Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois

Une soirée pleine d'imprévus ( Pv Letyhs )

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Letyhs Inoru:
Je n'ai plus qu'à l'entendre couiner et me supplier de défoncer ses trous, comme la dernière salope trouvée dans le coin le plus pourri du monde, quand j'arrête soudainement de faire du forcing dans sa chatte, avec mes doigts. J'ouvre grand les yeux, quand je vois sa queue que je croyais n'être qu'une partie d'un déguisement pour cette soirée festive, se mettre à bouger toute seule. Des grands yeux, je passe après aux grandes oreilles, quand j'entends la grosse catin me supplier de la démonter, avec une sacrée envie.

- Oh... La salope me cache vraiment bien des choses! C'est vraiment une vraie queue que tu as là, ma jolie?

Quand je lui demande si c'est vraiment le cas, je l'attrape immédiatement en tirant très fort dessus. C'est alors que je la sens résister. Il faisait trop noir et en réalité je ne voyais pas bien sa tête à cause de sa posture, pour savoir à quoi j'avais exactement affaire... Préférant m'assurer dans quoi je voulais mettre ma bite, je prends une minuscule lampe de poche, qui éclaire avec une lumière verte. Une lumière spéciale et qui a certaines autres propriétés bien utiles, dans d'autres circonstances. Je regarde attentivement la base de sa queue, avec sa forme, ses poils et ses couleurs, avant de faire le tour pour voir exactement sa tête. Quand j'éclaire sa gueule, je vois que la chérie a deux oreilles, toutes aussi bizarres que sa queue touffue. Et rapidement, mis à part que je la croyais légèrement plus jeune, je la trouvais heureusement très à mon gout. C'était une belle pute, en plus d'être un drôle de spécimen.

- Je ne sais pas d'où est-ce que tu viens la catin, mais la manière dont tu es arrivée, me ferait presque croire que ton village t'a volontairement catapulté ici pour qu'on te défonce, tellement ils ont dut en avoir assez de toi, à force que tu leur demande tout le temps de te faire sauter. Mais on s'en fout. Ca va plutôt rendre le jeu encore plus amusant. Cela dit je pourrais essayer de trouver le moyen de te vendre. Je ne sais pas encore comment, mais les gens d'ici nous considèrent déjà comme des spécimens...

J'arrête la lumière et je retourne m'occuper du cul de cette empotée. Mon seul objectif n'était que de me vider les couilles. Le reste n'était que du bonus pour moi.

- Miam! Je crois bien que tout ça m'a assez excité, pour que je commence directement par te prendre ta chatte de vilaine perverse! En plus tu viens de me supplier! Donc je serais franchement stupide de te faire attendre! On ne fait jamais attendre les putes. C'est même une insulte pour elles, mais je crois que tu le sais déjà par toi-même.

Je lui envoie une autre bonne grosse fessée sur les fesses, avant de rapprocher mon bassin du sien, en vu de m'accoupler avec cette drôle de créature. Le gland bien décalotté, j'attrape sa queue avec mon autre main, tout en tenant bien ma bite, que je dirige à l'intérieur de son trou de pute en chaleur, qui sert à faire jouir tous les mecs comme moi. Dès que je trouve le passage, ma queue s'enfonce dedans. J'y mets quelques coups de reins, pour qu'elle se retrouve le plus vite possible à l'intérieur.

- Oooh! Putain c'est bon!

Arrivé dans ce trou si chaud et agréable, je suis obligé de gémir bien fort. J'écarte ensuite les cuisses de cette allumeuses, pour avoir suffisamment d'amplitude, tout en attrapant la partie gauche de son bassin, avec mon autre main.

- Putain c'est excellent! Je crois que je vais passer un super moment! T'es vraiment trop bonne chérie!

Je donne immédiatement un premier coup de bassin. Je ressens alors immédiatement un effet de frottement très agréable, à l'intérieur de ses chairs reproductrices.

- Oui! Purée en plus t'as l'air encore pas mal serrée, pour une salope de ton âge!

Tout en la gratifiant de compliments qu'elle ne peut qu'aimer entendre, j'enroule sa drôle de queue autour de ma main, tout en me positionnant bien. Je lui envoie ensuite un autre coup de bassin, plus fort que le tout premier. Une décharge électrique agite mon gland qui se tend et qui s'affole déjà.

- Chérie, je crois qu'on est bon! Sois gentille de continuer de me supplier de te défoncer ton trou à bites, pendant que je t'enchaine comme une bonne grosse trainée! Je crois que ça va être vraiment le pied, de faire ça avec toi!

J'envoie une autre grosse claque sur ses jolies fesses bien rebondies, avant de recommencer à lui planter ma bite toujours plus fort et plus rapidement. Et à chaque fois que je m'en vais explorer ce délicieux trou à foutre, je sens mes deux queues se raidir et se comprimer, malgré qu'elles ne soient normalement pas utilisées de la même façon.

Ayame Usui:
Ayame jouait le jeu, elle n'avait pas vraiment d'autres choix dans sa situation actuelle, et même si elle était sans doute capable de prendre sa forme de raton-laveur, et potentiellement tenter de prendre la fuite, rien ne pouvait garantir que Letyhs ne serait pas capable de la rattraper d'une façon ou d'une autre.
Pour accompagner ses paroles, la tanuki n'hésite pas à laisser sa queue se balancer vivement dans son dos, comme pour montrer une certaine excitation qui n'existait pas vraiment chez elle, mais qui devrait être assez convaincant pour son bourreau. Cela l'était suffisamment pour que ce dernier se rende compte qu'il s'agissait d'une vraie queue, et pas d'une sorte de déguisement.
Lethys pouvait facilement constater qu'il s'agissait d'un vrai appendice de la jeune tanuki, et non d'un accessoire, la queue restant bien en place malgré le fait qu'il tirait dessus avec une certaine force, en plus du râle de mécontentement qui s'échappait des lèvres d'Ayame suite à cela, un second râle rejoignant le premier lorsque son bourreau vient aveugler la jeune femme avec une lumière verte.

Se retenant de faire le moindre commentaire, étant loin d'être hors de danger, Ayame restait là à attendre que Letyhs passe à la suite, se préparant doucement pour ce qui allait se passer, laissant sa queue se remuer avec une fausse joie.
Letyhs ne tarde pas à commencer à s'occuper d'Ayame, frappant sans prévenir les fesses de la tanuki, lui arrachant sans difficulté un couinement légèrement exagéré alors que les mouvements de sa queue s'intensifiaient. Mais cela sera tout ce que la queue de la tanuki pourra faire pour le moment, son bourreau s'agrippant soudainement à celle-ci, avant de faire rentrer son membre dans les profondeurs intimes d'Ayame.
Un long gémissement se fait entendre de la part de la tanuki, qui sent clairement le membre de son bourreau pénétrer ses chairs, le souffle d'Ayame devenant légèrement plus lourd pour le moment, mais la tanuki ne disait rien pour le moment.
Un couinement de surprise s'échappe des lèvres de la tanuki lorsque Letyhs écarte sans prevenir ses cuisses, laissant plus de place à ce dernier pour qu'il puisse continuer de s'occuper de la pauvre tanuki, ne montrant pas vraiment de pitié à continuer à donner des coups de bassin, le couinement qu'Ayame venait de sortir se répétant à chaque mouvement de son bourreau, la plupart n'étant pas faux ... il était difficile de ne pas ressentir le membre de quelqu'un, surtout lorsque ce dernier explorait en profondeur les chairs intimes d'Ayame.

Le bourreau d'Ayame se met ensuite à enrouler la queue relativement courte de la tanuki autour de sa propre main, la jeune femme ayant son souffle coupé pour l'espace d'une seconde en anticipant ce qui allait arriver ... et même avec l'anticipation, le dernier coup de bassin de Letyhs arrache un petit cri à Ayame, qui sent le bas de son corps trembler doucement suite à l'assaut qu'elle venait de subir, son souffle revenant doucement quelques instants plus tard ...

Hmm ... encore ... donnez moi en plus ... ravagez moi ... faites-moi crier de plaisir !

Ayame n'était pas certaine si elle en faisait trop honnêtement, une certaine peur que son bourreau puisse voir la comédie qu'elle jouait, et que cela ne lui attire plus de mal que du bien ... mais il n'est pas impossible que Letyhs ne porte pas d'intérêt à ce que la tanuki soit honnête ou pas, tant qu'elle jouait le jeu.
Mais comme elle ne pouvait pas vraiment faire grand chose d'autre, la jeune femme continuait de jouer le jeu, allant même jusqu'à haleter comme une chienne en chaleur suite à ce qu'elle venait de subir, remuant son bassin avec le but à peine déguisé d'encourager des coups de bassin de son bourreau, un autre couinement s'échappant des lèvres d'Ayame suite à la seconde fessée ...

Letyhs Inoru:
- Oh putain! Qu'est-ce que c'est bon! Vas-y, gémis encore!

A peine je commence à me la taper, que la chérie couine déjà comme une catin! Et ça devient carrément l'extase, quand elle me supplie de la défoncer! Et non contente de vouloir couiner comme une chienne, elle prend elle-même une splendide initiative en bougeant son bassin, alors que je commence à prendre sa chatte avec ma bite! Elle en voulait tellement, que je l'entendais jusqu'à haleter, comme le font ses chiennes de cousines! J'étais vraiment tombé sur un animal, au sens propre, comme au sens figuré du terme!

- Voilà! C'est bien! Ca c'est ce que j'aime entendre, de la bouche des catins comme toi! Je savais bien, que t'étais venu ici juste pour chercher de la bite!

Alors que je me sentais vraiment devenir puissant, dans ma position de mâle dominant qui écrase cette pauvre trainée à remplir, je lui renvoie encore une bonne claque. Puis tout en profitant de la voir bouger son petit cul, qui a pour retour de me caresser la queue bien logée dans sa fente mouillée, je resserre encore ma prise dominante sur elle. Pris par une envie bestiale, à cause de l'entendre s'avilir pour moi, je lui renvoie plusieurs coups de bites lents, mais bien profonds. Chaque coup qui traverse se parois internes, me décalotte et me masse généreusement le gland! A chaque coup de rein, je pouvais percevoir dans cette nuit presque noire, le son des mes propres ardeurs. Mais plus je l'entendais gémir et plus j'en voulais! Je lui envoie alors des claques, de plus en plus violentes! Je voulais que cette pute, qui est venue exprès dans ce sous-bois merdiques pour ça ce soir, se sente comblée pour ce qu'elle était venue chercher!

- Allez, vas-y! Gémis encore, putain de trainée! Je veux t'entendre te traiter de sale chienne, qui en veux! Cris pour moi! Cris ou je te fais vraiment très mal!

Tout en lui envoyant la fessée la plus violente que je pouvais balancer à cette sale trainée, j'accélère ensuite mes mouvements de bassins. A chaque fois que ma bite cogne en elle, elle me donne l'impression de se comprimer, de plus en plus fort dedans! C'était tellement agréable, de prendre cette pute dans un tel endroit et dans un tel moment humiliant pour elle, que je ne me vois même pas lui mordre soudainement sa queue touffue, que je tenais dans la main. J'enfonce soudainement mes dents bien dedans, alors que j'utilise mon autre main pour continuer de lui claquer son fessier, tout en maintenant le rythme de ma bite, qui plonge en elle avec violence.

Ayame Usui:
Couiner, gémir et remuer son bassin, voilà tout ce qu'Ayame pouvait faire dans sa situation actuelle, feignant aussi bien qu'elle le pouvait les sentiments qu'elle montrait à son bourreau, donnant autant que possible l'impression qu'elle adorait le traitement qu'elle était en train de subir, et qu'elle n'était rien d'autre qu'un sac de chair qui réclamait le membre masculin d'un mâle.
Mais Ayame n'aimait pas ça, absolument pas, et dire qu'elle haïssait ce traitement ne pourrait pas traduire avec précision tout ce qu'elle ressentait. Mais elle devait continuer de jouer le jeu, son bourreau pouvant toujours décider de lui faire du mal sur un coup de tête, et autant la tanuki peut tenir tête à une personne qui l'emmerde, elle gardait malgré tout un instinct de survie ... et se faire transpercer par une épée, même de façon non létale, ne lui plaisait pas vraiment.

Les claques de Letyhs n'allaient pas cesser de si tôt, ce dernier continuant d'en administrer au postérieur de la tanuki, y allant même de plus en plus fort, arrachant sans la moindre difficulté divers sons de la bouche d'Ayame, Ayame qui se forçait à laisser s'échapper gémissements et couinements plutôt que des cris de douleur, tant qu'elle serait capable d'endurer le traitement.
Et même si elle était en train de faire semblant pendant tout ce temps, même si elle détestait tout ça, il ne lui était pas forcément compliqué de simplement gémir. Le membre de son bourreau pénétrait ses chairs les plus profondes après tout, et qu'il y aille rapidement, ou de façon plus lente en donnant des coups de reins plus fort et sec, chaque assaut du membre de Letyhs frappait au plus profond de son être, une douleur non négligeable pouvant être ressentie suite à ces assauts.

Hélas, le supplice d'Ayame était loin d'en arriver à la fin, Letyhs claquant de plus en plus violemment son fessier, demandant à ce que la tanuki crie pour lui, qu'elle se rabaisse comme si elle n'était rien du tout, rien d'autre qu'un animal. Ayama détestait ça ... mais elle n'avait pas vraiment d'autres options ...

S'il-vous-plaît, ô grand Letyhs ... Continuer de m'offrir vôtre bâton, je vous supplie, je ... Ayame s'interrompt brièvement, un cri plus léger que les couinements et gémissements qu'elle avait laissé s'échapper jusqu'à maintenant sortant de nulle part, Letyhs ayant décidé de s'en prendre à sa queue, et pas de n'importe quelle façon, mordant l'appendice touffu comme si de rien était, tout en offrant une nouvelle claque aux fesses d'Ayame ... Pitié ... la chienne que je suis veut vôtre bite ... ravager mes chairs, recouvrer moi de vôtre plaisir ... je vous en supplie ...

Les gémissements d'Ayame étaient loin de cessé, et pour en rajouter une couche, la tanuki haletait littéralement comme un simple chien, langue sortie, lançant un regard suppliant à son bourreau sans savoir si il pouvait la voir suffisamment clairement pour voir son visage ou pas ... mais dans tous les cas, elle rajoute un dernier mot entre deux halètements de sa part ....

... Wouf ...

Letyhs Inoru:
Cette fois, une sensation complètement grisante me transperce, lorsque j'entends l'espèce de pétasse avec sa queue de raton-laveur, me supplier de continuer de la défoncer, comme une chienne! Mes muscles se raidissent, alors que j'essaie d'atteindre le fond de cette chatte, qui englobe toute la journée, d'innombrables bites! Et je me sens encore plus fort, plus beau et plus puissant que n'importe qui, lorsque je ressens de la peur dans ses cris, quand je me suis surtout mis à mordre sa queue poilue! Mon jouet obéissait bien sagement et je suis sur le point de devenir fou, lorsque je l'entends haleter! Cette pute me révélait vraiment sa véritable nature! Elle voulait mon foutre dans son trou et elle me le faisait savoir bien fort! Et je crois bien qu'elle allait être heureuse d'apprendre qu'elle le recevrait beaucoup plus vite que prévu, quand je l'entends aboyer! Cette fille était vraiment une dépravée et une chienne, parfaitement obéissante!

- Aaaaah... Aaaah... Ouais encore! Vas-y! Aboie encore espèce de pute! Regarde la pauvre merde que tu es! Tu es comme ma mère! Tu n'as aucune dignité! Tu n'es vraiment rien d'autre qu'une pauvre saleté! Un déchet de plus, bon à enfanter et à se faire remplir comme elle!

En réponse à sa soumission parfaite, je ne pouvais m'empêcher d'accélérer la cadence! Je cogne sa chatte humide et je la frappe avec ma bite, jusqu'au bout! A chaque fois qu'elle se fraie un passage dans ce terrain de chair gluante, je la sens qui caresse ma bite! J'essayais donc de cogner son utérus, avec le plus de puissance possible! Que cette salope ressente jusqu'au fond ma queue sauvage, qui est train de la démonter, comme le dernier des animaux!

- Aboie putain! Aboie! Aboie encore ou je te cogne! Aaaah!...

Je lui rajoute encore des grosses claques sur son sale petit cul bien provoquant, tout en la démontant. J'étais passé pour de bon, à un rythme plutôt lent et ferme, à quelque chose de beaucoup plus saccadé! Je n'arrêtais plus du tout d'entendre les coups de reins, que je balançais à cette sale chienne! C'était incroyablement bon! Tout mon corps était sous l'extase de ce spectacle, que m'offrait cette dépravée! Ma bite se comprime alors de plus en plus! Je pouvais ressentir ses chairs, qui s'ouvraient pour laisser le passage de la queue de son maitre, entrer naturellement en elle! Mais j'avais aussi de plus en plus de mal, à me contrôler! Je voulais qu'elle continue de souffrir, en même temps que je la démontais jusqu'à l'utérus! Alors je retire de toutes mes forces, sur sa grosse queue touffue et je mord encore dedans! Et tout ça, sans jamais arrêter de la défoncer! C'était vraiment génial, de la voir se faire humilier comme ça!

- Aaah! Tiens! Grrrr! Tu la sens bien cette morsure, sur ta sale grosse queue poilue de pute dépravée?... Hein chérie? Grrrrr!

Pris dans le même jeu amusant qu'elle, ma bite qui la ravage et qui cogne la fente de cette truie qui me la suce et qui la recouvre de ses lèvres trempées, je mord sauvagement son appendice poilu hideux, avant de recommencer encore!

- Hahahaha! Les salopes sont encore meilleures à baiser, quand elles le font gratuitement!

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