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Il faut bien récompenser les vainqueurs [Privé]

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Kurt Wagner:
La poitrine musculeuse d’Andy s’abaisse et se soulève lentement, encore couverte de la sueur du match, un sourire carnassier s'épanouissant sur ses lèvres entrouvertes. Lui aussi, goûte à la récompense d’une victoire bien mérité : la petite bouche bien serrée de l’androgyne à genoux, en train de s’étouffer sur son gros chibre. Il grogne de dépit lorsque la langue fureteuse délaisse son anus, mais laisse échapper un murmure appréciateur lorsqu’il sent l’épaisse queue de Yugo s’écraser contre ses fesses. Frissonnant d’aise, le jeune sportif remue ses fesses contre le sexe érigé, agité par des pensées contradictoires, à la fois excité et terrifié à l’idée qu’une queue aussi impressionnante que la sienne puisse se glisser dans son cul. Sournoisement, Yugo s’affaire dans son dos, jouant de sa langue et de ses longs doigts fuselés pour éveiller ses sens. “Quels chiens”, murmure le blondinet, qui s’efforce de reprendre sa respiration.

Yuga avale littéralement son sexe entre ses lèvres, et il sent sa petite langue joueuse glisser contre sa hampe. Lorsque ses doigts s'emparent de ses couilles, Andy écarte davantage les jambes, pour s’offrir davantage à ses caresses. Enfin, il sent la pulpe des doigts de Yuga glisser contre sa corolle, avant de l’investir avec autorité, faisant tressaillir le bel athlète, dont la poigne se referme sur la nuque de l’androgyne. “Pu-tain… Fouille-moi, salope… fouille-moi bien…” En grognant, remuant lascivement contre les doigts qui lui ouvrent le cul, Andy imprime à son bassin des mouvements plus amples, plus brutaux. Sans plus se soucier de l’épaisseur de son chibre, il baise désormais la gueule de Yuga, envoyant son énorme gland violacé au fond de la gorge de ce dernier, écrasant ses bourses pleines sur son joli visage androgyne. “Là, là, tu vas me faire jouir à force, putain…” Enivré par les encouragements de son frère jumeau, Andy commence à transpirer.

Se tournant légèrement vers le côté, il crache dans sa main libre, pour s’emparer du sexe de Yugo, qu’il malaxe fermement. “Tu ne me donnes pas d’ordre”, rétorque-il, sur un ton néanmoins joueur. Putain, quelle queue. Comme il s’en doutait, le penis du jeune homme est légèrement plus long que le sien, même s’il est un peu moins épais. “Viens-là, toi”, glisse-il, d’un ton autoritaire, lâchant la queue de Yugo pour l’attraper par le bras, et le forcer à se rapprocher de lui, pour écraser ses lèvres contre les siennes. Sa main glisse dans son dos et, sans cesser de jouer avec sa langue, il l’invite à prendre place à côté de lui. “Occupe-toi un peu de ton frère aussi, petite salope”, murmure-il, à l’adresse de Yuga, en retirant sa queue d’entre ses lèvres pour lui en tapoter le visage à plusieurs reprises, le souillant de salive et de foutre. “Allez. suce les grosses queues... Frotte-les ensemble...”, ordonne-il à sa victime, d’un ton étonnamment dur, délaissant les lèvres de Yugo.

Yuga / Yugo:
Une chose était certaine c’était que Andy s’était libéré de sa timidité, gène des premières minutes. Il se montrait plus assuré, plus dominant. Yugo sourit lorsqu’il sentit ce dernier remuer son cul contre son sexe dressé. Mais Yugo avait d’autres projets pour l’instant, il forcera cet anneau rose, mais pas tout de suite, pour l’instant, il voulait savoir jusqu’où irait ce dernier avec son frère. Il aimait voir ce dernier baisé, traité comme une chienne, pour réemployé l’expression de leur amant du moment. Peut être que Yugo souffrait d’un sentiment d’infériorité du fait qu’il n’était qu’un double, un clone, qu’une copie. Quelle qu’en soit la raison voir Yuga être traité ainsi et pouvoir y participer, gonflé son désir et le plaisir qu’il prenait. Il le savourait d’autant plus qu’il savait, que ceci influençait ce que ressentait son original et le rendait encore plus réceptif à la soumission, au fait d’avoir un comportement de chienne soumise.

Lorsque Yuga avait enfoncé ses doigts dans l’intimité de Andy, il s’était attendu à une réaction de sa part, mais à une telle brutalité. En quelques coups de reins ce dernier avait totalement envahit sa gorge avant qu’il ne soit totalement prêt à le recevoir. Des larmes apparurent au coin de ses yeux et malgré son expérience le jeune homme connut un réflexe de contraction de sa gorge qu’il eu du mal à contrôler. L’épaisseur du membre qui s’était enfoncé, combiné à la violence de la pénétration, était une situation que Yuga avait peut eu l’occasion de connaître. Malgré tout le jeune homme accepta cette gorge profonde forcée et repris son travaille de succion.

La remarque de Andy fit sourire, Yugo surtout lorsque ce dernier lui attrapa la queue et commença à le malaxer. Il se laissa un moment guider par ce plaisir qui montait en lui, se matérialisant par un goutte du précum qui apparut au somment de son gland. Le baiser surpris le double, qui l’accepta répondant à la langue qui cherchait à jouer avec la sienne. Lorsque Andy arrêta le baiser pour ordonner à Yuga de le sucer, Yugo avala leur salive mélangée. Il prit plaisir à voir l’épaisse queue du jeune homme souiller le visage de son semblable. Yuga leva ses yeux vers les deux jeunes hommes qui se tenaient devant lui, les yeux emplis de désir et de lascivité. Un sourire comblé apparut sur son visage, devant l’ordre donné et commença à caresser les deux impressionnantes bites qui se tenaient devant lui. D’abord en se servant d’une mains pour chacune, puis les rapprochant faisant se rejoindre leur gland, se mis à jouer avec sa langue, léchant, avalant le précum de son frère et les fluides qui se trouvaient sur celui de Andy. Malgré toute la bonne volonté du monde, Yuga ne serait pas mesure de prendre les deux bites dans sa bouche et se mis donc à les sucer par alternances, les enfonçant à chaque fois au fond de sa gorge et venant écraser son visage contre les ventres. Yugo jouit une première fois, mais retira son sexe, pour qu’une partie de son éjaculation vienne s’écraser contre le visage de son frère. Yuga avala ce qui avait enduit les parois de sa bouche, puis lécha le fluide qui coulait sur ses lèvres. Pour la première fois depuis que Yuga avait commencé à sucer Andy, Yugo s’adressa à lui … «  offre lui ton cul » …

Obéissant, Yuga s’allongea ventre contre le sol avant de soulever ses fesses. Puis de ses mains il vint écarter ces dernière révélant un anneau serré et palpitant. Dans cette position, l’illusion était parfaite donnant l’impression qu’une jeune femme se tenait là offerte, puis Yuga prit la parole … « Vient prendre ta récompense champion et défonce moi, comme la chienne que je suis » … Plus qu’une demande, presque une prière, la respiration de Yuga était saccadée sous le plaisir qui brûlait dans ses reins.

Kurt Wagner:
En dépit du gros chibre érigé entre ses jambes, Yugo n’en demeure pas moins aussi androgyne et féminin que son jumeau. Ses lèvres sont douces, accueillantes, sa peau pâle et lisse. Il soupire d’aise lorsque Yuga frotte son gland contre celui de Yugo, mélangeant leur semence, frissonne, tant il lui est agréable de sentir sa queue au contact d’un autre chibre qui n’a rien à lui envier. L’obscénité de la scène le rend ivre de désir et de nouveau, alors que son jumeau branle désormais les deux grosses queues bien fort, il embrasse Yugo, fourrant sa langue dans sa bouche avec vigueur, sa main s’attardant sur son torse, pour titiller ses petits tétons érigés de la pulpe de ses doigts calleux, jusqu’à ce que Yugo gicle, remplissant la bouche de son frère, souillant sa jolie petite gueule. A l’ordre qu’il donne à son frère, Andy sourit, avant de mordiller la lèvre inférieure de Yugo.

“Tu auras ton tour, toi aussi.”

Andy, en nage, s’accroupit derrière Yuga, et crache sur la petite corolle. “J’espère que tu l’encules souvent”, lance-il à Yugo, resté en retrait. Il n’a pas l’intention d’y aller de mainmorte.

“Mhh…”

Sans hésiter, l’adolescent enfouit son visage entre les deux petites fesses écartées, lèche rageusement le petit trou avant d’y fourrer carrément sa langue pour le fouiller, l’ouvrir. Enfin, il se redresse, claquant à plusieurs reprises le petit postérieur offert. Sur les genoux, il s’empare de son gros chibre suintant de foutre, juste au dessous du gland, l’écrase contre l’orifice et pousse fermement en grognant comme un animal en rut. “Mhhh… Putain… de grosse chienne…” Le petit trou est serré, mais lubrifié. S’arrimant solidement aux hanches du jeune homme, Andy progresse lentement mais sûrement dans son trou, jusqu’à ce que ses grosses couilles s’écrasent enfin contre celles de l’androgyne. Glissant une main devant Yuga, Andy s’empare de sa queue, découvrant du bout des doigts un petit chibre dressé, qu’il s’empresse de malaxer doucement, tout en amorçant un mouvement contrôlé de va-et-vient dans ses entrailles. Sa grosse bite est compressée, massée par le petit cul de l’androgyne, qu’il gratifiie d’une nouvelle claque, avant de se pencher pour l’écraser de son poids sur le sol. “putain, c’qu’il est bon ton… cul… de pute !” Mordant la nuque de son amant, ses coup de butoir se font plus vigoureux, erratiques, sans qu’il ne cesse pour autant de branler nerveusement l’androgyne, pressant son sexe entre ses doigts. Il sent que l’orgasme est proche, et n’a pas l’intention de le retenir. 

Yuga / Yugo:
Lorsque Yuga sent le visage de Andy se placer entre ses fesses, il ne peut se retenir de mordiller sa lèvre inférieure d’anticipation. Le plaisir et le désir se mélangeaient, générant des flots d’hormones qui noyait son cerveau. Tout son corps attendait cette pénétration et son cul était prét. Le jeune homme savait que cette dernière, serait brutale, son amant s’était libéré de ces doutes, de cette gène qu’il avait ressentit voyant ses camarades abuser du jeune homme. Il ne voyait plus en Yuga une pauvre victime, mais une chienne qui s’offrait à lui sans limites et tabous. Il fallait reconnaître que Yugo avait guidé le jeune sportif sur cette voie, le rassurant, finissant de le convaincre.

D’ailleurs le jumeau attendait la pénétration avec une certaine excitation, partageant avec Yuga ses ressentis. Andy ne pouvait pas être si loin de la vérité qu’il le pensait. Yugo n’avait que rarement eut l’occasion de baisé son original. Avec celle-ci cela devait être la quatrième fois qu’il pouvait le faire, ce qui expliquait en partie son envie. La raison pour laquelle Yuga ne baisait pas avec Yuga, c’est qu’il n’en avait pas besoin. Mais aussi car il redoutait de devenir accro au plaisir qu’il ressentait dans ces moments du fait de leur lien empathique. Étrangement Yuga était celui qui en ressentait le plus les effets.

La pénétration n’est pas aussi brutale que Yuga l’aurait imaginé ; mais cela n’en était pas plus mal. Si Andy n’avait pas pris possession de son cul par un puissant coup de rein, il s’enfonçait avec détermination écartant les chairs de l’androgyne qui s’offrait à lui. Ce dernier pouvait sentir, chaque centimètres de cette queue puissante et massive le pénétrer. Yuga avait prendre appui sur le sol, pour résister à l’effet de cette pénétration. Il relâcha un râle lorsqu’il sentit les couilles de son amant buter contre les siennes. Il sortit sa langue et laissa apparaître un sourire encore plus large. Puis le coups de reins commencèrent, à un rythme régulier, maîtrisé. Lorsque Andy vient malaxer doucement son sexe, Yuga ne peut retenir un nouveau râle de plaisir.

Yugo quand à lui, se caresse, sa langue passe sur ses lèvres. Son sexe a retrouver toute sa force et palpite de désirs. Le petit cri que lâche Yuga, lorsque Andy vint peser de tout son poids sur lui augmente l’intensité de son désir. Andy se comporte alors comme le dominant avec sa chienne, mordant la nuque de celui qu’il baise, avant d’accélérer ses coups de reins. A ce moment quelque chose se passe dans l’esprit du double, il ressent de la jalousie. Les rares fois où il avait baisé Yuga, même s’il avait toujours été l’instigateur des pratiques, jamais il n’était allé aussi loin dans la preuve de sa dominance sur ce dernier. Et Yuga tout à son plaisir, acceptait cela, plus encore semblait en demandait, lorsqu’il releva ses hanches pour renforcer la pénétration qu’il subissait. Sans réfléchir Yugo vint se placer derrière Andy et attrapa ses hanches avant de le plaquer contre le dos de son jumeau et écraser les deux corps. Puis plaçant son gland à l’entrée du cul de ce dernier, s’y enfonça brutalement. Pour compenser la différence de puissance entre lui et Andy, Yugo avait augmenté le volume des muscles de son buste et de son dos. C’était la première fois qu’il utilisait ce don de cette manière, du moins dans ces circonstances. Puis plaçant ses lèvres à hauteur des oreilles du jeune sportif … «  Il est ma chienne, tu ne la domine qu’avec mon accord » …. Le ton de la voix était chaude, mais avait aussi quelque chose de froid, presque de menaçant. Yuga pouvait ressentir la frustration de son double, mais aussi le plaisir qu’il prenait et cela cumulé à ses propres ressentis balayait tout.

Kurt Wagner:
Andy, qui restait un peu sur la réserve, s’enhardit encore, alors qu’il sent Yuga s'affaisser, s’offrir aux coups de butoir réguliers de sa grosse bite. Il fouille son anus avec rage et délectation, mord l’épaule gracile du jeune homme. “Sale chien, tu vas me faire gicler”, avoue-t-il, le souffle court. Mais à sa grande surprise, Yugo, qui était en retrait, empoigne ses reins. La force de sa poigne le surprend, et Andy ralentit la cadence de son bassin, le cœur battant, légèrement inquiet. “Attends tu ne vas pas…oof.” Sa voix se perd dans un souffle, lorsque le jumeau de son amant s’écrase brutalement dans son dos. Sa queue énorme, gonflée, glisse contre les fesses musclées de l’athlète, qui frissonne, Ses yeux s'écarquillent, alors qu’il sent le gros gland poisseux caresser la corolle entrouverte de son anus. Andy n’est pas prêt. Il n’a jamais pris un sexe de cette taille dans le cul et malgré l’excitation, il panique. “Non, je…”

Mais Yugo n’a pas l’intention de l’écouter. D’une brusque poussée, il le pénètre, le déchire. “Mggghh… aargh.” Andy, tétanisé par la douleur, a cessé de pilonner Yuga, son gros sexe immobilisé au fond de son cul. D’une main tremblante, malhabile, il s’efforce de contrôler les mouvements du bassin de Yuga, mais sa position précaire, et la vigueur insoupçonnée dont il fait preuve lui rendent la tâche difficile et, inexorablement, l’énorme chibre l’investit, ravageant ses entrailles crispées, jusqu’à ce qu’à son tour, il sente les couilles pleines de l’androgyne s’écraser sur les siennes, le faisant frissonner.

“Att. Attends. Stop.” La bouche entrouverte, Andy cherche son air, envahi par des sensations contradictoires. La douleur, bien sûr, omniprésente, pour le moment. La sensation, plus sournoise et enivrante d’être rempli, à la merci de ce chibre, également, d’être lui-même un chien. Une douce chaleur s’épanouit lentement dans son corps crispé. Au bout de longues secondes, l’athlète parvient à se détendre. Il grogne, les yeux-mi clos, alors que progressivement, le plaisir s’instille, repousse la douleur et, de lui-même, il recule, s’empale profondément sur le chibre de Yugo, pour se renfoncer brutalement dans l’anus de Yuga. Bientôt, à sa grande surprise, il parvient à accélérer le rythme, ondulant des hanches entre ses deux partenaires. Sa voix, sourde, étouffée, s’élève enfin. “Plus fort. Grouille. Toi”, intime-il à Yugo;

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