Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois

Une soirée pleine d'imprévus ( Pv Letyhs )

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Ayame Usui:
Ayame se comportait plus comme un animal qu'autre chose, n'ayant pas vraiment d'autres choix dans le fond, sauf si elle souhaitait prendre le risque de goûter à la lame de son bourreau, et l'appétit pour l'acier de la part de la tanuki était proche du néant.
De ce fait, la tanuki ne montre que très peu d'hésitation, si pas aucune, à aboyer comme un chien, si cela suffisait à satisfaire son bourreau qui continuait inlassable à défoncer ses chairs, arrachant sans grande difficultés des gémissements en continu de sa part, la tanuki faisant des efforts pour "jouer" le rôle du chien, allant même jusqu'à haleter comme si elle n'était rien de plus qu'une vulgaire chienne en chaleur.
Et même si Ayame craignait un peu d'en faire trop, au point que Letyhs pourrait penser qu'elle le faisait simplement pour se moquer de lui d'une certaine façon ... le contraire se produisait, son bourreau semblant extrêmement ravie de son attitude, ce qui n'était pas non plus une chose si surprenante ... elle faisait ce qu'il réclamait, ce qui ne lui donnait que des raisons pour être ravi dans un sens.

Dans un sens, même si Letyhs n'avait pas fait part de son contentement de façon vocale, l'accélération de sa cadence montrait assez facilement à quel point il était satisfait des réactions de la tanuki, allant frapper de plus en plus fort les profondeurs d'Ayame, chaque choc envahissant l'entièreté du corps de la jeune femme, qui ne peut qu'aboyer en réponse, n'osant pas vraiment faire autre chose pour le moment ... aboyer et haleter comme une chienne ...

Wouf ! Wouf ! Wouf !!

Le souffle d'Ayame était de plus en plus saccadé, chaque aboiement semblant devenir de plus en plus perverti que le dernier, la tanuki remuant son bassin en rythme avec les coups lent et ferme de son bourreau, aboyant de plus en plus fort à chaque fois ... et malgré tout cela, personne ne pourrait les entendre ... d'une certaine façon, cela pouvait au moins apporter un certain confort à la tanuki, qui ne verrait pas d'autres invités surprises la voir dans un état pareil ... une personne était déjà suffisant.
Cela dit, le bourreau d'Ayame n'abandonnait pas la queue de la tanuki, revenant s'occuper une nouvelle fois d'elle en tirant dessus de façon tout aussi violente que la première fois, si pas plus, ne montrant toujours pas la moindre hésitation pour venir mordre son appendice, arrachant un nouveau cri à Ayame, un cri qui sonnait bien plus obscène qu'il n'avait le droit de l'être.

Mais Ayame ne disait rien en réponse à cette action, se contentant de remuer continuellement son bassin, ne voulant pas s'attirer le courroux de son bourreau, même si ses dernières paroles ne faisait qu'apporter du dégoût à la tanuki ... elle subissait tout ça, et ne se ferait même pas payer en retour ... elle trouverait un moyen pour se faire payer, elle n'accepterait certainement pas de subir tout ça sans la moindre compensation ... quitte à traverser monts et marées, elle se jure de retrouver un jour futur son bourreau ... pour recevoir une compensation pour ce traitement.
Mais avant de penser à une quelconque compensation, Ayame ne pouvait que subir ... et aboyer et haleter ... c'est tout ce qu'elle pouvait faire, et elle continuerait de le faire avec autant de faux enthousiasme, tant que cela pouvait satisfaire Letyhs ...

Letyhs Inoru:
C'est avec très grande satisfaction, que je continue de me taper cette pute, bonne à se faire remplir par les premiers connards venus. Plus je l'entendais se comporter comme la chienne qu'elle était et plus je sentais que ça montait! Mon gland n'arrêtait plus de se faire masser et cajoler, dans les chaires de cette truie en manque, qui comprend où est sa place avec quelqu'un comme moi. Elle aimait tellement ma façon de la traiter comme une pauvre fille minable, en quête de grosse queues à se faire mettre, qu'elle prenait l'initiative de bouger son bassin! Sa posture était vraiment la plus idéale, pour avoir tout simplement les meilleurs angles de vues, avec la meilleure prise sur cette chose, croisée avec un raton-laveur dégénéré. Pendant que je la domine durement, celle qui me pompe la bite jusqu'au fond de son trou à foutre, crie quand je lui mords sa queue remplie de puces. Le spectacle que m'offrait ce déchet sexuel, était tout simplement fantastique et jouissif à mort!

- Oui! Voilà! Hahahaha! Tu es ma pute, jusqu'à ce que je te jette! Je savais que t'étais pas venue ici par hasard. J'avais bien compris, que tu étais le genre de salope qui prenait son pied à se faire baiser par des gamins, qui sont au moins deux fois plus jeune que toi. Et des filles dans ton genre, j'en ai déjà croisé plein. Mais ce soir, c'est toi la grosse chanceuse. Alors profite.

Tout en continuant de mordre sa stupide queue, je claque très violemment son cul, tout en cognat en plus bien fort de façon bien répété, mon bassin contre le sien. Je voyais son misérable corps de dindon poilue des glaces, tressauter avec joie, à chaque fois que je lui mettais un coup de bite dans le fond de son trou à foutre. Et cette fois. A cause de cette allumeuse qui n'arrête pas de me l'avaler! De me faire sentir ses parois mouillées, qui aiment bien enserrer ma bite qui passe généreusement à l'intérieur, mon gland qui se presse à ne plus en pouvoir de laisser cracher ma semence sortie tout droit de mes couilles, cède aux caprices de cette catin!

- Ooooh!... Aaaarh! Ouiiiii!... Ca y est!... Oh enfin! Putain de jouis en toi, sale pute! Oooh putaiiin! Vas-y! vas-y hurle à la mort! Vas-y ou je tue!!!

C'est complètement absorbé par la seule idée de l'entendre réclamer ma semence comme elle le mérite, que je lui balance mon foutre en plein à l'intérieur! Et pendant que ça commence à sortir, pour s'expulser jusqu'au fond des ovaires de madame la pute de chienne, je lui claque le cul, en même temps que je lui envoie des coups de poings dans le dos!

- Allez! Tiens! Tiens!... Prends-toi ça!... Prends-toi ça dans ta fente d'animale perverse et vicieuse, pendant que je frappe ton sale cul de gros poulet avarié, avec ton dos de petite crevure!

Pendant que je la frappe, j'expulse tout mon plaisir dans cette chatte qui a l'habitude d'en prendre par paquet de dix tous les jours! Je suis parcourut par un bien-être! Une très puissante adrénaline, qui me fait frissonner intensément! A chaque fois que je me contracte, je me décharge bien dans ce pauvre jouet inutile à sa société animalière! Puis au bout de quelques instants, à encore beaucoup m'amuser avec le corps de cette chose. A grogner de plaisir et à claquer et frapper de long en large cette pute masochiste, j'ai enfin fini de me vider!


- Aaaaah! Putain, qu'est-ce que ça fait du bien de baiser une catin comme toi!

C'est avec un dernier soupir, que je lui lance encore une claque bien méritée, avant de me retirer de cette pompe à bite. Dès que j'enlève ma trique dans ce trou malodorant, là où les pires individus de cette planète lui passent à l'intérieur, je vois un peu de ma semence qui ressort! C'était extrêmement jouissif!

- Ma belle? Je crois que je viens de faire un carton plein dans ta chatte. C'est un raz-de-marrée de foutre, qui approche de cuisses!

Dès que j'ai finis de me retirer d'elle et que mon gros jus d'amour coule dans ses chairs, je lui redonne encore une bonne grosse claque dans les fesses, avant de me rhabiller, encore tout amusé de la voir se tenir coincée comme une conne. Quand je suis prêt à partir quelques instants après, je lui envoie un énorme coup de pied, directement dans son popotin de fille de joie.

- Tiens! Ca c'est le cadeau de la maison! Comme je ne donne de la thune ni aux putes, ni aux suceuses  et encore moins aux animaux croisés entre les chiens boueux bourrés de tiques  avec les raton-laveurs qui fouillent les poubelles, je te laisse au moins la marque de mes chaussures préférées, sur tes fesses d'enculée! Ne me remercie pas, c'est complètement gratuit pour les gens comme toi!

Quand mon pied s'écrase bien fort contre ses fesses de grand mère hideuse, qui a certainement des enfants qui font le même métier qu'elle, je m'en vais en sifflant. Je retourne satisfait, laissant la chienne dégénérée coincée je ne sais pas vraiment comment, entre les branches qui l'aident à garder son cul bien l'air.

- Et reste comme ça chérie, tu es vraiment parfaite dans cette position! Avec un peu de chances, tu vas attirer surement tous les autres chiens comme toi, dans le coin! Hahahahaha!

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