Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

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Jack Taylor:
Il a décidé de ne pas lui faire de cadeau. Elle l’a, vraiment gonflé ; la leçon est méritée. Il n'a pas la cruauté de jouer avec elle, mais il la cueille, tranquillement. Elle frappe, fort, il contre, sèchement, Elle essaye de le travailler au corps; bonne idée : son centre de gravité à elle, est plus bas, et elle peut compenser son manque d’allonge en rentrant dans sa garde. Mais lestement, il se dérobe, creuse de nouveau la distance. Le coude fuse, à quelques centimètres de son menton. Audacieux, mais elle s’expose trop, ne voit pas venir son genou, qu’il lève brusquement, pour l’empêcher d’avance davantage. La blondinette se le bouffe juste en dessous du plexus, recule avant de s’affaisser le souffle coupé. Il ne se précipite pas pour l’aider, ne se moque pas non plus d’elle. Il fait la moue, sur la défensive. Il a pas envie de la cogner encore, elle a eu sa dose, là. Elle pisse un peu le sang, et il s’étonne de trouver ça carrément sexy.

“Hé.”

Elle se relève finalement en titubant, mais alors qu’il s’approche pour la soutenir, le regard qu’elle lui lance l’arrête. Bon, elle va me faire quoi là, gerber sur le tapis et se tirer ? Mais non. Elle retire son sweat qu’elle balance sur le parquet. Rien dessous, juste une brassière. Il hausse un sourcil, lui emboîte le pas lorsqu’elle s’éloigne à la recherche de… Quoi au juste, la salle de bain ? Elle ouvre une porte, probablement au hasard. Bingo, c’est l’une de ses deux chambres à coucher. C’est au tour de la brassière de glisser au sol, sur la moquette.

“Ben voyons.” Jack s’est approché, il colle son torse contre ses épaules. “T’es une putain d’emmerdeuse Gwen. Tu me les brises, vraiment.” Pour autant, ses grosses mains se sont posées sur sa taille. Contre ses reins, elle peut sentir le renflement de son épais chibre érigé. A l’aveugle - il a l’habitude - il faut sauter le bouton du jean de la blonde, glisses ses doigts dans la ceinture du futal pour l’abaisser à mi-cuisses, embarquant la culotte avec. “T’as un gros cul quand même, putain.” Il se marre, glisse ses doigts dans ses cheveux pour la tirer en arrière, la forcer à le regarder. “ Alors comme ça, tu veux que je te baise, maintenant ?” Il se penche, écrase sa bouche contre les lèvres entrouvertes de sa pute, y fourre sa langue. Le goût métallique du sang.  Sa main s’insinue entre ses cuisses, ses doigts se replient sur une chatte tiède, moite. Evidemment. Son majeur glisse le long de sa fente.

“Putain de merde, t’es trempée Gwen.”

Il suçote la lèvre blessée de la jeune femme, glisse majeur et annulaire dans son sexe baveux, fouille. De l’autre main, il soupèse l’un de ses gros seins, agace l’extrémité du téton de la pulpe de ses gros doigts. Son bassin remue contre ses reins, il grogne. Sa main quitte la poitrine laiteuse de la jeune femme pour libérer son énorme chibre veineux, dont les couilles s’écrasent contre le cul bien ferme de la grimpeuse. Un peu de foutre suinte de son gland pour souiller sa peau de pêche. Son futal et son boxer tombent sur ses chevilles, il s’en débarrasse d’un coup de pied, puis la pousse en avant, sur le lit, la tête la première. Pendant qu’elle se tortille pour dégager à son tour son jean et sa culotte, Jack lui, déboutonne sa chemise, les doigts tremblant, les yeux rivés sur ce cul qui se dandine sous son nez. Lorsqu’il la rejoint, c’est pour claquer sèchement ses fesses, à plusieurs reprises.

“A genoux. Cambre-toi, sale chienne. Là, voilà !”

Le ton de sa voix est plus rauque, impérieux. Il se penche, écarte davantage ses cuisses d’un geste brusque du poignet, écarte ses fesses pour cracher sur son sexe offert, avant de tapoter sa vulve détrempée du plat de sa main. “Je vais te défoncer, putain.” Il se redresse, empoigne sa grosse queue, juste au dessous du gland, frémit. Sournoisement, il écrase son gland sur le sexe offert, le promène dans les replis de sa fente… Avant de pousser brusquement pour enfouir un bon tiers de sa grosse bite en elle en grognant. Gwen a beau en crever d’envie, la queue de Jack n’en reste pas moins énorme, et la jolie petite pute, serrée. L’une de ses grosses mains se pose sur la nuque de la blondinette, pour écraser sa jolie petite gueule contre l’oreiller. L’autre s’arrime à ses hanches, fermement.

Fébrile, il manque de gicler en elle instantanément, tant les parois de sa petite chatte pressent sur son chibre, mais, les dents serrées, il parvient à se reprendre, et à enfouir lentement son vit au fond de son ventre. Lorsque ses couilles s’écrasent contre sa fente, il remue lentement le bassin, s’appliquant à bien la dilater, à bien l’ouvrir. “Qu’est-ce que t’es bonne, merde”, grogne-il, avant de s’affaler sur elle de tout son poids, enfouissant son nez dans ses cheveux. Elle pue la sueur, mais ça l’excite encore plus. Jack, en nage, prend une grande inspiration, recule son bassin, puis se refonce brusquement en elle jusqu’à la garde. De nouveau, ses doigts s'enroulent nerveusement dans ses cheveux, qu’il tire vers l’arrière, la forçant à cambrer encore davantage son corps diaphane.

“C’est ça dont t’as be-soin, Gwen…” Ahane-il. Son bassin s’enhardit, ses couilles claquent contre la chatte de sa pute. “Qu’on te… Défonce.” Les muscles crispés, Jack a perdu le sens de la mesure. Il lime, déforme sans pitié la pauvre petite chatte de Gwen, avec l’idée de la démolir, de la remplir de foutre, pour marquer définitivement son territoire.

Gwen K.:
Il n'attend pas. Jack doit être le genre de type qui obtient toujours ce qu'il veut. L'homme se colle derrière elle. Il bande déjà, évidemment. Tordu comme il est, il doit kiffé de baiser une fille qu'il vient de défoncer.

"T'es pas mieux Jack, tu fais chier avec tes manières de merde."

Il la pelote comme si son corps lui avait manqué, avant de la désaper. Un gros cul? Elle sursaute.

"Va t'faire foutre! Il est musclé, pas gros!" Gwen est une athlète, pas une youtubeuse crossfit à la con.

Et il recommence. Il ne faut pas grand chose en fait pour combler Gwen. Des doigts qui glissent dans ses cheveux pour lui imposer une position que lui domine. Elle le regarde d'en dessous, le cou en extension.

"Non, je veux que tu me déglingues." Au moins, c'est clair.

Leurs dents s'entrechoquent tandis qu'ils s'embrassent, embrasés. Et tandis qu'il explore sa moiteur qui n'attend que ça, elle, glisse ses mains entre leurs corps pour le branler à travers son pantalon. C'est du déjà vu. Quand il se libère avoir explorer chaque centimètre de sa peau, elle sent le gros chibre claqué contre ses fesses. Une pensée lubrique l'investit mais elle se garde bien de la dire à haute voix. Jack sauterait sur l'occasion. Leurs préliminaires cafouillent entre les vêtements qui gênent, l'excitation qui grimpe et la position de Gwen qui ne l'avantage pas pour prendre l'initiative. Elle n'en a pas envie d'ailleurs et Jack n'en est que plus parfait. Une vraie Bête en rût qui s'acharne derrière elle en ahanant.

Putain enfin!

Elle ne fait rien pour se retenir quand elle plonge sur le lit la tête la première. Son visage s'écrase dans l'oreiller qu'elle retire déjà son jean et sa culotte. C'est fait! Elle veut du cul, lui aussi, elle lui présente le sien comme une offrande. Il attend quoi?

L'ordre de Jack claque, suivit de son adjectif préféré. Elle obéit dans la seconde et creuse les reins. Alors, elle va surement pas aboyer mais pour le coup, elle ne dit rien et accepte. Accepte que c'est vrai. T'es une chienne Gwen! Le commentaire suivant va de soi, c'est la suite logique de ce qu'ils ont commencer. Il aurait tout remballer pour lui annoncer qu'il l'emmenait au cinéma, là, elle aurait brailler. Il la provoque, se glisse contre elle sans la pénétrer et Gwen, comme une mort-la-faim, cherche à  se le fourrer sans attendre.

"HHAAANNNN!"

Elle gueule fort. Trop fort! Sans retenue. Juste avant qu'il lui enfouisse le visage dans l'oreiller, et il fait bien. Elle ne se retient pas. Le merdier énorme qui l'a investit la fait gémir de plaisir même s'il l'écartèle. Putain, c'est tellement bon. Il pèse sur elle, sa nuque est verrouillée. Elle tremble d'anticipation. Ses doigts se crispent sur les draps alors qu'elle étend les bras pour tenter de saisir un truc ... à broyer. Sa petite chatte est littéralement explosée par le gros membre qui la découpe. Elle se cambre plus pour ajuster la pénétration. Il est tout en elle et Gwen laisse échapper un long râle d'agonie délicieuse.

La suite n'est que baise et défonce. Son rôle est d'encaisser alors elle encaisse. Il peut y aller fort, elle n'est pas fragile mais il le sait déjà. Jack alterne ses rythmes, feint la douceur pour cogner plus dur la seconde d'après. Elle n'en veut pas de la douceur.

"AAHHHH PUTAIN!"

A nouveau, se cambrer, à nouveau le verrouillage de son corps. Il aime la tordre, elle lui rendra la pareille plus tard. Et qu'il est vulgaire ce salaud. Gwen couine, gémit, halète. L'oreiller est trempé. D'elle même, elle croise ses bras dans son dos pour qu'il la saisisse. Elle n'a pas envie d'être libre la petite chienne blonde. Son corps accompagne celui de Jack et chaque rencontre s'écrase dans un claquement de chairs molestées.

Son corps brûle et la violente sensation qui lui déchire les entrailles manque l'arracher à l'étreinte. Elle jouit violemment sans qu'il s'arrête de la baiser. puis encore une fois en lâchant un cri à faire trembler les murs. Il ne lui laisse aucun répit.

"Att ... Attend Jack!"

Elle se redresse, glisse sur le satin des draps, essaye encore. Elle est trempée et l'homme qui la fourre ne facilite pas les choses. il est comme fou et la fracasse sans baisser en intensité.

"JaaAAAACCKKK!"

Il se foire à un moment, trop pressé, et elle s'échappe. enfin, pas loin. Elle se retourne juste pour lui faire face en écartant les jambes à l'équerre. Il est déjà en elle. Leurs têtes se heurtent. Le front de Jack lui a toqué l'arcade sourcilière. C'est chaud et sa coule. Elle lui crache à la gueule et plante ses ongles dans son cou pour l'attirer à elle. Gwen lui bouffe la langue comme elle lui sucerait la queue. Comme une morfale!

Jack Taylor:
Il baise sèchement, brutalement, presque méthodiquement sa petite chienne, les dents serrées, le nez fourré dans ses cheveux en désordre. Putain, l’odeur de sa sueur lui chatouille la narines. “Haaaa…” Il n’a besoin que d’une main pour maintenir ses poignets contre son dos. De l’autre, il écrase sa gueule dans l’oreiller quand elle braille un peu trop fort : il a des voisins, quand même ! A deux reprises, il sent ses chair se contracter autour sa queue et le corps diaphane de la jeune femme se crisper, frémir tout entier sous les assauts du sien.

“C’est bien sale chienne, jouis. Jouis pour moi", parvient-il à articuler d’une voix sourde, tout contre le pavillon de son oreille.

Les coups de butoir pleuvent, éclatent les chairs maltraitées de son amante, mais soudainement, alors qu’il recule une énième fois son bassin, son chibre glisse en dehors de son fourreau béant, suivant de foutre et de cyprine. Déséquilibré, il glisse légèrement sur le côté. “Merde…” Gwen en profite pour se tortiller sous lui, et échapper à la poigne de sa main. Il se sent un peu bête, sort quelques instants de sa sa torpeur.

“Qu’est-ce que tu fous ? Viens là, putain.”

En nage, hébété, la queue a l’air, Jack a l’air con. Il tend le bras pour essayer de s’emparer du poignet de Gwen, mais elle se dérobe, roule sur le dos. Ah. Il se jette sur elle, alors qu’elle se redresse légèrement, et leurs fronts s’entrechoquent brutalement mais lui comme elle, n’en a rien à foutre. A l’aveugle, il dirige sa grosse queue entre ses cuisses, l’enfourne toute entière en elle en grognant comme un animal en rut. Il n’a pas eu sa dose, lui. Ses couilles claquent de nouveau contre son sexe détrempé. C’est au tour de leurs dents de se heurter, alors qu’il glisse sa langue entre les lèvres gourmandes et entrouvertes de la jolie petite blonde. Salé. Il fronce les sourcils. Gwen saigne un peu. Il ne sait pas d'où et il s’en branle. Il ricane quand elle lui crache à la gueule, lui colle une gifle du revers de la main, s’effondre sur elle. agitant frénétiquement le bassin comme pour la clouer au lit. Ses ongles meurtrissent sa chair, ses cuisses se referment sur son bassin. C’est sale, brutal et obscène, comme il aime. Les râles de Jack se font plus gutturaux : il approche de l’orgasme.

“Putain, j’vais…”

Mais la petite blonde ne le laisse plus parler. Avide de ses lèvres, elle aspire, suçote sa langue. Les doigts de Jack se resserrent sur la gorge offerte de la jeune femme, il serre. “HMMM….” Son corps musculeux se crispe et il jouit brusquement en ahanant, giclant un foutre tiède et épais au fond de ses entrailles martyrisées pendant de longues secondes. Les yeux écarquillés, ses lèvres scellées à celles de Gwen, il remue encore l’espace d’une trentaine de secondes dans son propre foutre, avant de s’effondrer sur elle en soupirant d’aise.

“Putain, qu’est-ce que t’es bonne, toi."

Murmure-il, en roulant lentement sur le côté après quelques instants, pour passer sur le dos, indifférent au foutre qui suinte de la vulve malmenée de son amante sur ses draps hors de prix. Sa grosse main se pose sur le ventre plat de la jeune femme dont il apprécie la fermeté, le temps de reprendre ses esprits. Après quelques minutes, il se redresse, le temps de tendre le bras pour attraper son jean et en extirper son téléphone portable et répondre rapidement à quelques messages en observant Gwen du coin de l'œil. Elle a l’air d’avoir pris cher… Mais il sait qu’elle peut encaisser pire.

“T’as faim ? tu veux commander un truc avant qu’on recommence ?” Il baille. Le ton est badin, presque nonchalant. 

Gwen K.:
"Oui! OUI! OUI!!"

Le retour de gifle lui chauffe encore la joue.  Jack la cloue au lit à grands coups de pieu épais. Son visage est déformé par le plaisir, il souffle comme un animal. Pour lui, la violence fait partie intégrante du plaisir et elle se plait à aimer ça, maintenant qu'elle le sait ... Leur étreinte n'a rien de glamour, c'est du sexe brut, cash et sans fioritures. Il est prêt à quand il se vide en elle, Gwen laisse des sillons sanglants sur les épaules de son amant. Les deux acharnés se sont défoncés. Ils transpirent, saignent, nagent dans le stupre. Jack a jouit si violemment qu'elle a cru qu'il lui perçait les entrailles, lui faisant mal dans son ventre. rien à foutre, c'était trop bon. Elle a prit son pied et lui aussi. Il est resté en elle un moment, au chaud dans son propre sperme, puis il s'est affalé sur elle sans se soucier de savoir si elle voulait souffler aussi. Non ... elle ne voulait pas. Gwen avait joué des muqueuses pour le garder le plus longtemps en elle. Et quand il s'était retiré pour rouler sur le côté, elle avait senti un vide qu'elle trouva désagréable. Elle s'était aussitôt lovée contre lui recherchant la chaleur de son corps. Il l'avait palpée; il kiffait son corps, elle l'avait compris. Gwen ne se considérait pas comme une bimbo mais savait que sa ligne de sportive plaisait aux mecs à la recherche de sensations. La réflexion de Jack collait bien au bonhomme et elle ne s'en offusqua pas. Là, à ce moment, qu'il la traite de chienne ou de pute ne ferait que l'exciter. Elle souffle juste:

"T'es pas mal non plus ..."

Social time? Bah non, il pianote sur son téléphone. Les câlins seront pour plus tard, ou jamais. Gwen arrange un gros coussin pour s'y adosser. Elle regarde le plafond quand un léger courant d'air la fait frissonner. Elle tire un drap pour s'en couvrir et le tissu se tâche aussitôt des fluides qui la recouvre où qu'elle libère. Elle sait très bien que Jack prend soin de ce qui lui appartient, il l'a déjà démontré. Monsieur est un élégant ...

Elle s'étire et baille en le voyant faire. Qu'il lorgne sur sa poitrine est normal. Gwen est fine, super bien foutue, mais juste "alourdie" par sas atouts hors normes, sûrement ses origines occidentales, peut être texanes, pays des vaches...

"Aïe!"

Elle vient de toucher son visage et se cambre pour s'observer dans la glace d'une armoire.

"Oh putain!"

Elle a une lèvre fendue, saigne de l'arcade sourcilière et le contour de son œil droit se colore déjà légèrement. Une vraie teigneuse des bas-fonds. Son petit épisode de prof d'escalade sympa vient de se terminer dans un torrent de foutre. Maintenant, la sale gosse a repris le pas, ca va chier au bahut!

"Je pensais que j'allais bouffer ta queue mais on dirait que t'as pas envie. Euuh, un truc léger, une salade de crudités, quelque chose comme ça."

Elle hésite un instant et fait la moue en réfléchissant.

"Nan, une pizza ira bien, un truc avec des champignons et de la viande de cochon italienne, je sais pas comment on dit ... Et une bière ... Et tu seras sympa de m'apporter une poche de glace ... Et fermes la bouche, tu vas baver."

Ça coule entre ses jambes et elle s'essuie avec le drap.

La poche de glace est jetée du bout de la pièce, heureusement qu'elle regardait à ce moment-là. La fraicheur sur son visage, lorsqu'elle l'y écrase lui fait un bien fou. Elle va se faire engueuler par Kaito à la maison et il faudra inventer un truc pour se justifier au campus.

Sur son chevet, elle attrape la télécommande de l'immense télé accrochée au mur, dans l'axe du lit. ON ... Un gros porno où une bimbo (pour pas changer) se fait démonter par un type qui a tout du culturiste. Jack ..... bah, pas surprenant en fait. Du coup elle laisse tourner le film en se demandant comment on peut encaisser comme ça. Elle rit pour elle-même. Elle n'a pas à rougir de sa prestation. Ca dure un moment et Jack vit sa vie de beau gosse pervers et égocentrique. Quand il l'appelle, elle se lève, enroulée dans son drap et récupère le carton de la pizza qu'elle ramène sur le lit.

"Tu viens ou tu manges tout seul là-bas?"

Sa mèche lui tombe dans l'œil et elle n'a rien pour la retenir. Elle se penche pour ouvrir la table de chevet, une part de pizza à la main.

"Oups ... ça coule ..."

Chez elle, elle ne ferait jamais ça mais elle a envie de faire chier son monde, elle en a le droit. Tiens? Le tiroir du chevet est vide, de l'autre côté du lit, celui de Jack aussi. Ça l'a déjà interpellée, y'a rien ici qui indique une présence "personnelle". C'est vide. On croirait un appart de passage. Un putain d'appart luxueux pour un prof de base. C'est tellement pas net. Il faudrait vraiment qu'ils parlent sérieusement ...

"Tu viens ou quoi ... bébé ?" Elle se marre, ça sonne nul." Si tu viens là, je pourrai te branler pendant que tu manges, tu veux?"




Jack Taylor:
Jack baille à son tour, affalé contre son propre oreiller. Il hausse un sourcil en la voyant s’examiner. Il y est peut-être allé un peu fort… “Mhh.” Il grimace. Ses épaules le lancent. Il se redresse, pour ne pas saloper davantage les draps. Ouais, c’est de bonne guerre, elle l’a bien ravagé aussi. Il s'assoit sur le lit, avant de se redresser et de quitter la pièce dans son plus simple appareil en ouvrant l’application de livraison de repas à domicile qu’il utilise le plus régulièrement. “Ok, ok Done. La pizzeria est à côté, ça arrive dans dix minutes”, marmonne-il, avant de se diriger vers la cuisine pour de quoi satisfaire son exigeante petite invitée.

“Je vois que mon vin n’a pas été apprécié à sa juste valeur” relève-il, avant de lui balancer la canette de bière et la poche de glace. “Mon cœur est brisé.”

Lui aussi il a soif, mais d’un bon café italien. Retour à la cuisine. Lorsque son téléphone vibre de nouveau, il sourit, savoure son café, adossé au plan de travail. La sonnette finit par retentir, il attrape une serviette qu’il passe autour de ses reins avant d’ouvrir au livreur, qu'il gratifie d’un généreux pourboire. Toutefois, il ne referme la porte qu’après avoir laissé rentrer un jeune homme d’une vingtaine d'années qu’il accueille avec une accolade. L’index posé sur ses lèvres, il lui désigne la chambre du fond d’un signe du menton. l’autre acquiesce avec un air entendu, et retire discrètement ses chaussures, pendant que Jack rejoint Gwen pour lui déposer - plus soigneusement cette fois - son carton à pizza sur le lit.

“Je reviens, parle pas la bouche pleine”, précise-il, avant de s’échapper de nouveau.

L’intérêt de la blondinette pour sa chambre ne lui a pas échappé, mais il est sans crainte : qu’elle fouille. Il n’y a rien à sa portée qui soit de nature à trahir la nature de ses activités occultes. Dans le couloir, Toshio - c’est son prénom - a terminé de se déchausser et il a retiré sa veste. Le jeune homme est plus petit et plus mince que Jack, mais n’en reste pas moins athlétique. Plutôt beau garçon, un peu androgyne et excessivement tatoué, il partage avec l’agent Taylor un air effronté et une certaine nonchalance. Il y a néanmoins davantage de douceur dans son regard et un style vestimentaire plus… Discutable, du moins aux yeux de Jack. Une chemise blanche largement ouverte sur un torse tatoué, un jean bleu clair et des rangers. De nombreuses bagues ornent des doigts plus fins que ceux de son complice. Toshio est un ancien élève de Jack, qui travaille pour le Naicho, service de renseignement japonais. Au courant des activités de son ancien professeur, il partage avec lui des informations, et quelques plans cul. En dépit de son jeune âge, le garnement dispose d’une expérience plutôt notable.

“On.. Heu, j’arrive”, balance Jack à Gwen, en haussant la voix. Puis, plus bas, à Toshio. “Elle va sûrement faire sa mijaurée, mais t’en fais pas, je la connais. Dans cinq minutes elle te pompe en couinant.” Toshio, hoche la tête, se dirige tranquillement vers la salle de bain. Quant à Jack le “Bébé” lui fait hausser un sourcil amusé. Un peu rapide ? C’est débile, mais vaguement mignon, il le prend bien. De nouveau, il retourne dans la chambre, sa boîte à pizza brûlante posée sur sa paume. Il l’a déjà bien entamée. Tranquillement, il retire la serviette, pour dévoiler de nouveau sa grosse queue gonflée. La perspective de ce qui va suivre a reboosté sa libido hors-norme. Il s’installe à côté de Gwen, adossé à l’oreiller, l’embrasse chastement le front, puis sur les lèvres. Il s’empare de son poignet pour déposer la petite main de la jeune femme sur son chibre brûlant.

“J’espère que t’as repris des forces, tu vas en avoir besoin.”

Le ton est volontairement évasif, distant et un petit sourire narquois danse sur ses lèvres entrouvertes, avant qu’il n’engouffre une nouvelle part de pizza. Si Gwen est attentive, elle peut entendre de léger bruits de pas qui se rapprochent de la chambre à coucher.

“Heu, salut.”

La chemise complètement ouverte sur son torse tatoué, Toshio s’avance sur le seuil de la porte, légèrement intimidé lorsqu’il aperçoit le corps voluptueux et souillé de Gwen - qu’elle s’empresse peut-être de couvrir. C’est pas la première fois qu’il se tape une meuf avec Jack, mais celle-ci, c’est carrément de la dynamite, il se rappelle pas avoir déjà vu des nibards pareils. Lorsque l’agent Taylor lui adresse un clin d'œil, il s’approche du lit, et retire sa chemise pour dévoiler son corps encré et athlétique. La grosse bosse qui déforme son jean ne laisse guère de doute : le japonais est lui aussi, très bien membré.

“Je m’appelle Toshio. Jack est un ancien prof à moi et heu. On bosse aussi ensemble des fois. Jack, t’es sûr que ?”

“Ouais t’inquiète, désape-toi, elle a envie de bouffer de la queue. Pas vrai Gwen ?”

Le ton est ferme ; de toute évidence, il a décidé pour elle. La classique de Jack. Le japonais abaisse lentement son pantalon, puis son boxer, dévoilant un épais chibre brun, à peine moins impressionnant que celui de l’américain, mais au prépuce non-circoncis. Avec un sourire un peu crispé, il s’installe de l’autre côté de Gwen. Bordel, ça pue le sexe ici. Sa main se pose sur la cuisse de la blondinette, alors que Jack, pour couper court à toute éventuellement protestation, glisse sa main entre ses cuisses pour caresser distraitement son clitoris de la pulpe de ses gros doigts. La respiration lourde, Toshio lui, se penche vers la jeune femme, et relève son menton du bout de ses doigts avant d’écraser ses lèvres contre les siennes et d’échanger un long baiser avec elle. Sang, foutre. C’est pas très propre, mais Toshio n’est pas une chochotte. 

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