Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Salles de cours et bibliothèque

[ABANDONNE] La déchéance d'une Kitsune [PV]

<< < (2/5) > >>

Tani Rei:
- Je... S'il te plait... écoute, je...

Il était hors de question d’écouter quoi que ce soit pour le moment. Elle devenait sa chose au fur et à mesure qu’elle le suivait sans rien dire. Elle devenait un objet enchainé … enfin c’est ce qu’il désirait. Un objet qui le servirait quand il voudra, pas autrement. Mais avant que ce soit le cas, il fallait briser tout ce qu’elle avait. Ses enfants ne devaient plus être une priorité. C’est pourquoi il commençait par sa fille et son fils le plus proche. Et comme la fille c’était déjà sur une bonne route, il fallait s’attaquer à l’autre. Et pour ça … rien de plus simple. Il fallait ébranler la mère qui l’était déjà bien assez.

- Pitié... Je t'en prie pitié! Ne...

C’est tout ce qu’elle était capable de dire alors qu’il touchait son corps et qu’il la dénudait tranquillement. Elle essayait de montrer qu’elle pouvait résister. Mais il savait pertinemment qu’elle allait craquer. Il le fallait et pour ça, il avait un plan de secours dans le pire des cas. Elle était pour le moment en soutif devant lui et il pouvait très clairement sentir la chaleur monter entre ses jambes au fur et à mesure qu’il appuyait sur son sexe malgré les vêtements.

- S'il te plait... Je t'ai laissé faire du mal à ma fille... Je... Je t'ai laissé frapper mon fils sans rien faire. Ne fais pas ça!... Ne leur en fais pas subir d'avantage. Je t'en prie! Mes enfants ne vont pas s'en remettre, si tu leur montre ce que tu veux que je fasse avec toi. Je... Je ne sais pas comment tu sais tout ça sur moi. Je ne sais pas ce que tu es, mais ne brise pas ce que j'ai de plus cher au monde! J'aime mes enfants et tu sais peut-être déjà que ne peux pas éprouver du plaisir, de l'envie à coucher avec celui qui leur a fait du mal! Je t'en prie! Je t'en supplie! Laisse-moi partir! Laisse-moi croire qu'il y a vraiment de la gentillesse et de l'humanité en toi! Je ne parle pas souvent de ce que j'ai au fond de moi et du coeur à des inconnus, mais j'ai bien sentis que tu avais vu certaines choses en moi...

Ce n’était qu’une gifle qui résonnait dans la salle de classe. Oui, Tani venait de lui faire comprendre de manière très physique qu’elle n’avait pas à l’ouvrir aussi longtemps. Son regard devenait bien plus sévère et il la fusillait avec celui-ci. Il pouvait observer la joue de la Kitsune rougir tranquillement. Elle devait avoir compris maintenant que sa joue devait la bruler.

-J’en ai rien a foutre de ce que tu éprouves. Je crois que tu n’as pas bien compris qu’entre mes mains tu n’étais que ma chose … ma pute … Mon sac à foutre ! Ton odeur dit tellement de chose sur toi … Elle me dit que tu as beaucoup mouillé quand j’ai pris ta fille … Je suis sûr que tu aurais aimé être à sa place ce jour-là. Pas parce que tu voulais lui éviter ce sort … simplement parce que tu aimes ça telle une chienne.

Il l’attrapa alors pour la retourner afin de pratiquement la jeter en avant sur le bureau de son fils. Elle était presque couchée dessus. Il défaisait alors rapidement son pantalon en le laissant tomber au sol avec son boxer et il appuya une nouvelle fois sur le dos de la Kitsune pour se retrouver poitrine sur le bureau avant de lui arracher brutalement le soutif et de légèrement la soulever soudainement en attrapant ce qu’elle portait en bas pour tirer les tissus brutalement … déchirant tout avec ses griffes. Elle avait les fesses à l’air à présent alors que ses jambes étaient encore habillées des derniers lambeaux dont il ne se préoccupait pas. C’est rapidement qu’il collait son bassin contre ses fesses, son membre déjà bien dressé et volumineux entre ses cuisses et dont la chaleur effleurait le sexe de la Kitsune…

-Il n’y a qu’une seule chose dans laquelle tu as réussi dans ta vie … c’est faire des enfants ! Pour le reste, tu ne sers à rien !

Il prit alors son membre en main en se reculant un peu, laissant son gland glisser sur les lèvres intimes de la Kitsune avant de trouver l’entrée et de soudainement s’enfoncer au fond d’elle de tout son membre, se laissant aller frapper le fond de son être ! C’était tellement bon de la pénétrer ainsi que sa main a coter de sa tête qui était sur le bureau, griffait le bois à en faire des copeaux sous ses ongles pile devant le regard de la mère ….

Etyhs Inoru:
Je ne finis pas tout ce que j'ai d'important et de très cher sur le coeur à lui dire, quand il m'envoie une gifle que je ne vois même pas venir. Je reçois une forte claque qui me surprend, avant de m'endolorir la joue... Alors que je le regarde apeurée, que mes yeux et que ma bouche s'écarquillent en même temps, je vois son regard se durcir. Je le trouvais si intimidant, que je me sentais obligée de baisser les yeux, pendant qu'il était en train de me crier dessus. Il utilisait des mots particulièrement blessants. Il disait que cela ne le touchait pas et que je n'étais que pour lui, que sa chose entre-autres... Un objet... Et c'est alors que je me mettais à ressentir comme de la culpabilité. Et avec ce moment gênant, je resserre maladroitement les cuisses, quand il me dit quelque chose d'effrayant, vis à vis de ma fille et de ce que je ressentais réellement... Et encore une fois, l'étrange sensation de froid et de chaud qui s'entremêlait en moi, passe de nouveau dans mon entrejambe!...

Comme je le voyais devenir très impatient, il vient me retourner sur le bureau avec sa manière très dominante, jusqu'à ce que je me retrouve couché sur le ventre, avec les pieds sur le sol. Est-ce que j'étais vraiment sur le bureau de mon fils? Avec ce qu'il avait fait avant, je me disais que c'était parfaitement possible. Mais cette idée continuait d'accentuer cette sensation de chaud et de froid inhabituelle, en moi. Qu'est-ce que ça voulait exactement dire? Maintenant que j'y repensais, c'est vrai qu'elle ne m'était pas tant que ça si étrangère... Mais ça me faisait surtout peur... Non! Je ne voulais pas! Non!... Je ne voulais pas!... Mais qu'est-ce que je ne voulais pas tout de suite, en vérité? Pourquoi est-ce que j'avais l'impression de devenir confuse?...

Sur le bureau, alors que je fais face à l'objectif de son téléphone qui est en train de filmer le sort qu'il va m'obliger à devoir subir, j'entends le garçon imperméable à tout bons sentiments, faire glisser son pantalon. Pendant qu'il m'écrase le dos et que ma poitrine encore couverte, se comprime sur le bureau froid, celui qui pourrait bien appartenir à mon fils Tetyhs, il m'arrache brutalement le soutient gorge.

J'ai juste le temps de faire un cri étouffé à cause de la peur, qu'il me soulève les pieds du sol, pour agripper ce que je porte encore en bas. J'entends les tissus craquer sans résister et un instant après, je ressens l'air passer sur les jambes et sur mon sexe... Pendant que je ressentais le poids des violents battements de mon coeur. Que la pulsion sanguine m'arrivait jusque dans les tempes, le jeune impitoyable garçon vient se coller à moi. Avec le bassin contre mes fesses et son sexe qui cogne le mien, je déglutis bruyamment...

Je reçois ensuite une nouvelle insulte très humiliante à entendre pour toute mère de famille, alors que je sens son gland qui caresse mes lèvres intimes! Cette fois, la panique commence à s'emparer de moi. Elle me prenait au ventre, non pas parce que j'avais peur de ce qu'il allait me faire, mais de moi-même. Peur de mes vraies réactions. Peur de savoir la vérité que je connaissais depuis toujours, mais qu'il m'obligeait à devoir faire face...

- Pitié!... Pitié!...

Je l'implorais d'arrêter! Je ne voulais pas faire face à ça! Non!

- Aanh!... Aaaaannnh!... Non!...

Je fais plusieurs gémissements incontrôlables tout en tremblant, quand il rentre presque aussitôt son sexe dans le mien. Je le ressentais entrer presque d'un coup, à l'intérieur de moi. Et la première pensée qui me venait, c'était que le violeur de ma fille. Celui qui l'avait fait souffrir, qui m'a fait souffrir moralement avec elle, malgré que j'ai été obligée de collaborer. Celui qui a aussi fait violence à mon fils, qui n'a rien pu faire et avec lequel j'ai maintenant été entrainé, se retrouve en moi. Et mon vagin qui vient d'accueillir son sexe, commence déjà à se faire frapper de l'intérieur! Et j'étais là... Posée sur le bureau de mon propre fils... Pénétrée comme un objet sexuel et incapable de se savoir se défendre par moi-même... Je n'ai ainsi que seul solution que de devoir subir et me faire humilier, par cet adolescent qui gémit du plaisir que mon sexe lui donne, tout en se moquant bien de mon sort. Le temps de faire les premières grimaces, je pose la tête sur le côté, tout en voyant à quelques centimètres de mon visage, ses inquiétantes mains griffues...

Tani Rei:
- Pitié!... Pitié!...

-Continue de me supplier … montre comme tu es faible devant l’objectif !

- Aanh!... Aaaaannnh!... Non!...

Il était en elle, Tani griffait le bois du bureau de ses ongles, faisant des coupeaux à côté de la tête de Ethys sous le plaisir de la pénétrer ainsi. Elle pouvait voir que ses griffes n’étaient pas la pour rigoler et qu’elle savait que sa peau finirait en bien pire état que le bois si il se mettait à la griffer ainsi.  Il soupirait alors se plaisir, se léchant les lèvres en se penchant alors vers son oreille.

-C’est vraiment tout ce dont tu es capable ? … De ne faire que des petits gémissements de clébard riquiqui ? Aller … Montre à ton incapable fils que tu es une femelle, une vraie ! Au moins s’il te voyait sourire il n’aurait pas envie de pleurer.

Il ricanait alors … c’était bien faux. Qui se réjouirait de voir une telle vidéo ? De voir que sa mère se fait prendre sur le bureau qui lui appartenait à l’école. Il plutôt que de lui laisser une chance de montrer un sourire, il attrapait la tête d’Ethys pour la plaquer contre le bureau de son fils alors qu’il commençait à bouger sans retenue, laissant le bureau et les fesses de la Kitsune subir les assauts sauvages du Neko. La Kitsune pouvait comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un être humain qui la prenait en ce moment même. Mais juste un animal qui avait besoin de se vider en elle, de marquer un territoire.

-Haaa c’est tellement bon … Je te sens te serrer chaque fois que je reviens au fond de toi… Tu es une pute qui adore en être une ! Ton corps fait tout pour tirer mon foutre en toi !

Il lui attrapait alors les cheveux pour lui tirer la tête en arrière, l’obligeant à se cambrer et montrer ses seins à la caméra et à regarder le plafond ! Ses seins pouvaient bouger aussi frénétiquement que ses coups de bassin qui faisait rougir ses fesses à chaque claquement qui résonnaient dans cette pièce vide. Sa grosse queue longeait parfaitement bien l’entièreté de ses parois vaginales avant de s’écraser au fond de son être. Il frappait le fond si fort que cela ne devait pas passer inaperçu. Il tirait même parfois encore plus fort ses cheveux pour forcer contre ses fesses et chercher à aller encore plus loin devant cette caméra …

-Ethys … Ou veux-tu mon sperme ? Répond sincèrement devant l’objectif … que  HMMmm … Ton raté de fils comprenne ce qui lui manque en tant que mâle ! Et qu’il perd à jamais !

Etyhs Inoru:
Aucune pitié... Il n'y avait pas la moindre parcelle de gentillesse ou de compassion, chez ce garçon... Je n'avais aucune valeur à ses yeux et comme ma fille il... il nous considérait comme des jouets sexuels. Il ne nous accordait aucune estime... Il ne pensait qu'à nous prendre égoistement, peu importe le malheur qu'il laisserait derrière-lui. Tout ce qui sortait de sa bouche, était fait pour humilier tous ceux qui tombaient sous la coupe de sa domination. Et alors que je le croyais se réjouir pleinement de mon sort, en me prenant en plus sur le bureau de mon fils qu'il a violenté, il m'ordonne de gémir plus fort... Pour lui, ce n'était pas encore assez... Déjà qu'il appuyait là où ça faisait mal, il n'attendait plus que ça... Il n'attendait plus que de me voir entièrement soumise à lui. Entièrement résiliée, pour qu'il puisse en sortir victorieux et avoir raison de moi. Que mon propre fils ait aussi honte de moi. Qu'on se moque de nous et qu'on s'en prenne sans cesse à mes enfants...

- Je t'en prie... S'il-te plait... Tu me fais peur...

Même en ressentant son sexe qui me pénètre avec violence et sans discontinuité, j'exprimais plus des sortes de plaintes et des gémissements maladroits, qu'autre chose. Je trouvais que ce garçon était extrêmement dominant, pour son âge. Au point qu'il arrivait à me rappeler certains maitres que j'avais eu, dans le passé... Car ils avaient beau avoir étés mes bourreaux, toutes ces personnes ont faits de moi, celle que je suis devenue aujourd'hui... Et alors que je ressentais sa virilité plonger sans cesse dans mon sexe qui se faisait continuellement violemment presser, il se met à rire. Dans son inarrêtable cruauté, il vient me plaquer totalement la tête contre le bureau, faisant ainsi de moi l'objet sexuel le plus parfaitement soumis et prête à être souillée...

Pendant qu'il me pénètre très violemment à m'en faire presque mal. Que son sexe, que je ressentais être plus gros la moyenne des garçon de son âge, je subissais à répétition soutenue ses violents coups de bassins. A chaque fois qu'il me pénétrait jusqu'au fond, il y avait un puissant claquement qui s'entendait dans toute la salle de classe vide... Et quand je ressentais mon intimité encaisser de force sa brutalité, mon corps tressautait avec cette même violence. Je ne savais pas si j'étais déjà en train de mouiller, mais même mon clitoris devenait inévitablement sensible.

Tandis que je l'entends gémir et exprimer sa satisfaction, à me prendre ainsi sur le bureau de mon propre fils tout en m'insultant, il m'attrape par les cheveux. Saisis par son geste, ma tête est alors relevée, jusqu'à ce que je n'ai plus d'autre choix, que de devoir regarder en direction du plafond... Arrive alors soudainement une première décharge de plaisir et d'envie inattendue, depuis mon vagin!...

- Non... Non...

Une légère panique en moi, en la sentant arriver de nulle part, alors qu'il s'acharnait dans mon sexe.... Et je ressentais encore une fois, un début d'abandon, quand il me prenait encore plus fort par les cheveux. C'en était si violent, que j'en tirais la langue!

- Aaaah... Aaaanh.... Aaaanh....

Cette fois-ci, je commençais à gémir de plus en plus régulièrement et de plus en plus fortement! Et tout ça, sous l'objectif de la caméra de son téléphone, qui s'acharnait à essayer de filmer ma soumission et mon abandon pour lui. Je tire ensuite la langue encore tout aussi fort et je fais une grimace, quand ce jeune adolescent aussi dominateur, qu'irrespectueux, me demande à dire devant l'objectif, où est-ce que je voulais recevoir sa jouissance. Un coup sa sang, qui ressemble à un vertige de plaisir soudain, m'arrive comme un choc électrique dans la tête, quand il traite en plus mon fils de raté...

- Je... Je...

Comme une pauvre chose, avec laquelle on joue perversement et cruellement, je donne sans m'en rendre compte encore un peu plus de crédibilité à mon bourreau, lorsque j'essaie d'attraper vainement ses mains, qui me tiennent par les cheveux. Mais j'étais si cambrée, que je n'arrivais même pas à les toucher. Je vivais un moment d'humiliation si important, que je commençais à en perdre pieds...

- Oooh... Aaaaanh...

Avec les yeux rivés vers le plafond, j'étais en en train de m'apercevoir que gémissais de plus en plus fort. Ca n'était pas vraiment bon pour la suite...

Tani Rei:
- Aaaah... Aaaanh.... Aaaanh....

-Alors on craque déjà ? Que va donc penser ton fils en voyant ça arriver si rapidement ?

Un petit ricanement se faisait entendre alors qu’il continuait ses assauts dans le vagin de la Kitsune. Il ne se gênait pas de montrer devant la caméra qu’il se léchait les lèvres en commençait à entendre Ethys gémir ainsi. Mais il ne voulait pas y mettre fin tout de suite. Il voulait qu’elle craque complétement, la devant cet objectif, pour ce merveilleux moment qu’il montrera autant à sa fille qu’à son fils.

- Je... Je...

-Qu’est-ce que tu attends pour montrer le plaisir que tu prends ? Ton corps le montre bien mieux que toi … Ca glisse tout seul pour aller jusqu’au fond !

Les bras d’Ethys était tendu vers l’arriere … Une belle invitation ! Il attrapa l’un de ses bras avant de lâcher ses cheveux pour laisser sa tête partir en avant et attraper son deuxième bras. Il pouvait ainsi la tirer et donner des coups de bassin bien plus sec et sauvage, glissant bien profondément en elle, frappant le fond avec férocité tout en écrasant ses belles fesses qui amortissaient tant bien que mal l’énergie qu’il y mettait ! Il la forçait également à se cambrer encore plus afin de faire ressortir ses fesses d’avantage.

-Montres bien ta poitrine se balancer surtout ! Je veux que ton con de fils ait une belle vue sur sa cochonne de mère !

Il la tirait de plus en plus, la forçant par la suite à se redresser légèrement contre lui. Il voulait changer de position mais il n’arrivait pas s’arrêter ! Son sexe était aspiré par son vagin. Elle finit alors par se retrouver le dos coller contre son torse … Il venait lécher sa nuque en lâchant un de ses bras et il passait sa main sur cette poitrine qui bougeait si bien, empoignant fermement un de ses seins en l’écrasant entre ses doigts, si fermement qu’il y avait les traces de ses doigts quand il desserrait sa main … Avant de descendre cette main griffue jusqu’à la baisser sur son ventre. Il s’arrêta alors sur son clitoris pour le caresser sauvagement, voulant la faire gicler sur le bureau de son fils.

-Aller … salie moi le bureau de ton indigne de fils qui te laisse subir ça …

Il continuait de la maltraiter avec ses coups de bassin et ses caresses sur son clitoris, ne manquant d’ailleurs pas de le pincer de temps en temps pour plus d’intensité ! L’autre main venait alors s’emparer du cou d’Ethys pour le serrer doucement, lui laissant sentir qu’il fallait insister pour pouvoir récupérer le plein d’oxygène dans ses poumons …

-Ethys … veux tu bien dire à ton fils et ta fille ou tu veux que je me lâche ? … Ma semence ? …

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

[*] Page précédente

Utiliser la version classique