte. Disons que mes pensées devaient être ailleurs.

Toujours est-il que, allez savoir pourquoi, j’avais très vite fini par céder et avais accepté de jouer les chaperons. C’était pas l’mauvais gars mais... sa mère semblait penser qu’il avait besoin de passer un peu de temps auprès d’autres hommes, histoire d’avoir une figure paternelle... je suppose. Sachant que j’avais dans l’idée de me faire bien voir par la maman... voilà, j’avais dit oui. J’avais dit oui et depuis, il ne se passait plus un jour ou presque sans qu’il ne vienne troubler mon habituelle quiétude. Il n’était pas méchant. Un peu... timide, un peu trop d’ailleurs, il avait découvert ma bibliothèque, mes livres -ceux que j’écris- et avait depuis décidé d’élire domicile pas loin de mon bureau, au moins chaque mercredi après les cours. Il potassait mes notes, mes recueils, mes romans, mais s’était surtout trouvé attiré par mes derniers en date. Ceux qui parlaient de cul. Illustrés et tout. Bah tiens, venant d’la part d’un ado, le contraire m’aurait étonné. Il lisait, lisait et relisait encore avant de me poser question sur question, espérant trouver auprès de moi le... coach, qu’il lui fallait. Vierge, il l’était... et allez savoir pourquoi, il comptait sur moi pour l’amener sur la voie du changement. Ben voyons.

Il me parlait de cette fille qui lui plaisait au lycée, qu’il ne savait pas comment aborder. Il s’emballait parfois en détails, me rabâchant sans cesse comme elle était « bonne » et comme il aimerait que sa première fois se fasse avec une telle créature de rêve. Il prenait dans mes carnets à croquis pour demander avis et conseils sur certaines positions, me faisant hausser les yeux à répétition alors qu’il se complaisait à décrire comment il aimerait la prendre, quel que soit l’heure et l’endroit. C’était amusant, en un sens. Mais ça avait aussi son côté bizarre. Quoiqu’il en soit, ça m’occupait un peu et... ça faisait une présence.

Voilà cependant quelques jours que je ne l’avais pas vu. Il devait sauter le pas et déclarer sa flamme, l’inviter à sortir au moins, comme je le lui avais conseillé. J’ignorais donc si ça avait marché... mais bon. Soit. Nous voilà de nouveau mercredi et, s’il est occupé, ou démoralisé comme jamais, il y a des chances pour que je puisse passer l’après-midi tranquille cette fois. Pas de questions à tout bout de champ, juste un peu de calme.

Il est 14h et je sors en vitesse de chez ma voisine, me rhabillant en hâte alors que son fils est supposé revenir des cours. Oui, après quelques semaines de flirts, des services rendus ça et là, accompagnés d’invitations à prendre un café à toute heure, j’avais enfin conclu. Un thé au beau milieu de la matinée puis... je ne vous fais pas un dessin.

Bref. Je rentre en vitesse et retourne à mes occupations, affalé au beau milieu de mon bureau à griffonner quelques trucs qui me trottent en tête depuis ce matin. Je souris bêtement et redessine de mémoire le magnifique postérieur de la jolie maman, sans oublier ce petit grain de beauté que je marque d’un point... hop.

Presque 15h. On frappe à la porte et mes rêveries s’interrompent d’un coup d’un seul.

« Deux secondes, j’arrive. »

Je soupire puis me lève pour aller ouvrir. Il est là, à la porte. Et vous savez quoi ? Il n’est pas seul.

« Hum... euh. Salut, entre, entre. »

Je me recule un peu en ouvrant grand la porte, sans prêter trop attention dans un premier temps, me redirigeant vers le salon.

Nadia Oyama:
Ce n’était pas son premier petit ami, elle en avait eu un certain nombre mais cela finissait toujours pareil, les garçons se fichaient bien d’elle et voulait juste la sauter, il n’y avait pas vraiment besoin d’aller jusqu’à être son petit ami pour le faire. Mais elle avait tout de même accepté, de toute façon ce n’était pas comme si elle était amoureuse, quand on avait son pouvoir c’était difficile d’être exclusive et même si parfois on abusait d’elle, souvent c’était elle qui avait envie de sexe. On ne pouvait pas dire qu’elle était très fidèle car si parfois son pouvoir se déclenchais sans qu’elle le veuille, quand elle voulait s’amuser avec un garçon elle le déclenchait d’elle-même pour faciliter le rapprochement, sans compter les fois où son corps suffisait à convaincre les hommes de lui offrir leur sucette.

Ce mercredi après-midi son copain l’avait amené chez son voisin, à ce qu’il parait il passait beaucoup de temps chez lui pour lire, la lecture ce n’était pas franchement son truc et elle ne comprenait pas l’intérêt qu’elle vienne avait lui pour ça. Ils auraient pu passer l’après-midi ensemble mais puisqu’elle avait accepté de l’accompagner, la voila qui se retrouvait là. Il ne l’avait prévenu de se programme que lorsqu’elle l’avait retrouvé alors elle avait malgré tout une tenue très aguichante, ses gros seins débordait d’un top trop serré et sa mini-jupe dévoilait ses fesses à chaque mouvement, une tenue de parfaite salope qu’elle avait mise pour exciter son copain à la base.

Elle était de fait assez gênée de se montrer dans cet accoutrement chez quelqu’un, elle était une fille facile mais ce n’était pas pour autant qu’elle portait ce genre d’habit couramment. En arrivant, elle salua le voisin avant qu’il ne les laisse entrer :

« Bonjour, monsieur. »

A peine entrée que son copain se dirigea directement vers son endroit de lecture et elle le suivit, elle essaya de prendre un livre mais cela la saoula au bout de seulement deux pages, trouvant plus amusant à faire. Regardant que le voisin ne soit pas à portée de vue, elle se glissa sous le bureau pour sucer la queue de son petit ami pendant sa lecture, ça au moins elle savait le faire et elle le faisait bien mais à peine avait-il lâcher la sauce une fois qu’il s’était ramolli instantanément, la frustrant un peu. S’essuyant la bouche, elle décida d’aller faire un tour dans la maison, c’était toujours plus amusant que de lire même des livres de culs.

Bando:
À peine les deux jeunes gens entrés, je regagnais mon salon pour me remettre au travail. J’avais ressorti quelques bouquins et laissaient les deux tourtereaux à leur exploration. Après tout, lui commençait à avoir l’habitude, il connaissait la maison. Ainsi ça ne manqua pas, aussitôt arrivé, le voilà parti en direction de la bibliothèque, attirant sa jeune amie avec lui.

Quelque part, je souriais intérieurement, content pour lui que le plan que nous avions élaboré ensemble ait fonctionné. Avec de la chance, il ne resterait plus puceau très longtemps. M’enfin, je devais l’admettre, pour un premier rendez-vous, je l’aurais cru plus imaginatif... Allez savoir ce qu’il avait en tête. À peine s’était-il trouvé une copine qu’il la ramenait chez moi au lieu de tenter quelque chose. Bon, en même temps, je comprenais qu’avec sa mère à la maison, il avait dû penser que ce ne serait pas pour tout de suite.

Bref. Histoire de les laisser un peu tous les deux, je décidais de travailler depuis mon salon exclusivement, bien que ce ne soit pas des plus pratiques.
Si peu pratique d’ailleurs qu’il ne me fallut pas plus d’une dizaine de minutes pour pester, constatant qu’il me manquait deux ou trois livres qui auraient pu m’être plus utiles encore.

« Bon ben, les amis... »

Me relevant, je prenais la direction de la bibliothèque, me disant que je n’allais faire que passer et qu’aussitôt je repartirai, que tous les deux puissent discuter. Eh bien... autant vous dire que je me retins vite d’entrer. À peine à quelques mètres de la porte, je reconnaissais bien vite ces quelques bruits qui venaient chatouiller mon oreille. De petits gémissements, étrangement aigus, accompagnés de délicieux, langoureux et pleins de salive bruits de succion. Je reconnaissais même à ces bruits un certain savoir-faire, pour ne rien vous cacher. C’était bien assez bruyant pour que j’imagine que mon jeune poulain avait affaire à un véritable aspirateur...

Bingo. L’oeil glissé dans l’encadrement de la porte, je les prenaient sur le fait. Lui assis à mon bureau, les fesses à l’air dans mon fauteuil de cuir, à se faire reluire la bite pour la toute première fois, par sa jeune compagne dont je devinais la chevelure en ces rapides mouvements de va-et-vient qu’elle faisait de la tête.

Toutefois, je me retirais rapidement, mon sourire s’affaissant vite. Raah quel sale petit con ! Je lui ouvre ma porte et lui ne trouve rien d’autre à faire que de baiser sur mes affaires ? Bon, cela dit... c’est pas comme si j’allais faire grand-chose. Je n’pouvais pas lui reprocher ça quand, le matin même, je m’étais envoyé sa mère jusque dans sa chambre... Fair-play.

Vite fait bien fait, je fais demi-tour en soufflant. Je monte à l’étage et vais jusqu’à ma chambre, sortant mon téléphone pour envoyer quelques petits messages alors que me vient une petite idée. Puisque lui ne se gênait pas, alors moi non plus, j’allais pas m’priver ! Quelques petits messages à la maman chéri du jeune homme et me voilà à déboutonner mon pantalon face à l’immense miroir qui trônait derrière mon lit.

J’ouvrais juste ma braguette et en sortait mon sexe, encore au repos. Je sortais bien le tout, jusqu’à ce que vienne pendre entre mes cuisses cette troisième jambe, molle mais épaisse, sur pas moins de 25cm.
Portable en main, je prenais quelques clichés salaces, que j’envoyais aussitôt à la maman de notre jeune ami, histoire de relancer la machine, alors qu’elle me répondait déjà ô comme je lui manquais.

Debout face à la glace, j’écris un nouveau message, un sourire se dessinant sur mes lèvres.

Nadia Oyama:
Les livres n’étaient clairement pas quelque chose qui l’excitait et même si elle avait passé quelque minute à sucer son copain, l’excitation venait surtout du fait d’essayer de ne pas se faire voir que du lieu en lui-même. Et puis comment être rassasié alors qu’il avait gicler si vite, elle ne savait pas qu’il était encore puceau, il parlait tellement de cul qu’elle ne l’avait même pas pensé et elle s’était retrouvée à avaler seulement quelque minute après avoir commencer à le pomper. Elle l’avait laissé à sa lecture, elle aurait aimé aller plus loin mais l’endroit ne lui disait pas mais après avoir commencé, elle avait terriblement envie de continuer. Elle était programmée pour faire la totale quand elle commençait et il fallait un membre puissant pour tenir tous les assauts de la jeune lycéenne mais déjà professionnelle qu’elle était.

Elle marchait donc dans la maison pour visiter les lieux, elle évitait de trop toucher à ce qu’il y avait sur les meubles pour ne pas les déranger. Le rez-de-chaussée était désert, le voisin était peut-être parti, ça l’étonnerait qu’il les laisse les deux seuls chez lui-même si son copain avait l’habitude de venir, il avait dû monter à l’étage, elle avait vu un escalier. Continuant son exploration, elle monta justement les escaliers pour voir ce qu’il y avait à l’étage, après être passé devant quelque pièces, elle se retrouva face à la chambre du propriétaire des lieux, la porte était ouverte et elle le surprit en train de se prendre en photo le sexe à l’air devant le miroir, même les vieux semblaient donc envoyer des sexto et des dickpics. Il ne semblait pas l’avoir remarqué mais elle le regardait bien et était un peu étonner de son engin, elle aimait les grosses queues et elle en avait une devant elle et ça lui donnait des envies.

Elle entra dans la chambre pour s’approcher :

« Elle est sacrément grosse ! Je peux goûter ? »

Ca avait le mérite d’être clair, ce n’était pas la plus grosse qu’elle avait vu mais elle avait envie de la toucher maintenant. Après la frustration de la pipe express, elle avait faim.

Bando:
Bien trop occupé à prendre mon sexe en photo sous tous les angles pour allécher la jeune maman de mon voisin, bien occupé lui aussi, là en bas, je ne m’étais rendu compte de rien.
Comme le parquet, les escaliers grinçaient et pourtant, rien. J’étais bien trop perdu dans mes pensées et ne m’étais pas douté un seul instant qu’un de mes convives serait monté me rejoindre... En même temps, vu comment je les avaient laissés, qui aurait pu deviner ?

Même pas une annonce discrète, même pas un raclement de gorge... la phrase qui retentit dans ma chambre, des plus surprenantes, me pris d’abord par la surprise, me faisant sursauter. J’en lâchais mon téléphone qui retombait aussitôt au sol, passant, sans que je le remarque, un appel à mon dernier contact, à savoir, mon jeune voisin retenu en bas par ma bibliothèque. Celui-ci ne répondant pas, voilà qu’il aura sans doute une petite surprise quand il en viendra à écouter sa messagerie... enfin... ça se pourrait.

Les yeux écarquillés, j’apercevais vite la jeune femme dans le reflet du miroir. Je me retournais tout aussi subitement vers elle, les mains plaquées sur ma queue. Bien évidemment, ce n’étaient pas deux mains qui allaient suffire à cacher tout ça.

« Oh putain ! »

La surprise passée, j’en gardais toutefois le souffle court, et reprenait rapidement mon calme. Après tout, vu la situation, la discrétion semblait de mise. Qu’est-ce qu’elle foutait là ? Elle était sérieuse ?

Alors que je la regarde s’avancer, je me recule lentement. Merde. Je n’y avais pas prêté attention lorsque les deux jeunes gens étaient arrivés mais... wouaw, je ne m’y attendais pas. Je comprenais maintenant en regardant la jeune femme pourquoi mon petit puceau de voisin s’était entiché de cette fille. J’ignore ce qu’elle avait en tête aujourd’hui -peut-être pas, en fait-, mais elle s’était sacrément apprêtée...
La dévisageant vite et sans la moindre discrétion, je regardais comme le petit courant d’air à l’étage soulevait sa toute petite jupe, comme ses énormes seins semblaient vouloir s’évader de leur prison... Elle faisait quoi, un bonnet E ? F ? Autant vous avouer ma faiblesse face à de tels arguments. Les grosses poitrines avaient toujours eues cet effet sur moi. J’y peux rien !

Remontant bien vite à ses yeux, je reculais encore, très lentement.

« Hum... quoi ? J-je... j’suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Tu vois... »

Des yeux, je lui indiquait l’étage inférieur, pour mentionner son tout nouveau petit-ami, qu’elle pompait goulûment il n’y a même pas dix minutes. À ce propos... ils avaient déjà fini ?
La matant sans honte, je finissais par décroiser les mains. Elle avait déjà tout vu de toutes façon puis, j’avouais que l’idée de me faire mater n’était pas pour me déplaire. Je repensais alors aux bruits que faisaient sa bouche, me laissant envahir par l’idée que passer à côté d’une telle expertise serait pure folie... Raaaah, merde alors ! Je pouvais pas faire ça au gamin... déjà que depuis c’matin, la relation entre sa mère et moi avait... « évoluée », j’allais pas non plus me taper sa meuf, si ? Réfléchissant, je lâchais un petit souffle.

« Euh... Ok, hum. Je... tu es... arf. Comment dire. Ça... ça me plairait beaucoup, mais j’peux pas lui faire ça. Ce serait pas bien. »

Ne sachant plus trop où me mettre, perdu entre une excitation soudaine et tout le recul que je pouvais prendre sur la situation, voilà que je me mordais les lèvres, mes yeux retournant plonger droit dans son profond décolleté.

« Juste une pipe. »

Me disant très vite que si elle était montée, c’est qu’elle n’avait pas été satisfaite là en bas, je repris vite.

« Les préliminaires. Si... si on fait pas de bruit, ok. Mais pas plus loin... pas tant qu’il est là en tout cas. »

Soutenant son regard un court instant, je finis par prendre place sur le lit.

« Ferme la porte. »

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