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Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

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Seki Kusu

E.S.P.er

Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

vendredi 12 novembre 2021, 19:05:29

La pratique du sport est une des rares activités que Seki pratique avec un certain plaisir. Pas tous les sports, les sports en équipe ne l'attirent que peu, mais la pratique du fitness est quelque chose qu'elle apprécie. Pouvoir être seule, concentrée sur ses mouvements, sur quelque chose qui lui permet d'ignorer, sans forcément vexer, les autres. Bien sur, une belle jeune femme risque de temps en temps d'attire l'attention d'hommes, qui se croient dans l'obligation de venir lui expliquer comment se tenir pour tel ou tel exercice. Seki n'est pas une pro du fitness, mais étant donné qu'elle en apprécie la pratique elle s'est montrée plus qu'attentive lorsque le responsable de la salle lui a expliqué quels mouvements faire et ceux à éviter. Donc elle n'a pas besoin de l'assistance de ces hommes. D'ailleurs son comportement fait que dans la plupart des cas, ces derniers finissent par la laissé.

Cela faisait 2 heures que Seki transpirait, sur les engins de torture, qui devaient lui permettre de garder sa silhouette el raffermir ses fesses et abdominaux. En toute honnêteté, la jeune femme n'en avait nullement besoin. Mais la dépense d'énergie, la mettait dans un état de léthargie, fatigue, qui lui arrivait d'apprécier. Ou bien était-ce seulement le fait des hormones que son corps générait. Peu importe, après l'effort un autre réconfort, la douche. La salle était presque vide, il ne devait rester que quelques personnes, tous des hommes. Notre belle amie, se dirigea vers les vestiaires réservés aux femmes. Elle fut accueillit par le silence, on pouvait entendre au loin, le bruit des quelques appareils encore utilisés. Le système de ventilation avait dut s'arrêter ou était en panne, on pouvait ressentir une certaine humidité, du à la chaleur et aux douches incluses dans le vestiaire et que rien ne séparait. Cette atmosphère augmenta la léthargie que Seki ressentait, une bonne douche lui ferait du bien.

Lorsque le jet d'eau chaude vint frapper son corps, elle se détendit. Ses mains enduites de savon, commencèrent à parcourir ce dernier, puis sans qu'elle ne s'en rende compte à le caresser, soupeser sa poitrine, ses fesses. La lassitude dut à l'effort se transformait peu à peu en lascivité. Quel mal y avait-il a ces caresses, elle ne dérangeait personne. Sa main vint se glisser dans son entre-jambe, avant que de ses doigts elle écarte délicatement ses lèvres intimes. Son pouce vint à la rencontre de son clitoris, le caressant par de petits mouvements circulaires. Puis elle se fit plus audacieuse et deux de ses doigts se glissèrent dans son intimité. Son autre main, vient jouer avec sa poitrine et ses mamelons qui se dressaient légèrement. Il ne fallut pas longtemps pour que se doigts qui s'étaient glissés en elle imprime un mouvement de va et vient tout en appuyant vers l'extérieur par moment. Un léger orgasme s'annonçât au bout de quelques minutes. Seki ne chercha pas à le faire grandir, elle n'était pas chez elle et l'onanisme n'était pas une pratique à laquelle elle se livrait couramment. Peut être aurait elle dut chercher à aller plus loin, se libérer de ce sentiment de lascivité toujours présent.

Alors qu'elle sortait de la douche, nue, sa serviette à la main et eut la surprise de tomber sur un homme. En temps normal, elle se serait demandé ce que cet individu faisait là. Mais elle n'était pas tout à fait dans son état naturel. D'un elle avait encore en elle un désir pas totalement éteins, de plus celui qui se trouvait devant elle était, comment dire une incarnation de la puissance masculine. Il se dégageait de lui des effluves qui auraient dut la dégouter, mais venant de lui c'était un autre sentiment qu'elle ressentait. Au fond d'elle, dans cette partie de son cerveau dans lequel réside l'instinct primaire, quelque chose s'activa, elle voulait se soumettre à cet homme, ce soumettre aux envies et besoin de cet homme. Son regard, son attitude, la rougeur sur son visage et certaines parties de son corps n'avaient rien à voir avec la chaleur du lieu. Inconsciemment, elle entrouvrit sa bouche, avant de se mordiller la lèvre inférieure. Sa posture changea légèrement, tout comme son attitude, appelant celui qui lui faisait face à la prendre. Entendons nous bien, elle ne s'était pas mise à quatre pattes ou n'avait pas écarté les jambes, cela était bien plus subtil, mais le message était le même.

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Créature

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 1 jeudi 18 novembre 2021, 23:36:26

Quand vous êtes capable de soulever un poids lourd chargé de 40 tonnes, il faut trouver des moyens pour rester en forme. Dans son cas, il fallait plutôt pour Héraclès qu'il se dépense. Pas nécessairement pour se décrasser, mais plus comme une accumulation d'énergie qu'il doit évacuer quelque part afin de ne pas faire de casse. Heureusement avec la technologie actuelle, c'est possible. Des disques capables de multiplier plusieurs fois sa gravité afin d'avoir un matériel capable de déchirer ses tissus musculaires pour un effort qu'il peut solliciter jusqu'à l'échec. Pas insocial, mais plutôt pas très chanceux dans sa manière de s'intégrer dans un groupe, il retrouve cette salle dans la solitude la plus totale.

Alors, autant se concentrer sur l'essentiel : lui.

Chaque mouvement qu'il faisait congestionnent son corps strié d'une masse musculaire si enflée qu'on pouvait voir chaque fibre, tissus et tendons rouler aux moindres faits et gestes. La sueur coulant à flot sur son derme brûlant, sa respiration forte qui battait la mesure sur chaque répétitions, que ça soit à la presse, au développé couché, aux haltères, au soulevé de terre. Un plaisir de sentir son corps s'engourdir, alors que plusieurs tonnes sont tirés sur ses barres. Le moment opportun pour ne penser rien d'autre qu'à la singularité si simple du geste. Soulever. Pousser. Tirer. Pas de complications, pas de complexes, seulement la volonté primitive d'envoyer son corps à la tétanie.

Une chaîne épaisse sur ses épaules, une ceinture attachée à plusieurs disques à la taille, il termina les cent dernières tractions qui clôturent la séance. Très peu de temps il lui reste à savourer cet état de fatigue curieusement agréable avant que ça régénération fasse des siennes. L'odieux privilège d'être presque invincible. Vêtu d'un simple shorty, un débardeur très fins, il chercha les vestiaires pour une douche belle et bien méritée. Il ne pouvait s'empêcher de sourire, l'endorphine inondant son cerveaux, la sensation de vide, son cœur qui bat dans chacun de ses muscles. Une serviette sur la tête, pour s'éponger le front, il venait de créer de manière hasardeuse des œillères qui l'emmena du mauvais côté des vestiaires.

Celle des filles.

La serviette, imbibée, humide, et lourde par la transpiration claque sur son épaule tandis qu'il redresse les yeux. Une femme. Venait-il de se tromper ? En temps normal, il partirait. Mais ce regard refusait de quitter ce corps nu qui n'a pas encore fuit les yeux de son observateur. Il glissa de haut en bas ; une peau opalescente, moite, qui reflétait la lumière des vestiaires, une chevelure flamboyante encadre ses épaules souples. Des yeux en amande qui ont l'air de cacher un millier de vices. Un visage de poupée aux lèvres pulpeuses, qui s'ouvrent à la vision du colosse qui n'a pas moufté d'un centimètre. Son corps était voluptueux mais harmonieusement bien proportionné. Les muscles de sa mâchoire se serrent, la pupille de ses iris se rétracte. Comme un prédateur bloquant sur une proie étrangement consentante.

Il marcha vers elle, lourdement.

Il venait de se passer peu de temps, aucun mot n'avait été échangé. Pourtant, il comprit assez rapidement. Comme une évidence. L'alerte était aussi violente que la pulsion sexuelle qui l'habite. Parlant de chaque côté, il renvoya à son tour l'envie foudroyante de la prendre. Un contrat tacite, un intérêt silencieux. Un échange entre deux corps qui parlent sans utiliser de langage. Son short se retrouve peu à peu serré par une turgescence empestant le rut depuis ici, une virilité puante de testostérone qui vient s'ajouter aux odeurs florales des vestiaires. La distance venait d'être réduite. Un seul pas les séparent dorénavant. Un regard à gauche, un autre à droite, pour comprendre qu'ils étaient seuls. Quand bien même cela ne serait pas le cas, les choses deviendraient plus excitantes. Alors, il retire également son haut, puis son bas, puis ses chaussures. Laissant sa queue s'échapper de son caleçon dans un rebond intimidant. Veineuse, odorante, une toison épaisse coiffe son pubis. Du haut de ses 2m20, il surplombe cette nouvelle rencontre de toute sa masse. Laissant un grognement rouler dans son torse comme prédateur s'adressant à plus petit que lui.

Il tourna autour d'elle, lentement. Toujours dans ce silence. Juste pour la reluquer davantage, apercevoir ce fessier sexy, ses jambes galbées. Son abdomen dessiné, son buste petit mais ferme. Ses hanches et sa taille sont marquées. Elle était magnifique et désirable. Parfait pour un casse-croûte. Maintenant en face, son index se pose contre sa poitrine.

- Je dois prendre une douche.

Il s'avança, tout en la poussant vers le pommeau. Une fois arrivé, sa main suit la ligne de sa mâchoire, puis sa gorge avant d'y fermer ses phalanges rugueuses et épaisses autour dans une cage de domination indomptable. Elle venait de signer pour un long moment à jouer les quartiers de viandes pour un barbare en manque. L'eau chaude vient frapper leur corps, sa crinière de lion collant à son front, cachant un regard sombre sur un sourire carnassier tandis que son bras gonfle pour la retourner contre le mur. Soulevant une jambe, sa hampe vient frôler ses lèvres intimes avant de buter contre son antre. Une main ferme et permissive s'enfoncent dans sa cuisse qu'il tient avec une prise autoritaire, l'autre vient se saisir d'un sein pour la pétrir brutalement.

- Déjà chaude... Déjà mouillée...

Il venait effectivement de sentir la chaleur de son sexe irradier le sien pour mieux le maculer de cyprine déjà présente. Aucun préliminaire n'était effectivement nécessaire même si bien sûr, il compte ravager sa gorge d'une fellation obscène plus tard. Butant contre son antre, il écarte ses parois pour rentrer dans un geste sec et féroce dans un soupir satisfait. La chaleur de son sexe, couplé à l'eau qui frappe leurs corps nus, donnait une certaine sensualité à la situation. Pour autant, c'est un véritable fracas d'organes internes qui vient chambarder la vulve de la concernée, traversant son fourreau avec une joute épaisse et veineuse pour frapper le fond.

La collision cinglante fait des vagues sur sa peau, ses fesses rebondir indéfiniment chaque fois qu'il la pénètre. Il quitte sa poitrine pour écarter son fessier pour observer son pénis courir avec force, entrant et sortant dans des effluves de fluides qui trahissent l'excitation commune. Lui qu'il pensait se défouler, il venait de trouver le jackpot. Une débauchée soumise qui n'attendait que son passage. Ses râles commencent à résonner dans la pièce, un écho caverneux qui donnait du poids à toute sa force déjà présente, la besognant dans un rythme strict et viril. La pénétration donnait un bruit très gras ; un "plop" qui signifiait toute une quantité de pré-semence visqueuse remplir ses parois pour le meilleur et pour le plaisir. Sale, barbare, mais étrangement bandant, pensa-t-il.
« Modifié: vendredi 19 novembre 2021, 16:27:46 par Héraclès »

Seki Kusu

E.S.P.er

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 2 vendredi 19 novembre 2021, 13:51:17

Le temps sembla se suspendre dans l'esprit de la jeune femme, elle resta là immobile alors que cet amas de testostérones, de puissance, tournait autours d'elle tel un prédateur. Père avait instiller en elle, ce sentiment de devoir se soumettre face à l'autorité quelque soit sa forme. La soumission sexuelle n'était peut être qu'un effet annexe, non recherché, mais il en avait profité et l'avait rendu prégnant dans la personnalité de Seki. Peut être qu'il n'avait pensé qu'à ses propres intérêts et non au fait que son exclave sexuelle, sa poupée lui soit retiré et envoyé dans le monde. Un monde dans lequel il ne pourrait pas la surveiller, la contrôler et dans lequel elle risquait de se trouver confrontée à des situations de soumission.

Quoiqu'il en soit la jeune femme n'en avait pas conscience, elle se rappelait juste de ce désir qui s'éveillait en elle devant la présence d'une autorité. Ce n'est pas pour autant qu'elle se transformait en une chienne lubrique, comme l'avait définit un autre scientifique qui avait abusé d'elle. Mais à cet instant, elle était encors sous le coup de ce plaisir incomplet qu'elle s'était donnée. Sans parler du fait de celui qui la regarder, avec désir. Un désir qui était presque matérialisé. Seki avait la sensation du contact de l'autre, alors que ce dernier ne l'avait pas encore touché. Lorsqu'il vint se placer devant elle, presque à la toucher, elle put se rendre compte de sa masse, de son gabarit. Jamais elle n'avait rencontré homme aussi impressionnant, dominant, physiquement. Le contact de son doigt sur son corps, créa sur sa peau comme une brulure. Son regard ne put s'empêcher de se poser sur l'imposante colonne de chair qui s'était dressé et de l'inquiétude pointa dans son esprit ... " Ce n'est pas possible, ça ne rentrera jamais ". Elle ne se rendit compte qu'elle avait reculé sous la seule pression de ce doigt sur sa poitrine lorsque son dos vint se coller au mur de la douche. Le système automatique de la douche s'activa et l'eau tomba en cascade sur leur corps.

Au moment ou la main se referma sur sa gorge, elle tenta de résister dans un effort inutile. Inutile car elle n'avait pas la puissance nécessaire pour s'y opposer, inutile car son esprit avait accepté ce qui allait se passer, inutile car son corps répondait déjà au désir que sa situation avait rallumé. la brutalité dans les rapports sexuels étaient quelque chose qu'elle avait déjà connut, et si son esprit n'en gardait pas de souvenirs vivace, son corps lui s'en rappelait et l'acceptait. Il la retourna, libérant sa gorge, sa main libre vint lui soulever une jambe y enfonçant ses doigts. Elle en ressentit de la douleur ce qui apparut sur son visage, alors qu'elle sentait la hampe de chair venir frôler son intimité, une main vint brutalement pétrir l'un de ses seins. Sentant le désir gagner de plus en plus l'homme, percevant encore plus sa brutalité, Seki tenta de le convaincre de se montrer doux ... "C'est très gros vous allez me faire mal ". Mais avait elle à peine finit sa phrase que l'énorme phallus la pénétra sans ménagement, occupant tout l'espace disponible. Il vint heurter le fond de son utérus, le dilatant brutalement. Aucun son ne sortit de la bouche grande ouverte de Seki, mais la douleur était perceptible sur les traits de son visage. Ses yeux s'étaient écarquillés et devenaient humide. Mais comme il l'avait remarqué, Seki était déjà humide, lubrifiée, ce qui avait facilité la pénétration. Si cet homme était banal dans ses dimensions, cette pénétration aurait put être agréable. Mais le mandrin de chair qui lui ravageait l'intérieur de son intimité n'avait rien de banal. A chaque coups de butoir, qu'il donnait, elle avait l'impression que ses organes internes se déplaçaient pour accepter ce corps étranger qui la pénétrait.

Si son esprit essayait de résister au flot d'hormones que son corps générait pour répondre à la douleur, mais aussi au plaisir. Son corps lui répondait aux assauts qu'il subissait, lubrifiant l'intérieur de ce vagin malmené. D'une main elle essaya de ralentir, de contrôler ces allées et venues. Mais elle était trop petite, trop faible et puis un certains plaisir se faisait ressentir se déversant en vague de plus en plus puissante, accompagnant le rythme des pénétrations. Elle pensa qu'à ce rythme elle allait perdre pied, perdre connaissance, ceci aurait peut être arrêté l'homme. Mais cela ne se passa pas, tout comme le fait que son corps encaissait les assauts sans faiblir. Pire son vagin semblait se resserrer autours de la hampe qui le malmenait. Sous la puissance des coups de butoir, Ski se retrouvait maintenant le buste contre la paroi de la douche, sa poitrine écrasée contre elle à chaque pénétration... "vous * Hum * allez me briser ". Il lui était difficile de parler dans sa position, sans oublier la douleur et le plaisir se mélangeant et s'exprimant par des petit cris entre ses mots.

Compte Inactif

Créature

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 3 mercredi 24 novembre 2021, 18:19:45

Dans le tumulte sauvage et charnel qui remplissait les douches d'un écho orchestral, Héraclès se perdit en elle, littéralement abandonné à ses instinct pour répondre à ses besoins. Physiques, hormonaux, primitifs. La bouche ouverte par l'extase, son bassin bouge avec souplesse, frappe avec brutalité, le dos raide et infatigable sur des jambes épaisses et solides. Un arbre puissant qu'on ne pourra pas  faire tomber de sitôt. Chaque percée contre son utérus imprime une odieuse bosse dans son bas-ventre. Ses lourdes burnes duveteuses viennent la sanctionner chaque fois qu'elles la flagellent, pleines d'un foutre gras et grumeleux qui continue de bouillir en lui, irradiant cette chaleur corporelle avec l'eau déjà bouillante sur leur corps respectif. L'eau amplifie l'odeur de sueur, donnant à ce cadre une sale scène sexuelle et sauvage. Pour autant, des mots viennent à ses oreilles qui vont en contradiction avec ladite situation.

Elle souffre. Ou plutôt, sa douleur est transcendée par le plaisir. Ses cris et ses gémissements tellement bons à entendre pourtant, une vraie ode à la luxure.

Il pouvait sentir, oui, sa main tenter une vaine tentative pour arrêter le train en marche. Il pouvait entendre, oui, ses vains mots qui voulaient lui dissuader d'y aller aussi fort. Un combat commence alors dans son esprit. La raison contre la passion. L'écrasant contre le mur de douche de manière impitoyable et autoritaire ajoute un piment de contrôle qu'il maîtrise déjà dans une domination grisante. Mais, qu'en est-il du plaisir ? Des femmes, il en a brisé, comme elle le dit si bien. Mais combien de femmes ont passé un bon moment ? Une seule, dans sa mémoire, en réfléchissant pas très fort, ni longtemps. Alors son bassin ralenti sa cadence, l'angle de pénétration beaucoup moins attaqué, sans dissimuler sa frustration dans un grognement presque félin dans son torse. Ses phalanges exercent une pression moins brutale, laissant des ecchymoses sur sa peau de porcelaine. Il finit même par s'extirper de moitié de son antre, avant qu'elle ne sorte totalement car la différence de taille était bien trop grande pour rester en elle lorsqu'il se redressa.

Une fille qui avait envie de lui. Mais qui ne voulait pas le faire comme ça. Pour la première fois alors, il s'accorde à écouter.

- Je ne veux pas te briser. Je veux simplement te baiser.

Un sourire carnassier, tandis qu'il saisit son épaule pour la retourner, dos au mur. Joignant ses deux mains dans l'une de ses pognes épaisses, il la hissa sans forcer, désormais suspendu à son niveau, face à face. Rappeler que oui, il voulait se faire du bien sans casser son jouet bien consentant, mais tout en marquant son esprit qu'elle était enfermée dans sa soif de domination et de contrôle. Il gronde de sa voix grave et puissante une nouvelle fois.

- Et donc... Comment on les baise, les filles comme toi ?

Il plisse les yeux, ses iris devenus ambré la traverse avec une telle intensité qu'il voulait mettre son âme à nue, comme à l'extérieur. Il tangue la tête d'un côté, pour l'observer une nouvelle fois, comme une première fois, s'étonnant voir pareille créature s'offrir dans un pareil contexte, mais finalement, n'est-ce pas cela le plus excitant ? Alors, dans un silence religieux, l'observant toujours pendue par les poignets joints dans sa main, telle une condamnée sexuelle à se faire remplir de semence, il attend une éventuelle réponse qui pourra rendre ce coït plaisant pour les deux partis.

Et dans le cas où les choses ne se résolvent pas, il retournera terminer ce qu'il a commencé.
« Modifié: mercredi 24 novembre 2021, 18:26:44 par Héraclès »

Seki Kusu

E.S.P.er

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 4 mercredi 24 novembre 2021, 20:22:12

La violence des assauts que son vagin subissait diminuèrent, puis elle sentit le massif mandrin se retirait d'elle. Ce dernier ne sortit pas complétement, mais la pression que ses organes internes subissait cessa. La différence de taille, entre eux deux, n'aidait pas à la manœuvre. Puis la retournant afin de lui faire face, il la soutint en lui levant les bras, poignets serrés dans une seule de ses mains. Le corps de cet homme était l'incarnation de la puissance et le fait qu'il pouvait la soutenir de cette manière sans forcer le démontrait. En la soulevant et la tenant ainsi il parvint à se dégager. Un bruit se fit entendre alors, léger, obscène, rappelant que le vagin de la jeune femme avait été totalement rempli par ce sexe. Les fluides vaginaux recouvraient l'épaisse colonne de chair, coulant le long de cette dernière jusqu'à se perdre dans les poils de la toison épaisse qui se trouve à sa base. Du vagin libéré, quelques gouttes de ces fluides allaient se mélanger à l'eau qui s'évacuait. Seki sentait que les muscles de son vagin, se contractaient au rythme des pulsions du désirs et plaisirs qui parcouraient son corps et son cerveau. Ses muscles abdominaux suivaient le même rythme, eux aussi avaient été maltraités. Elle avait eu l'impression que sous la pression de ce sexe qui l'avait pilonné, son ventre s'était déformé. Même son anneau anal avait des contractions, sous l'effet du plaisir et du désir qui se mélangeait. Lorsqu'elle croisa son regard, le peu de résistance qui lui restait s'évaporait. Les mots qu'il prononça enflammèrent dans son esprit le désir de sentir ce tronc la pénétrer sans retenue, s'enfonçant en elle quitte à la déchirer de l'intérieur. De toute façon, cela ne la tuerait pas et son corps finirait par s'en remettre.

Lorsqu'elle lui avait dit ces mots, qu'il allait la briser,  ce n'était pas totalement dans le but qu'il s'arrête. De plus elle parlait plus de son esprit qui faute de pouvoir se fermer, de pouvoir s'éteindre, en voulait de plus en plus. Malgré sa brutalité, il n'avait pas poussé son corps dans les extrémités de ses limites. Même si il n'avait pas de capacités de résistance particulières, la tonicité de sa musculature, sa souplesse et celle de son corps, ainsi que les expériences qu'elle avait subit, lui avait conféré une certaine résilience à ce genre de traitement.

La question la laissa sans réponse, elle n'avait pas l'habitude que l'on la pose. Tous les hommes ou personnes qui avaient jouit de son corps ne s'en n'étaient jamais préoccupés, prenant leur plaisir et la laissa là, une fois qu'ils en avaient finit. Mais aucun d'entre eux pouvaient tenir la comparaison avec lui dans les domaines de la puissance et du gabarit. Si le regard de l'homme était perçant le sien montrait son état mental et dans quel était brumeux il se trouvait. Puis elle se rendit compte que les contractions qu'elle ressentait, resserrait son vagin afin qu'il retrouve ses dimensions originelles. Reprenant son souffle et dans un sourire soumis, les mots sortirent de sa bouche, presque instinctivement. Le conditionnement dont elle était victime, qui la poussait à se soumettre aux désirs des puissants, était en partie responsable de sa réponse ... " comme bon vous semble, tout mon corps appartient à votre plaisir ". Dans le brouillard de son esprit, une question se posa, pourrait elle l'accueillir dans son autre canal intime ? Le fait qu'il puisse réellement la briser, physiquement et mentalement, avait disparut de son esprit. Elle ne désirait qu'une chose satisfaire tous les désirs de cet homme et les conséquences n'avaient aucune importance.

Compte Inactif

Créature

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 5 dimanche 28 novembre 2021, 22:36:17

Ses jambes flottant dans l'air, suspendue comme une damnée, il essaya de chercher un comportement magnanime dans le fond de son esprit. Comme il se le disait, il voulait joindre l'utile à l'agréable. C'est étrange, parce que, c'est finalement comme s'il avait un peu de reconnaissance, de l'avoir croisé sur son chemin, de lui accorder ce moment, sans le chercher. Le demander. Lui proposer. Disposer de lui comme bon lui semble. Bien sûr dans une idée presque égoïste ; il cherchait à se vider en elle, tandis qu'elle cherchait à combler son désir par une figure d'autorité, brutale et ferme. Mais finalement, ce qu'il fallait retenir c'est que tout le monde soit gagnant.

Il l'observait, son corps suant sous l'effort, moite par la douche brulante de l'eau. Il pouvait contempler son buste gonfler et se dégonfler rapidement, une poitrine petite mais ferme, durcie aux extrémités par des tétons rosies par une sensibilité flagrante. Elle avait le regard vitreux, presque embrumé. Perdu dans les volutes de ce coït qui ne s'arrêtera pas tant qu'Héraclès en avait envie. Sa queue pulsante, maculée de cyprine, continue de perler dans son pubis, ruisselant plus bas pour souiller ses lourdes burnes duveteuses. Le silence ne s'étire pas si longtemps avant d'avoir une bonne réponse qui le fait arquer un sourcil. Soit elle est maso, soit elle est assez libérée d'esprit, soit elle a perdu la tête. Son corps accueillait difficilement le sien, mais cette voix qui lui disait de faire comme bon lui semble l'emporta. Plus de lucidité, plus de réflexion. Seulement une chatte qu'il compte remplir comme une outre.

- Je vais me faire ce plaisir, tout en arrachant le tient.

Sa main libre vient chercher sa cuisse pour la remonter à sa hanche, il s'avança pour poser que le dos sa partenaire puisse se poser contre le mur, un appuie nécessaire pour reproduire la même chose avec l'autre jambe. Ses gambettes entourant sa taille désormais, son gland revient à la charge pour écarter ses chairs pour mieux lui empaler son fourreau dans un claquement cinglant. Son bassin est arrivé comme un mur en marbre pour bosseler encore son abdomen. Le relancement d'un train qui ne fera pas escale avant l'orgasme.

- Si chaude, si mouillée, si serrée...

Sentir ses contractions enserrer son gland, tout en stimulant son frein - son point le plus sensible - qui lui confère un plaisir si exaltant que ses gémissements surpassent la demoiselle malmenée par ce fracas de viandes musclées qui frappent, bousculent, bombardent dans un rythme strict et infatigable. Presque face à face, ses yeux louchent sur ses lèvres pulpeuses qui crachent ses couinements au gré de ses violences, qu'il étouffera par une langue imposante pour forcer un balais fiévreux et passionnel. Les bruits de pénétrations deviennent gras et fluidiques, ajoutés à cette grosse galoche qui ne faisait qu'amplifier son excitation. Il y suce son pétale humide avant d'y mordre ses lèvres, puis après lui avoir odieusement lécher le visage comme un clébard en manque, il lâcha une main pour venir attraper sa poitrine qu'il palpe fermement, malaxé grossièrement, avant de tirer son téton vers lui pour maximiser sa sensibilité.

Il arriva bientôt sur le sentier de son premier d'une longue séries d'orgasme, remerciant son ADN Alien de pouvoir en abuser longuement.

Seki Kusu

E.S.P.er

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 6 lundi 29 novembre 2021, 14:14:04

L’Homme parut quelque peu surpris par la réponse faite, mais cela n’avait rien d‘étonnant. Qui accepterait de satisfaire tous les désirs d’un être dont le corps était aussi puissant. Une personne ayant perdu tout sens commun ou avec un esprit des plus déviant. Seki n’était ni l’une ou l’autre de ces personnes. Elle savait que quoiqu’il arrive, cela ne sera pas grave, qu’elle ne garderait aucune séquelle aussi bien physique que psychique. La jeune femme laissa apparaître un léger sourire devant la remarque faite en réponse aux mots qu’elle avait prononcé.

Lorsqu’il la positionna, plaçant les jambes de Seki autours de sa taille et plaquant cette dernière contre la paroi de la douche, celle-ci se rendit compte de la différence de taille. Son visage se trouvait au niveau du torse de l’Homme, elle leva ses bras pour attraper ses épaules et s’y cramponner. Lorsqu’elle sentit le gland monstrueux écarter ses lèvres intimes, elle se mordilla les lèvres et retint sa respiration. Lorsqu’il la pénétra dans mouvement ravageur et puissant, elle ne put retenir un cri de douleur, son visage se levant vers le plafond. Son corps se serait cambré si il l’avait put, mais bloqué entre le buste puissant et le mur, il ne pouvait que subir. Ses mains se crispèrent sur les épaules puissantes, sans y faire la moindre marque. Beaucoup aurait perdu connaissance, sous la douleur et le choc de subir une telle pénétration. Mais le regard de la jeune femme sembla s’éclaircir au contraire, comme si elle avait été sortie de son état précédent. Sous la force des coups de riens, et son vagin ne pouvant accueillir toute la longueur de cette queue sans subir des lésions, son visage se retrouva presque à hauteur de celui de l’homme qui la baisait sans pitié. Une langue avide et puissante vint envahir sa bouche, étouffant tout cri ou son que Seki pourrait émettre. Seul les grognement de cet Homme et le bruit que faisait son sexe en pénétrant celui de la jeune femme était perceptible dans cette douche. L’Homme avait un comportement presque animal, lui mordant les lèvres faisant saigner ces dernières, avant de lui lécher le visage. Seki avait répondu à ce baisé avec une avidité contagieuse.

Lorsqu’une de ses mains, vint malaxer l’un de ses seins, de nouvelles vagues de plaisirs et de douleur vinrent s’échouer sur les rives de son esprit. Son ventre se déformait sous chaque poussé, mettant à mal les muscles abdominaux de Seki. Bloquée comme elle était, elle n’avait aucune chance de glisser et une de ses mains, vint se placer contre ce ventre endolori afin de le caresser, mais aussi sentir sa déformation. Puis descendant légèrement, entre le nombril et son clitoris qui était sortit de son capuchon, elle augmentant la pression qui s’exerçait sur sa paroi vaginale. Son téton tiré, envoyait des ondes de douleurs mélangeait à une touche de plaisirs. Seki sentit les contractions musculaires de l’Homme, les pulsations dans la hampe qui avait pris possession de son vagin … « Vous (moam) pouvez éjaculer (moam) en moi » … Sentant l’Homme être sur le point de jouir, le cerveau, le corps de Seki avait accéléré la montée de son désir, dans le but de satisfaire celui qui la possédait totalement, aussi bien physiquement que mentalement. Sous la puissance écrasante de cet Homme, le conditionnement de Seki agissait à plein régime. Elle acceptait le fait que cet Homme pourrait jouir de son corps, d’elle, de toutes les manières qu’il le désirerait.

Compte Inactif

Créature

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 7 samedi 04 décembre 2021, 11:04:51

 
Les minutes s'égrènent et il reste infatigable.

Coup de pilons répétés dans un fracas de viandes, abîment toujours sa victime avec la même ferveur, le même entrain, la même énergie, on voyait dans ses traits déformés par l'extase, les yeux révulsés par le plaisir, la bouche béante par la satisfaction de se soulager en elle. Les pénétrations de plus en plus fluidiques, ses burnes remontent doucement tandis que son gland continue de gonfler, l'urètre étant la dernière porte que son sperme brûlant compte défoncer pour remplir ses parois vaginales. Le contact de ses fines phalanges, des petites mimines s'agrippant comme elles le peuvent, les épaules galbées et striées de tissus enflées par sa musculature herculéenne lui permettant de se focaliser sur sa besogne. La baiser. Encore. et encore.

Il aimait regarder sa queue sortir, emportant avec elle ses lèvres extérieures s'étirer dans une éclaboussure de cyprine avant de la charger de nouveau. Comme il pouvait observer l'une de ses mains quitter son épaule pour chercher son bas-ventre qui se fait déformer, chaque fois que sa colonne de chair vient s'empaler avec une fermeté presque cruelle. Et dans tout ce concert de vulgarités aussi sales que luxuriants, la jeune femme siffle des mots entre ses gémissements. Un rire caverneux vient remplir les douches, couplé avec ses râles et ses expirations bruyantes. Le vice dans ses yeux, l'espièglerie dans son rictus, il approcha son visage vers le sien, ses lèvres continuant de pisser son hémoglobine par sa morsure. Bizarrement, il y trouvait un portrait presque poétique, joli... Elle était presque plus belle comme cela.

- Je peux... Ou, c'est toi, qui le veux ?

La corde de l'orgasme tendue au maximum, il faudra quelques coups de reins supplémentaires pour l'entendre rugir dans les douches quand le coup de tonnerre de la jouissance vient traverser sa colonne. Un déversement diluvien vient incinérer l'intérieur de son antre, compact, brûlant, grumeleux et gras, une vraie purée de foutre gonflant son abdomen pour que le surplus gicle du même orifice pour rejoindre le siphon. Son corps gainé, il s'enfonça de nouveau, pour terminer d'entendre le plus bruit inquiétant de remplissage, son sexe continuant de pomper dans ses burnes rétractées les derniers jets de spermes, puant de sa virilité.

Puis, une accalmie.

Seulement les respirations respectives de chacun, mêlées à la pluie continue de la douche. Une buée opaque s'échappe de ses lèvres, un soupir d'aise lorsqu'il retira doucement son pénis toujours en vigueur, déclenchant un appel d'air bruyant avant que le reste des fluides viennent tomber dans un clapotement visqueux sur la flaque déjà présente qui disparaît doucement dans l'évacuation d'eau. Il la laisse glisser doucement au sol, et comme si de n'était, il se sert dans la borne de savon afin de se shampouiner. Mais son ton ferme et autoritaire revient à la charge. D'une main libre il emprisonna son crâne de ses phalanges pour la blottir contre ses couilles qui avait encore du foutre à revendre. Souillant son visage par la sueur et les effluves séminales, caché de moitié par un membre d'une taille relative à ses proportions, il prit une voix sombre et féroce.

- Nettoie ma queue.

Ramenant son visage et non ses mains, le message était clair : il voulait sa bouche, sa langue, et le câlin buccal qui allait avec. Et comme le plus naturellement du monde, il poursuivit sa toilette en lavant son corps, chaque goutte ruisselant sur les sillons de ses muscles lui donnait un air plus imposant, plus saillant. Sa crinière hirsute plaquée en arrière lui donnait finalement des airs de Lion qui savait ce qu'il voulait.

Chasser, et non être chassé.
« Modifié: lundi 27 décembre 2021, 15:43:16 par Héraclès »

Seki Kusu

E.S.P.er

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 8 vendredi 17 décembre 2021, 16:53:46

Douleur et plaisir, le cerveau de Seki était partagé entre ces deux sensations. Son ventre, son intimité, ses organes internes avaient été brutalisés, traités comme ils ne l’avaient jamais été. Mais à chaque coup de rein, la jeune femme ne pouvait retenir son plaisir, ce désir de se sentir possédée de la sorte. Tout chez cet homme était brutal, aucune douceur, la seule chose qui l’intéressait, était son plaisir propre sans se soucier de celui de la jeune femme. Lorsqu’il éjacula en elle, Seki ne put s’empêcher d’écarquiller ses yeux sous la surprise de la quantité de sperme qui était expulsée dans son intimité malmenée. Sous cette dernière son ventre se gonfla légèrement, avant que le surplus ne s’écoule de son vagin le long de cette colonne de chair qui continuait de la pilonner durant les secousses qui la parcourait durant l’éjaculation.

Lorsqu’il se retira d’elle, Seki se sentit vide, sensation qui augmenta lorsque la semence épaisse s’écoula librement. Sans les capacités du corps de la jeune femme, elle aurait certainement risqué une descente d’organe. Sans rien pour la retenir, la jeune femme se retrouva rapidement au sol, mais sous l’effet de la fatigue dut à son orgasme, elle glissa et se retrouva à genoux dans un mélange d’eau et de divers fluides, que le siphon de la douche avait bien du mal à faire disparaître. Un sourire apparut sur le visage de Seki, qui reprenait son souffle. Mais elle n’eut pas le temps de récupérer que l’homme vint lui plaquer fermement le visage contre ses couilles lourdes et massives. Devant l’ordre donné, elle resta quelque peu interdite, pourrait elle seulement accueillir cette hampe dans sa gorge. Totalement soumise la jeune femme commença le travail demandé.

Sa langue vint lécher le surplus de fluide encore présent sur la hampe de ce pilon de chair. Un frisson parcourut le corps de Seki, un frisson de plaisir légèrement masochiste. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été soumise de la sorte, qu’elle n’avait pas rencontré un homme capable de s’imposer à elle de la sorte.  Lorsqu’elle parvint au niveau du gland, elle posa sa bouche au niveau de son sommet et fouilla le méat de sa langue. Puis plaçant ses lèvres autour de ce somment se mis à le sucer, aspirer ce qui restait de sperme dans cette hampe. Puis se doutant de ce qu’attendait l’homme, elle se déboîta la mâchoire afin de faciliter l’insertion de ce dernier dans sa bouche, centimètres par centimètres. Elle se positionna afin de faciliter la pénétration le plus profondément dans sa gorge, lorsque le gland massif vint s’approcher de son larynx. Un flot important de salive commença à napper cette masse de chair qui commençait à déformer la gorge détendue de la jeune femme. Seki ne tenta d’avaler complètement cette colonne puissante, préférant la libérer de sa bouche tout en aspirant toute trace de fluide sur cette dernière. Puis elle recommença  à avaler ce gland massif et la hampe de chair sur laquelle il trônait, l’enfonçant toujours plus profondément. Mais il allait lui falloir plusieurs aller-retours avant de pouvoir avaler totalement ce sexe imposant. Une de ses mains alla caresser, malaxer les couilles massives qui pendaient entre les jambes puissantes de l’homme. Elles étaient chaudes et lourdes, emplies d’une semence qui attendait d’être à son tour libérée.

Compte Inactif

Créature

Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]

Réponse 9 jeudi 13 janvier 2022, 11:53:10

C'était tout de même particulièrement déstabilisant. Il ignorait que ce genre d'individu si soumis pouvait exister. Il se questionne alors. Comment elle en est arrivée à ce stade de soumission et surtout de demande implicite à vouloir se faire troncher salement et sans vergogne. La souillure de ses efforts ruisselle doucement avec le savon lorsqu'il passe sous la douche brûlante, suivant des yeux l'écoulement jusqu'à son pénis qui se fait nettoyer assidûment par une langue experte. Le liquide gras et visqueux et léché goulument, il pouvait sentir ce pétale tiède entre ses lèvres courir pour suivre la ligne de ses veines, un léger soubresaut lorsqu'elle passe sur le frein de son gland, véritable zone qui ne peut que relancer son érection d'une vigueur nouvelle.

Puis elle vient s'inviter dans le canal dans un mouvement de langue pourtant non intrusif.

- Han... Grr.

Comme pour ouvrir la porte de son orifice, ses lèvres se resserrent pour en extirper le jus. Il vacille, une seconde, sa main finit par se poser contre le mur pour se soutenir. Un râle incontrôlé s'échappe de sa bouche dans un souffle bruyant. Sa mâchoire s'ouvre en grand, et s'invente donc le fourreau qui va accueillir son sabre. L'étau buccale bien serré, il moule sa queue dans une perfection sans pareille. Changeant sa posture, l'angle de pénétration change et les râles deviennent encore plus bruyants une fois que son membre se retrouve étranglé dans cette étreinte orale. Maculant son pénis d'une salive notable, les bruits de succions se mêlent à la déglutition de la gorge, véritable concert débauché et vulgaire. Reproduisant le même schéma, sa langue revient courir sur le pilier de chair et bientôt elle en arrive à bout en aspirant ce sexe dans toute sa longueur. Les yeux d'Héraclès se révulsent, embrumés par le plaisir, tirant la tête en arrière, mais cette curiosité naissance avait germé suffisamment de temps pour tenter un premier échange.

Ouvrant la bouche, d'abord en encaissant comme il le peut se massage aux niveau de ses bourses duveteuse, il extirpa d'un geste négligé son membre avant de lui bifler le visage pour comme pour la gratifier de son geste comme un maître caresse le crâne d'une chienne. Puis...

- Pourquoi ?

Une question générale dont il attendait beaucoup de réponses. Comment une femme - très jolie - en plus de ça, préfère se faire pilonner dans ses conditions. Qui est-elle ? Est-ce qu’elle aime ce qui lui arrive ? Etalant son pré-sperme sur son visage qui sèche à l'air libre malgré l'humidité de la douche il préféra s'écarter, sa queue pulsante désormais vibrante sous les yeux d'une femme remplit de mystères. Et de sa semence, assurément. 


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