Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Salles de cours et bibliothèque
[ABANDONNE] La déchéance d'une Kitsune [PV]
Tani Rei:
Il attendait la fin des cours. Ce n’était qu’un jeu d’être en ce lieu. Il assurait simplement d’avoir les connaissances des humains et il observait ce qui pouvait se cacher parmi les autres élèves. Les odeurs trahissaient les étrangers à ce monde…les créatures. Et parmi ces étrangers, il y en a un qui méritait d’être rabaisser plus bas que terre. Un male d’une autre race. Il n’avait tout simplement pas sa place, le Neko n’acceptait pas sa présence. Mais il restait un jouait amusant dans un sens…voilà pourquoi il était toujours vivant.
La cloche sonnait. Il sortait de la classe d’un pas lent, marchant dans le couloir tout en regardant par la fenêtre les différents individus du coin. Mais rapidement, la vision de cette mocheté ne put échapper à son regard. Cette tignasse blanche reflétait un peu trop le soleil. Inévitable du regard … désagréable.
Mais un autre détail l’interpellait. Plus loin se trouvait cette fameuse kitsune qui lui avait vendu sa fille … Soudainement, c’était l’illumination. Il avait le souvenir des formes de cette kitsune sur les mains. Il se lécha alors les lèvres avant de hâter le pas. Il ne fallait surtout pas les perdre de vue.
Alors qu’il y avait encore du monde dans les environs et que le Kitsune discutait avec sa mère, Tani n’hésita pas en arrivant à son niveau à le pousser violement pour qu’il tombe au sol pour ensuite lui cracher sur le visage et de lui donner un coup de pied dans le ventre histoire de le paralyser par la douleur …
-Dégage de la crétin … J’ai à parler avec ta mère qui m’a si gentiment livré ta sœur au lit.
Il regarda alors la mère avant de sourire pendant que le fils restait au sol à cause du coup de pieds. Il se faufilait alors derrière elle avant de venir l’enlacer par derrière et d’empoigner sa poitrine à deux mains …
-Dis moi … Après m’avoir fait prendre ta fille, tu es d’accord pour y passer aussi n’est-ce pas ? Avoir filmé Sethys en train de gémir avait dû te donner envie que je m’insère en toi … Parce que la … tu ne fais que perdre ton temps avec cet incapable de fils. Regarde-le au sol … Il sait que faire de la peine à sa mère.
Il lécha alors la nuque de la maman avant de lancer un regard au kitsune au sol avec un sourire sadique. Après avoir bien masser sa poitrine, il attrapa la taille de la jeune femme pour doucement lui faire prendre le chemin de l’école en marchant à côté de son fils et en l’abandonnant dans la poussière pour la salle de classe de Tethys.
-Pas la peine de te rappeler ce qui arrivera si tu refuses … N’est-ce pas la Kitsune ?
Tetyhs Inoru:
Ces derniers temps et malgré le nombre d'amis que j'avais, la vie au lycée n'était pas toujours facile pour Set et moi. Surtout pour moi, dont j'étais régulièrement la cible d'insultes et de moqueries. Tout ça parce que de plus en plus d'élèves savaient que ma mère vendait ses services corporels dans son magasin, parce qu'elle avait besoin d'arrondir ses fins de mois. Heureusement que je savais être patient, mais il m'arrivait parfois de remettre les choses à leurs places, quand ça allait trop loin. Malheureusement la situation s'est subitement encore dégradée, avec la récente arrivée de certains idiots, dont une surprise de taille, celle d'un frère dont j'ignorais l'existence jusqu'à ces dernières semaines encore. En plus de nous retrouver dans une situation délicate Setyhs et moi, je trouvais aussi notre mère plus souvent inquiète. Je savais que c'était principalement relié à mon frère jumeau, mais je sentais qu'il n'y avait pas que ça. D'ailleurs elle avait certaines réactions, à être dans le déni de voir certaines choses, qui m'inquiétait personnellement. Il était donc temps que nous ayons une nouvelle discussion sur le problème en général...
C'est donc après nous être téléphonés aux heures de midi, qu'elle a finit par accepter d'en discuter après avoir hésité, me disant qu'elle avait en même temps quelque chose d'important à m'annoncer. Au point de préférer fermer sa boutique et venir me chercher directement à la sortie du lycée, à la fin des cours. Elle m'a juste demandé de ne pas prévenir Setyhs, dont elle s'inquiétait plus que d'habitude, parce qu'elle avait quelque chose d'embarrassant à me dire à son sujet...
Je quitte la salle de classe lorsque la sonnerie retentit. C'est impatient, inquiet et dans l'impossibilité de me concentrer durant toute l'après-midi après notre appel, que je me retrouve aussi vite que possible dehors, mes affaires rangés en vrac dans le sac à dos. Je rejoins le trottoir d'en face où elle est déjà en train d'attendre. Comme d'habitude, je l'embrasse. Et comme d'habitude, je ne cesse d'être subjugué par ses magnifiques grands yeux bleus. Ma mère était vraiment très belle et dans le fond, je comprenais pourquoi elle était si désirable...
- Salut maman, ça va?
Elle me sourit et me caresse la tête, avant d'échanger avec la timidité que j'ai appris à lui connaitre, certaines banalités que les autres parents font probablement à leurs enfants. Puis elle s'arrête subitement de parler et elle se met alors à regarder vivement dans toutes les directions, comme si elle avait soudainement peur de quelque chose...
- Ca va maman? Qu'est-ce qu'il y a? Il y a un truc qui ne va pas?
Ma mère qui ne répond pas tout de suite, a tout juste le temps de faire un pas en arrière, alors qu'on me pousse et que je tombe au sol. Lorsque je regarde celui qui a fait ça, je reconnais aussitôt un des abrutis de ma classe. Un de ceux qui me cherchent des problèmes et qui va bientôt les trouver si ça continue. C'est alors qu'il se met à me cracher en plein sur la figure...
- Espèce de...
Je n'ai pas le temps de lui dire autre chose, qu'il m'envoie un coup de pied en plein dans le ventre. Le coup était si violent, qu'il me paralyse et me coupe le souffle. J'écarte les yeux et j'ouyre très grand la bouche, alors que je prend mon ventre avec les deux mains. Puis il m'insulte en même temps, tout en disant quelque chose que je ne comprenais pas bien, mais qui semblait personnellement s'adresser à ma soeur. Cet enfoiré allait me le payer!
- Aah... Ma... man... Aaaah...
Pendant que je gémis de douleur et que j'essaie de prévenir ma mère pour qu'elle s'enfuit, l'espèce de connard s'approche d'elle en passant à côté de moi. Il se remet alors à en rajouter en insultant encore ma soeur, tout en s'adressant à elle. La douleur m'empêchait d'arriver à bien tout comprendre et de me lever, pour que j'aille le tabasser. Mais je comprenais l'essentiel de ce qu'il disait. Ma colère redouble alors encore, lorsqu'il enchaine des mots qui viennent de sa putain de bouche à merdes, pour dire des trucs dégueulasses sur ma propre mère! Et tout ça juste sous ses yeux, avec moi qui me tenait toujours le ventre par terre... Et lorsque j'arrive au moins à me retourner dans leur direction, je vois cette enflure en train de lui lécher la nuque et surtout de lui prendre les seins. Espèce de...
- A... Arrête ça... Ah...
Je ne savais pas si ce putain de connard savait se battre, mais il avait réussit à bien me prendre par surprise. Mais surtout, que faisait ma mère dans tout ça? Je savais qu'elle était du genre à facilement avoir peur. Mais elle devait quand même bien se rendre compte qu'en me voyant par terre, qu'elle devait essayer de faire quelque chose pour moi, comme au moins crier. Alerter les idiots qui nous regardent autour. Pourquoi ne le faisait-elle pas?
- Ma... man...
Encore estomaqué et paralysé par le coup de pied de cet enfoiré, que j'allais démolir à son tour une fois que j'arriverais à récupérer, je me paralyse encore plus, lorsque je vois ma mère en train de commencer à partir doucement avec lui. Malgré qu'elle me regardait juste au moment de passer à côté de moi, on dirait qu'elle ne semblait pas chercher à faire ce qui m'aurait semblé logique... Pour nous... Pour moi... Tout juste nos regards se croisent, avec moi qui tente de l'appeler et qui la supplie du regard pour qu'elle essaie au moins de crier, qu'elle se dirige vers le lycée, la main de ce connard sur sa hanche. J'étais en état de choc en voyant ça...
Etyhs Inoru:
Je ne me sentais pas très bien depuis ces derniers jours, avec ce qui était arrivé. Bien sûr je savais que je n'étais pas parfaite, comme tout le monde. Que ce que j'acceptais de faire à ma boutique, avait parfois certains mauvais retours vis à vis de mes enfants, qui heureusement arrivaient à me comprendre. Mais je venais de commettre une terrible erreur. Une impensable erreur qu'aucune mère ne pourrait faire et que j'avais pourtant bien commise... Déjà que l'arrivée de mon autre fils Letyhs que je croyais mort depuis toujours, compliquait encore les problèmes, qu'un incident désastreux a finit d'enfoncer le reste! Comment ai-je pu accepter de faire une chose pareille? Comment ai-je pu accepter que ce garçon, un élève de classe de mon fils, s'en prenne à ma fille et la viole juste sous mes propres yeux?... En vérité, une partie de moi avait la réponse, mais je me refusais jusqu'alors de croire être capable d'en arriver jusque là et de pouvoir en arriver à tomber si bas. J'avais appelé ma fille sous la menace, parce que j'avais peur qu'il me fasse du mal. J'ai donc choisis de lâchement collaborer avec ce sale gamin, en lui vendant Setyhs. Ma propre chair. Ma propre fille. Et tout ça pour qu'elle aille se jeter droit dans la gueule du loup! Toute la scène et les images me reviennent bien sûr en boucle. Son arrivée dans la boutique. Ce garçon qui lui saute dessus et qui s'en va avec elle dans la pièce d'à côté, celle que j'utilise moi-même pour vendre mon propre corps aux clients... Mais peut-être que le pire dans tout ça, c'est que j'ai accepté de jouer le jeu jusqu'au bout! Sous le seul prétexte de ne pas me voir me faire du mal ou d'incendier mon magasin, j'ai en plus d'accepter qu'il la viole, de fil...
Alors que je suis derrière le comptoir à m'inquiéter et à y repenser encore et encore une fois de plus, le téléphone sonne. Je sursaute et le je réponds ensuite, le temps de me ressaisir. Puis j'entends la voix de mon fils Tetyhs, au bout du fil. Mon coeur se serre et j'avais alors peur comme à chaque fois, que sa soeur ait pu le lui en parler. Qu'il se mette évidemment en colère et qu'il me rejette. Mais je ne voulais pas! Je voulais qu'ils croient sincèrement que je n'étais pas responsable et que je...
- Je ne sais pas Tetyhs, je suis très occupée aujourd'hui. Je...
Au bout du fil, Tetyhs qui ne semble rien savoir, a l'air d'être inquiet. A t-il des doutes? Apparemment même s'il me rassure légèrement, en me disant que l'état de Setyhs pourrait être encore pire, qu'il la trouvait quand même en partie soucieuse. Il me disait ensuite ce que je savais déjà, m'annonçant qu'il avait depuis ces derniers temps, plus de soucis que d'habitude à son lycée, avec certains de ses camarades. Je savais donc à peu près de quoi il voulait parler. Tetyhs voulait que l'on en discute une fois de plus...
- D'accord. Je viendrais ce soir à la sortie, ça te va?... Je.. J'ai moi aussi quelque chose d'important à te dire. Ca concerne justement Setyhs. Mais s'il te plait, ne lui en parle pas et viens seul, d'accord? Je fermerais le magasin pour être à l'heure, ça ne me dérange pas... Très bien... Oui moi aussi je t'aime!...
Après avoir hésité, j'ai pour une fois pris mon courage à deux mains. Je savais qu'il y avait des problèmes à régler et je m'étais soudainement dis que ça allait être l'occasion de pouvoir en discuter, maintenant qu'elle se présentait. J'étais donc prête à dire à mon fils, ce que j'avais horriblement accepté de laisser faire vis à vis de sa soeur. Y compris tout ce qui allait avec. Ma collaboration à cause de la peur... Même ma participation à filmer personnellement la scène par intermittence, sous la demande du garçon qui a brutalisé ma pauvre fille.
Une fois l'heure venue, je m'habille d'un petit pull rose pour me couvrir, avec l'un de mes pantalons habituels, lorsque je ne peux pas mettre de robes. A l'extérieur, je rejoins la station de métro par laquelle mes enfants ont tant de fois déjà eu la gentillesse d'emprunter, lorsque je leur demande un coup de main. Durant le trajet, je ne cesse de penser à la réaction de Teyhs, lorsqu'il va apprendre la vérité. Depuis que nous étions enfin réunis, il n'y avait pas un seul jour qui passait, où j'avais peur qu'ils me rejettent. C'est pour ça que j'étais prête à accepter toutes leurs remarques. Des insultes, aux mots les plus blessants. Tout ce qu'ils voulaient, du moment qu'ils pouvaient me pardonner et comprendre mes véritables intentions, derrière ma lâcheté. Quitte à leur expliquer la totalité de mon histoire, en passant par les moindres petits détail de ma vie, malgré qu'ils en savaient déjà une bonne partie. Mais au moins, j'étais rassurée de savoir qu'ils m'avaient déjà compris. Et c'est donc pour ça que j'étais prête à tout leur expliquer pour de bon. Je jure de plus jamais refaire ce genre d'erreurs! Il en va de la dignité de mes enfants, mais aussi tout simplement la mienne! L'amour et la confiance que me porte mes enfants, devaient absolument passer avant tout le reste! Et c'est ce que je m'apprêtais à leur faire savoir!
Une fois arrivée, je parcours le reste du chemin à pied, jusqu'à me retrouver juste en face de l'établissement scolaire de mes enfants, que j'ai toujours trouvé impressionnant à regarder. Il paraissait si grand! Et lorsque l'heure arrive et que les élèves sortent, je vois Tetyhs qui se retrouve presque parmi le premier groupe, à être dehors. Il arrive ensuite vers moi et nous nous disons d'abord affectueusement bonjour.
- Coucou Tetyhs. Est-ce que... Est-ce que tu as quand même passé une bonne journée?...
J'ai alors tout juste assez de temps de lui poser quelques questions sur sa journée et de passer ma main dans ses beaux longs cheveux, aussi argentés que les miens, que j'aperçois soudainement la tête du garçon que je n'aurais pourtant pas cru recroiser. C'était lui! C'était le sale... l'horrible garçon de l'autre jour, qui est venu à ma boutique et qui m'a obligé à lui donner ma fille, pour qu'il passe ses instincts répugnants sur elle et je... Pendant que mon coeur se met à battre très fort dans ma poitrine, je regarde dans toutes les directions, sans savoir quoi faire... Mais il nous avait vus! Et il se rapproche de nous!
C'est effrayée que je recule en arrière, alors qu'il bouscule mon fils en arrivant. Lorsqu'il tombe par terre, il lui crache dessus et il lui envoie sans même prévenir, un violent coup de pied en plein dans le ventre! Et tout ça en seulement quelques secondes à peine! C'est sous le choc, que je pousse un cri complètement muet, tout en regardant Tetyhs au sol, alors que l'horrible garçon de l'autre fois commence déjà à sous-entendre des choses sensibles sur le sujet. L'adolescent avec son regard intense, celui qui s'est permis violer ma fille dans mon propre magasin, me regarde presque sadiquement, tandis qu'il passe à côté de mon fils, qui se traine toujours par terre et qui grogne sous la douleur... Alors que je déglutis ma salive et que je ressens en même temps un énorme frisson, il vient se positionner juste derrière-moi et il... empoigne vigoureusement ma poitrine, dans ses mains! Face à sa prise ferme et inattendue, je me raidis encore plus, les bras légèrement écartés et sans oser bouger.
- Que... Qu'est-ce que tu...
Pendant qu'il me caresse la poitrine avec ses mains, il continue de reparler de ce qui s'était passé l'autre jour avec ma fille Setyhs, avec des mots vulgaires qu'il met exprès en avant et sans le moindre état d'âme. Alors que je me sentais déjà incapable d'agir. Choquée de voir comment il a prit par surprise mon fils qui savait pourtant se défendre, il me demande avec la manière disgracieuse qu'avaient la plupart des jeunes de son genre, de... coucher avec lui? Il voulait que je couche avec lui, alors qu'il s'en était déjà pris à ma fille et maintenant à mon fils, qu'il vient de violemment frapper?...
- Je... Je... Je...
Complètement perdu, alors que je continuais de croire que Tetyhs n'était en rien responsable de l'incident tragique qui s'était produit avec ce garçon, il vient me lécher la nuque et continue encore de me toucher les seins. Et tout ça sous les yeux de mon fils impuissant, qui est toujours au sol et qui souffre... Et voilà que je me raidis encore plus sur moi-même, quand ce mauvais garçon aussi inconscient que pervers, retire ses mains de ma poitrine, pour ensuite me la poser sur la hanche, tout en venant de nouveau me menacer si je refusais de le suivre. Pendant que je commence à me faire entrainer, j'ai juste le temps de regarder une dernière fois Tetyhs qui semble me supplier d'essayer de faire quelque chose, alors que je fais route vers le lycée, sans opposer la moindre résistance. Qu'est-ce que je fais?... Qu'est-ce qui est en train de m'arriver, alors que j'avais promis juste avant...
Tani Rei:
Tani ignorait tout simplement le jeune kitsune une fois qu’il était à terre. Son seul interet était maintenant la mère qui était la. Elle semblait ne pas réagir aux supplications de son fils. Une bonne nouvelle. Il allait faire d’elle ce qu’il voulait à ce rythme. Il lui laissait malgré tout le temps de pouvoir observer son fils impuissant tout comme son fils pouvait observer sa mère s’abandonner à celui qui lui mettait la misère dès qu’il le pouvait. Mais il ne laissait pas tout ça durer éternellement. Il emportait bien vite la jeune maman pour l’emmener vers le bâtiment …
- Je... Je... Je...
-Hmm ? Il me semble que tu devrais dire … Oui maitre. Je vous suis maitre. A vos ordres, maitre. As-tu compris ta place ?
Il continuait de s’éloigner du Kitsune à terre avec le sourire, main sur la taille de la mère avant de lever son autre main en l’air comme pour dire au revoir à Tethys.
-Merci pour ce magnifique cadeau mon petit. T’inquiète pas, je vais m’en occuper comme la chienne qu’elle est ! Tu devrais t’en être rendu compte maintenant.
Dit-il dit à l’intention du jeune Kitsune à terre devant d’autres élèves qui filmaient ce qui se passait à ce moment-là. C’était sur et certain que ces paroles allaient faire le tour du bâtiment sans qu’il ait besoin d’y mettre quelques efforts. Il disparut donc avec Ethys dans le bâtiment scolaire en ayant pris la direction de la salle de classe.
Le petit Tethys allait mettre un moment pour se remettre du coup qu’il avait reçu. En attendant, il poussait sans douceur Ethys à l’intérieur de la salle de classe, manquant de la faire tomber et il fermait alors la porte à clé pour ne pas être déranger. Il sourit alors et attrapa le haut du bras d’Ethys pour la tirer et presque la jeter sur le bureau qui appartenait à son fils.
-Bien … Il est maintenant temps que tu me montres la soumise que tu es … n’est-ce pas ma petite chienne ?
Il sourit sadiquement avant de préparer son téléphone et de le poser avec un bon angle prêt de la fenêtre pour ne pas avoir de contrejour en direction du bureau du Kitsune. Il revient alors vers Ethys et sans attendre une seule seconde, il passait une main entre ses cuisses, caressant longuement d’une caresse insistée sur sa chatte encore habillée … poussant le tissu de sa culotte à la pénétrer.
-Tu vas pouvoir exprimer toutes les vérités pour que je les montre à ton fils et à ta fille plus tard … Que tu aimes être traiter comme tu vas l’être. Tu ne m’aurais pas suivi sinon n’est-ce pas ? Montre leur ton côté de salope …
Il s’amusait bien … Il sourit alors, se collant un peu a elle pour que les fesses de Ethys se déforme contre le bord du bureau de son fils. Il sortait alors lentement ses griffes sous les yeux de la Kitsune pour les faire glisser le long de la peau de son cou jusqu’à son pull rose. Il commençait alors à tirer dessus jusqu’à ce qu’il se déchire sur ses griffes sous la pression … laissant gentiment le soutif et le ventre de la mère à l’aire libre …
-C’est le bureau de ton incapable de fils … Que dis tu le marquer pour que ce connard comprenne qu’il ne pourra jamais récupérer une mère modèle ? Il aura ainsi tous les jours l’image de sa mère qui s’est fait prendre comme une pute sur son territoire …
Il sourit alors sadiquement avant de lui attraper la tête en prenant ses deux joues entre ses mains et de lui tourner la tête vers le téléphone pour que son visage soit bien visible. Tani collait ensuite sa joue contre celui de la mère et il regardait le téléphone à son tour …
-Regarde ta mère … elle aime se faire des gens de ton âge … Une vraie cochonne ...
C’était très clairement à l’intention de son fils et c’était dans la boite. Il ricana alors avant de lâcher le visage d’Ethys et de finir de déchirer ce pull … Il la fixait alors en reculant légèrement et il l’observait alors de haut en bas.
-Dépêche-toi d’enlever le reste … et tu pourras sortir ce qui va te pénétrer dans moins de 2 minutes ! Et mets-y du tient pour m’inviter en toi … chienne de Kitsune ! Si tu es sage … Je te dirai peut-être le nom de ton nouveau maitre.
Etyhs Inoru:
Une étrange sensation de chaud et de froid commence à s'entremêler en moi. J'avais peur et surtout je voulais dire non, mais je n'y arrivais pas. Avec le monde qu'il y avait, il me suffirait pourtant de crier. Ces jeunes gens tout autour de nous qui nous regardaient sans rien faire ou qui filmaient, pourrait peut-être alors comprendre si je leur demandais de l'aide? Mais je sentais bien que j'étais sous sa prise. Sous la menace de ce garçon, qui nous fait du mal et qui s'apprête à nous en faire encore plus en me violant non pas vraiment moi, mais tout le peu de fierté qu'il me reste encore. Tout le reste de dignité que je voulais encore essayer de préserver et de me raccrocher un peu, pour essayer de défendre ce que j'avais de plus cher... Alors qu'il en profite pour me provoquer encore, je l'entends crier à mon fils, ce qu'il envisage de me faire. Ce qui me faisait peur, c'est que je savais que Tetyhs ne s'en remettrait peut-être pas! Sa confiance et l'amour qu'il me portait, tout comme sa soeur Setyhs, volerait définitivement en éclat pour moi!... Mais je ne faisais rien... Je ne disais toujours rien... Je le laissais encore une fois faire à son gré, alors qu'on nous filmait...
C'est collé aux côté de ce très dangereux garçon, que nous traversons le lycée, avec sa main qui ne cesse de me tenir la hanche. Je ne savais pas où il voulait m'emmener et je n'osais absolument pas lui demander. C'est alors que nous finissons par arriver dans une salle de classe, maintenant désertée de tous et qu'il se met à me pousser à l'intérieur, sans aucun ménagement. Je me rattrape de justesse du déséquilibre, alors qu'il referme la porte. Raidis sur place, je le vois me faire son éternel sourire provoquant et inquiétant. Ce sourire destructeur et malaisant... Et sans oser bouger, il m'attrape par le bras, avant de me jeter sur l'un des bureaux de l'un des élèves de cette salle de classe. Lorsque je me rattrape encore une fois, je l'entends déclarer ce que je ressentais être maintenant comme une sentence. Ce n'était sûrement qu'un simple jeu malsain, pour cet affreux pervers violent. Et ce ne serait normalement pour moi, qu'un moment de soumission de plus à passer. Mais le vrai problème ici, c'est ce que je sentais que c'était différent! Je savais que si je cédais maintenant, que je risquais de répéter la même impardonnable erreur que j'ai commise l'autre jour, en lui donnant ma fille... Et alors, je savais que je perdrais cette fois tout! Comme il le disait, je ne serais vraiment plus rien d'autre qu'une chienne soumise, faisant passer ses plus bas instincts et prête à se donner, au sacrifice de l'amour de mes propres enfants! Mais plus que ses menaces, ce qui me faisait vraiment peur, c'est que ce garçon, cet adolescent sous ses airs destructeurs et méchant, semblait avoir déjà compris des choses à mon sujet... C'était comme si il lisait en moi! Comment est-ce qu'il faisait?
- Je... S'il te plait... écoute, je...
Sous la confusion et incapable d'exprimer les terribles enjeux qu'il pourrait y avoir avec mes enfants, si j'acceptais de coucher avec lui après ce qu'il avait fait à ma fille et maintenant à mon fils, je le vois sortir son téléphone de sa poche. Il le pose alors prêt de l'une des fenêtres de la pièce, avant de revenir vers moi. Avec la boule au ventre et cet éternel sensation de froid et de chaud qui se mélange dans tout mon corps, il pose une main sur mon entre-jambe encore recouvert, avant d'insister longuement dessus. Pendant que ma respiration se fait plus haletante, je le sens repousser le tissu de ma culotte, après une série de caresses. N'osant toujours rien faire, je ressens ses doigts me toucher le vagin. La sensation de chaleur et de froideur que j'éprouvais depuis que j'avais quitté mon fils avec lui, s'active encore plus intensément, surtout au niveau mon sexe qu'il était en train de toucher sans ménagement. Je suis tétanisée et j'ai l'impression de me faire dénuder mon âme elle-même, quand il continue d'appuyer sur les choses les plus secrètes et les plus dérangeantes à mon sujet. Toutes celles qui se trouvent à l'intérieur de moi. Et il voulait s'amuser à les mettre au grand jour, en me filmant avec son téléphone, pour ensuite aller les diffuser sans la moindre pitié, à mes propres enfants. Et en plus d'être parfaitement ignoble et immoral de faire ça, il savait donc que si je le laissais faire, qu'il détruirait toutes les convictions que j'avais encore à coeur de croire. Surtout comme l'importance de l'amour que je porte envers mes enfants et qui devait logiquement passer avant la satisfaction personnelle de mes instincts primaires, pour ne citer que les sexuels...
- Pitié... Je t'en prie pitié! Ne...
Pendant que je commence à le supplier de na pas faire ça, d'au moins ne pas me faire aller à coucher avec celui qui a violé et humilié ma fille, puis frappé et battu mon fils dans ménagement, ma voix se coupe. Je n'arrivais qu'à exprimer des gémissements... Et avec ce sourire qui va totalement finir par se tamponner dans ma tête, il se rapproche lentement de moi. Appuyée sur l'un des bureaux des élèves, il vient me coller fortement. Je sens qu'il essaie d'exercer lentement toute sa domination sur moi... N'ayant bien sûr pas les moyens de faire le poids face à lui, ça ne l'empêche pas de ressortir lentement ses griffes par surprise, devant mon regard apeuré. Comme si je suffoquais. Comme si je me transformais lentement en statue de pierre, il pose ensuite le bout ses griffes, sur mon cou. Je ferme alors instinctivement les yeux, sans bouger, sans parler. Il n'y avait plus que le bruit de ma respiration et l'écho de mes faibles plaintes, qui sortaient dans la salle.
Ce garçon venu lui aussi d'un autre monde et qui semble comme arriver à percer mon âme, me déchire ensuite lentement le pull. Lorsque je suis en soutient gorge, je rouvre les yeux en grand, quand j'entends la suite. Il me disait que je me tenais en ce moment, sur le bureau de mon fils!... Ce garçon sadique, sans principes et sans aucune limite dans ses jeux cruels, était prêt à me prendre sur le bureau de mon fils! Son objectif était vraiment d'essayer de briser symboliquement, le précieux lien que j'avais avec mes enfants! Il était prêt à le piétiner, dans le seul but de m'emmener à croire que mes intérêts sexuels, seraient plus importants qu'eux... J'avais l'impression de retourner à la trop longue période de ma vie, où l'on m'avait brisé. Faite de moi une parfaite esclave sexuelle, entièrement docile et aux ordre de ses maitres. Et ils avaient réussis! Combien de fois je ne les avais pas remerciés de m'avoir humilié? De leur servir de... pute bonne à baiser et à remplir?...
Comme momentanément absente, je le vois m'attraper par les joues, pour me forcer à tourner la tête vers son téléphone, qui doit déjà être en train de filmer. Pendant que je regarde dans la direction de ce qui risquerait de servir à briser et à humilier toute notre petite famille pour de bon, le garçon aussi sadique s'adresse directement à Tetyhs, par l'intermédiaire de l'objectif. Il imagine comme moi je me vois, en train de me faire prendre fougueusement, par le violeur de ma fille et par celui qui persécute gratuitement mon fils. Et tout ça pendant que je couinerais et que je lui en redemanderais indéfiniment. Et ces images, il compte le lui monter. Les montrer à lui, mais aussi à ma fille et certainement à tout le lycée. Je vais alors définitivement passer pour une mère indigne, qui préfère coucher avec les élèves et qui s'amusent à piétiner moralement ses propres enfants. Mais même si je sais que je ne pourrais pas l'en empêcher, je sais au moins que mes convictions, ma foi en mes enfants et l'espoir d'un futur, autre que celui de croire n'être rien d'autre qu'un jouet sexuel indigne d'être une mère, pourrait encore avoir une chance d'être préservé. Mais à une condition seulement... Je devais encore sincèrement croire que je ne pouvais prendre du plaisir, ni éprouver et exprimer le moindre désir, envers celui qui s'est amusé à détruire mes enfants. Si je le manifestais durant la durée que durera l'acte humiliant qu'il s'apprête à me faire subir, alors il aura prouvé avoir eu raison de moi. Je serais détruite et une partie de moi ne s'en relèvera plus jamais...
Comme s'il avait lu dans mes pensées, je l'entends rire comme il le sait si bien faire, avant qu'il ne me lâche ensuite le visage et qu'il finisse de me déchirer entièrement le pull. Puis il recule et il me fixe, tout en m'ordonnant d'enlever le reste de mes vêtements. Lorsqu'il me dit envisager de me donner son nom en tant que nouveau maitre, je frémis de haut en bas. Je savais que si il parvenait à me retirer l'espoir, la croyance en ce qui était pour moi le plus cher et le plus précieux au monde, que je serais vraiment une esclave sexuelle indigne, jusqu'à la fin de mes jours. Et en ce garçon, que je le veuille ou non, je trouverais forcément un inévitable nouveau maitre...
- S'il te plait... Je t'ai laissé faire du mal à ma fille... Je... Je t'ai laissé frapper mon fils sans rien faire. Ne fais pas ça!... Ne leur en fais pas subir d'avantage. Je t'en prie! Mes enfants ne vont pas s'en remettre, si tu leur montre ce que tu veux que je fasse avec toi. Je... Je ne sais pas comment tu sais tout ça sur moi. Je ne sais pas ce que tu es, mais ne brise pas ce que j'ai de plus cher au monde! J'aime mes enfants et tu sais peut-être déjà que ne peux pas éprouver du plaisir, de l'envie à coucher avec celui qui leur a fait du mal! Je t'en prie! Je t'en supplie! Laisse-moi partir! Laisse-moi croire qu'il y a vraiment de la gentillesse et de l'humanité, quelque part en toi! Je ne parle pas souvent de ce que j'ai au fond de moi et du coeur à des inconnus, mais j'ai bien sentis que tu avais vu certaines choses en moi...
L'oppression, la peur de perdre l'amour de mes enfants, associée à toute joie et fierté d'être une vraie et une bonne mère digne envers ses enfants, me faisait trembler sur place. Mais quelque chose en moi, semblait me retenir de m'effondrer complètement. Etait-ce vraiment du courage ou la simple lâcheté de ma soumission? Entre l'amour et la servilité que je me connais, qui est vraiment la vérité pour moi? Ce garçon cruel et joueur qui s'amuse sur le compte des autres, ne me laissera probablement pas vraiment d'autres issues possibles, malgré que je l'implorais. Pour la première fois de ma vie, il risquerait d'être inévitablement celui qui va me forcer à devoir faire face à la vérité des plus grandes choses, auxquelles je prétends tenir. A une seule vérité qui se dévoilera, en fonction de la réelle soumission que j'éprouverais, vis à vis de l'acte cruel qu'il s'apprête à me faire subir.
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