Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

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Jack Taylor:
Jack la laisse prendre du recul. C’est un jeu; en y participant, il accepte d’y perdre… Mais tel n’est pas le cas. La fausse ingénue se retient à sa ceinture, les doigts glissés sous le cuir lisse et c’est elle qui finalement, l’attire vers son corps moite, alors que son dos bute contre la paroi d’escalade. Jack se fend d’un sourire. Jolie petite proie qui se piège toute seule. Son chibre est dur, palpitant. Lorsque Gwen se hisse à sa hauteur pour lui rendre son baiser, il grogne, bloque la jolie grimpeuse contre le mur avec son abdomen, frotte sa grosse queue emprisonnée par l’épais tissu du jean contre son abdomen. Les doigts fuselés de la blondinette décrivent des arabesques sur son torse en nage, alors qu’il suce cette petite langue joueuse de ses lèvres avides, avant d’y enrouler la sienne, les yeux mi-clos. La petite pointe de douleur le fait frémir, mais l’amuse. Sa grosse main se referme dans les cheveux de la petite imprudente, qu’il tire fermement vers l’arrière.

“Vilaine fille.” L’intéressée s’enhardit, sourde à ses propres protestations, flattant le gros sexe avec empressement. “Serre fort.” Le nez fourré dans ses cheveux, l’agent Taylor respire fort, au bord de la rupture. Son bassin remue lentement d’avant en arrière contre la petite main, mimant une pénétration qu’il souhaite, qu’il veut imminente.

“Putain.”

Le juron sort du cœur. Jack accompagne le mouvement impulsé par sa collègue et remonte précipitamment la fermeture éclair de son jean à demi-entrouverte avant de se retourner vers l’importun, plaquant un sourire de façade sur son visage crispé. Les yeux globuleux du professeur de physique - Jack a oublié son nom - le sondent avec une jalousie teintée de mépris. Jack hausse un sourcil, s’empare de sa chemise, au sol, qu’il feint de renfiler, à défaut d’autre chose. Regard en coin vers Mlle Kaneko, rouge pivoine. Et toujours adorable. “A plus ! “ lance-il, à l’intention de l’intru, qui s’efface en ronchonnant.

“Je crois qu’il ne m’aime pas trop”, s’amuse-il, en réduisant la distance qui le sépare de la jolie blonde, bien déterminé à reprendre les choses là où il les a laissées. Il constate, à son grand regret, que Gwen n’est plus tout à fait dans le mood. Tu m’étonnes. A la vue de l’ignoble chauve, son propre sexe a bien dégonflé. “Heu.” La tirade lui arrache un haussement de sourcil. Elle l’agace même un peu, mais il n’en laisse rien paraître. “Moi non plus, tu t’en doutes.” grand sourire. C’est un mensonge éhonté, mais il sait qu’elle n’est pas dupe. Lui, n’a pas d’états d’âme. Si on ne les avait pas interrompu, elle serait probablement à quatre pattes en train de téter son vit en ce moment même.

“Moi, j’ai envie que tu me fasses mal, Gwen. Que tu me mordes, que tu me griffes.” Ce n’est pas ce qu’elle sous-entendait, bien sûr, mais il n’en a cure. “Que je puisse te rendre la monnaie de ta pièce.” nouveau sourire, carnassier. Il a ramassé ses chaussures, s'approche d’elle. La paume de sa main glisse dans son dos, glisse dans le creux de ses reins pour finalement se refermer sur son cul, qu’il malaxe, sans la moindre gêne. Non, Jack n'a pas envie d'aller prendre un verre, d'emmener Gwen au cinéma, de lui tenir la main sur le retour, de lui arracher un baiser sur le pas de sa porte avant de la quitter à regret. Il a envie de fourrer sa grosse queue au fond de son ventre et entre ses lèvres, de démolir son adorable petit cul rebondi à coup de butoir. Et il en a envie maintenant.

“Les douches du vestiaire. Dans deux minutes, petite chienne.”

Regard appuyé. L’ajout est nécessaire. Il veut qu’elle sache. Qu’elle comprenne que si elle franchit l’entrée des douches, il la traitera comme la dernière des putes. Qu’elle sache, et qu’elle vienne quand même, qu’elle soit le premier instrument de sa déchéance. Si elle se refuse à lui ? Il prendra sa douche. Se branlera probablement longuement, puis reprendra sa journée comme si de rien n’était. Dernier sourire, avant de s’éloigner d’un pas chaloupé sur le parquet du gymnase. Une fois dans les vestiaires - hommes - Jack prend son temps. Il pose ses bottines sur un petit banc en bois, accroche sa chemise au portemanteau, puis retire son pantalon, ainsi que son boxer, faisant jaillir un sexe lourd et épais à demi érigé. Moins d’une minute plus tôt, il offre son corps musculeux à la caresse d’une eau tiède et claire. C’est l’heure de la pause déjeuner et a priori, il(s) ne risque(nt) pas d’être dérangé(s).

Gwen K.:
Mais ... où est Jack? Gwen accuse le coup. Le prof sympa et attirant a disparu, laissant la place à un individu plus ... primitif. Petite chienne. Elle a  frémit. A un autre, elle aurait brisé la mâchoire d'une manchette pour moins que ça. Petite chienne. C'est l'image qu'elle rendait à ce moment? Petite chienne. Il l'avait embrassé, elle lui avait saisi le sexe. Elle rougit à nouveau, un peu honteuse, non, un peu embarrassée parce que ces deux mots reflétaient l'exacte vérité si on s'attardait à décomposer ce qui venait de se produire. Elle n'avait pas imposé les distances nécessaires dès le début, elle avait flirté, inconsciemment peut être avec cet homme qui l'attirait. Il avait joué au même jeu qu'elle mais bien plus franchement. Elle l'avait pincé, elle lui avait fait mal parce que ses désirs refoulés depuis longtemps étaient violemment remontés à la surface. Son corps lui faisait payer son abstinence et maintenant, son esprit se rebellait contre toute forme de protestation. Petite chienne. Ca pouvait être ... un jeu encore. Jack avait éludé sa réponse, arpentant un autre domaine plus physique qu'éthique. En un sens, Gwen aimait se faire mal, dépasser ses limites, chuter durement pour mieux se relever. Le parallèle était mince. Elle baissa les yeux devant l'insistance du regard de Jack. Elle se sentait nulle, nulle mais désirée. Elle regardait ses mains qui n'avaient pas tremblées quand elle l'avait masturbé.

"Je ..."

Elle n'eut pas le temps de continuer qu'il l'accoste à nouveau, l'enserre, la pelote. Instinctivement, elle veut e repousser, elle a été claire mais pas assez, vis à vis d'elle même. Elle le laisse l'explorer. Jack est délicieusement agressif à son contact, et horriblement distant quand il s'écarte. L'ultimatum qu'il lui lance répond à son invitation à elle. Elle est piégée? Non elle a le choix. Elle va l'envoyer chier mais pas tout de suite. Mince qu'il est beau! Fatigué, le corps fourbu par l'effort rendu, il est encore plus . Putain arrête ma grande! Il s'éloigne et disparait dans les vestiaires, la laissant plantée là. Elle est seule. Une crampe légère entre les cuisses lui arrache un gémissement de surprise. Ce n'est pas la fatigue de son corps qui s'exprime, c'st l'envie qu'elle éprouve de baiser qui la rappelle à l'ordre.

Seulement, Gwen n'est ni soumise à la volonté d'un autre, ni femme a accepté un ultimatum. Il attendra! Elle a deux minutes? Elle se dirige vers le vestiaire des hommes et sort le trousseau du gymnase de son sac. En un tour de clé, elle enferme Jack. C'est moi la monitrice ici! Elle rejoint ensuite les locaux réservés aux femmes et prend le temps de s'oublier sous la douche. Que veut-elle? Qu'est-ce qui lui a prit de parler d'une relation sérieuse? Elle a voulu marquer un point, elle en a perdu deux. Gwen se savonne longuement avant de sortir se sécher. Elle s'observe dans un miroir. Musclée, fine, nerveuse. Petite chienne? Des trucs pas nets au lit, elle en a déjà fait mais qu'est-ce qu'il veut dire par là? Il veut qu'elle l'allume? Qu'elle l'excite comme une dévergondée? Après réflexion, elle se dit qu'elle peut le faire. Sa féminité fait tourner les têtes et son physique est un atout certain. Pourquoi ... ne pas essayer?

Elle continue à se faire des nœuds au cerveau en se séchant les cheveux. Elle ne se maquille pas, le maquillage c'est cher. Mais elle passe son tank top qui la moule comme un gant et ... son jean? Non c'est nul. Une serviette autour de la taille? Pas sexy! Il ne lui reste plus que la solution de la culotte .... Petite chienne ...

Gwen entrouvre la porte de son vestiaire et procède à un examen circonspect des lieux. Toujours personne. Elle s'élance et franchit les quelques pas qui la sépare de l'autre pièce pour ouvrir la porte après avoir bafouillé à chercher la bonne clé. Elle entre. Verrouille l'accès à nouveau et se retourne. Faire passer la pilule. Il doit être bloqué là depuis 20 minutes. Elle se déhanche et laisse une bretelle de son débardeur glisser le long de son épaule. Adossée à la porte, elle le dévisage en  glissant son index dans son décolleté échancré pour tirer le tissu vers le bas.

"Oups ...."

Jack peut être sauvage. Gwen l'a souvent été. Sa décision est prise et ses yeux brillent d'une étincelle affamée.

"On dirait que je t'ai fait attendre..."

Jack Taylor:
Jack passe de longues minutes sous la douche, se savonnant avec délice, masturbant lentement son sexe érigé et impatient. Mais le temps passe, et pas l’ombre d’une mèche blonde à l’horizon. Jack fronce les sourcils en sortant de la douche. Est-ce qu’il se serait trompé sur son compte ? Est-ce qu’il se serait vu trop beau ? Ce ne serait pas la première fois et il est bon joueur, bien que clairement déçu. Constatant avec agacement qu’il ne dispose pas de serviette - son sac se trouve dans la salle de classe de son prochain cours, il ouvre à la volée plusieurs casier, pour s’emparer d’une serviette abandonnée, avec laquelle il se sèche les cheveux, puis le reste du corps, avant de la passer autour de sa taille.

“Hm ?”

Un détail attire son attention. En entrant dans les vestiaires, il est certain de n’avoir pas fermé la porte, mais de l’avoir laissée entrouverte, comptant sur sa collègue pour la clore derrière elle. Fronçant les sourcils, il s’approche pour saisir la poignée et.. Putain, c’est quoi ce bordel. Il commence à se demander si Gwen ne l’a pas piégé. Le cas échéant, ça ne serait pas la première fois que Jack serait épinglé par sa hiérarchie pour comportement déplacé. Pensif, l’homme recul d’un pas. La jeune femme semblait réellement excitée à son contact, mais cela n’exclue pour autant pas l’hypothèse du piège. Bref regard vers la porte. Un coup de pied suffirait probablement à la défoncer, mais ce serait difficile à justifier auprès de la direction… Encore que. Pour se donner le temps de la réflexion, il fait volte face, et s’assoit sur le banc face à la porte, pour continuer à se sécher. Lorsque la clef tourne dans la serrure, il se fige, se redresse lentement, impassible. Lorsque Gwen se glisse à l’intérieur des vestiaires, sa bouche s'entrouvre légèrement, avant de se refermer. Putain ce cul magistral. Mais la colère l’emporte rapidement sur le soulagement et lorsqu’elle se retourne, aguicheuse, c’est un visage fermé, presque menaçant qui lui fait face.

“Tu te fous de ma gueule, mh ?”

D’un pas chaloupé, il s’avance vers elle. Lorsque sa serviette glisse de ses hanches vers le sol, il ne prend pas la peine de la retenir, offrant son gros chibre veineux au regard de la petite allumeuse. Il accélère brusquement le pas, pour la coller contre la porte qu’elle vient de verrouiller, refermant doucement ses gros doigts autour de son cou laiteux. “C’est ton truc ça, de faire attendre les garçons mh ?” Il baisse les yeux, pour plonger ses iris dans les siennes. Quelques centimètres plus bas, ses gros seins. Sa main libre remonte, glisse sous le tank, se referme sur l’une de ses grosses loches. Il en a vraiment plus rien à foutre, maintenant et il malaxe le sein offert, coinçant le tétin entre son pouce et son index pour le faire rouler, puis le pincer sans douceur. Son gland violacé caresse la peau de son ventre lorsqu’il se penche pour l’embrasser sauvagement, fourrant sa langue entre ses lèvres entrouvertes. Il serre son cou un peu plus fort, grogne. “Branle-moi”. Il désigne sa queue du menton. Qu’elle le fasse ou non, il estime qu’elle ne s’exécute pas assez vite, si bien que sans hésiter, il lâche son cou pour appuyer sur sa nuque. Putain, ce qu’elle est bonne. Il a hâte de faire rebondir son petit cul musclé sur ses bourses.

“Une chienne, ça obéit à son maître, Gwen. Et tu n’as pas été… Très obéissante. A genoux. Fous-toi à genoux, maintenant.”

Sa voix est rauque, déformée par l’excitation, son regard, furibond. Si elle s’exécute, il avance d’un pas supplémentaire, saisissant sa grosse queue à pleine main pour l’écraser sur le joli visage de la monitrice d’escalade. Le gland gonflé, suintant de pré-sperme glisse sur l’une de ses joues qu’il souille, puis sur ses jolies lèvres roses, s’y frotte pendant de longue seconde. Putain, enfin.

“Suce.”

L’ordre est clair. Dans l’état où il se trouve, Jack n’admettra aucune contestation. Probablement aurait été beaucoup plus doux avec elle, sans cette petite crasse, mais il estime qu’en agissant de la sorte, la blondinette mérite largement le sort qu’il lui réserve; celui d’être littéralement son vide-couilles pour les heures, voire les jours à venir.

Gwen K.:
"Tu te fous de ma gueule?"

"Oui"

La réponse est aussi simple que la question. Lorsqu'il se lève pour se dresser devant elle, elle ne baisse pas les yeux ni ne change sa moue légèrement provocante. Jack est furieux. Le prof nonchalant du début a définitivement quitté les lieux. cet homme là est un chasseur et se sert dès qu'il le peut. il y en a beaucoup des comme ça dans son quartier miteux mais aucun ne lui plait. Celui-là en revanche ... Il la saisit par le cou et la bloque contre la porte. Le désir jaillit de chacun des pores de sa peau. Sa sauvagerie le rend plus sexy encore. Elle se contracte, si il lui fait mal, elle lui explose les boules! Mais non au lieu de cela, il la pelote sans ménagement en frottant sa queue contre son ventre. Quand la serviette avait glissé de sa taille, elle avait juste eu le temps d'écarquiller ses grands yeux devant le monstre de chair. Il investit sa bouche sans préavis, force ses lèvres de sa langue inquisitrice en la laissant à peine respirer.

Gwen passe de l'état solide à l'état liquide, elle fond, victime de la fougue du beau gosse. Sa réponse n'est pas immédiate mais après avoir tâtonner un peu dans l'inconnu, elle mordille à son tour son tourmenteur avant elle aussi de l'embrasser farouchement. Elle palpe ses biceps, la dureté de ses abdominaux, la ... raideur de sa queue. Il est vulgaire. Est-il toujours ainsi quand il est excité où l'a t'elle vraiment irrité? Il la verrouille un peu plus et elle se dresse sur la pointe des pieds pour suivre son mouvement.

Gwen s'exécute. Branler un mec, elle sait faire. Rien de plus simple. Elle cale la grosse queue dans le creux de sa paume et serre, peut être plus qu'il ne faut mais elle veut prendre sa revanche. Elle tire lentement la peau du sexe vers l'arrière pour dégager son extrémité qu'elle prévoie de griffer mais elle n'en a pas le temps. Jack fait pression sur sa nuque pour s'adonner à un plaisir égoïste et elle n'a d'autre choix que de s'accroupir sur ses talons. Coincée entre la porte et le corps du professeur, elle a une aisance limitée. Il s'écrase contre elle, pressant la masse de sa queue contre son visage.

"Hey !!! PPffwwww!!!"

Il sait ce qu'il veut et répand sa substance suintante sur le profil de la monitrice avant d'humidifier ses lèvres de la même manière. Ca par contre, elle y est moins habituée. Elle réagit en soufflant pour ôter un filament collant qui la chatouille. Il se frotte contre sa bouche comme si il attendait ça depuis le début et continue à maintenir la pression. Quoi ? Une pipe? Bon, ca aussi elle sait faire même si elle ne pratique pas à chaque relation. D'habitude elle se fait un peu prier.

Gwen se tord le cou pour bien le regarder. Encore un peu et il grognerait. Timidement, elle entrouvre ses lèvres et accepte d'accueillir le gros gland qu'elle croirait prêt à exploser tant il est chaud et gonflé. Elle l'aspire doucement, il sent le savon. Elle imprime un mouvement de la tête pour prendre un peu plus du membre de Jack. Elle le suce, teste ses limites à elle. Elle déglutit et quand après quelques essais, elle arrive à le prendre au fond de sa bouche, elle sait qu'elle ne peut pas aller plus loin. Bordel! Mais c'est que la moitié??? Elle se cale mieux, le repousse pour bien s'installer avant de faire claquer sa langue contre son palais pour qu'il revienne. Elle le reprend en bouche et n'attend pas pour le sucer plus fort. Elle aspire ce sexe énorme, décale sa tête quand il pousse trop fort et enfonce le gland dans ses joues. Les mains bien à plat sur les cuisses de son partenaire, elle lui délivre une fellation comme elle en a rarement donné. Sa mèche l'empêche de voir ce qu'elle fait aussi 'écarte t'elle pour la maintenir sur le côté. Elle regarde fréquemment le visage de Jack, un peu inquiète. Elle n'est pas une pro ni  une pornstar. Elle espère juste qu'il y prend du plaisir. Peut être un peu plus fort? Elle densifie le rythme, comprend qu'il aime quand elle utilise sa langue en plus de la succion de ses lèvres. Elle y va beaucoup plus fort et son front heurte les abdominaux de Jack à répétition. Par deux fois, il réussit presque à passer sa luette et elle hoquète de surprise. Quand elle le retire de sa bouche, de longs filaments de salive et de fluides masculins s'étirent du gland à ses lèvres. Elle les aspire bruyamment avant de s'essuyer la bouche du dos de la main. Jack n'a pas l'air de vouloir autre chose tant il reste collé  à elle. Gwen reprend son souffle et le branle d'une main, au dessus de son visage, le fixant dans les yeux. Elle fait une moue adorable.

"Tu ... veux venir comme ça?"

D'un petit coup de langue bien placé, elle suit la longue veine qui serpente de la base des testicules jusqu'en haut du manchon. Cette grosse queue qui lui barre le faciès doit pouvoir déverser des galons de sperme non? Gwen a déjà eu la surprise de se faire gicler au visage mais jamais elle n'y a pris plaisir. Ses partenaires qui s'y étaient amusés ne l'avaient pas prévenue et elle avait pris ça comme une insulte. Là l'orage était déjà annoncé.

Jack Taylor:
Les doigts de la fausse ingénue se replient sur sa grosse queue, qu’elle écrase sans ménagement, au point que c’en est presque douloureux, mais peu importe. Il aime ça. Qu’elle lui fasse mal, qu’il puisse le lui rendre. “Petite sauvage.” A genoux devant son vit, la jolie blonde est à sa merci, Il la sent bouillante, un peu désarçonnée aussi, peut-être. Est-ce qu’elle a l’habitude d’être traitée comme une jolie petite princesse ? Avec un physique pareil, c’est bien possible. Mais avec lui, les choses se passent rarement de la sorte. Bien avant ses lèvres, il sent le souffle tiède de la blondinette caresser son gland, son méat poisseux, avant que Gwen l’engouffre avec précaution, le faisant soupirer d’aise. Le gros chibre glisse entre le velouté de ses lèvres, sur sa petite langue. C’est chaud, capiteux. Il grogne.

"C’est bien ma grande”, il murmure, un peu radouci. 

Elle peine pour le prendre en entier bien sûr, mais il ne s’en offusque pas; elle apprendra. Qui plus, elle essaye. “Crache bien dessus, ça glissera mieux. Put...ain.” Elle met du cœur à l’ouvrage. Ça se sent, et ça lui plait. Ses lèvres l’aspirent, sa langue l’asticote. Sa grosse main se glisse de nouveau dans les cheveux de sa partenaire pour l’inciter à le prendre plus profondément encore. D’abord en accompagnant le mouvement, puis carrément en l’accentuant. Lorsque leurs regards se croisent, il lui sourit, triomphant avant d’envoyer brusquement sa queue au fond de sa gorge d’un mouvement appuyé du bassin, la faisant hoqueter de surprise. Les cheveux de la jeune femme caressent la peau de son torse, sa bave dégouline jusque sur ses couilles, s’infiltre entre ses cuisses.

“Putain, t’es bonne comme ça ma puce. T’en fous partout.”. De sa main libre, il caresse la joue de sa proie, qui le branle fermement, au-dessous du gland. Elle sait clairement y faire et clairement, il a envie de lui inonder la gueule de foutre. Mais pas tout de suite. Amusé, il la défie du regard. “Tu veux me faire jouir, mh ? Va falloir mériter mon foutre.” La pauvre petite reprend son souffle, mais bien vite, sa petite langue gourmande glisse le long de son mât. “Plus bas.” Exit, la douceur. La brute est revenue. Il appuie de nouveau sur sa nuque, se redresse lui-même de quelques centimètres, écarte un peu les jambes, soulève ses lourdes couilles de sa main libre. “Là. Bouffe-moi le cul, chienne. T’as l’air d’avoir la langue bien pendue, alors je veux la sentir.” Sans hésitation, il écrase la jolie petite gueule souillée de sa collègue entre ses cuisses. “Et branle-moi. Fort.” Ca, il s’en doute, elle n’a pas dû le faire bien souvent. “Je vais te défoncer Gwen, tu le sais mh ?” Il lui glisse ça presque tendrement, non sans rapprocher légèrement ses cuisses l’une de l’autre, pour l’empêcher de se dérober.

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