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La brute et la voleuse [PV. Jessie]

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Ryo

Humain(e)

La brute et la voleuse [PV. Jessie]

vendredi 03 septembre 2021, 18:43:47

"J'vous assure m'sieur l'agent, c'était bien elle. J'reconnaitrai ma propre fille quand même quoi!

"Bon maintenant tu fermes ta gueule!"

Chaque mois, Ryo devait contribuer au fonctionnement du commissariat de la Toussaint en assurant une permanence de 24 heures où il supervisait l'accueil du public. Les agents chargés de recevoir les plaignants lui adressaient les cas les plus difficiles à gérer. Le flic se promit d'allumer l'abruti qui lui avait envoyé le débris qui se lamentaient en face de lui. Une disparition inquiétante lui avait-on dit ... Il n'en était rien. La fille de ce connard s'était barrée et il la comprenait absolument. Le vieux était un minable. Il en avait assez entendu et s'apprêtait à foutre le parasite dehors. Bordel, il perdait son temps à végéter dans les locaux moisis de ce commissariat désœuvré.

"Mais ... c'est une voleuse! Elle braque des baraques, elle roule sur l'or j'vous dit! Elle avait une bande à l'époque, ils sont vraiment fort!"

Le déchet sortit son portable et chercha une photo qu'il présenta au dessus du bureau. Mouais ok, le cliché avait été pris à bonne distance en zoomant. La qualité était médiocre mais Ryo pouvait voir que la nénette était un joli p'tit lot. C'est d'ailleurs le physique de la fille qui intéressait plus le policier que l'histoire à la con.

"Tu sais que si tu me racontes des cracks, tu le payeras cher?"

Le vieux se ratatina sur sa chaise. Le changement de ton du policier le liquéfia.

"J'vous jure! J'ai honte de ma fille, c'est une nuisance pour notre société. Tenez ... je l'ai suivi jusqu'à cette adresse, elle m'a pas vu."

Il tendit un papier avec quelques lignes griffonnées de la main tremblante d'un type qui boit trop.

"Dégage maintenant!"

"Je ... J'aurai une récompense?"

"Dégage j'te dis!"

Le parasite parti, Ryo se laissa aller dans son fauteuil. En soi il se foutait de cette histoire mais après tout, il avait hérité de ses plus belles affaires sur des informations hasardeuses. Et là, quelque chose lui disait qu'il fallait qu'il se renseigne un peu plus. Il n'en résulterait rien, sûrement, mais il perdrait juste quelques heures à voir ce qu'il en était.

L'adresse était située dans un quartier huppé. Ryo avait planqué discrètement dans une voiture quelconque et peu de temps après son installation, la fille en question était sortie à pied de son domicile. En effet, un sacré morceau, sûre d'elle, l'allure féline. Une allure de voleuse ... pourquoi pas? Ryo ne l'avait pas suivie et avait attendu qu'elle revienne. Elle avait quelque chose qu'une femme normale n'a pas. Peut être dans son attitude, peut être ses coups d'œil discrets ... comme étant sur le qui-vive.

Le flic revint plusieurs fois observer la zone, les alentours, il n'était pas pressé, étala ses visites dans le temps. Elle l'intriguait. La seule fois où il la suivit, il la perdit très vite. Il mit d'autres policiers sur le coup. Ils la perdirent aussi, et toujours dans des conditions où une personne normale ne pourrait pas les semer. Elle était prudente, elle se méfiait, aussi Ryo fit installer une caméra discrète à proximité de son domicile. Les enregistrements que lui seul consultait montrait qu'elle pouvait sortir à toute heure du jour ou de la nuit. Et souvent, il avait failli ne pas y faire attention tant son look pouvait être changeant. Ok, c'était pas clair! il fallait pousser en peu plus. Quand ses supérieurs lui demandèrent pourquoi il s'intéressait à cette personne, il les envoya chier méchamment. Ils n'insistèrent pas.

Un soir, il décida qu'il était temps d'y aller. La fille sortait et un gars la suivait. Elle le perdit mais assez loin de sa résidence, il avait le temps. Ryo entra dans la sphère privée de la fille et se fit ouvrir la porte du domicile par un serrurier de la police qui ne resta pas. Le même homme neutralisa le système de sécurité avant de partir. Un truc costaud avait-il dit. Le flic pourri fit le tour du propriétaire. Bordel, en effet, elle roulait sur l'or. Sur ce point, le vieux avait raison. C'était classe et élégant mais surtout intéressant. Les objets exposés un peu partout devaient valoir une petite fortune. Ryo sortit de son sac un ordinateur qu'il avait ramené et l'alluma sur une belle table ouvragée. Connecté au système central de la police, il ouvrit le fichier national des objets volés et prit avec son smartphone des clichés de bibelots qu'il téléchargea pour comparaison. Bingo! L'un d'eux matcha, un petit vase volé chez un riche entrepreneur. Il la tenait!

Le grand flic savoura sa trouvaille et un plan moisi germa dans son esprit corrompu. Si la fille était une cambrioleuse de haute volée, elle pourrait lui être utile. Et joindre l'utile à l'agréable allait toujours de pair ... Il faudrait juste qu'il se débarrasse du vieux ...

L'homme trouva le bar et en sortit une bouteille de whisky, très chère. Il éteignit les lumières et s'installa dans un fauteuil profond. Il buvait au goulot et attendit patiemment. Quand la porte d'entrée s'ouvrit, il avait siffler un quart de la bouteille. Bien sûr elle s'aperçut immédiatement de sa présence. Il l'apostropha de sa voix rugueuse.

"Entre! Ma plaque est sur le guéridon de l'entrée si tu veux vérifier!"

Il attendit un instant.

"Ramène ton p'tit cul par là que je vois ta gueule d'ange."

Il tendit le bras et alluma une lampe toute proche.

"Toi et moi, va falloir qu'on devienne vraiment copains ce soir tu comprends?"

il détonnait dans cette pièce luxueuse. Vêtu de ses fringues de rue, de son vieux cuir et de sa sale gueule, il respirait le danger.


Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 1 lundi 06 septembre 2021, 22:01:13

Ryo s'attendait à n'importe quelle réaction mais celle de la voleuse le surprit. Enfoncé dans son fauteuil avec pour compagne la bouteille de sky, il n'en laissa rien paraitre et se permit une gorgée de plus. Il tenait l'alcool sans problème mais ça le rendait violent. le grand flic contint l'envie d'aller écraser la tête de la furie entre ses grosses paluches. Non pas par crainte du flingue mais parce que ce n'était pas son objectif. La fille fit étalage de ses performances. Okay elle les avait cracké pendant les filatures, elle se savait surveillée, elle savait qu'il était flic alors pourquoi était elle revenue au lieu de se barrer? Il l'avait écouté, il l'avait regardé sortir son flingue pour le braquer. Elle l'avait insulté copieusement. D'accord ma grande, lâche toi ... Dans l'ombre il distinguait la silhouette qui s'opposait à lui. Agréable, bien mieux gaulée sur la photo du vieux.

"T'as fini?"

Bref, clair, précis. Indice réel de l'humeur de Ryo à ce moment. Le tour de chauffe, ça va, après faut pas trop pousser.

"Je te regarde, je vois 25 ans fermes incompressibles pour vols aggravés en réunion. Je vois une jolie nénette qui sortira fripée, usée et dépouillée de la moindre parcelle de vie. Je vois une grande gueule qui se fera violer une fois par semaine par les autres détenues. Je vois une voleuse talentueuse qui a merdé en ne regardant pas suffisamment bien derrière elle."

Généralement, parler de privation de liberté était plus efficace que menacer physiquement les éléments du milieu criminel. Ils l'aimaient leur liberté tout ces salopards.

"J'ai pas besoin de bluffer, je suis venu seul. Tu t’ai faite baiser par quelqu'un qui t'en veux. On t'a balancé. Moi je ramasse juste la merde pour en tirer quelque chose de potable. Baisse ton putain de flingue."

Ryo la laissa mariner un moment qu'elle puisse assimiler ce qu'il venait de dire. il était logique qu'il ne soit pas tomber sur elle par hasard. Elle se boufferait la tête à essayer de deviner qui l'avait lâchée. Bon, bien sûr, elle pourrait péter un plomb et le buter séance tenante mais elle était loin d'être conne.

"Approche toi que je te vois ! J'aime bien ton appart. C'est cosy hein? T'es sûre que t'es pas bien ici? T'as même ton ...nounours là. Lui, il l'aime bien cet appart. Bon une cellule de taule 'est plus petit mais je crois que tu peux avoir la télé si t'es sage avec les mâtons."

Il but encore une longue gorgée. Ça donnait soif de parler. Il désigna le vase qu'il avait identifié.

"T'as volé ce truc y'a 7 mois. Il vaut bien 40000 dollars. Le proprio serait heureux de le récupérer. me dit pas que tu l'as racheté hein, t'apparais dans aucuns fichiers sociaux ou d'état. Tu vis comment ... Jessie ? t'as des revenus pour t'offrir tout ça. On a passé ta gueule d'amour un peu partout mais tu n'es nulle part. Ou plutôt tu pourrais n'être nulle part car le dossier que j'ai sur mon bureau suffit à t'enterrer. il n'appartient qu'à moi de le garder sous le coude, tout du moins à partir de demain. Si je disparais ce soir, tu es morte. Ils liront mes notes. Ils t'auront pas tout de suite mais t'as pas les épaules pour être l'ennemie n°1 de la police, tu craqueras. En attendant, je suis sûr que tu es une gentille fille, que t'as prit le temps de réfléchir, que t'as envie de me tailler une pipe et que tu sais reconnaitre quand tu patauges dans la merde?"

Etait-elle déstabilisée? il n'en savait rien.

"Je t'invite à me donner une raison qui pourrait faire que je ne te coffre pas?"

Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 2 mardi 07 septembre 2021, 17:07:56

Il devenait inutile de parler avec elle. Elle avait réponse à tout, se braquait et l'envoyait chier. Ryo était emmerder, il avait vraiment pensé qu'elle cèderait à un moment ou à un autre mais apparemment ça n'arriverait pas. Et si elle continuait à agiter son flingue, elle allait faire une connerie. Et puis par ailleurs, elle commençait à le gaver, d'habitude c'est lui qui insultait au lieu d'être le réceptacle de tout son venin. Lui aussi était armé. Son Glock était glissé dans un holster fixé à sa ceinture. Au pire, il la butait et ça s'arrêtait là. mais ce n'était pas ce qu'il voulait, elle prendrait une sacrée correction plus tard. Le flic observait la pièce nonchalamment tandis qu'elle l'haranguait. Il remarqua que deux choses merdaient dans cette pièce confortable. La fille qui jurait comme une charretière et la peluche moisie sur la commode. Sûrement un souvenir de son passé. S'il était à l'image de son vieux et de ce jouet, elle avait dut morflé gamine. Un point faible? Il n'avait plus que ça à tester ...

"J'vais m'allumer une clope. T'inquiète ... j'ai du feu."

Il sortit de sa poche une tige qu'il alluma avec son propre zippo qu'il trainait depuis des années. Il l'avait acheté en école de police et l'écusson gravé aux armes de Seikusu avait presque disparu. Il se pencha pour exhaler la fumée vers la fille.

"Y'a pas moyen ... Tu connaitr...."

Il l'endormait. Il jaillit du fauteuil, propulsé par ses muscles puissants. D'un coup sec, il dévia la main armée de Jessie et qu'il écarta d'un coup d'épaule violent. 110 kg contre ... la moitié? Il se rua vers l'étagère d'où l'observait la peluche ridicule et il se retourna face à la fille après l'avoir saisi. Tout alla très vite, qu'importe ce que faisait la fille, il vida sur le jouet le reste du contenu de la bouteille de whisky, claqua le briquet d'où une flamme vive jaillit et le tint à courte distance de l'ours imbibé d'alcool.

"MAINTENANT TU FERMES TA PUTAIN DE GUEULE! TU JARTES TON FLINGUE DE MERDE! TU RESTES BIEN SAGE ET TU FAIS PAS CHIER OU JE CRAME CETTE MERDE, TA BARAQUE ET TON CORPS AVEC!"

Il faisait gaffe de ne pas trop approcher la flamme quand même. L'alcool, c'est volatile et il aurait été con de s'immoler.

"Voilà le deal: un mot de travers qui me déplait, tu perds c'te saloperie miteuse. Tu me regardes méchamment, même chose. Tu tentes une connerie, même chose. On a plus rien à se dire, t'as grillé tes cartouches, fallait être moins conne."


Il se sentait ridicule à la menacer avec un 'nounours' mais l'effet escompté était là.

"Attend je rêve, t'es vénère? J'ai pas bien vu où tu me mates méchamment?"

Il prit le risque de rapprocher ses mains et sourit de satisfaction.

"Voilà ce qu'on va faire. Demain, tu te pointes au commissariat de la Toussaint. Tu demanderas à me voir à l'accueil et un agent t'amènera à mon bureau. Tu te seras sapée comme une pute, t'as raison, j'aime les putes, et tu prépares un joli petit discours pour t'excuser de ta mauvaise conduite. Réfléchis un peu, je suis sûr que tu trouveras même un petit extra pour m'adoucir."

Il reculait vers l'entrée.

"Tu seras là à 10h00. Si c'est pas l'cas, ce truc finira au broyeur. Et ... pas la peine de te cacher un flingue, une lame ou n'importe quoi dans le vagin, tu seras fouillée à l'entrée. Pas de bijoux non plus et oublie ton téléphone. Avec moi, pas de trucs de ninjas ou de gadgets à deux balles genre lentilles de Wonderwoman. On se comprend bien j'espère?"

Il ouvrit la porte et toujours en la fixant s'effaça pour quitter son domicile. Bordel! A l'extérieur il pulvérisa une boite aux lettres d'un coup de poing, fou de rage. Il mourrait d'envie de remonter la cribler de balles maintenant qu'il n'était plus dans sa mire. Cette salope aurait put le descendre! Il grogna et rejoint sa caisse, deux rues plus loin, avec comme nouveau compagnon, un jouet pourri. Le flic rentra chez lui et casa l'ours dans un coin. Il lui faudrait trouver un autre endroit pour le planquer. Pour l'instant, il se servit un verre et contempla les toits de la ville à travers la baie vitrée de son loft ...



Le lendemain matin, 09h30.

La peluche était bien cachée, fallait juste qu'il oublie pas où il l'avait mise le matin même. Ryo attendait à son bureau, une pièce sans âme comme seul un bureau de flic à la Toussaint peut l'être. Il attendait dans son fauteuil râpé. Sur son bureau, un seul dossier, celui de Jessie avec sa trogne en première feuille. C'était une copie, l'original était ailleurs. Le dossier était conséquent: photos, rapports de filature, adresse, recherches. Le flic fumait et faisait tomber les cendres au sol. Pas de cendrier. Ryo avait baissé rabattu les stores qui empêchait ses collègues de voir ce qui se passait dans la pièce.

Elle avait 30 minutes pour arriver. Les agents d'accueil aux contrôles de l'entrée attendaient une Jessie pour l'inspecteur Nagata.


Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 3 mercredi 08 septembre 2021, 21:21:47

"Fais comme chez toi, j'te le vaux bien. Tu permets que je mate hein?"

Ryo se lève contourne son bureau et dévisage la belle. Putain, qu'elle a du chien. Bonne à baiser pour sûr. Il hoche la tête, approuvant la tenue de salope et plus encore l'attitude de la fille. Elle ne lâche rien, trop fière pour s'avouer vaincue. Néanmoins elle est à l'heure, saper comme une pute, la bouteille qu'elle sort doit valoir un salaire de flic. Il la range dans un tiroir du meuble sur lequel elle a étiré ses longues jambes. Le flic se rassoit en faisant grincé son fauteuil. Dans un sens, elle a obéi.

"Je me doute de ce que tu penses de moi et je m'en branle. Mais vois-tu je te reconnais une qualité, la détermination. Hier soir quand je suis parti, je me disais que tu ne valais pas la peine, j'en connais d'autres des petites frappes.  Mais j'ai pensé à un truc. La personne qui t'a balancé m'a dit que tu étais une voleuse hors-pair. Je demande qu'à voir tu comprends?"

Il s'interrompit et s'alluma une clope jetant le paquet devant elle. Il tenait son  zippo devant lui, à hauteur de visage, le même que la veille au soir, il sourit, elle le reconnaitrait sans aucuns doutes. Il souffla la fumée. La clope et l'alcool, c'était sa dope.

"T'inquiète, il va bien!"

Ils savaient tous deux de quoi il parlait. L'esprit humain était étrange. Il avait devant lui une surdouée du cambriolage, prête à tout pour survivre et il la tenait avec une peluche qui n'avait aucune valeur.

Il rit pour lui-même.

"En fait, j'ai failli remonter t'en loger deux dans le crâne mais je me suis retenu. Enfin bref, voilà pour quoi tu es là ...."

Il farfouilla dans un tiroir du bureau et en tira un dossier récent. Le nom écrit au marqueur sur la couverture indiquait la teneur des documents. Naruhito. Incontournable. L'empereur Naruhito dirigeait le japon depuis quelques années. Alors ce dossier ne le concernait pas mais plutôt un cousin déviant qui avait fait fortune dans les magouilles et autres coups tordus. Ce Naruhito là possédait de nombreux fonds et son siège se trouvait à Seikusu. On l'appelait la Tour du Maudit car il jetait l'opprobre sur la famille impériale. L'édifice se situait dans le quartier des affaires, une tour comme une autre mais surprotégée disait-on.

"Tu connais ce nom j'imagine? Un yakuza de mes amis et pas vraiment copain avec Naruhito m'a proposé un truc récemment. C'est tordu je te rassure. Naruhito possède une véritable fortune mais ce qui nous intéresse est très petit. Il a acquis il ya trois mois L'Etoile de l'Inde pour l'offrir à sa femme. C'est un saphir étoilé de 563 carats ... qui coute seul 410000 dollars. Ca reste hypothétique, ca c'est le prix de la pierre toute simple. Ca véritable valeur est inestimable puisqu'il n'y en a qu'un. 2 millions! c'est le prix qu'offre mon pote pour le voler. 1 million pour toi et un million pour moi. Je te fais entrer comme stagiaire à la tour du maudit, l'appartement de Naruhito est au dernier étage, il y vit avec sa femme et ses quatre gosses. Une fois dedans, tu fais comme tu veux. Tu voles la pierre, tu me la ramènes, on partage le fric, tu récupères ta peluche et je t'oublie."

Ryo claque dans ses mains.

"Tu vois, simple comme bonjour et en plus tu repartirais avec ton dossier! T'en penses quoi? A moins que la barre soit trop haute bien sûr. C'est pas donné à tout le monde de réussir ce genre de coups. Si tu refuses, je comprends."

Il n'ajouta pas que si elle refusait, elle partait en taule de suite. Il avait au préalable appelé le procureur au tribunal pour lui dire qu'il avait peut être ferrer un bon poisson. A entendre les détails, le type s'était réjouit et avait certifié qu'il y avait assez pour de longues années de prison. Je vous tiens au courant avait dit Ryo.

"Maintenant, si tu merdes ... parce que je t'ai toujours pas vu à l'œuvre, je sais pas moi, imagine que tu foires. Si tu as les couilles de revenir dans ce bureau, sapée comme tu l'es maintenant, parce que tu veux revoir ta bestiole. je te baiserai. Je te niquerai comme t'as jamais été niquée."

Il sortit un tube de vaseline d'un autre tiroir.

"Il en faudra beaucoup j'te garantis et après t'avoir baisé, tu seras bien gentille et tu bosseras pour moi, jusqu'à ce que je décide de te foutre la paix ....."

Il laissa le reste de la phrase en suspens.


Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 4 jeudi 09 septembre 2021, 12:22:20

La professionnelle venait de faire son apparition. La chieuse faisait marche arrière, laissant la place à celle qui allait prendre des risques. Elle ne dit pas non, ne refuse pas l'offre, examine les documents. Elle se donne le temps de réfléchir, allumeuse comme pas deux. T'inquiète ma grande, elle viendra ta dérouillée.

"Comment je peux être sûre que tu vas tenir parole ? Je sens bien que je vais revenir avec le saphir et tu vas quand même m’envoyer en tôle, brûler ma peluche, me baiser et détruire ma vie… Je veux Meowth avant de faire ta mission, au moins ! Ensuite, j’y vais. Tu me fais rentrer et je vais chercher ta merde."

Elle vient s'appuyer sur le bureau de Ryo, exposant ses atouts mammaires. Ouais, eux aussi ils vont morfler. Elle a beau donner sa parole, le flic ne négociera pas.

"J't'adore tu sais. Mais si je relâche ma garde, tu me poignarderas dans le dos. T'en rêves. Ton Meowth, je vais le garder et on va faire comme j'ai dit. C'est plus facile dans ma position que dans la tienne c'est vrai mais je suis flic donc je suis réglo hein?"

Il abandonne son ton badin pour reprendre le visage fermé.

"Tant que tu me chies pas dans les bottes, ton jouet ne risque rien."

Il se leva, annonçant qu'ils en avaient fini pour aujourd'hui. Evidemment Jessie coinçait mais c'était le dernier de ses problèmes. Ils échangèrent leurs numéros.

"Tu peux t'barrer. J'te ferai livrer le matos à l'adresse que tu m'enverras. La prochaine fois qu'on se verra, ce sera ici, oublie pas ... où tu gagnes ta liberté, où faudra que tu sois salement sexy et prête à douiller."




La liste était arrivée peu de temps après. Ryo la parcourut se demandant à quoi servait tout ces trucs dont il ignorait même l'utilité. il passa un coup de fil à Daisuke, un receleur discret qui pouvait négocier tout et n'importe quoi. Le rendez-vous était fixé pour le lendemain alors le flic rentra chez lui. Le trajet lui prit plus longtemps que d'habitude. Il fit des tours et détours au cas où Jessie déciderait de le suivre. Après avoir garer sa caisse dans son garage souterrain, il sortit dans la rue. Autant son loft était bien foutu, autant dehors c'était dégueulasse. Les mêmes camés trainaient près des poubelles, mendiant et faisant chier les passants. ces déchets craignaient Ryo qui en avait déjà pulvérisé deux ou trois mais ils étaient utiles. Ils avaient leurs réseaux et connaissaient du monde. Ryo leur lâcha un bifton. En échange, il leur donna la description de la fille. S'ils la voyaient trainer dans le coin, il fallait l'avertir.

Enfin chez lui, il s'enfonça dans son sofa, un verre de sky à la main. Fallait qu'il fasse gaffe, elle était susceptible et imprévisible. Quelques coups de fils à des gens bien placés lui permirent d'enregistrer Jessie comme stagiaire comptable chez Naruhito Corp. Impossible de remonter le fil de sa candidature tant la manip était compliquée. l'essentiel était qu'elle soit attendue là-bas la semaine prochaine. Il passa le reste de la soirée à fantasmer sur le cul de la voleuse ...

Le lendemain lui réserva une mauvaise surprise. Putain, la facture du matos! il allait devoir taper dans sa poche pour tout ça. Petite merde!! Tu me le rembourseras. Amputé d'un  paquet de fric, il donna à Daisuke l'adresse de livraison avant d'envoyer à Jessie les dernières infos la concernant et l'informer de l'arriver de plusieurs colis là où elle le voulait.

Il ne restait plus qu'à attendre, et se méfier de tout.


Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 5 jeudi 16 juin 2022, 10:32:33

Y'a des jours comme ça où il faudrait même pas penser à se lever, le genre de journée de merde qui vous font regretter d'être venu au monde et où tout vous explose à la gueule.

Ryo était installé peinard à son bureau quand son téléphone fixe sonna. la voix paniquée d'un des agents d'accueil piailla et il écarta l'écouteur de son oreille.

"Ca va ... Je la connais, je l'attendais, laissez là."

Il raccrochait à peine que la porte du bureau fut balayée par une tornade. Et quelle tornade. La tarée était de retour, remontée comme une pendule et lui déroula son cinéma jusqu'à l'apothéose finale.

Putain de tarée ...

Ryo resta impassible tandis que les têtes roulaient sur son bureau. Elle venait de foutre un joyeux bordel à Seikusu et les rues ne tarderaient pas à saigner. Le flic en avait vu des saloperies, y avait participé aussi. En terme de cruauté, il se débrouillait plutôt bien. Mais de là à buter des gosses gratuitement, c'était moyen ... Et pas n'importe lesquels non plus. Naruhito allait retourner la terre entière pour retrouver le ou les coupables et il ne s'arrêterait jamais.

"T'as fini ton sketch? Assieds toi!"

Le rapport de force entre eux deux était permanent. Ils se haïssaient cordialement et il ne faudrait pas grand chose pour que ça dégénère ne une seconde. Lui, la tenait avec sa putain de peluche ridicule et elle ... ben elle pouvait le plomber à n'importe quel moment, tout simplement.

"Ca a rien à voir avec notre idylle mais je dois pas être beaucoup plus âgé que toi mémère, alors évite de trop m'appeler papy parce que ça craint vraiment. Tu me blesses là."

Lui aussi s'alluma une clope et prit le temps de réfléchir.

"Tu viens de foutre un bordel dont t'as surement pas idée. Ils t'avaient fait quoi les gosses? Ils t'ont montré leur kiki et ça t'a énervé?"

L'homme fit un geste pour fermer les paupières des morts. Elles résistèrent un peu, déjà prises par la rigidité cadavérique.

"Et sinon, les choses propres, tu sais faire? je suis un peu déçu, je m'attendais à quelque chose de pus impressionnant. J'étais sincèrement prêt à te rendre ton ... mooweth?"


Ryo se leva et remit les têtes dans le sac qu'elle lui avait balancé. Il se contenait. Il avait une envie folle de lui briser les os et de la faire hurler de douleur.

"Mais t'as merdé pomponette ... Donc tu vas attendre et ... Ferme ta gueule! T'es à deux doigts de perdre ta putain de bestiole alors fais pas chier! Suis moi!"

Il se lève en montrant la porte. Ce n'est qu'une diversion. L'instant d'après, ses menottes se referment sur le poignet de Jessie et il les crochète à l'anneau du bureau installé à cet effet. La seconde d'après, son gros poing s'écrase dans le foie de la fille. Pas d'honneur, rien à foutre! Il savait très bien que sans cette feinte, il ne l'aurait pas touché, elle était bien trop leste pour ça. Les coups au foie, ça fait mal, ça coupe la respiration et il faut un moment pour s'en remettre. Ryo en profite pour menotter l'autre poignet de Jessie dans les mêmes conditions. Les bras bien écartés et attachée au lourd meuble de bois, il faudrait une tronçonneuse pour l'en séparer. Parce qu'il est quand même correct, Ryo la laisse assise sur sa chaise. Il ne lui faut que quelques instants pour récupérer la pierre, et palper au passage les nibards de la folle ... prometteurs.

Il va ensuite à la porte et l'ouvre pour interpeller les policiers qui peuvent trainer par là.

"Qu'on me fasse pas chier! C'est une dure à cure, elle va gueuler un peu."

... avant de revenir face à elle.

"C'est pas que j'ai pas confiance en toi mais on va quand même voir un peu ce que tu nous rapportes hein?"

Il décroche son téléphone et passe un appel à un expert de sa connaissance ... le genre de mec discret qui fait ce qu'on lui demande et ne pose pas de questions après. L'homme est disponible et sera là d'ici une trentaine de minutes.

« Modifié: samedi 01 octobre 2022, 18:22:36 par Ryo »

Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 6 jeudi 06 octobre 2022, 18:43:10

Jessie était en éruption et commençait à taper sur le système nerveux de Ryo. Putain mais qu'elle la ferme qu'il puisse réfléchir un peu. La voleuse avait foutu un bordel monstre, tellement monstre que tout ce qui avait un flingue dans cette ville allait rechercher les meurtriers des gamins. Naruhito allait retourner Seikusu pour la retrouver et donc lui, par association, allait se retrouver dans le même merdier. En la faisant embaucher comme stagiaire en comptabilité, il s'était mouillé. Alors oui, il n'avait pas utiliser sa véritable identité mais si quelque part, quelqu'un cherchait à gratter vraiment fort pour remonter jusqu'au point d'origine, là, ça puerait vraiment la merde.

Que Jessie bute les gosses était le grain de sable dans la machine bien huilée qu'il mettait en place. Il n'avait pas surestimée la tornade qui braillait dans son bureau, seulement, elle avait complètement vrillé. A ce stade du bordel, peu de solutions s'offraient à eux. Où ils disparaissaient de la société et ils étaient condamnés à jouer au chat et à la souris contre un ennemi beaucoup plus puissant qu'eux. Ou ils réagissaient comme chacun savait bien le faire, avec toute la violence et la brutalité qu'ils étaient capables de délivrer. Mais pour cela, il fallait se préparer. Ryo n'avait pas besoin de justifier ses absences auprès de ses supérieurs. Il bossait toujours en solo dans le milieu underground de la ville et ses résultats le laissaient libre de continuer ainsi.

Il sortit une clope alors qu'il n'avait pas terminé celle qu'il mâchouillait, s'aperçut de son erreur et grommela. Ils allaient entrer en guerre contre un homme super-puissant donc il allait falloir qu'ils s'équipent en super-matériel. Son choix était fait et ils n'avaient plus de temps à perdre.

"Je vais te virer ces menottes. T'as beau être forte pour buter des gosses, déconnes pas avec moi. Tu pourrais m'cogner mais moi, je t'écraserais. Et arrête d'me regarder avec ton air de vipère, tu vas t'brûler les yeux."

Il y avait un courant électrique entre eux équivalent à de la très haute tension. Au moindre court-circuit, ça dégénèrerait.

"J'connais un coin où on va s'poser peinards pour réfléchir à c'qu'on va faire. A part buter ce fils de pute, je vois pas c'qui pourrait aller. J'y ai des flingues, à bouffer, à boire, et des capotes. On devrait tenir..."

Il fit disparaitre les traces et jus de son bureau, enferma les dossiers les moins importants dans son armoire forte et enfourna les plus chauds dans son sac.

"Viens!"

Il referma la porte de son bureau derrière lui et le verrouilla.

"Essaye de pas fumer un flic..."

Dans le bordel ambiant du commissariat, ils sortirent discrètement et rejoignirent le parking où il garait sa mustang. Ils s'y installèrent et le gros V8 gronda.

"Si tu veux m'sucer, te gêne pas."

Ils roulèrent un bon moment et quittèrent le quartier de la Toussaint pour s'engager sur une rocade rapide. Vingt minutes après, ils arrivaient dans une zone d'entrepôt dense en bâtiments. C'était un véritable labyrinthe et ils y serpentèrent jusqu'à un petit hangar en tôle fermé par une porte coulissante en métal cadenassée. Le flic alla l'ouvrir, y fit entrer sa caisse et referma derrière eux. L'endroit était poussiéreux mais dans deux petites pièces au fond, il y avait tout ce qu'il fallait pour vivre en état de siège. Planquée sous un amas de merdes rouillées, une trappe menait à un sous-sol où il gardait un véritable arsenal, principalement du matériel volé ou illégal saisi sur des opérations policières.

"Voilà ton nouveau palais princesse. Les chiottes, c'est au fond là-bas. La douche est là."

Il lui montra un tuyau d'arrosage relié à un robinet au dessus d'une grille d'évacuation.

"Et si tu veux dormir sur quelque chose de mou, ce sera dans mon pieu, avec moi."

Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 7 lundi 20 février 2023, 18:08:15

" T’es pas différente de moi, même merde. Tu tchatches pour rien dire et t’as envie de t’faire sauter. "

Les néons blafards du petit entrepôt diffusaient une lumière crue pas forcement agréable. Certains étaient grillés et grésillaient, produisant un bruit irritant. C’était loin d’être le luxe ici mais il y avait l’essentiel pour se poser. Ryo s’alluma une clope et s’appuya contre une vieille console à outils en regardant Jessie faire son show. La salope était une allumeuse de première et elle n’avait pas arrêté de le palper, allant même jusqu’à lui toucher la queue. Bah, elle pouvait serrer, la douleur était un plaisir que Ryo kiffait aussi. On avait là deux beaux tarés qui se valaient bien.

Et bien entendu, il la matait avec une furieuse envie de la démonter là, sans attendre, à même le sol poussiéreux de l’endroit. La voleuse avait un corps de malade, des gros nibards, un bon cul, une gueule de pute et le langage qui allait avec. On ne pouvait mieux faire pour exciter un malade mental comme Ryo Nagata.

"Ta gueule ! M’en branle ! T’es déjà trop vieille pour moi."

Surement pas mais fallait vraiment qu’elle la ferme. Putain qu’elle était bonne. Il devait se la faire, là, maintenant. Ils baiseraient comme des porcs et se feraient mal à en crever … le pied !

Jessie se lavait à l’eau glacée, arrogante comme une impératrice et bien évidemment, quand elle eut terminé, il lui indiqua une des deux petites pièces du fond pour se sécher et se changer, tant soit peu qu’elle ait quelque chose de correct à se mettre. Elle disparut dans le local où un vieux lit grinçant occupait presque toute la place. Ryo l’y rejoignit, le regard fiévreux. Son énorme silhouette remplit l’encadrement de la porte. Elle le traitait de papy, elle allait voir.

"Hey ! Salope !"

La main fusa quand elle se retourna et la gifle l’envoya valser sur le lit. La seconde d’après, Ryo s’écrasait sur elle de tout son poids. Jessie était fraiche, propre et super canon. Couchée sur le ventre, elle n’était pas dans la meilleure des postures. Ryo lui enfonça la gueule dans un oreiller pour qu’elle ferme sa putain de gueule et parvint à retirer ses fringues sous les ruades et les coups. Il se pencha sur elle pour lui lécher la nuque et encaissa un coup de boule sur le haut du crâne qui leur fut douloureux à tous les deux.

"Putain mais arrête bordel ! Tu veux niquer oui ou merde ? Tu vois pas qu’t’en as besoin ?"

Il lui appuya encore plus la tête dans l’oreiller jusqu’à ce qu’il la sente un peu faiblir et la relâcha. Ce pervers bandait comme un enculé. Et en parlant de ça, il s’arrangea pour s’agenouiller eu dessus de ce cul divin et glisser sa queue dans la raie humide.

"Tu veux pas te faire enculer un peu ? T’as un cul fait pour ça. Allez, prend ton pied ! Après, on pourra vraiment tchatcher et arrêter les conneries."

Il cherchait à forer la rondelle exquise offerte à lui mais se foira et plongea dans la chatte de la voleuse. Un grand coup de rein le logea bien au fond même si ça rippa sur les bords.

"AH PUTAIN !"
« Modifié: vendredi 21 avril 2023, 17:15:12 par Ryo »

Ryo

Humain(e)

Re : La brute et la voleuse [PV. Jessie]

Réponse 8 lundi 24 avril 2023, 17:47:23

Ryo avait l’impression de baiser un sèche-linge tant Jessie remuait sous lui. Ses ruades destinées à le désarçonner ajoutaient à la sensation folle de son vagin bouillant. D’une certaine manière, c’était un peu elle aussi qui se le faisait, mais à l’envers. C’était violent et elle lui fendit une lèvre et faillit lui péter le blair. Cette fille était une brute … tout comme lui et dans un ultime élan de rage, parvint à le retourner en lui niquant un doigt.

"SALE PUTE !"

Il avait basculé au sol et s’apprêtait à se relever pour la détruire quand il faillit fourrer son nez dans sa chatte tandis qu’elle se dressait face à lui telle une magnifique salope. A cet instant, il était évident qu’ils se ressemblaient traits pour traits, aussi bien dans le physique survolté que dans l’esprit tordu.

"Quoi ? Tu veux m’niquer ?"

Ça, ça lui allait ! Ryo était tout disposé à la laisser un peu s’amuser d’autant plus qu’elle n’y allait pas par quatre chemins. Le petit excès de domination de Jessie n’avait rien de provocateur, elle aussi avait le droit de s’amuser et d’ailleurs le flic n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle s’empalait sur lui en s’assurant qu’il ne s’y oppose pas. Elle aurait pu lui fracturer la bite tant elle y alla fort et il toussa quand elle appuya sur sa glotte. Elle avait faim cette cochonne et son regard d’allumée reflétait bien ce dont elle avait envie. Vas-y, éclate toi Jessie ! La cowgirl s’activait et roulait des hanches, comprimant la queue du flic dans ses entrailles chaudes. Le gland de Ryo tapait dans les chairs molles, s’irritant et très vite, il atteint un niveau de désir insoutenable. La chienne l’allumait, superbe salope, et il lui prit ses gros nibards à pleine main pour les malaxer. Ils étaient lourds et ballotaient au rythme de la danseuse du sexe. Jessie le dominait toujours, ou en tout cas, paraissait le faire. Le chien fou qu’il était acceptait cela, c’était bien de temps en temps de rencontrer son alter ego sexuel.

Mais pour lui, il fallait que ce soit … plus fort. Elle voulait le chevaucher et il n’allait pas lui enlever ce plaisir. Il la prit par les hanches et en suivant ses mouvements brusques, il la fit monter et surtout, redescendre durement sur sa queue. Leurs corps se heurtaient et il enroula son épaisse crinière autour de son poignet pour lui aussi, lui imposer une forme de contrainte.

"Baise moi salope, déchaine-toi !"

Leur coït tournait à l’accouplement bestial, primaire. La langue de Jessie était comme une anguille électrique courant sur sa peau. Cette putain de bouche, il allait la défoncer ! Mais elle était forte et c’était appréciable. Elle le tenait entre ses cuisses et il apparaissait clairement qu’elle allait jouir comme ça. Cette petite victoire, il pouvait bien lui laisser mais quand elle le serra en elle à lui arracher la queue, il se redressa comme un ressort et leurs visages se percutèrent. Un liquide chaud coula le long de la joue de Ryo, son arcade sourcilière droite avait cédé et une rigole de sang en coulait. La trogne de Jessie, il ne la voyait pas, sa masse d’épais cheveux en bataille noyant sa beauté. Ils grognaient comme des bêtes, baisaient comme des animaux et il attendit qu’elle jouisse pour marteler encore plus durement ce corps de déesse.

Lui n’était pas encore prêt à gicler. Enfin … si, mais il se retenait et avait les capacités de le faire. D’elle, il voulait tout pulvériser, tout recouvrir et tout remplir et ils avaient le temps.

"Bordel que t’es bonne ! J’veux t’faire le cul, que tu gueules à t’péter les cordes vocales !"

Sur lui, elle était trempée et il avait l’impression de pénétrer une gamelle de soupe brulante. Il prit les grosses loches par les côtés et les pressa pour y fourrer sa gueule. Là, il y cracha, maculant la peau de salive et les frotta entre elles. Elles aussi il les niquerait bien, d’ailleurs, ça ne risquait pas de tarder…



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