Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Le parc et son sous-bois
Une soirée pleine d'imprévus ( Pv Letyhs )
Ayame Usui:
Ayame se prépare pour une nouvelle soirée, comme tant d'autres avant cela, avec comme objectif habituel de se faire de l'argent, ou d'obtenir quelque chose qu'elle pourrait revendre. Les préparatifs n'étaient pas quelque chose qui prenait du temps, même pour les soirées les plus chargées, le fait de ne pas avoir à réellement maintenir son échoppe en permanence lui offrant certaines facilités. Elle devait malgré tout prendre un certain soin de son apparence, elle n'allait pas sortir gérer son commerce vêtue comme une clocharde après tout.
Hormis sa tenue, la tanuki n'avait aucun autre préparatifs en particulier à finir, pouvant très bien commencer sa soirée ainsi ... et comme rien d'autre ne méritait le temps qu'il lui faudrait, et que perdre plus de temps signifiait perdre de l'argent, la jeune femme ne tarde pas à sortir.
Ayame utilise donc comme à son habitude la feuille pour son échoppe, la même qu'elle utilise chaque fois qu'elle sort pour son commerce, la feuille devant l'amener auprès d'une personne susceptible d'être intéressé par ses marchandises ... ou quelque part où elle pourrait au moins trouver quelque chose qui l'intéresse.
Tout semble se passer normalement, la téléportation de son échoppe ne prenant pas plus d'une seconde, la tanuki remarquant à peine le déplacement avec le temps ... mais cette fois était différente. En effet, bien que la téléportation ne se soit pas passé d'une façon si différente que le processus habituel, le voyage n'ayant pas pris plus ou moins d'une seconde pour se faire, l'arrivée était ... particulière.
L'arrivée de la tanuki se déroule à chaque fois de façon sûr, l'échoppe d'Ayame apparaissant généralement de façon appropriée et sans encombre. Jamais son échoppe n'était apparu à l'envers ou d'une façon inappropriée, si on exclu les fois où l'échoppe de la tanuki gênait la circulation, ou la gênerais si il y avait de la circulation au moment où elle se trouvait sur les lieux.
Mais pas cette fois, l'arrivée de l'échoppe d'Ayame était totalement inhabituelle. Premièrement, l'échoppe d'Ayame n'était pas présente, la tanuki étant la seule chose qui était apparue suite à la téléportation. Deuxièmement, l'arrivée de la tanuki elle-même ne s'est pas déroulé de la façon la plus délicate, Ayame arrivant comme si elle avait été tiré d'un canon, atterrissant avec une certaine violence au sol. Heureusement pour Ayame, l'atterrissage ne fut pas trop douloureux pour elle, ne risquant au pire que quelques bleus et des blessures plus superficielles qu'autre chose.
Dernièrement, Ayame avait atterri dans une position plus que désavantageuse, la vitesse de son arrivée ayant réussi à la faire se coincer entre deux racines de l'arbre mort qui se trouvait près d'elle ... et tant bien ces racines pourraient facilement être brisé, même par quelqu'un de sa force, cela lui demanderait d'être dans une position adéquate pour le faire, pas celle qu'elle avait actuellement. C'est à se demander même comment la tanuki a pu se retrouver coincé de cette façon en premier lieu, Ayame ne parvenant pas à se décoincer en essayant de se retirer dans le sens opposée à son entrée, sa propre poitrine bloquant un retrait dans cette direction. Et au vu de sa position, essayer de se déloger en avançant, bien que plus facile, risquait plus d'abîmer ses vêtements qu'autre chose ... Ayame décide donc de ne pas choisir cette option pour le moment, préférant garder sa tenue intacte pour le moment, espérant que personne ne soit la pour la voir dans cette position, son arrière train étant particulièrement exposée ...
Letyhs Inoru:
Voilà déjà peut-être un ou deux mois, que je suis arrivé sur cette planète. Enfin quand on entend par mois, je compte ceux qui défilent à une vitesse ahurissante, sur cette terre. Bon dieu, que le temps file à une allure de dingue, comparé à Saturne. Mon idiote de mère n'a vraiment pas trouvé le meilleur endroit pour se réfugier et espérer se la couler douce jusqu'à la fin de ses jours... Mais peu importe. J'ai mis un peu de temps à la retrouver et maintenant, ça sera bien assez pour continuer de m'occuper d'elle. Continuer de surtout baiser cette salope qui m'a pondue et qui m'a lâchement abandonnée en même temps! Et les deux autres ne valent pas mieux qu'elle pour moi! Mais le jeu est maintenant terminé... Ou peut-être pas! Non au contraire, il ne fait que commencer! J'ai vite compris que cet endroit allait finalement me servir de divertissement. Que d'autres victimes, pouvaient tout à fait se joindre à eux... et à moi!
Installé dans le même lycée que mon connard de frère et ma pute de soeur, je prenais plutôt mon temps pour réfléchir à la meilleure stratégie, pour leur pourrir la vie. Il était finalement plus drôle pour moi de les persécuter. De les faire souffrir lentement, que plutôt leur exploser leurs sales faces de sous-kitsunes en morceaux! Donc, la seconde étape après quelques rapides retrouvailles chaleureuses, c'est l'exploration du terrain. Je sors donc ce soir de ma chambre et de cet étrange établissement, avec quelques objets en poche. Tout en circulant, je finis par tomber sur un parc, dont j'avais entendu certains autres élèves le mentionner, disant qu'il y avait une petite fête de fin d'été organisée. Mais de quel été on parle ici? De celui de cette microscopique planète?...
Arrivé sur les lieux, je commence à marcher à travers les festivités. Il y avait du monde qui déambulait par ici et l'endroit était remplis de stands. Des trucs de bouffes ou de souvenirs complètement futiles et j'en passe. En fait, je me suis surtout rendu compte que j'étais venu ici, dans cet endroit bruyant, pour peut-être déjà rencontrer une autre victime, dans le but de m'amuser un peu avec. C'est juste un truc qui est devenu comme un réflexe, chez-moi. Et ici, les mauvaises habitudes vont peut-être pouvoir facilement continuer. Tant mieux.
Manque de bol, je ne trouve pas réellement l'opportunité tant attendue. Que ce soit des gars, des filles ou des adultes, la plupart ont l'air toujours accompagnés ou n'ont rien qui ne m'intéresse vraiment. C'est alors que je finis par avoir une envie d'aller pisser. Je me barre alors du chemin, pour apercevoir une sorte de sous-bois mal éclairé. Sans aucune crainte, prêt en même temps à mettre en morceau le premier idiot qui s'amuserait à essayer de me la faire à l'envers, je sors ma bite pour pisser contre un arbre.
- Aaah! Ca fait du bien de pisser!
Pendant que ma vessie s'allège rapidement, j'entends un violent bruit de fracas, tout proche de moi. Je bondis en arrière et je déploie mon katana rétractable, tout en appuyant sur un petit bouton. La longue lame tranchante apparait dans mes mains, avec son petit bruit habituel. Ecoutant, observant attentivement l'environnement, je détecte en quelques instants, l'origine de ce chahut. A moins d'une dizaine de mètre de moi, dans un coin tout aussi sombre que celui où je me trouve, j'entends gémir et bouger. Pendant que je m'avance vers cette forme qui se tient au sol, j'entends le bruits des feuilles qui craquent. Lorsque j'arrive à portée, arme toujours bien en main, je remarque qu'il s'agit non pas d'un animal, mais bien d'une personne.
- Qu'est-ce que c'est que ça?
C'est très intrigué, que je finis de me rapprocher en quelques enjambées. Je vois alors qu'il s'agit d'une fille et que celle-ci semble se tenir dans une position bizarre, entre des branches. Mais surtout avec le cul drôlement bien à l'air!
- Tiens tiens... Qu'est-ce qu'on a là?...
Je pique le petit cul avec la pointe de mon arme pour essayer de la faire crier, avant de la prendre par les cheveux, pour bien voir son visage. Et là, je tombe sur le gros lot de la soirée!
- Bingo! Une ravissante femme, qui tombe juste à point!
J'observe durement et avec attention son visage à la fois étrange et ravissant, avant de lui plaquer la figure au sol, pour lui faire manger le parterre et la relever ensuite par les cheveux.
- On peut savoir ce que tu fais là? Je parie que tu es venu ici pour m'espionner, quand tu m'as vu pisser. c'est ça pas vrai? Ah mais tu n'es pas obligée de te justifier. C'est normal d'avoir envie de baiser. Surtout dans des soirées aussi chaudes que celles-ci.
Je lâche la tête de cette fille, avant de m'en prendre à sa jolie robe. Ma lame passe à l'intérieur du tissu qui ne résiste pas une seule seconde, avant de se couper en deux sans la moindre difficulté. C'est alors que je vois une étrange queue, peut-être un costume à cause de l'endroit?
- Voyez vous ça... Mais quel joli petit cul tu me tends! Attends! Laisse-moi faire pareil avec ta culotte. Un conseil ma jolie : Bouge ou remue ne fusse que d'un seul pouce et tu reçois mon gros jouet tranchant, dans tes cuisses de poulette gémissante!
Pris d'une excitation, je retrouve enfin mon expression enjouée et prédatrice. La pointe de mon arme commence alors à titiller la culotte de cette perverse. Si elle essayait de bouger ne fusse qu'un muscle, la pointe allait douloureusement s'enfoncer dans ses chairs. Et ce serait quand même dommage, quand on a affaire à une beauté pareille. Tout en me mettant à déchirer ce bout de tissu, qui ne sert qu'à cacher la chatte humide de cette salope en attente de bites, j'ai la gentillesse de lui demander au moins son nom. Avoir une proie, ne veut pas dire manquer de temps en temps de bonnes manières.
- Et sinon, c'est quoi ton nom de petite salope? Moi c'est Letyhs et j'ai l'impression qu'on va un peu s'amuser ce soir, toi et moi.
Ayame Usui:
Ayame était encore sous le choc de son atterrissage en catastrophe, remuant entre les deux branches qui l'immobilisait sans grand succès, laissant de légers gémissements s'échapper sans réellement le remarquer. Elle était loin de souffrir le martyr, mais elle n'avait clairement pas l'intention de rester dans une telle position éternellement, et si la possibilité se présentait, la tanuki s'échapperait de ce pétrin à la première occasion.
Hélas, la tanuki ne pourrait pas se sortir de sa situation rapidement, malgré l'arrivée soudaine d'une personne qui lui était totalement inconnue. Ayame n'avait même pas remarqué l'arrivée de la dite personne en premier lieu, le craquement des feuilles à chacun de ses pas étant masqué par les propres bruits de la tanuki.
Pendant quelques instants, Ayame avait cessé ses gesticulations, un certain soulagement l'envahissant de voir une personne qui pourrait potentiellement l'aider, malgré la situation plutôt gênante dans laquelle elle se trouvait. Mais le soulagement que ressentait la tanuki disparaissait presque aussi vite qu'il était arrivé, lorsque la jeune femme ressent la présence d'une arme contre son derrière, bloquant tout mouvement de sa part, la tanuki tombant subitement dans un silence absolu. Même sa queue et ses oreilles de tanuki ne faisaient pas le moindre mouvement, restant figé comme si ils n'étaient pas réels.
Cela ne s'arrêtait pas là malheureusement, l'inconnu attrapant la tanuki par ses cheveux, ne montrant pas vraiment la moindre douceur ou tendresse dans l'acte, méritant un regard tout sauf approbateur de la part d'Ayame ... même si cet inconnu ne semblait pas s'intéresser de l'accord ou non de cette dernière.
Sans prévenir, ou même lui laisser le temps de dire vraiment le moindre mot, l'inconnu plaque le visage d'Ayame directement au sol. Cela se révèle douloureux, sans grande surprise, mais pas autant que cela aurait pu l'être, le sol étant principalement fait de terre, et cette dernière était fort heureusement suffisamment meuble pour que la tanuki ne se retrouve pas directement le visage complètement ruiné ... hormis le fait qu'Ayame avait le visage recouvert de terre.
Ayame tousse malgré elle après s'être mangé le parterre, ayant réussi à recevoir d'une façon ou d'une autre de la terre dans sa bouche, la forçant à tousser pour s'en débarrasser, tout en lançant un regard de plus en plus mauvais vers l'inconnu qui s'en prenait à elle. Elle n'avait pas encore eu l'occasion de dire quoi que ce soit, et même si elle ne serait pas contre l'idée de lui dire ce qu'elle pensait de ses actions, le fait que cette personne avait une arme dans ses mains, et la position plus que désavantageuse dans laquelle elle se trouvait ... la tanuki ne se sentait pas vraiment disposée à dire quoique ce soit. Même des râles de douleur était peu audible, Ayame réussissant a rester presque totalement silencieuse pendant qu'elle était en train de subir les actions de l'inconnu.
Mais malgré le silence d'Ayame, cette dernière n'osait pas faire le moindre mouvement, et encore moins en sentant l'arme de l'inconnu passait au travers du tissu de ses vêtements, exposant sans la moindre difficulté sa culotte aux yeux de l'inconnu. La gêne était palpable, même pour quelqu'un comme Ayame, et le corps de la tanuki ne pouvait retenir des frissons alors que sa peau était soudainement exposée à un air plus frais, sans compter le danger qu'était une arme aussi proche de sa personne.
La culotte d'Ayame ne tarde pas à subir le même traitement, l'inconnu ne se gênant pas pour informer la tanuki d'éviter de faire le moindre mouvement, au risque de voir la lame s'enfoncer à un endroit peu agréable. Si elle ne bougeait déjà pas le moindre muscle jusqu'à présent, la tanuki était encore plus proche de l'immobilité totale maintenant, même sa queue était parfaitement immobile, reposant sur ses fesses.
Et alors qu'Ayame voyait sa culotte subir le même traitement que sa jupe, l'inconnu pose soudainement une question à la tanuki ... une question qui, honnêtement, la prenait au dépourvu. Au vu de la situation, elle ne s'attendait pas à cela, moins de blabla et plus d'action ... mais non, cette homme se présente sous le nom de Letyhs, tout en demandant le nom d'Ayame ... sans pour autant ralentir réellement dans ses mouvements ...
Qu'est-ce que ça peut te faire de savoir mon nom ? C'est pas quelque chose qu'on demande avant de faire ce genre de choses ? Ayame laisse un soupir plus exaspéré qu'autre chose avant de continuer ... il lui avait bien donné son nom après tout ... Ayame ... voilà mon nom.
Ayame savait bien qu'elle ne pouvait pas faire grand chose dans la situation actuelle ... surtout qu'elle était toujours coincée entre les deux mêmes branches, et ne pourrait rien faire d'autre que subir pour le moment. L'agacement et autres sentiments similaire, bien que toujours présent, sont assez rapidement mis de côté, la tanuki ne voyant pas vraiment de raisons de laisser ses émotions ressortir ... pour ce qu'elle en sait, montrer une forme de résistance envers Letyhs pourrait juste lui donner plus de plaisir qu'autre chose ...
Dans tous les cas ... est-ce que tu pourrais au moins faire ton affaire rapidement ? Et me sortir de là ? Ce serait la moindre des choses.
Il n'y avait aucun enthousiasme dans la voix de la tanuki, Ayame ne se sentant pas vraiment heureuse de la situation, mais ne voyant pas vraiment ce qu'elle pourrait faire d'autre ... et même si elle acceptait ce qu'elle allait subir, rien ne l'empêchait de pouvoir au moins garantir une forme de rémunération de la part de Letyhs ... même si cette rémunération est simplement de la sortir de ces branches ...
Letyhs Inoru:
Je finis de déchirer la culotte de cette petite pute apparue de nul part, en quelques instants. Le temps que ce morceau de tissu inutile tombe au sol, je l'entends vaguement tenter de brailler, avant de se présenter. J'ai alors un sourire aussi bien malsain que pervers qui se dessine sur mes lèvres, lorsqu'elle me dit s'étonner de me voir d'abord passer aux présentations. A la vue de sa jolie petite chatte, mes iris semblent comme se rétracter. Pris d'une envie d'aller baiser ce petit trou, avec son petit cul aussi gentiment bien tendu pour moi, je reste encore surpris un court instant, par sa nouvelle remarque...
- Hahaha! Tu sais que tu es plutôt mignonne dans ton genre, pour une salope? Je te menace avec ma lame et tu te permets de me sortir des vilaines petites choses. Ma belle, saches seulement que j'en ai rien à foutre de qui tu es et pourquoi tu te retrouves dans ce merdier. Moi je suis juste là pour profiter de la situation. Mais manque de bol pour toi, tu es mal tombée avec moi. Alors si tu n'as pas envie de souffrir, je te conseille d'éviter de faire ta maligne. Ici c'est moi qui joue. C'est moi qui décide et c'est encore moi qui te fera fermer ta petite gueule de salope arrogante en moins de deux, si tu continues. En attendant "Ayame la pute", je vais directement prendre ta chatte et ton cul sans attendre. J'ai très envie de baiser ce soir et tu seras mon vide couille, pour cette soirée festive! Ici tu es seule et personne ne t'entendra crier.
Je balance une violente claque sur les fesses si joliment tendues de cette pute avec sa grande gueule, avant de l'attraper par le crâne et d'enfoncer sa tronche encore plus fort et plus longtemps, dans le sol terreux.
- Tiens! Mange! Bouffe encore! Moi je dis surtout que tu es venu ici, parce que tu as vu ma queue. Tu as fait semblant de te mettre dans le pétrin, exprès pour que je vienne fourrer ma bite dans ta fente de grosse salope. Et là-dessus, compte sur moi pour bien te la remplir, ma jolie petite allumeuse d'Ayame. D'ailleurs "Ayame", ce ne serait pas par hasard le nom d'une chienne?
Je remplace ma main par mon pied, pour continuer d'écraser sa tête dans le parterre, avant de le retirer aussi doucement que je lui ai mis. C'est que je ne voudrais pas déjà abîmer le jouet, que je n'ai même pas encore essayé.
- En fait, je m'en branle de la vérité de pourquoi t'es là. La seule chose que je veux, c'est te baiser et t'entendre couiner comme la salope que t'es. Je vois tout de suite que ta chatte est déjà mouillée et qu'elle en veut. Alors laisse-toi aller et contente-toi de passer un bon moment avec moi, en allant tout simplement couiner comme une grosse cochonne en chaleur.
Tout en lui parlant, je retire la totalité de la partie basse de mes vêtements. Je lui renvoie ensuite une bonne grosse fessée en plein sur son joli petit cul ferme et bien potelé comme elle aime, avant de me branler un instant. Sans attendre, je fais alors rentrer trois doigts à l'intérieur de sa chatte, sans le moindre ménagement. Et pendant que je les remue bien à l'intérieur, je l'oblige à me supplier de la défoncer, pour bien terminer de m'exciter jusqu'au bout.
- Alors elle aime ça, la catin? Vas-y couine maintenant! Demande-moi... Non supplie-moi de te mettre ma queue bien au fond de ta chatte dégoulinante, que je vais dilater, si tu ne veux pas que ça soit ma lame qui vienne la remplacer.
Comme toutes les trainées de son genre, je lui balance une claque dans la tête, pour l'obliger à obéir. En fait, je refusais toute résistance de sa part. Je n'étais seulement d'humeur, que pour m'envoyer en l'air avec cette chienne dépravée et son trou souillé par toutes les bites des gars qu'elle a rencontré le soir même comme moi.
Ayame Usui:
Est-ce qu'Ayame était ravie de se retrouver dans cette situation ? Certainement pas, surtout avec la présence d'une lame qui pourrait rapidement la faire taire pour de bon. Mais cette lame n'avait pas vraiment intimidé plus que cela la tanuki au final, les paroles de celle-ci ne montrant pas de joie pour sa situation, mais pas vraiment de peur non plus ... et peut-être que ce fait pourrait ne pas plaire à son tortionnaire.
Malgré tout cela, Ayame a été surprise qu'une telle personne lui demande son nom, au vu de ce qu'il passait, elle aurait plus imaginer que tout cela se serait passé sans qu'aucun ne connaisse le nom de l'autre ... mais il faut croire que la tanuki avait tort à ce sujet. Mais le fait de savoir le nom de l'autre n'allait pas changer sa situation, et Letyhs n'allait visiblement pas changer sa façon de faire après avoir appris le nom de la tanuki ... à part en associant son nom à celui d'une pute.
Ayame s'attendait à ce que son cul se fasse déjà prendre à ce point, surtout que ce dernier était dorénavant totalement exposée, Letyhs ayant terminée de la débarrassée de ses dessous avec sa lame, l'air frais la frappant de plein fouet ... tout comme la claque que Letyhs fit sur son derrière, sans prévenir bien entendu. Un couinement de surprise s'échappe des lèvres de la tanuki alors qu'elle mange une nouvelle fois le sol, ne pouvant montrer la moindre résistance à cela, Letyhs ne montrant pas d'hésitation ou de pitié dans ses gestes, allant même jusqu'à utiliser son pied pour garder son visage au sol.
Le pied de Letyhs ne restait pas longtemps sur la tête de la tanuki, cette dernière relevant doucement son visage en recrachant le peu de terre qui a réussi à rentrer dans sa bouche, ne l'ouvrant pas dans l'immédiat à l'attention de son tortionnaire ... il avait toujours une arme après tout, et autant elle pourrait crier à l'aide, l'insulter ou faire quoique ce soit ... est-ce que ce serait seulement utile ? Ils étaient visiblement suffisamment profond dans la forêt que crier à l'aide ne serait pas utile, et l'insulter pourrait avoir des conséquences négatives, plus que ce qu'elle pourrait supporter.
Une nouvelle fessée vient la frapper, une nouvelle fois sans prévenir, arrachant aisément un couinement de la part d'Ayame. Mais cette frappe ne tarde pas pour être suivie par les doigts de Letyhs, ce dernier ne se gênant pas le moins du monde pour en faire pénétrer plusieurs d'un coup dans son intimité, arrachant un léger cri de la part d'Ayame suite à cette insertion soudaine.
Et pour en rajouter une couche, Letyhs s'est sûrement dit que cela serait une bonne idée de forcer la tanuki à le supplier de s'occuper de son cul, et pour "motiver" Ayame a participer volontairement dans cette pratique, son tortionnaire ne montrait pas d'hésitation à se servir de sa lame comme d'une menace, laissant l'opportunité à la tanuki de résister ... au prix de recevoir la lame au lieu de son membre.
Intérieurement, Ayame laissait un long soupir exaspéré s'échapper, cela étant à peine visible d'un point de vue extérieur, surtout avec Letyhs qui regardait plus son cul. Mais elle allait devoir jouer ce rôle, et elle ne serait même pas payer pour le faire ... hormis le fait de rester en vie, ce qui est une compensation acceptable en soit.
Aussi soudainement que cela était possible, l'attitude d'Ayame faisait un 180°, un sourire large apparaissant sur son visage, un sourire qui était tellement forcé que même un aveugle serait capable de voir qu'il était faux ... mais la tanuki ne se contentait pas d'afficher ce faux sourire. Les oreilles d'Ayame remue doucement sur sa tête, tout comme sa queue qui remue avec une certaine vivacité, simulant une fausse joie de la part de la tanuki, une fausse joie qui accompagnerait un enthousiasme tout aussi faux ...
S'il-vous-plait, ô grand Letyhs, faites moi le plaisir, non, l'honneur de m'offrir vôtre queue. Enfoncer vôtre bite bien dure au plus profond de mon trou de catin qui ne mérite rien d'autres, ravager mes chairs intimes et offrez moi autant de votre semence que vous le souhaitez ...
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