Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Dortoirs et douches

Une vente agressive ( Pv Axel )

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Ayame Usui:
La journée touche doucement à sa fin, le soleil et ses rayons descendant doucement au loin, laissant progressivement leur place à l'obscurité de la nuit ... obscurité qui n'était pas réellement présente dans la ville. La pollution lumineuse était, sans grande surprise, présente à plusieurs endroits, même si étant loin d'atteindre des niveaux absurdes, permettant à la tanuki d'ouvrir sa boutique en ville sans se faire trop remarquer.
Et c'était parfait, comme Ayame prévoyait d'ouvrir son échoppe ce soir, après avoir passé une journée bien remplie. Sa motivation n'était pas à son paroxysme, la jeune femme ayant quasiment passé sa journée sous le soleil à s'occuper des plantes et arbres aux alentours du lycée de Seikusu ... mais comme cela était l'une de ses activités préférées en général, l'une des rares qu'elle pourrait offrir sans la moindre compensation en retour, la tanuki disposait d'une énergie ... normale. Elle était tout de même loin de déborder d'énergie ...

L'instant même où la luminosité extérieur était au goût d'Ayame, la jeune femme ne perdait pas une seconde pour user de sa feuille pour faire apparaître sa boutique. Elle se doutait que son échoppe apparaîtrait quelque part à Seikusu ou dans ses environs, comme cela se passe la plupart du temps. Et cette pensée se révèle correcte lorsque la jeune femme constatait être de retour au lycée. Comme quoi, sa journée au lycée était loin d'être terminée.
L'échoppe de la tanuki apparaît littéralement de nulle part au détour de l'un des nombreux bâtiments du lycée, la jeune femme pouvant rapidement reconnaître les dortoirs. La boutique en elle-même était relativement simple, pouvant facilement ressembler à un stand que l'on trouverait dans n'importe quelle festival scolaire japonais. Le lycée de Seikusu n'en avait pas eu récemment, et en voir un pourrait rendre la présence soudaine de la tanuki suspecte ... ou répandre des rumeurs étranges. Après tout, Ayame est certaine avoir entendu certains élèves mentionné un stand de festival étrange apparaître les nuits sans lune, et du peu qu'elle avait pu entendre à ce sujet, cela ressemblait à une histoire classique de fantômes que des élèves s'échangent entre eux.
Le hasard voulait d'ailleurs que cette nuit serait une nuit sans lune, donc si plusieurs personnes se rendaient compte de la présence de son échoppe sans s'en approcher, ce qui éloignerait facilement les personnes peu ou pas intéressé par son échoppe, de peur de croiser un mauvais esprit ... ou bien la personne qui serait intéressé par son échoppe n'aurait pas entendu parler des histoires de fantôme.

D'ailleurs, parlant de personne qui serait intéressé par sa boutique, la tanuki n'avait pas remarqué la présente de quelqu'un en particulier lorsque son échoppe était apparu de nulle part, lui donnant l'impression qu'elle allait devoir attendre ... mais elle allait rapidement se voir prouver le contraire ...
Avec un bruit fort et soudain, quelqu'un percute l'échoppe d'Ayame. Visiblement, l'apparition soudaine de la tanuki et son magasin avait pris quelqu'un par surprise, et ce quelqu'un était probablement la personne qui allait l'intéresser. La jeune femme porte rapidement son attention dans la direction de l'accident, constatant plutôt rapidement l'arrivée soudaine de cet élève, qui percute le côté de sa boutique.
Ce "client" percute donc plutôt violemment le côté du stand, gardant suffisamment de son élan pour s'envoler et atterrir, ou plutôt s'écraser près d'Ayame. Cette vue arrachait un léger rire rapidement étouffé par la tanuki ...

Je te donne un 7/10 pour cette entrée, c'est rare que je vois des personne arrivées sur le côté, et derrière le comptoir ... mais je te donne seulement 2/10 pour la réception ... ça aurait pu être mieux ...

Ayame ne montrait pas d'intentions particulières pour aider l'élève à se relever, la tanuki observant depuis son comptoir le jeune homme roux, s'abaissant doucement pour taquiner du bout de son doigt griffu son "client", le touchant sur le front ...

Axel Trend:
Nouvelle journée dans ce nouveau lycée, qui promet déjà de me les briser. Pour l'instant, si je dois déjà commencer à faire un peu ma loi et surtout ma justice ici, je ne peux pas vraiment dire aimer spécialement cet endroit. Seulement, je trouve des compris à remettre à leurs places des mecs et des filles. Pour les uns, ça me défoule en leur mettant des coups ou en les humiliant si ils cherchent à me faire chier et pour les autres, je les punis comme elles le méritent. Mais ça justement, je vais en reparler un peu après. Enfin à part ça, je préfère surtout rester dans mon coin et ne pas me préoccuper du reste. Mais au moins, j'allais enfin pouvoir rencontrer ma mère ici.

En attendant, dès que la fin de la journée arrive enfin, je ne perds pas de temps pour faire rouler mon skate dès la sortie, quand il n'y a plus trop de foule. Je voulais juste déstresser un peu pour l'instant. J'ai donc pas pris la peine de me changer. Me dégourdir directement un peu. Sauf que je quand je me retrouve à tourner à peine deux angles plus loin autour du bahut, que je vois un stand qui est placé presque en plein milieu, caché par le coin de l'angle. Très surpris de voir un truc pareil ici, je n'ai pas le temps d'essayer d'esquiver proprement ce putain de truc, que je touche l'un des bords, avant de perdre l'équilibre et de me gameler par terre, comme un con... La glissade est plutôt violente, mais je ne me fais pas vraiment de soucis sur ma condition. En revanche c'est plus le choc avec la douleur et la contrariété de me retrouver par terre pour rien comme un con, qui m'énerve.

- Aie! Putain!...

Avec une douleur sur le coude et la jambe, je capte tout juste la présence de la vendeuse, qu'elle me dit un truc ahurissant tout en me foutant un doigt griffu sur le front. C'est une plaisanterie là?...

- Pardon?... Attends c'est moi où t'es juste en train de te foutre de ma gueule, espèce de connasse?...

Au lieu de s'excuser, voilà que je suis tombé en plus sur une timbrée qui se fout de ma gueule! Et pendant que je me relève avec certaines gênes, cette folle n'essaie même pas de s'excuser....

- Non mais tu es complètement malade ou quoi? Qu'est-ce qui te prends de foutre ton putain de stand, en plein milieu du chemin? Et en plus, juste au niveau de l'angle. Déjà que tu ne t'excuses même pas, tu te moques en plus de moi, la timbrée?...

Je donne ensuite un coup de pied dans son stand en bois de merde qui fait un gros bruit, avant de me retourner encore vers cette dingue, pour finir de lui mettre le reste.

- Hé! Tu vas rester là jusqu'à quand, à jouer les dangers publiques? Il se passe quoi si quelqu'un d'autre se ramasse encore, à cause de tes conneries? Casse-toi! Dégage vite de là, espèce de cinglée!

Encore très énervé, je regarde son étrange main griffue, que je trouve vraiment bizarre. C'était un costume qu'elle portait ou quoi?

Ayame Usui:
Ayame avait trouvé son client, cela n'ayant pas été difficile, loin de la même, ce dernier étant littéralement venu de lui-même ... avec une entrée en catastrophe, certes, mais ce jeune homme était venu sans qu'elle n'ait eu besoin de l'attirer.
Malgré tout, l'affaire de cette soirée ne serait pas simple pour autant, surtout avec l'attitude tout sauf professionnelle dont la tanuki a fait preuve, se moquant sans la moindre gêne de son client et de son entrée. Le fait qu'elle n'apportait pas la moindre aide pour se relever n'allait certainement pas aidé, tout comme le doigt griffu de la jeune femme qui ne fait que se presser contre son front.

Peut-être ? Je ne pouvais pas difficile manquer une telle occasion ...

La tanuki laisse un nouveau rire qu'elle étouffe rapidement s'échapper, ce dernier ne laissant qu'un vague sourire sur son visage alors qu'elle regardait son client se relever. La différence de taille entre eux se remarquait sans le moindre effort, et cela ne changeait pas des habitudes d'Ayame, à moins qu'elle ne tombe sur plus petit qu'elle.
De son côté, le client de la tanuki ne montrait pas la moindre gêne pour montrer son mécontentement concernant la situation, et tout cela sans réduire le volume de sa plainte ne serait-ce que pour quelques instants. Il ne montrait pas le moindre remord à frapper du pied son stand, ce dernier étant suffisamment fort pour faire trembler l'ensemble du stand, et si la tanuki restait stoïque face à la colère de cette personne pour son attitude et son stand ... mais s'en prendre à son stand en lui-même, voilà quelque chose qui ne lui plaisait pas !
Ayame laisse un soupir lourd s'échapper de ses lèvres avant de regarder droit dans les yeux cette personne qui venait de s'en prendre à son stand, et qui avait clairement besoin de se calmer ...

C'est bon ? T'as fini ? Ca ne sert à rien de crier et te donner en spectacle, je suis tout le public que tu auras ce soir. Mais si je dérange tant que ça, je peux m'en aller, ça prendra même pas une seconde ...

Loin d'être intimidée par la taille de ce jeune homme, Ayame s'avance avec détermination pour se tenir devant lui, levant son regard dans sa direction, posant une nouvelle fois son doigt griffu sur son client ... mais au vu de leur différence de taille, la tanuki ne peut que le déposer sur le torse de son client ...

Et tu penses vraiment que j'ai choisi où me poser ? Je sais bien que cet emplacement est loin d'être idéal, je connais bien l'endroit. Mais il faut croire que c'était l'emplacement idéal pour que ma boutique attire l'attention de quelqu'un. D'ailleurs, j'espère que tu n'as rien cassé avec ton coup de pied à l'instant, sinon c'est moi qui vais être en colère !

Heureusement pour Ayame, malgré le coup de pied plutôt violent, rien ne semblait avoir été endommagé dans ce qui était visible sur son stand, et à moins que ce jeune homme soit en cachette une personne à la force stupidement élevée, ce qui n'était pas visible ne devait pas être endommager.
Sans plus attendre, la tanuki passait en mode affaire, et était prête à tout pour réaliser une transaction avec cette personne. Et en prenant en compte la façon dont il était arrivé près d'elle ...

Sinon, rien de cassé au final ? Je peux toujours te proposer de quoi soulager la douleur de la chute. Tu ne sembles pas vraiment blessé à première vue, mais peut-être qu'une simple bouteille d'eau pourrait te convenir ? Ou bien tu aimerais avoir autre chose ? Tout ce que tu peux voir ici est à vendre, et n'hésite pas à demander pour quoique ce soit, j'ai encore plein de choses en réserve.

Les oreilles de la tanuki remue légèrement sur sa tête alors qu'elle regarde le jeune homme, se disant qu'elle ferait bien de préciser certaines choses ...

Bien entendu, je suis compris dans la vente. Au cas où c'est ce qui pourrait t'intéresser.

Axel Trend:
Soit elle est complètement barrée, soit je suis tombé sur vrai cas qui ne connait rien du danger que je peux vraiment être, quand on me cherche. Cette pue n'allait de toutes façons pas me faire peur et encore moins, avec son costume ridicule! Et la naine se tient juste devant moi, comme si elle n'a pas encore été assez convaincue, qu'elle devait juste se tailler d'ici en vitesse... Pendant qu'elle me repose encore son doigt griffu de merde sur moi, voilà qu'elle commence à me faire... la morale?... Et en plus de la ramener au lieu de se taire et baisser la tête devant moi, elle ose en plus se faire du soucis de savoir si j'aurais pu lui casser quelque chose, dans son tas de bric à brac de merde inutile... Ma parole, cette fille veut mourir ou quoi?...

- Je crois que je ne suis pas encore assez clair là! T'as deux minutes pour dégager d'ici ou je te jure que ça va vraiment mal tourner pour toi, ma vieille! C'est bon, tu as bien compris le message cette fois-ci?

Comme je ne voulais pas me faire remarquer en pleine rue, malgré que l'endroit avait l'air d'être assez calme, je lui donne encore une dernière chance de s'en aller aussi loin que possible d'ici. Mais au lieu de comprendre ce que n'importe quel con aurait déjà capté depuis longtemps, cette conne qui s'enfonce encore plus, va réussir à me surprendre en me proposant de se vendre, parmi le reste de son charabia de conne...

- De quoi tu parles encore là, espèce de tordue?... Attends... C'est moi ou tu viens de sous-entendre à l'instant qu'on pourrait t'acheter, comme on paye une pute, là?...

Cette information, aussi inattendue que son échoppe apparue en plein milieu des couilles, n'est vraiment pas tombé à côté de mes oreilles... En fait, elle me donne juste l'idée de faire ce que j'aurais dus tout simplement faire, avant même qu'elle ouvre sa grande bouche pour me sortir tout son baratin de merde...

- Ok... Alors comme ça, tu sous-entends que tu aimes jouer aux prostituées? Et bien écoute c'est super pour toi, parce que tu seras surement contente d'apprendre que tu vas pouvoir me servir à ça et donc avoir la chance de t'excuser enfin comme il faut. Et quand je dis de t'excuser, ça veut dire que je te baise gratuitement. T'es responsable du bordel qui s'est passé, donc maintenant tu assumes. De toutes façons, je vais te laisser le choix entre deux options, puisqu'on en arrive là. Soit tu acceptes de me servir gratuitement de bon sac à foutre à remplir pour te faire pardonner et après, peut-être qu'on sera quittes. Soit je démolis ton stand à la con, pièce par pièce. La troisième possibilité, serait que je fasse ma méthode, quand je tombe sur des idiotes de ton genre. Je les punis comme elles le méritent en les prenant et en les baisant, sans même leur demander leur avis. Alors?...

Pendant que j'ai de plus en plus envie de choisir la troisième option, voir des personnes passer par ici, me fait changer d'avis. Ici j'étais visible et directement dans la rue. Pas au lycée. Et je ne voulais surtout pas me faire remarquer maintenant...

- Ok. Option numéro une ou deux, à on choix en fait. Choisis vite ma vieille, ou ce le scénario numéro deux que je vais écrire moi-même à l'encre indélébile pour toi, dans quelques instants...

Ayame Usui:
Ayame ne faisait preuve de pratiquement aucune gêne en commençant à mettre en avant son échoppe, malgré que le client qu'elle avait choppé n'était pas le plus simple auquel elle aurait pu affaire. La tanuki ne fait pas preuve d'une quelconque gêne supplémentaire lorsqu'elle mentionnait que sa propre personne était disponible à l'achat, tout ce qui se trouvait dans son échoppe étant à vendre après tout.
Et pendant ce temps, son client n'était pas vraiment des plus heureux, ce qui était compréhensible d'une certaine façon, Ayame n'ayant pas montré le plus grand respect à ce dernier, surtout avec l'entrée fracassante dont il avait fait preuve ... et le fait qu'elle s'inquiétait plus pour ses marchandises que lui ne devait pas avoir aidé non plus.
Mais Ayame ne portait pas vraiment d'attention au mécontentement de son client, surtout si ce dernier lui demande de s'en aller sans réaliser la moindre transaction, chose qu'elle détesterait faire. Elle resterait ici jusqu'à ce qu'elle ait au moins fait une vente, même une seule.

Au milieu de toutes les complaintes que faisait son client, ce dernier finissait par réaliser le sous entendu pas si discret que la tanuki avait fait à propos de sa propre personne, comme quoi elle faisait elle-même partie des marchandise qui était en vente.
Le fait que son client réalisait cela faisait sourire Ayame, qui avait un sourire présent sur son visage depuis qu'elle avait commencé à parler. Ce n'était pas nécessairement un sourire honnête, mais cela restait un sourire malgré tout ... et c'est tout ce qu'elle pouvait faire pour le moment, son client ne lui permettant pas de dire quoique ce soit de plus actuellement.

Le client d'Ayame semblait particulièrement intéressé par Ayame, bien plus que les marchandises qu'elle pourrait bien vendre, même si il n'avait pas vraiment d'idées de ce que l'échoppe de la tanuki pouvait bien regorger ... mais si il semblait intéressé par sa personne, le client de la tanuki n'était pas le plus coopératif pour autant, n'ayant pas l'envie de payer pour elle, comme quoi elle lui devait des excuses.
Ayame faisait rouler ses yeux, ne cachant pas l'agacement qu'elle ressentait pour toute cette affaire, ne sentant pas vraiment le besoin de s'excuser pour quoique ce soit ... mais cette sensation s'évaporait comme si de rien n'était lorsque son client menace de démolir son "stand à la con", comme il le disait si bien, la tanuki ne pouvant s'empêcher de laisser un rire éclater. Il fallu quelques instants à Ayame pour calmer ce rire soudain, cela n'ayant pas duré trop longtemps ...

Démolir mon stand ? Bonne chance pour ça. Ce serait plus simple de faire exploser la Terre, et ce stand serait toujours en un morceau !

Le rire de la tanuki étant encore partiellement présent, et ce rire était le plus honnête qu'elle aurait pu faire, Ayame ne reprenant pas sa façade de marchande aussi rapidement qu'elle aurait pu le souhaiter.
Mais malgré le fait que la façade de la tanuki soit tombée, elle ne sentait absolument pas intimidée par son client, et ce malgré la différence de taille entre eux. Et elle avait déjà vu bien pire que ça ... d'autres personnes n'auraient même pas pris le temps de parler, et seraient directement passer à l'acte.
Cela dit, Ayame n'avait pas besoin de garder son visage de marchand pour continuer ses affaires, et elle n'avait clairement pas l'envie de choisir la troisième option, comme toute personne sensée, il ne lui restait que les deux autres options ... et autant elle adorerait voir son client désespéremment démolir son échoppe, et peut-être tenter de s'en prendre à ses marchandises, non seulement cela aurait peu d'effet, mais briser certains de ses objets en vente pourrait causer des problèmes ... des problèmes qui les toucheraient tous les deux !

Le choix d'Ayame était donc plutôt simple, mais la réponse ... ne serait probablement celle que son client penserait recevoir. Sans prévenir, la tanuki bouscule son client en arrière, ayant mis suffisamment de force pour au moins le faire reculer de quelques pas vers le mur ... sauf que ce n'était pas un mur qui se trouvait dans le dos de son client, une porte étant apparue de nulle part ... une porte qui s'ouvre l'instant même où son client se retrouve à proximité.
Le client de la tanuki ne tombe pas pour si peu, ou ne devrait pas vu la force qu'elle avait mise ... mais elle n'avait pas fini, poussant une nouvelle fois pour forcer son client à passer à travers le cadre de la porte, Ayame le suivant de près, sans avoir la moindre idée de l'endroit où ils allaient atterir.

De l'autre côté de la porte, Ayame arrive visiblement dans une des chambres des dortoirs, probablement celle de son client. Sans attendre une seule seconde, Ayame va s'installer sur le lit, s'asseyant sur le bord de celui-ci en regardant directement son client dans les yeux ...

Je suppose que c'est ta chambre ? À moins que tu prévoyais de m'emmener dans la chambre de quelqu'un d'autre ? Ou tu aurais préféré qu'on le fasse directement à mon stand ? J'admet ne pas avoir demandé ta préférence à ce sujet ... mais si ça avait été le cas, la porte ne nous aurait pas transporté ici.

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