Identité : Madame Aoi
Age : 33 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine
Sexualité : Allez savoir.
Physique :
Madame Aoi est une belle femme, à 33 ans elle n’est plus dans la fleur de l’âge mais elle n’est pas non plus une vieille croûte ! Elle entretient son corps en faisant du sport chez elle, une séance tous les matins devant la fenêtre de sa chambre… Cela lui permet d’avoir encore un corps bien ferme, un ventre plat et des fesses galbées. Propre sur elle, Madame Aoi attache une grande importance à son physique utilisant du maquillage pour mettre son visage en valeur, allant régulièrement chez le coiffeur pour prendre soin de ses cheveux. Elle aime faire des couleurs, dans les tons pastel, faire quelques boucles pour donner du volume. Madame Aoi possède aussi une grande collection de parfums, une étagère remplie, prenant le temps d’associer son humeur du jour à une odeur particulière. Faisant parfois quelques mélanges surprenants. Niveau vestimentaire cela suit le reste, une garde-robe fournie avec des tenues sexy, mais pas trop pour ne pas tout dévoiler aux premiers coups d'oeil.
Caractère :
Madame Aoi est une femme un peu spéciale, on peut facilement remarquer qu’elle est très ouverte et pourtant c’est tout le contraire. Enfin… C’est bizarre. Elle aime séduire sans jamais aller au bout des choses, un petit morceau de tétons par-ci, une jupe qui se lève par-là, s'allonger un peu trop sur la table de ses étudiants pour ouvrir son décolleté. Elle ne manque pas d’ingéniosité pour émoustiller le plus possible son entourage. Madame Aoi adore faire l'innocente quand on lui fait remarquer, jouant la niaiserie. Mais au fond, elle sait très bien ce qui se passe… Une sorte d'exhibitionnisme où elle aime garder le contrôle et voir les réactions des autres. Malgré son côté un peu étrange pour certains, Madame Aoi est une très bonne enseignante c’est pour ça qu’elle est toujours là ! Gardant facilement sa place de choix dans un grand établissement, elle partage sa passion pour diverses matières.
Histoire :
L’histoire de Madame Aoi est très basique, vivement dans une famille avec des revenus confortables elle n’eut pas de problème pour passer une vie sans manquer de rien. Elle commença sa vie dans une école privée et suivit le parcours scolaire normal, ses notes étaient dans la moyenne voir un peu basse. Ses parents, la reprise en main rapidement en lui payant un professeur particulier et des cours du soir, ce n’est pas rare qu’au Japon les étudiants se tuent à la tâche pour être les meilleurs. Sentant un lourd poids sur les épaules. En arrivant au lycée, Madame Aoi avait un très bon niveau, elle en profita pour relâcher un peu la pression et tourna son regard vers les garçons.
C’est à ce moment que son penchant se développa… Comment attirer l’attention des étudiants, à cette époque elle était relativement timide peinant à prendre la parole… Elle essayait quelques blagues sans grande satisfaction des autres. Donc, Madame Aoi décida de se dévoiler un peu… Remontant d’abord sa jupe au-dessus de ses genoux, puis au niveau des cuisses, ouvrant les premiers boutons de son uniforme. Cherchant des sous-vêtements sexy, ainsi de suite. Grâce à ses petits jeux de séduction, elle eut un premier copain… Sauf qu'elle ne put s’empêcher de continuer, voulant toujours plaire aux autres. Sa relation ne dura pas et celles qui allaient suivre non plus.
Elle comprit que les relations amoureuses n’étaient pas faites pour elle, préférant la séduction à une longue histoire. Madame Aoi prit de l’assurance passante des étudiants, à son professeur particulier, puis à ceux de son établissement, ensuite à des inconnus dans la rue, des konbinis… Elle adorait se montrer aussi coquine. Son penchant ne tâcha pas sa scolarité, continuant d’avoir des bonnes notes. Elle passa des concours pour devenir institutrice, voyant ce métier comme le Graal pour s’adonner à ses plaisirs personnels. Elle décrocha une place de choix dans un lycée populaire du centre-ville. Très vite elle remarqua que celui-ci était relativement libertin, il se passait beaucoup de choses louches à l’intérieur autant avec les étudiants que les professeurs. Madame Aoi, allait elle aussi ajouter son grain de sel dans le mécanisme pour se faire plaisir… Voilà, plusieurs années qu’elle a fait sa place, aguichant autant les hommes, que les femmes sans jamais donner suite à ses provocations. Telle une diva qu’on ne pouvait pas toucher.
Autre : Non
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